Leslie VA12
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie VA12
Leslie VA12 – Vacances - Avec Laure, suite
Vers huit heures du matin, je me suis réveillée et je découvris Nadja, qui me regardait, le soleil projetait largement ses rayons dans la pièce au travers des fins rideaux, Nadja passa une langue aguicheuse sur ses lèvres en dardant sur moi un regard pervers, en disant :
- J’ai encore envie !
- Alors toi, dis-je, tu es incroyable.
Nadja, se fit chatte et me provoqua du regard, mon sexe dans mon entrejambe gonflait à vue d’œil. Nadja sortit des draps, exposant sa nudité et laissant les rayons du soleil glisser sur sa peau.
- Alors là, je ne vois pas du tout de quoi tu parles, dit Nadja en se caressant.
Elle s’allongea à nouveau sur le lit en décroisant négligemment les jambes et en laissant passer ses doigts sur ses seins, en offrant à mes yeux son intimité exposée.
Nous fîmes l’amour une nouvelle fois sous les rayons du soleil du ce petit matin, puis Nadja sauta du lit et fila sous la douche.
Elle en prit une bien froide, histoire de soulager son corps des petites irritations de nos ébats et histoire de calmer un peu les ardeurs en elle et qui l’étonnaient de plus en plus. Pourtant, ses envies débordantes de sexe ne l’effrayaient pas. Elle sortit de la douche, s’essuya sommairement les cheveux et enfila un petit slip rose et le soutien-gorge assorti, puis trouva dans son sac de sport, qu’elle laissait dans ma chambre, un haut noir moulant et une jupe volante blanche.
Elle s’empara de son sac à main et sauta dans ses chaussures.
Elle avait rendez-vous dans la matinée et après m’avoir embrassé elle est partie en me faisant un clin d’œil.
Un peu plus tard, alors que je reposais nue sur le lit, Laure est venue me rejoindre, elle rougit comme une pivoine en me voyant lascive et nue sur le lit, en disant :
- Toi, tu as passé une nuit d’enfer !
- Salut, Laure, dis-je, et bien, oui une vraie furie cette petite Nadja, un vrai canon qui ne refuse pas de se donner entièrement.
- Tu as l’air fatiguée, tu veux que je te masse un peu ?
Laure, était juste vêtue d’un string en dentelle et d’un soutien-gorge noirs. Le soutien-gorge avait pour vertu de gonfler un peu ses seins et le string ne cachait rien de sa vulve glabre.
- Si tu veux, dis-je, en sentant mon sexe durcir devant tant de beauté.
Laure sauta sur le lit en souriant et vint m’embrasser profondément.
- Ma chérie, tu vas adorer ce que je vais te faire, dis Laure.
- C’est ce que je désire, dis-je.
Laure sourit et me fit mettre sur le ventre avant de s’asseoir sur mes fesses, en disant :
- Laisse faire mes doigts de fée.
En effet, les doigts de Laure étaient magiques, mais ça je le savais déjà. En quelques minutes, je me retrouvais dans un état que je n’avais pas connu depuis longtemps, je sentais ma fatigue s’évaporer et mon énergie revenir, et mon sexe durcir contre mon ventre.
- Eh bien voilà, je vois que tu apprécies !
Laure semblait contente, à raison, de son œuvre, elle me redressa et noua ses bras autour de mon cou. Elle embrassa mes cheveux, appuyant sa poitrine contre mon épaule.
La sensation était douce et érotique.
En prenant mes seins dans ses mains et commençant à me caresser elle me dit :
- J’ai rendez-vous cet après-midi !
- Tu sais que je t’aime et que cela ne pose pas de problème, lui dis-je.
- Alors ne perdons pas de temps, me répondis Laure.
Alors que Laure me caressait la poitrine je passais une main dans mon dos pour caresser l’intimité de Laure au travers de son string.
Le string de Laure était trempé et je lui a culotte mouillée et piétinait en attendant de trouver une solution. Laure lui sourit et ai dit :
- Enlève-le, s’il te gêne.
Laure se tendit dans mon dos et rougit en voyant que j’avais découvert ses désirs et l’état dans lequel elle était.
- Tu es trempée !
- Et alors ? C’est que j’ai des désirs, me dit Laure.
Laure se débarrassa de son string et de son soutien-gorge, puis se recolla nue dans mon dos en reprenant ma poitrine dans ses mains.
Je sentais que ses seins réagissaient au contact de ma peau et les pointes excitées devenaient durs.
Laure descendit une main de ma poitrine vers mon sexe et s’en emparant constata mon état en disant :
- Toi aussi tu me parais avoir des désirs !
Me retournant pour lui faire face, je lui dis :
- J’ai envie de ton petit trou !
- Dommage, me dit Laure, mon, chaton est vraiment très mignon et il palpite de te sentir l’investir !
Laure caressa ma nuque, puis avoir déposé un baiser sur mes lèvres elle m’obligea doucement à m’occuper de son chaton.
Elle s’allongea tandis que je me mettais entre ses jambes pour lui lécher la vulve, elle soupira aussitôt dès que mes lèvres se mirent au contact de son intimité et se laissa aller à cette douce caresse qui l’emportait vers des contrées lointaines.
Soudain, elle se raidit par la décharge qui la parcourut alors qu’un de mes doigts agiles entrait en elle.
- Laisse-toi faire, ma douce, laisse-moi te faire plaisir, dis-je.
Mon doigt bougeait doucement en elle, et gémissait doucement. Un deuxième doigt entra en elle et elle gémit.
- Attends, chuchota-t-elle, Laure…
- Chut, ne dis rien…
Peu de temps après mon sexe entrait dans le chaton de Laure la faisant hurler de plaisir.
Elle avait croisé ses jambes autour de mes hanches afin que je l’investisse au plus profond de son intimité trempée. Elle à hurler un premier orgasme alors que je la pilonnais sans vergogne, puis elle à hurler, investit de plaisir sans fin.
Après je l’ai sodomisé en la regardant dans les yeux, et j’ai jouis au plus profond de son intimité secrète.
Nous sommes restées un moment enlacées, attendant le ,moment où nous allions rompre cette intime étreinte, puis elle a pris une douche et est partie pour son rendez-vous.
A suivre…
Vers huit heures du matin, je me suis réveillée et je découvris Nadja, qui me regardait, le soleil projetait largement ses rayons dans la pièce au travers des fins rideaux, Nadja passa une langue aguicheuse sur ses lèvres en dardant sur moi un regard pervers, en disant :
- J’ai encore envie !
- Alors toi, dis-je, tu es incroyable.
Nadja, se fit chatte et me provoqua du regard, mon sexe dans mon entrejambe gonflait à vue d’œil. Nadja sortit des draps, exposant sa nudité et laissant les rayons du soleil glisser sur sa peau.
- Alors là, je ne vois pas du tout de quoi tu parles, dit Nadja en se caressant.
Elle s’allongea à nouveau sur le lit en décroisant négligemment les jambes et en laissant passer ses doigts sur ses seins, en offrant à mes yeux son intimité exposée.
Nous fîmes l’amour une nouvelle fois sous les rayons du soleil du ce petit matin, puis Nadja sauta du lit et fila sous la douche.
Elle en prit une bien froide, histoire de soulager son corps des petites irritations de nos ébats et histoire de calmer un peu les ardeurs en elle et qui l’étonnaient de plus en plus. Pourtant, ses envies débordantes de sexe ne l’effrayaient pas. Elle sortit de la douche, s’essuya sommairement les cheveux et enfila un petit slip rose et le soutien-gorge assorti, puis trouva dans son sac de sport, qu’elle laissait dans ma chambre, un haut noir moulant et une jupe volante blanche.
Elle s’empara de son sac à main et sauta dans ses chaussures.
Elle avait rendez-vous dans la matinée et après m’avoir embrassé elle est partie en me faisant un clin d’œil.
Un peu plus tard, alors que je reposais nue sur le lit, Laure est venue me rejoindre, elle rougit comme une pivoine en me voyant lascive et nue sur le lit, en disant :
- Toi, tu as passé une nuit d’enfer !
- Salut, Laure, dis-je, et bien, oui une vraie furie cette petite Nadja, un vrai canon qui ne refuse pas de se donner entièrement.
- Tu as l’air fatiguée, tu veux que je te masse un peu ?
Laure, était juste vêtue d’un string en dentelle et d’un soutien-gorge noirs. Le soutien-gorge avait pour vertu de gonfler un peu ses seins et le string ne cachait rien de sa vulve glabre.
- Si tu veux, dis-je, en sentant mon sexe durcir devant tant de beauté.
Laure sauta sur le lit en souriant et vint m’embrasser profondément.
- Ma chérie, tu vas adorer ce que je vais te faire, dis Laure.
- C’est ce que je désire, dis-je.
Laure sourit et me fit mettre sur le ventre avant de s’asseoir sur mes fesses, en disant :
- Laisse faire mes doigts de fée.
En effet, les doigts de Laure étaient magiques, mais ça je le savais déjà. En quelques minutes, je me retrouvais dans un état que je n’avais pas connu depuis longtemps, je sentais ma fatigue s’évaporer et mon énergie revenir, et mon sexe durcir contre mon ventre.
- Eh bien voilà, je vois que tu apprécies !
Laure semblait contente, à raison, de son œuvre, elle me redressa et noua ses bras autour de mon cou. Elle embrassa mes cheveux, appuyant sa poitrine contre mon épaule.
La sensation était douce et érotique.
En prenant mes seins dans ses mains et commençant à me caresser elle me dit :
- J’ai rendez-vous cet après-midi !
- Tu sais que je t’aime et que cela ne pose pas de problème, lui dis-je.
- Alors ne perdons pas de temps, me répondis Laure.
Alors que Laure me caressait la poitrine je passais une main dans mon dos pour caresser l’intimité de Laure au travers de son string.
Le string de Laure était trempé et je lui a culotte mouillée et piétinait en attendant de trouver une solution. Laure lui sourit et ai dit :
- Enlève-le, s’il te gêne.
Laure se tendit dans mon dos et rougit en voyant que j’avais découvert ses désirs et l’état dans lequel elle était.
- Tu es trempée !
- Et alors ? C’est que j’ai des désirs, me dit Laure.
Laure se débarrassa de son string et de son soutien-gorge, puis se recolla nue dans mon dos en reprenant ma poitrine dans ses mains.
Je sentais que ses seins réagissaient au contact de ma peau et les pointes excitées devenaient durs.
Laure descendit une main de ma poitrine vers mon sexe et s’en emparant constata mon état en disant :
- Toi aussi tu me parais avoir des désirs !
Me retournant pour lui faire face, je lui dis :
- J’ai envie de ton petit trou !
- Dommage, me dit Laure, mon, chaton est vraiment très mignon et il palpite de te sentir l’investir !
Laure caressa ma nuque, puis avoir déposé un baiser sur mes lèvres elle m’obligea doucement à m’occuper de son chaton.
Elle s’allongea tandis que je me mettais entre ses jambes pour lui lécher la vulve, elle soupira aussitôt dès que mes lèvres se mirent au contact de son intimité et se laissa aller à cette douce caresse qui l’emportait vers des contrées lointaines.
Soudain, elle se raidit par la décharge qui la parcourut alors qu’un de mes doigts agiles entrait en elle.
- Laisse-toi faire, ma douce, laisse-moi te faire plaisir, dis-je.
Mon doigt bougeait doucement en elle, et gémissait doucement. Un deuxième doigt entra en elle et elle gémit.
- Attends, chuchota-t-elle, Laure…
- Chut, ne dis rien…
Peu de temps après mon sexe entrait dans le chaton de Laure la faisant hurler de plaisir.
Elle avait croisé ses jambes autour de mes hanches afin que je l’investisse au plus profond de son intimité trempée. Elle à hurler un premier orgasme alors que je la pilonnais sans vergogne, puis elle à hurler, investit de plaisir sans fin.
Après je l’ai sodomisé en la regardant dans les yeux, et j’ai jouis au plus profond de son intimité secrète.
Nous sommes restées un moment enlacées, attendant le ,moment où nous allions rompre cette intime étreinte, puis elle a pris une douche et est partie pour son rendez-vous.
A suivre…
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