Leslie VN09
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie VN09
Leslie VN09 – Vacances naturistes, Laure en trio, suite et fin
Didier continua de me faire l’amour tout en me caressant du pouce la rondelle.
J’ai jouis en criant mon plaisir sans qu’il jouisse en moi, Didier comme je l’avais
pressentit était très endurant.
Me quittant il est venu se positionner derrière Maude pour la sodomiser. Ce n’était
certainement pas la première fois que Didier sodomisait Maude tant l’introduction de
son membre en elle me parut facile.
J’admirais le spectacle, ma sœur se faisant enculer devant moi par son amant, au
diable les revues dans le cas présent, la réalité prenait le dessus et plus le temps
passait et plus je me sentais exciter et prête à tout.
Didier allait et venait dans les entrailles de Maude et celle-ci haletait de plus en
plus, le souffle court. Puis soudain Maude éprouva une jouissance énorme, ne pouvant
pratiquement pas se contrôler, elle hurla sa jouissance.
Didier se retira et je pris place auprès de Maude pour nous placer en 69 et nous
brouter la chatte, Maude encore sous l’émotion de sa jouissance se laissa faire et
Didier, à son tour, admira le spectacle.
Comme beaucoup de mâles, il appréciait ces femmes qui s’accouplent un instant durant
les ébats avant de s’abandonner aux hommes. Pendant cet instant, nous avons pris
beaucoup de plaisir dans ces caresses homosexuelles nous rappelant notre jeunesse et
aussi, peut-être, parce que nous étions vues par notre amant.
Puis, alors que j’étais au-dessus de Maude, le cul cambré et offert, j’ai sentie
Didier s’approcher et me prendre pas les hanches.
- N’aie aucune crainte, dit Didier en s’adressant à moi, je te sodomiser et mon
plus grand plaisir ce sera de te voir jouir alors que mon sexe est ta rondelle.
Didier se mit à me caresser le corps, en commençant pas mes seins, déjà tendus par le
côté excitant de la situation. Puis il descendit rapidement du côté de mon sexe. Il
faisait virevolter sa langue de mon clitoris à mon anus.
Cette caresse intime ne me laissait pas de glace, surtout que Maude, elle aussi,
donnait par fois de petits coups de langue sur ma vulve, ces caresses firent que ma
vulve ne tarda pas à émettre son liquide.
Didier enduisit ma rondelle avec, et se redressant il choisit, dans un premier temps,
de ma prendre le vagin avec son sexe afin de me détendre un maximum.
Il m’empalait en me faisant monter le plaisir en moi, je sentais sa verge chaude se
mouvoir en moi, sans que Didier délaisse mon anus qu’il sollicitait du pouce pour le
préparer à la future introduction de son membre.
Puis de ses doigts il m’enduisit la rondelle d’une substance lubrifiante en le
laissant faire quand il poussait un de ses doigts en moi.
Lorsqu’un orgasme me terrassa, me faisant hurler de plaisir, je me suis cambrée au
maximum, je sentis mon œillet s’ouvrir offrant, complaisamment, à Didier ma nudité
dans une totale impudeur.
A cet instant je me sentais chienne et salope, attendant d’être enculée par l’amant de
ma sœur. Maude sur le dos et moi toujours par-dessus, avait ma vulve à la portée de sa
bouche et pouvait voir le membre de son mec me prendre sauvagement.
Didier se retira, le plaisir qu’il venait encore de me donner était fabuleux, car il
n’avait toujours pas jouis.
- Ca va chérie ? me demanda Didier.
- Oh oui, répondis-je dans un souffle.
C’est à cet instant que je sentis le gland se poser tout contre mon œillet qui était
encore légèrement ouvert après les insidieuses préparations des doigts de Didier.
Maude, sous moi, me léchait le sexe de sa douce langue, sans oublier mon clitoris
qu’elle agaçait divinement bien.
Le membre puissant de Didier s’introduisit lentement dans mon fondement, tout d’abord
le gland quand je le sentis forcer mon sphincter, puis Didier poussa, la taille de sa
queue était tout de même assez imposante, aussi l’introduction fut un peu difficile.
Mon habitude de la sodomie permit néanmoins à son membre de s’enfoncer en moi.
Je soufflais comme une salope, tandis que le membre faisait son chemin en moi, jusqu’à
ce que ses couilles de Didier buttent sur mon scrotum.
Alors il s’immobilisa un instant, puis entreprit un doux va-et-vient qui,
instantanément, me procura du plaisir. La sensation de jouissance était telle que je
l’oubliais tout laissant la chaleur m’envahir.
Mon orgasme ne fut pas long à venir, sous les mouvements de va-et-vient du membre
raide et chaud en moi, accompagnés des talents de la langue de Maude, et je me mis à
hurler ma jouissance.
Didier ne se retira pas tout de suite de mon cul après mon orgasme, il continua ses
mouvements en moi, décuplant mon plaisir, avant de me remplir les entrailles de sa
chaude semence et d’hurler à son tour son plaisir.
- J’ai adorée te voir jouir, me dit Maude une fois que j’eus repris mes esprits,
c’était sublime. J’ai même jouis en me masturbant.
Durant tout le temps que prit Laure à me raconter cette aventure, elle ne cessa de
caresser mon sexe qui à la fin du récit était rigide et prêt pour d’éventuels ébats.
Bien sûr Laure s’était elle-même caressée la vulve et le clitoris tout en le narrant
cette venture et ce fut naturellement que nous fîmes l’amour.
A suivre...
Didier continua de me faire l’amour tout en me caressant du pouce la rondelle.
J’ai jouis en criant mon plaisir sans qu’il jouisse en moi, Didier comme je l’avais
pressentit était très endurant.
Me quittant il est venu se positionner derrière Maude pour la sodomiser. Ce n’était
certainement pas la première fois que Didier sodomisait Maude tant l’introduction de
son membre en elle me parut facile.
J’admirais le spectacle, ma sœur se faisant enculer devant moi par son amant, au
diable les revues dans le cas présent, la réalité prenait le dessus et plus le temps
passait et plus je me sentais exciter et prête à tout.
Didier allait et venait dans les entrailles de Maude et celle-ci haletait de plus en
plus, le souffle court. Puis soudain Maude éprouva une jouissance énorme, ne pouvant
pratiquement pas se contrôler, elle hurla sa jouissance.
Didier se retira et je pris place auprès de Maude pour nous placer en 69 et nous
brouter la chatte, Maude encore sous l’émotion de sa jouissance se laissa faire et
Didier, à son tour, admira le spectacle.
Comme beaucoup de mâles, il appréciait ces femmes qui s’accouplent un instant durant
les ébats avant de s’abandonner aux hommes. Pendant cet instant, nous avons pris
beaucoup de plaisir dans ces caresses homosexuelles nous rappelant notre jeunesse et
aussi, peut-être, parce que nous étions vues par notre amant.
Puis, alors que j’étais au-dessus de Maude, le cul cambré et offert, j’ai sentie
Didier s’approcher et me prendre pas les hanches.
- N’aie aucune crainte, dit Didier en s’adressant à moi, je te sodomiser et mon
plus grand plaisir ce sera de te voir jouir alors que mon sexe est ta rondelle.
Didier se mit à me caresser le corps, en commençant pas mes seins, déjà tendus par le
côté excitant de la situation. Puis il descendit rapidement du côté de mon sexe. Il
faisait virevolter sa langue de mon clitoris à mon anus.
Cette caresse intime ne me laissait pas de glace, surtout que Maude, elle aussi,
donnait par fois de petits coups de langue sur ma vulve, ces caresses firent que ma
vulve ne tarda pas à émettre son liquide.
Didier enduisit ma rondelle avec, et se redressant il choisit, dans un premier temps,
de ma prendre le vagin avec son sexe afin de me détendre un maximum.
Il m’empalait en me faisant monter le plaisir en moi, je sentais sa verge chaude se
mouvoir en moi, sans que Didier délaisse mon anus qu’il sollicitait du pouce pour le
préparer à la future introduction de son membre.
Puis de ses doigts il m’enduisit la rondelle d’une substance lubrifiante en le
laissant faire quand il poussait un de ses doigts en moi.
Lorsqu’un orgasme me terrassa, me faisant hurler de plaisir, je me suis cambrée au
maximum, je sentis mon œillet s’ouvrir offrant, complaisamment, à Didier ma nudité
dans une totale impudeur.
A cet instant je me sentais chienne et salope, attendant d’être enculée par l’amant de
ma sœur. Maude sur le dos et moi toujours par-dessus, avait ma vulve à la portée de sa
bouche et pouvait voir le membre de son mec me prendre sauvagement.
Didier se retira, le plaisir qu’il venait encore de me donner était fabuleux, car il
n’avait toujours pas jouis.
- Ca va chérie ? me demanda Didier.
- Oh oui, répondis-je dans un souffle.
C’est à cet instant que je sentis le gland se poser tout contre mon œillet qui était
encore légèrement ouvert après les insidieuses préparations des doigts de Didier.
Maude, sous moi, me léchait le sexe de sa douce langue, sans oublier mon clitoris
qu’elle agaçait divinement bien.
Le membre puissant de Didier s’introduisit lentement dans mon fondement, tout d’abord
le gland quand je le sentis forcer mon sphincter, puis Didier poussa, la taille de sa
queue était tout de même assez imposante, aussi l’introduction fut un peu difficile.
Mon habitude de la sodomie permit néanmoins à son membre de s’enfoncer en moi.
Je soufflais comme une salope, tandis que le membre faisait son chemin en moi, jusqu’à
ce que ses couilles de Didier buttent sur mon scrotum.
Alors il s’immobilisa un instant, puis entreprit un doux va-et-vient qui,
instantanément, me procura du plaisir. La sensation de jouissance était telle que je
l’oubliais tout laissant la chaleur m’envahir.
Mon orgasme ne fut pas long à venir, sous les mouvements de va-et-vient du membre
raide et chaud en moi, accompagnés des talents de la langue de Maude, et je me mis à
hurler ma jouissance.
Didier ne se retira pas tout de suite de mon cul après mon orgasme, il continua ses
mouvements en moi, décuplant mon plaisir, avant de me remplir les entrailles de sa
chaude semence et d’hurler à son tour son plaisir.
- J’ai adorée te voir jouir, me dit Maude une fois que j’eus repris mes esprits,
c’était sublime. J’ai même jouis en me masturbant.
Durant tout le temps que prit Laure à me raconter cette aventure, elle ne cessa de
caresser mon sexe qui à la fin du récit était rigide et prêt pour d’éventuels ébats.
Bien sûr Laure s’était elle-même caressée la vulve et le clitoris tout en le narrant
cette venture et ce fut naturellement que nous fîmes l’amour.
A suivre...
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