Leslie VN15
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie VN15
Leslie VN15 – Sylvie, suite
« Sitôt le petit déjeuner terminé, Sylvie, pleine de désirs, m’entraine dans sa
chambre.
Je la suis me laissant guider comme une esclave sous le joug de sa maîtresse, non sans
avouer que je mouille déjà comme une dingue.
A peine la porte de la chambre passée, Sylvie se colle à moi dans l’échange d’un
baiser profond où nos langues se mêlent, nous sommes nues debout, près du lit, collées
l’une à l’autre.
La main de Sylvie s’insinue entre mes cuisses cherchant du doigt mon clitoris, elle le
trouve et le roule du bout du doigt en constatant que je suis déjà trempée.
- Dis-donc ma jolie, tu mouilles comme une cochonne, me dit-elle.
Seul un soupir sort de ma gorge en guise de réponse.
Elle me doigte un moment puis appuyant sur mes épaules elle me contraint de
m’agenouiller à ses pieds, puis prenant ma tête entre ses deux mains elle colle ma
bouche sur son pubis m’incitant à m’occuper du son sexe déjà humide. Pour m’offrir un
meilleur accès à son intimité et permettre à ma langue de s’immiscer en elle pose une
de ses jambes sur mon épaule en se tenant à la tête du lit.
Largement ouverte ma langue fouraille en elle, et m’aidant de mes doigts je la branle
à la recherche de ses zones érogènes, elle reprend ma tête entre ses mains pour jouir
et juter dans ma bouche telle une fontaine et déséquilibrée elle tombe à la renverse
sur le lit.
À ma totale merci, allongée, je me mets à califourchon au-dessus de la tête, lui
offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, aussitôt elle agite sa langue sur mon
intimité. Les mouvements de sa langue sur mon sexe son précis, effleurant par moment
mon clitoris érigé, sans oublier mon cul qu’elle lèche avec passion, ces caresses sont
absolument divines. Puis elle s’aide de ses doigts sans retenue pour m’emmener dans le
plaisir.
Pourtant je résiste le plus possible pour ne pas jouir immédiatement. Sylvie est une
experte et le plaisir monte en moi intensément.
Quand j’explose, la jouissance plus violente, dévastatrice, c’est comme une vague qui
m’emporte dans ses rouleaux dans l’infini inconnu et en me vrillant le corps
irrésistiblement d’ondes incontrôlables. Je vibre alors de tout mon être dans un
plaisir infini et une peur de la perte de conscience, un plaisir qui irradie ma tête,
mon ventre, mes seins, mon sexe d’une chaleur immense.
Puis, changeant de position, nous ouvrons nos jambes en les mêlant comme deux fourche
et nous collons nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe, et par un doux
mouvement de rotation de nos bassins nous nous branlons ainsi mutuellement.
Il ne nous faut pas attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le
firmament. Nous explosons conjointement dans un orgasme qui nous tétanise.
Sylvie me dit alors qu’elle à retrouver son calme :
- Tu sais ce serait tellement meilleur si ton pubis était épilé !
- Je la regarde et lui réponds :
- Alors épile moi ma chérie, maintenant.
Sylvie se lève et va vers la salle de bain et elle revient peu de temps après avec
tout ce qu’il faut pour procéder à la séance d’épilation de mon pubis.
En peu de temps je me retrouve complètement imberbe, le pubis glabre comme une jeune
fille, grande ouverte les lèvres apparentes et le clitoris dégagé.
Je me caresse d’une main en trouvant la sensation agréable et à cet instant je ne
regrette pas d’avoir succombée aux désirs de mon amante.
Nous nous endormons ainsi, dans les bras l’une de l’autre.
Lorsque je me réveille, le jour se lève et éclaire la chambre légèrement.
Sylvie est encore endormie et alanguie, offerte les jambes largement ouvertes, elle
soupire. Alors doucement je place ma tête entre ses jambes et avec le bout de la
langue, je lèche tendrement sa vulve par petites touches. Je vois les pointes de ses
seins qui s’érigent et sa poitrine se gonfle et durcit, Sylvie gémit doucement.
Plus tard au petit déjeuner, Sylvie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais
de son sexe, mais avait fait semblant de me faire croire qu’elle dormait encore, tant
mes caresses étaient délicates et agréables et lui donnaient du plaisir.
Durant la journée nous avons passées notre temps dans la chambre en visitant les
terres de Lesbos. Nous nous donnons mutuellement des caresses et maintenant je ne suis
plus seulement passive, je donne autant que je reçois.
La découverte, c’est lorsque nous mettons nos sexes en contact l’un de l’autre, le
mien maintenant lisse comme le sien, alors nos lèvres vaginales sont en contact les
unes avec les autres et nos clitoris se touchent intimement et l’excitation monte en
nous lorsque nous bougeons en frottant nos vulves l’une contre l’autre. La jouissance
nous emporte sans retenue, alors terrassées de plaisir nous restons dans les bras
l’une de l’autre en laissant nos doigts inquisiteurs profités de nos intimités
humides, tandis que nos bouches collées l’une à l’autre échangent de merveilleux
baisers.
Après le déjeuner, alors que je reposais nue sur le lit, Sylvie est arrivée harnachée
d’un gode ceinture, très réaliste aux dimensions plus qu’honorables, il lui donnait un
petit air pervers et quelque peu inquiétant.
Sylvie me dit en s’approchant de moi :
- Il est tant que nous passions à d’autres plaisirs.
Quelque peu inquiète sur les propos de mon aimée je lui ai demandée ;
- Tu penses à quoi ?
- Je vais te faire l’amour comme un mâle, te possédée par tous les trous.
- Tu veux aussi me sodomiser, dis-je.
Un frisson m’a parcouru en regardant l’engin dressé sur le bas ventre de ma compagne.
- Pourquoi pas, me dit-elle, je te sens en de bonne dispositions pour m’offrir
ton cul.
Elle monte sur le lit et propose le gode à ma bouche en disant :
- Suce ma chérie !
J’ai déjà sucée des mecs et je ne suis plus vierge, j’ai un gode à la maison dont je
me sers en solitaire, un petit assez fin et qui vibre lorsque je me l’enfonce en moi.
J’avoue qu’il m’a visité le petit trou et j’ai adorée, mais il n’a pas les dimensions
de celui de Sylvie et je n’ai jamais sucée de gode ceinture dans des ébats lesbiens.
Sylvie le pose sur mes lèvres et force l’entrée sans me laisser le temps de réfléchir,
alors je m’exécute et commence à prendre l’engin en bouche. Sylvie parait heureuse de
me voir faire et me l’enfonce de plus en plus profondément au fond de ma gorge, puis
elle se place entre mes jambes et sans un mot m’enfourne le gode au fond de ma chatte.
Je suis trempé et Sylvie n’a aucun mal de me le rentrer de toute sa longueur me
faisant pousser un cri, il est épais et me remplit complètement distendant mes chairs
intimes.
Je n’ai pas l’habitude de me faire sodomiser par un sexe d’une telle grosseur, les
mecs avec qui j’ai couchée n’étant pas si membrés que cela et c’est pour cela que j’ai
acceptée qu’ils m’enculent . Le gode qui me possède me coupe le souffle et je gémis
doucement alors que Sylvie s’active sur moi.
Elle me prend ainsi pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et
observant mes réactions, poussant plus loin en moi le gode, d’un terrible coup de
reins, quand elle estime que je ne réagis pas assez à ses introductions.
Mon ventre est irradié par une vague de plaisir et je hurle quand un orgasme me
terrasse, je ne sais plus où je suis sinon que sentir ce pal qui vient et va en moi,
Sophie en veux plus de moi et me retourne sans ménagement et me fait mettre à quatre
pattes.
Je sais que c’est le moment de me faire enculer et je proteste mollement en disant :
- Non, Sophie, non.
Elle me tient fermement par les hanches en m’obligeant de ne pas me dérober le pal
appuyé sur ma rondelle, elle attend soit par plaisir ou pas sadisme que j’accepte
cette sodomie. Je suis partagée entre la crainte, et par la peur d’avoir mal, et le
désir qui me dit de me laisser aller. Sophie sent que je suis à sa merci et d’un coup
de reins m’enfonce le gode au fond de mon fondement.
Je gueule terrassée par la douleur vive qui irradie mon cul et mes reins, je tente de
m’échapper à cette pénétration, mais Sophie me tenant fermement enfichée sur le gode
je ne peux. Sophie m’encule sans un mot, rentrant et sortant le gode de mon œillet
avec une régularité sans faille jusqu’au moment ou un nouvel orgasme monte dans mes
reins et me fait jouir du cul.
Sophie me câline en disant :
- Alors t’as aimée ?
- J’ai jouis mais je pense qu’il faudra un peu de temps pour aimer sans douleur.
- Alors j’ai ce qu’il te faut.
Plongeant la main dans le tiroir de sa table e nuit elle en sort un plug en me disant
:
- Tu vas le porter et il va t’élargir un peu, ainsi tu seras prête pour ma
prochaine sodomie.
Et elle me l’enfonce dans le cul sans un mot de plus.
En fin d’après-midi alors que nous sommes nues en position de 69, le cul toujours
plugé, mon regard part vers la fenêtre d’où un bruit attire mon attention, c’est alors
que je vis ce visage d’homme qui nous regardait derrières les volets. Je poussais un
cri en me détachant de Sylvie tout en essayant de cacher ma nudité. Je me sens
honteuse, prise en faute, découverte. Mon amante tourne la tête en direction du voyeur
et lâche :
- Ah non, merde, qu’est-ce que tu fais là, toi ?
Et à mon attention elle dit :
- C’est mon frère ! Damien. Il n’était pas prévu au programme lui.
- Continuez, continuez, nous lance le mec sans se démonter, c’est divin de vous
voir deux nanas se brouter ainsi…
Sylvie, nue, sort pour parler à son frère. Il est arrivé à l’improviste sans prévenir
et dans nos ébats nous n’avons pas entendu sa voiture se garer près de la maison.
Il a vu une partie de nos jeux, et je suis certaine qu’il va profiter de cette
occasion pour assouvir des désirs. »
A suivre…
« Sitôt le petit déjeuner terminé, Sylvie, pleine de désirs, m’entraine dans sa
chambre.
Je la suis me laissant guider comme une esclave sous le joug de sa maîtresse, non sans
avouer que je mouille déjà comme une dingue.
A peine la porte de la chambre passée, Sylvie se colle à moi dans l’échange d’un
baiser profond où nos langues se mêlent, nous sommes nues debout, près du lit, collées
l’une à l’autre.
La main de Sylvie s’insinue entre mes cuisses cherchant du doigt mon clitoris, elle le
trouve et le roule du bout du doigt en constatant que je suis déjà trempée.
- Dis-donc ma jolie, tu mouilles comme une cochonne, me dit-elle.
Seul un soupir sort de ma gorge en guise de réponse.
Elle me doigte un moment puis appuyant sur mes épaules elle me contraint de
m’agenouiller à ses pieds, puis prenant ma tête entre ses deux mains elle colle ma
bouche sur son pubis m’incitant à m’occuper du son sexe déjà humide. Pour m’offrir un
meilleur accès à son intimité et permettre à ma langue de s’immiscer en elle pose une
de ses jambes sur mon épaule en se tenant à la tête du lit.
Largement ouverte ma langue fouraille en elle, et m’aidant de mes doigts je la branle
à la recherche de ses zones érogènes, elle reprend ma tête entre ses mains pour jouir
et juter dans ma bouche telle une fontaine et déséquilibrée elle tombe à la renverse
sur le lit.
À ma totale merci, allongée, je me mets à califourchon au-dessus de la tête, lui
offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, aussitôt elle agite sa langue sur mon
intimité. Les mouvements de sa langue sur mon sexe son précis, effleurant par moment
mon clitoris érigé, sans oublier mon cul qu’elle lèche avec passion, ces caresses sont
absolument divines. Puis elle s’aide de ses doigts sans retenue pour m’emmener dans le
plaisir.
Pourtant je résiste le plus possible pour ne pas jouir immédiatement. Sylvie est une
experte et le plaisir monte en moi intensément.
Quand j’explose, la jouissance plus violente, dévastatrice, c’est comme une vague qui
m’emporte dans ses rouleaux dans l’infini inconnu et en me vrillant le corps
irrésistiblement d’ondes incontrôlables. Je vibre alors de tout mon être dans un
plaisir infini et une peur de la perte de conscience, un plaisir qui irradie ma tête,
mon ventre, mes seins, mon sexe d’une chaleur immense.
Puis, changeant de position, nous ouvrons nos jambes en les mêlant comme deux fourche
et nous collons nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe, et par un doux
mouvement de rotation de nos bassins nous nous branlons ainsi mutuellement.
Il ne nous faut pas attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le
firmament. Nous explosons conjointement dans un orgasme qui nous tétanise.
Sylvie me dit alors qu’elle à retrouver son calme :
- Tu sais ce serait tellement meilleur si ton pubis était épilé !
- Je la regarde et lui réponds :
- Alors épile moi ma chérie, maintenant.
Sylvie se lève et va vers la salle de bain et elle revient peu de temps après avec
tout ce qu’il faut pour procéder à la séance d’épilation de mon pubis.
En peu de temps je me retrouve complètement imberbe, le pubis glabre comme une jeune
fille, grande ouverte les lèvres apparentes et le clitoris dégagé.
Je me caresse d’une main en trouvant la sensation agréable et à cet instant je ne
regrette pas d’avoir succombée aux désirs de mon amante.
Nous nous endormons ainsi, dans les bras l’une de l’autre.
Lorsque je me réveille, le jour se lève et éclaire la chambre légèrement.
Sylvie est encore endormie et alanguie, offerte les jambes largement ouvertes, elle
soupire. Alors doucement je place ma tête entre ses jambes et avec le bout de la
langue, je lèche tendrement sa vulve par petites touches. Je vois les pointes de ses
seins qui s’érigent et sa poitrine se gonfle et durcit, Sylvie gémit doucement.
Plus tard au petit déjeuner, Sylvie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais
de son sexe, mais avait fait semblant de me faire croire qu’elle dormait encore, tant
mes caresses étaient délicates et agréables et lui donnaient du plaisir.
Durant la journée nous avons passées notre temps dans la chambre en visitant les
terres de Lesbos. Nous nous donnons mutuellement des caresses et maintenant je ne suis
plus seulement passive, je donne autant que je reçois.
La découverte, c’est lorsque nous mettons nos sexes en contact l’un de l’autre, le
mien maintenant lisse comme le sien, alors nos lèvres vaginales sont en contact les
unes avec les autres et nos clitoris se touchent intimement et l’excitation monte en
nous lorsque nous bougeons en frottant nos vulves l’une contre l’autre. La jouissance
nous emporte sans retenue, alors terrassées de plaisir nous restons dans les bras
l’une de l’autre en laissant nos doigts inquisiteurs profités de nos intimités
humides, tandis que nos bouches collées l’une à l’autre échangent de merveilleux
baisers.
Après le déjeuner, alors que je reposais nue sur le lit, Sylvie est arrivée harnachée
d’un gode ceinture, très réaliste aux dimensions plus qu’honorables, il lui donnait un
petit air pervers et quelque peu inquiétant.
Sylvie me dit en s’approchant de moi :
- Il est tant que nous passions à d’autres plaisirs.
Quelque peu inquiète sur les propos de mon aimée je lui ai demandée ;
- Tu penses à quoi ?
- Je vais te faire l’amour comme un mâle, te possédée par tous les trous.
- Tu veux aussi me sodomiser, dis-je.
Un frisson m’a parcouru en regardant l’engin dressé sur le bas ventre de ma compagne.
- Pourquoi pas, me dit-elle, je te sens en de bonne dispositions pour m’offrir
ton cul.
Elle monte sur le lit et propose le gode à ma bouche en disant :
- Suce ma chérie !
J’ai déjà sucée des mecs et je ne suis plus vierge, j’ai un gode à la maison dont je
me sers en solitaire, un petit assez fin et qui vibre lorsque je me l’enfonce en moi.
J’avoue qu’il m’a visité le petit trou et j’ai adorée, mais il n’a pas les dimensions
de celui de Sylvie et je n’ai jamais sucée de gode ceinture dans des ébats lesbiens.
Sylvie le pose sur mes lèvres et force l’entrée sans me laisser le temps de réfléchir,
alors je m’exécute et commence à prendre l’engin en bouche. Sylvie parait heureuse de
me voir faire et me l’enfonce de plus en plus profondément au fond de ma gorge, puis
elle se place entre mes jambes et sans un mot m’enfourne le gode au fond de ma chatte.
Je suis trempé et Sylvie n’a aucun mal de me le rentrer de toute sa longueur me
faisant pousser un cri, il est épais et me remplit complètement distendant mes chairs
intimes.
Je n’ai pas l’habitude de me faire sodomiser par un sexe d’une telle grosseur, les
mecs avec qui j’ai couchée n’étant pas si membrés que cela et c’est pour cela que j’ai
acceptée qu’ils m’enculent . Le gode qui me possède me coupe le souffle et je gémis
doucement alors que Sylvie s’active sur moi.
Elle me prend ainsi pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et
observant mes réactions, poussant plus loin en moi le gode, d’un terrible coup de
reins, quand elle estime que je ne réagis pas assez à ses introductions.
Mon ventre est irradié par une vague de plaisir et je hurle quand un orgasme me
terrasse, je ne sais plus où je suis sinon que sentir ce pal qui vient et va en moi,
Sophie en veux plus de moi et me retourne sans ménagement et me fait mettre à quatre
pattes.
Je sais que c’est le moment de me faire enculer et je proteste mollement en disant :
- Non, Sophie, non.
Elle me tient fermement par les hanches en m’obligeant de ne pas me dérober le pal
appuyé sur ma rondelle, elle attend soit par plaisir ou pas sadisme que j’accepte
cette sodomie. Je suis partagée entre la crainte, et par la peur d’avoir mal, et le
désir qui me dit de me laisser aller. Sophie sent que je suis à sa merci et d’un coup
de reins m’enfonce le gode au fond de mon fondement.
Je gueule terrassée par la douleur vive qui irradie mon cul et mes reins, je tente de
m’échapper à cette pénétration, mais Sophie me tenant fermement enfichée sur le gode
je ne peux. Sophie m’encule sans un mot, rentrant et sortant le gode de mon œillet
avec une régularité sans faille jusqu’au moment ou un nouvel orgasme monte dans mes
reins et me fait jouir du cul.
Sophie me câline en disant :
- Alors t’as aimée ?
- J’ai jouis mais je pense qu’il faudra un peu de temps pour aimer sans douleur.
- Alors j’ai ce qu’il te faut.
Plongeant la main dans le tiroir de sa table e nuit elle en sort un plug en me disant
:
- Tu vas le porter et il va t’élargir un peu, ainsi tu seras prête pour ma
prochaine sodomie.
Et elle me l’enfonce dans le cul sans un mot de plus.
En fin d’après-midi alors que nous sommes nues en position de 69, le cul toujours
plugé, mon regard part vers la fenêtre d’où un bruit attire mon attention, c’est alors
que je vis ce visage d’homme qui nous regardait derrières les volets. Je poussais un
cri en me détachant de Sylvie tout en essayant de cacher ma nudité. Je me sens
honteuse, prise en faute, découverte. Mon amante tourne la tête en direction du voyeur
et lâche :
- Ah non, merde, qu’est-ce que tu fais là, toi ?
Et à mon attention elle dit :
- C’est mon frère ! Damien. Il n’était pas prévu au programme lui.
- Continuez, continuez, nous lance le mec sans se démonter, c’est divin de vous
voir deux nanas se brouter ainsi…
Sylvie, nue, sort pour parler à son frère. Il est arrivé à l’improviste sans prévenir
et dans nos ébats nous n’avons pas entendu sa voiture se garer près de la maison.
Il a vu une partie de nos jeux, et je suis certaine qu’il va profiter de cette
occasion pour assouvir des désirs. »
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