Leslie VN32
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie VN32
Leslie VN32 – Vacances naturistes, Pierre & Sophie se racontent
Le lendemain sur la plage, Pierre et Sophie sont venus pour nous retrouver et c’est
tout naturellement que Pierre nous explique comment avec Sophie ils étaient devenus
bisexuels et échangistes.
Pierre commence sans gêne de nous faire le récit.
« Sophie et moi sommes des naturistes, et s’est il y plusieurs années au mois d’août,
que nous sommes allés passer nos vacances dans un camp de naturistes situé au bord
d’une rivière dans le sud-est de la France.
A cette époque nous faisions un peu d’échangisme entre amis, mais très sage, juste un
échange de partenaires entre couples, rien de plus.
Nous aimons profiter de la caresse du soleil sur nos corps nus, et le long de la
rivière, au calme, nous pouvons nous isoler. Un peu de marche à pied, mais quel
bonheur de se retrouver seuls, bercer par le clapotis de l’eau. Seuls, nous pouvons
nous caresser mutuellement dans l’eau ou sur les berges sans craindre de choquer
quiconque. Et ces moments sont toujours très érotiques, Sophie qui adore les caresses
à tôt fait dans cette nature de prendre rapidement son pied.
Un après-midi, au moment de rentrer, après que nous ayons fait l’amour dans le sous-
bois, je perçois un mouvement non loin de nous de nous, et vois un homme qui sort du
bosquet et s’éloigne rapidement le long de la rivière.
Etonné de voir quelqu’un à cet endroit je me promets d’être plus attentif, il est nu
et doit être au camp.
Sur le chemin du retour je le dis à Sophie, qui s’exclame :
- Un voyeur dans un camp de naturiste, ce n’est pas commun.
Je sens qu’elle est plutôt excitée que gênée.
Le lendemain, nous retournons au même endroit et au moment du retour, je laisse partir
Sophie devant, sous prétexte de soulager un besoin naturel, et je retourne sur mes
pas.
Et cette fois-ci, je revois le même homme, mais aujourd’hui, il en a été pour ses
frais car nous n’avons fait que lire. Je me dépêche de rejoindre Sophie pour lui
raconter ce que j’ai vu.
À cette nouvelle, elle est toute émoustillée, elle a appris à aimer le regard des
autres sur son corps nu.
Nous allons nous doucher, de retour à la tente, pendant que nous préparons le repas,
Sophie revient sur ce que je lui ai appris cet après-midi :
- Tu crois qu’il nous regardait, ou qu’il se promenait ?
- Je pense qu’il est venu mater, on ne se balade pas deux jours de suite au même
endroit, sans arrière-pensée.
- Mais il n’y a aucun intérêt à se cacher dans un camp de naturistes, tout le
monde est nu.
- C’est le plaisir de découvrir les gens à leur insu, le côté voyeur qui excite
certains, en plus, il espérait peut-être que nous nous ferions l’amour.
Je sens que cette histoire excitait Sophie autant qu’elle l’intriguait et qu’elle se
demandait comment se passerais le lendemain.
- Je sais ce que tu peux faire pour l’exciter un peu plus, dis-je.
- Ah ! Oui, et comment ?
- En t’épilant le pubis !
Elle me regarde d’un air surpris mais aussi intéressé, elle s’épile de temps en temps,
par contre, elle ne s’est jamais épilée intégralement pour faire du naturisme, elle
préfère être naturelle comme elle dit, bien qu’au moment des vacances et au camp les
bords de son pubis et ses lèvres soient épilés pour pouvoir mettre des maillots
étroits sans laisser passer des poils disgracieux.
L’idée à l’air de lui plaire, car elle me demande :
- Et ça ne te dérangerais pas si je me baladais dans le camp avec le minou
intégralement épilé, laissant toute mon intimité découverte au regard des autres ?
- Non, tu sais que j’aime les pubis glabre de jeunes filles.
- Mais on connaît du monde, ici.
- Et alors, tu ne seras pas la seule. Tes amies s’épilent bien, en plus il est
taillé court, alors un peu plus ou un peu moins.
Elle finit par me dire :
- D’accord, je ferais cela aux douches tard dans la soirée, car je ne veux pas
être matée pendant cet instant d’intimité.
Vers 22h00, aux douches Sophie s’est épilée pendant que je la regardais, et je
comprends le regard désireux des hommes sur son corps et les désirs qui peuvent
naitre, car je commence à bander. Une fois terminé, le sexe de Sophie apparaît tout
net et tout lisse, comme je l’aime. Sophie passe sous la douche pour enlever le reste
de la crème, je la rejoins et la prend dans mes bras pour l’embrasser, puis je la
retourne le dos contre mon ventre et ma main descend pour caresser son pubis glabre.
Mon sexe grossi le long de ses fesses, j’ai envie de la prendre mais ce n’est pas trop
l’endroit pour aller plus loin, mais l’envie est forte et Sophie n’est pas insensible
à mon sexe bandé dans sa raie, alors elle pose ses mains sur le lavabo pour prendre
appui et se cambre en disant :
- Prends-moi, chéri.
L’invite est sans équivoque, d’autant que Sophie rajoute :
- Tu bandes mon salaud, comme un taureau et si t’occuper de mon petit minou tout
lisse t’excite toujours caresse le moi en m’enculant.
- Toi aussi tu es excitée autant que moi, d’abord que je t’encule là au risque
d’être surpris et en t’imaginant déjà demain entrain de t’exhiber le minou tout lisse.
- Les deux mon amour, tu sais bien que j’aime quand les autres te regardent,
mais arrête de parler et prends-moi.
Je lui caresse les seins qui s’érigent très vite, puis je descends vers son pubis que
je caresse pour apprécier la douceur, mes doigts trouvent son clitoris dardé.
Ma caresse l’électrise car Sophie adore cette caresse et elle écarte aussitôt les
jambes un peu plus en se cambrant au maximum, je titille son clitoris avec mes doigts,
puis je guide mon sexe sur sa grotte anale. Pendant que je rentre un doigt dans son
cul pour l’élargir un peu, je saisis son clitoris bandé comme un petit pénis entre
deux doigts et le vrille doucement.
Sophie ne tient plus et jouis une première fois. Je la force, en crochetant du doigt
sa chatte, à se rapprocher de mon sexe. Le gland entre doucement dans son cul la
faisant gémir, je pousse mon sexe et entre au fond d’elle. Elle est complètement
ouverte et disponible à cette sodomie, elle jouit une autre fois sous mes assauts
répétés. Je la sodomise en caressant son pubis tout lisse et je peux titiller son
clitoris, ma queue fait des allers retours en elle et je jouis au fond de son corps
tandis qu’elle hurle son orgasme.
Après une bonne douche nous rentons à notre tente, et là Sophie me dit :
- C’était trop bon, encule-moi une fois encore avant de nous endormir.
Je l’encule à nouveau et juste avant de s’endormir elle me dit :
- Mon trou est brulant et grand ouvert.
Prenant ma main elle la pose sur son cul, me demandant de vérifier, je lui rentre un
doigt dans le trou et constate qu’il est entrouvert et brulant de désir.
Nous nous endormons tranquillement, Sophie avec mon doigt dans son trou. »
A suivre…
Le lendemain sur la plage, Pierre et Sophie sont venus pour nous retrouver et c’est
tout naturellement que Pierre nous explique comment avec Sophie ils étaient devenus
bisexuels et échangistes.
Pierre commence sans gêne de nous faire le récit.
« Sophie et moi sommes des naturistes, et s’est il y plusieurs années au mois d’août,
que nous sommes allés passer nos vacances dans un camp de naturistes situé au bord
d’une rivière dans le sud-est de la France.
A cette époque nous faisions un peu d’échangisme entre amis, mais très sage, juste un
échange de partenaires entre couples, rien de plus.
Nous aimons profiter de la caresse du soleil sur nos corps nus, et le long de la
rivière, au calme, nous pouvons nous isoler. Un peu de marche à pied, mais quel
bonheur de se retrouver seuls, bercer par le clapotis de l’eau. Seuls, nous pouvons
nous caresser mutuellement dans l’eau ou sur les berges sans craindre de choquer
quiconque. Et ces moments sont toujours très érotiques, Sophie qui adore les caresses
à tôt fait dans cette nature de prendre rapidement son pied.
Un après-midi, au moment de rentrer, après que nous ayons fait l’amour dans le sous-
bois, je perçois un mouvement non loin de nous de nous, et vois un homme qui sort du
bosquet et s’éloigne rapidement le long de la rivière.
Etonné de voir quelqu’un à cet endroit je me promets d’être plus attentif, il est nu
et doit être au camp.
Sur le chemin du retour je le dis à Sophie, qui s’exclame :
- Un voyeur dans un camp de naturiste, ce n’est pas commun.
Je sens qu’elle est plutôt excitée que gênée.
Le lendemain, nous retournons au même endroit et au moment du retour, je laisse partir
Sophie devant, sous prétexte de soulager un besoin naturel, et je retourne sur mes
pas.
Et cette fois-ci, je revois le même homme, mais aujourd’hui, il en a été pour ses
frais car nous n’avons fait que lire. Je me dépêche de rejoindre Sophie pour lui
raconter ce que j’ai vu.
À cette nouvelle, elle est toute émoustillée, elle a appris à aimer le regard des
autres sur son corps nu.
Nous allons nous doucher, de retour à la tente, pendant que nous préparons le repas,
Sophie revient sur ce que je lui ai appris cet après-midi :
- Tu crois qu’il nous regardait, ou qu’il se promenait ?
- Je pense qu’il est venu mater, on ne se balade pas deux jours de suite au même
endroit, sans arrière-pensée.
- Mais il n’y a aucun intérêt à se cacher dans un camp de naturistes, tout le
monde est nu.
- C’est le plaisir de découvrir les gens à leur insu, le côté voyeur qui excite
certains, en plus, il espérait peut-être que nous nous ferions l’amour.
Je sens que cette histoire excitait Sophie autant qu’elle l’intriguait et qu’elle se
demandait comment se passerais le lendemain.
- Je sais ce que tu peux faire pour l’exciter un peu plus, dis-je.
- Ah ! Oui, et comment ?
- En t’épilant le pubis !
Elle me regarde d’un air surpris mais aussi intéressé, elle s’épile de temps en temps,
par contre, elle ne s’est jamais épilée intégralement pour faire du naturisme, elle
préfère être naturelle comme elle dit, bien qu’au moment des vacances et au camp les
bords de son pubis et ses lèvres soient épilés pour pouvoir mettre des maillots
étroits sans laisser passer des poils disgracieux.
L’idée à l’air de lui plaire, car elle me demande :
- Et ça ne te dérangerais pas si je me baladais dans le camp avec le minou
intégralement épilé, laissant toute mon intimité découverte au regard des autres ?
- Non, tu sais que j’aime les pubis glabre de jeunes filles.
- Mais on connaît du monde, ici.
- Et alors, tu ne seras pas la seule. Tes amies s’épilent bien, en plus il est
taillé court, alors un peu plus ou un peu moins.
Elle finit par me dire :
- D’accord, je ferais cela aux douches tard dans la soirée, car je ne veux pas
être matée pendant cet instant d’intimité.
Vers 22h00, aux douches Sophie s’est épilée pendant que je la regardais, et je
comprends le regard désireux des hommes sur son corps et les désirs qui peuvent
naitre, car je commence à bander. Une fois terminé, le sexe de Sophie apparaît tout
net et tout lisse, comme je l’aime. Sophie passe sous la douche pour enlever le reste
de la crème, je la rejoins et la prend dans mes bras pour l’embrasser, puis je la
retourne le dos contre mon ventre et ma main descend pour caresser son pubis glabre.
Mon sexe grossi le long de ses fesses, j’ai envie de la prendre mais ce n’est pas trop
l’endroit pour aller plus loin, mais l’envie est forte et Sophie n’est pas insensible
à mon sexe bandé dans sa raie, alors elle pose ses mains sur le lavabo pour prendre
appui et se cambre en disant :
- Prends-moi, chéri.
L’invite est sans équivoque, d’autant que Sophie rajoute :
- Tu bandes mon salaud, comme un taureau et si t’occuper de mon petit minou tout
lisse t’excite toujours caresse le moi en m’enculant.
- Toi aussi tu es excitée autant que moi, d’abord que je t’encule là au risque
d’être surpris et en t’imaginant déjà demain entrain de t’exhiber le minou tout lisse.
- Les deux mon amour, tu sais bien que j’aime quand les autres te regardent,
mais arrête de parler et prends-moi.
Je lui caresse les seins qui s’érigent très vite, puis je descends vers son pubis que
je caresse pour apprécier la douceur, mes doigts trouvent son clitoris dardé.
Ma caresse l’électrise car Sophie adore cette caresse et elle écarte aussitôt les
jambes un peu plus en se cambrant au maximum, je titille son clitoris avec mes doigts,
puis je guide mon sexe sur sa grotte anale. Pendant que je rentre un doigt dans son
cul pour l’élargir un peu, je saisis son clitoris bandé comme un petit pénis entre
deux doigts et le vrille doucement.
Sophie ne tient plus et jouis une première fois. Je la force, en crochetant du doigt
sa chatte, à se rapprocher de mon sexe. Le gland entre doucement dans son cul la
faisant gémir, je pousse mon sexe et entre au fond d’elle. Elle est complètement
ouverte et disponible à cette sodomie, elle jouit une autre fois sous mes assauts
répétés. Je la sodomise en caressant son pubis tout lisse et je peux titiller son
clitoris, ma queue fait des allers retours en elle et je jouis au fond de son corps
tandis qu’elle hurle son orgasme.
Après une bonne douche nous rentons à notre tente, et là Sophie me dit :
- C’était trop bon, encule-moi une fois encore avant de nous endormir.
Je l’encule à nouveau et juste avant de s’endormir elle me dit :
- Mon trou est brulant et grand ouvert.
Prenant ma main elle la pose sur son cul, me demandant de vérifier, je lui rentre un
doigt dans le trou et constate qu’il est entrouvert et brulant de désir.
Nous nous endormons tranquillement, Sophie avec mon doigt dans son trou. »
A suivre…
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