Leslie VN35 - histoire érotique

Leslie VN35 – Vacances naturistes, Pierre & Sophie se racontent, suite et fin

Pierre continue :
« Jacques et Claire, peu de temps après la fin des vacances, nous ont invités dans
leur maison de campagne en Normandie pour un week-end de trois jours.
Nous sommes arrivés le vendredi soir et après un repas et une soirée tranquille, nous
avons été nous coucher pour nous remettre de la fatigue du voyage.
Le samedi matin, baignade et repos au bord de la piscine, nus tous les quatre
évidemment.
Je remarque que Claire est toujours aussi jolie, bronzée intégralement et comme cet
été elle a la toison pubienne taillée très ras et les lèvres épilées, car Claire, sans
complexe, écarte ses jambes pour s’exhiber un peu.

Alors que Jacques s’est absenté pour préparer le repas du midi, Claire se rapproche de
nous et nous dit :
- Cet été avant de vous retrouver pour l’apéritif, Jacques m’a raconté votre
rencontre et il a donné tellement de détails que cela m’a vraiment excité. D’ailleurs,
rien que d’y repenser, je mouille.
Alors elle a saisi ma main, et l’a posé sur son pubis en disant :
- Constate par toi-même, mon cher Pierre.
- C’est vrai, tu es toute mouillée !
- Non, pas ainsi, met le doigt et tu verras bien que je suis trempez.
Je lui rentre un doigt dans la chatte, mais ce n’est pas pour le raison qu’elle
invoque, car les pointes de ses seins se dressent et elle écarte encore plus les
cuisses pour me faciliter la tâche.
Sophie nous regarde, pas très surprise, le spectacle doit lui plaire car elle se
caresse le bouton en nous regardant, je ne tarde pas à être en érection.
- Viens, me dit Claire, suces-moi !
Je me mets à genoux devant Claire et lui titille le clito avec la langue, elle feule
de plaisir en disant :
- Ohhh, que c’est bon.
Tandis que j’introduis un doigt dans sa grotte d’amour, Claire feule de plus belle en
disant :
- Ma chérie, prépare bien ton homme !
Sophie me touche le sexe, puis se penche pour entreprendre une fellation, sa position
n’est pas aisée mais ma coquine s’exécute à merveille.
Claire fouille dans son sac et sort une capote qu’elle tend à Sophie.
Sophie, qui a compris tout de suite, se relève, prend l’étui et le déchire, sort la
capote qu’elle déroule sur mon sexe en me disant :
- Claire t’attend mon chéri !
Claire se tient les genoux avec les mains, et je vois ses lèvres toutes humides,
gonflées de désir, ainsi que son anus offert à mes désirs
Toujours à genoux entre les cuisses de Claire, je m’approche de ses orifices pour la
pénétrer de mon sexe dressé, Sophie s’en empare en me disant :
- Tu allais te tromper d’orifice mon chéri !
Et elle pose mon gland sur la rosette de Claire qui, dans un souffle, dis :
- Ohhh, oui par-là, j’adore.
C’est vrai qu’elle doit avoir l’habitude d’être prise par-là, vu le spectacle qu’elle
nous a donné l’été dernier.
Je pousse mon sexe dans son fondement et je le vois disparaître petit à petit dans ses
entrailles, loquer par le dossier du transat elle ne peu reculer, alors elle me dit :
- Encules-moi bien à fond !
Sophie nous regarde en se masturbant, certainement frustrée de ne pas pouvoir
participer plus activement, mais ce sera pour plus tard, en attenant elle se donne du
plaisir de ses doigts.
C’est au moment où je jouis dans le cul de Claire, lui remplissant le conduit, que
Jacques se pointe en disant :
- A table, c’est prêt !
Nous découvrant enlacés, il rajoute :
- Je vois que vous n’avez pas perdu votre temps !
- Je me sentais si seule, dis Claire d’un air coquin.

Nous avons déjeuné tranquillement, nous avons conversés sur nos expériences sexuelles,
échauffant nos esprits qui, maintenant, en demandaient encore.
C’est au salon que nous avons pris le café, Sophie au pied de Jacques caressait son
sexe bandé, tandis que Claire caressait le mien.
Soudainement, Claire se lève prend Jacques par les épaules et l’attire par terre, il
se retrouve allongé sur le dos. Elle se met à genoux au-dessus de lui, les jambes de
part et d’autre de son corps, et s’introduit sa verge toute dure dans sa chatte.
Jacques lui caresse les fesses pendant qu’elle bouge de plus en plus vite.
Puis il mouille son majeur droit avec sa salive et le dirige vers la rosette de
Claire, dès qu’il lui met dans les fesses elle jouit en hurlant, puis elle s’arrête de
bouger et dit :
- Pierre, comme cet été !
Cette fois ci j’ai compris, je me lève et m’approche de notre couple d’amis, Jacques
écarte les jambes pour que je puisse me mettre à genoux derrière Claire.
Je vois bien le sexe de Jacques, enfoncé dans l’antre de sa compagne.
J’enfile une capote, mouille le gland de salive et le pose sur l’anus de Claire et
sans plus de formalités je l’empale de mon sexe.
Mon membre disparait dans les entrailles de Claire, qui hurle de plaisir.
Puis je pose mes mains sur ses hanches et commence des mouvements courts et lents,
ensuite, j’accélère et amplifie mes va-et-vient. Mon sexe ressort presque entièrement
de ses fesses pour rentrer à nouveau tout au fond.
Je me tourne vers Sophie, qui est assise et se caresse le bouton d’amour et les lèvres
en nous regardant. Je pense qu’elle doit se souvenir que, l’été dernier, c’était elle
qui était à la place de Claire, et faisait l’expérience de la double pénétration. Elle
doit trouver normal que les rôles soient inversés.
Elle m’envoie un baiser de la main, je regarde mon sexe entrer et sortir de l’anus de
Claire, je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir une autre fois, je me retiens, elle
jouit. Je ressors complètement de son petit cul, rentre à nouveau et après des allers
et retours j’explose au fond de son corps.
Je me retire et me lève pour aller m’asseoir sur un canapé, Sophie vient vers Claire
et lui glisse quelques mots à l’oreille, Claire se relève aussi, elles s’éclipsent
quelques secondes, Jacques bande toujours.

Sophie revient avec une capote à la main. Elle se dirige vers Jacques, qui est
toujours allongé, se met à genoux à ses côtés et enfile la capote sur son sexe
turgescent, puis s’installe à genoux contre le canapé où je suis assis, Jacques se
positionne derrière elle, et la pénètre.
Je vois sa tige de chair entrer et sortir du corps de ma femme.
Elle me regarde en souriant, je lui rends son sourire et regarde à nouveau Jacques la
pénétrer, il fait des mouvements rapides et amples qui font jouir, Jacques continue
ses va-et-vient jusqu’à jouir à son tour.

Nous avons diné et refait l’amour après, en couple inversé, puis avant d’aller nous
coucher Claire demanda à Sophie :
- Dis-moi Sophie, quel effet cela fait-il de se promener dans cet état, le sexe
imberbe ?
- C’est absolument sensationnel, tu sens tout, la caresse de l’air et du soleil
directement sur la peau de ton pubis, la douceur de la langue de tes amants, enfin
tout !
Claire regarde avec envie le sexe glabre de Sophie, qui rajoute :
- Tu ne l’as jamais fait ?
- Euh ! Non !
- Tu devrais essayer, je t’assure que la sensation est super. Et je pense que
les amantes apprécient que leur compagne soit sans poils.
- T’as jamais essayé avec une femme ? Demande Claire.
- Euh ! Non !
- Bon, il faut qu’on essaye, demain matin je m’épile complètement et après nous
faisons l’amour !
Sur ces paroles nous allons nous coucher.

Le lendemain matin au petit-déjeuner, Claire porte un long tee-shirt, avec Sophie nous
nous en étonnons compte tenu que nous sommes naturistes et que nous n’avons plus
grand-chose à nous cacher.
Relevant son tee-shirt, elle nous dit :
- C’est fait, parole tenue !
Et là nous découvrons son pubis tout lisse.
- Très joli, dis Sophie, tu vas avoir des sensations formidables.
J’admire son joli corps, encore plus impudique sans sa toison, mais Claire ne me
laisse pas trop de temps d’en profiter car le tee-shirt retombe couvrant le bas de
ventre de Claire, qui dit à Sophie :
- Viens suit moi, tu vas vivre ta première relation saphique.
Elle prend Sophie par la main et l’entraîne dans sa chambre en rajoutant :
- Pas besoin de voyeur, c’est une initiation et nous allons certainement être
longues.
Et Claire emporte Sophie dans sa chambre où elles s’enferment.

Avec Jacques nous avons regardé un film à la télé, de temps à autre nous pouvions
entendre les cris de jouissance de Sophie, et parfois ceux de Claire. Les deux femmes
devaient se donner du plaisir et je me sentais heureux pour ma compagne qui vivait sa
première expérience saphique.
Lorsqu’elles nous ont rejointes, il était l’heure du déjeuner et avec Jacques nous
avions préparé une petite collation froide. Sophie est arrivée radieuse avec de larges
cernes sous les yeux, elle est venue vers moi m’embrasser et ma dit doucement à
l’oreille :
Sophie est une furie, insatiable, elle adore le sexe et m’a réduit l’anus en compote !

A la fin du déjeuner, Sophie, me demande de l’accompagner.
Elle se dirige vers la salle de bain et s’assied sur le bord de la baignoire en me
disant :
Regarde mon trou comme il est défoncé !
Je regarde et constate qu’effectivement son petit trou est entrouvert.
- Cette salope m’a défoncé avec un gros gode ceinture et m’as fait jouir comme
jamais, si tu savais comme s’était bon.
Comme elle a laissé la porte ouverte, quand Jacques passe devant, il s’arrête pour la
regarder.
- Ohhh, tu es encore bien ouverte, Sophie t’as pas raté.
- Tu le veux ? Lui demande Sophie.
- Avec plaisir, réponds Jacques
Il s’approche de Sophie et bien qu’il connaisse maintenant le corps de Sophie, il se
met à bander comme un âne.
Il fait entrer Sophie dans la baignoire et la suit se collant dans son dos, Jacques
ouvre le placard de la salle de bains et prend une capote dans la boite, c’est au
moment où il s »équipe que Claire arrive et rentre dans la salle de bains.
- Alors, vous ne me dites rien !
Elle s’approche de moi et colle son corps au mien, je caresse ses seins en appuyant
mon sexe qui durcit contre ses fesses.
Sophie s’accroche à la barre de douche et tends ses fesses à Jacques, elle se cambre
au maximum, Jacques équipé, se rapproche d’elle et pointe son sexe à l’orée de son
anus entrouvert et l’embroche d’un seul coup.
Claire récupère un préservatif et me l’enfile, puis elle se tourne face au lavabo et
pose ses mains dessus, je me présente derrière elle, je fléchis un peu les jambes pour
pouvoir poser mon gland sur sa rosette et m’enfonce lentement en elle
De son côté Sophie commence à gémir de plaisir.
Mon regard croise celui de ma femme, elle est au bord de la jouissance.
Je pilonne le cul de Claire, mes mains accrochées à ses hanches délicates.
Sophie jouit, puis Jacques.
Je continue mes mouvements dans le corps de Claire, qui feule de plaisir et nous
jouissons à notre tour.

Nous douchons et allons-nous habiller. Il est temps pour nous de rentrer, nous prenons
congé de nos hôtes, nous devons nous revoir dans deux semaines chez nous.
Nous montons dans la voiture et e démarre, le temps de faire deux kilomètres, je me
tourne vers Sophie et lui demande :
- Tu as mis une culotte ?
- Non, on ne sait jamais !

A suivre…