Leslie VN41
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie VN41
Leslie VN41 – Vacances naturistes, le retour
Avec Laure nous avons passées au Cap d’Agde un été merveilleux, que du bonheur, nous avons donc décidées avec Laure de continuer à vivre nues et à renouveler les expériences dans des clubs et des camps où nous pouvions vivre nues.
C’est ainsi qu’un jour, nous nous sommes retrouvées pour une semaine chez Bénédicte et François, pour vivre une semaine dans leur maison de campagne.
Nous les avions rencontrés lors de vacances et avions sympathisés, il partait le lendemain et nous avion promis de nous revoir.
Cela ne posait aucun problème de sortir dans le plus simple appareil de la salle de bain ou de prendre le petit déjeuner en courte nuisette sans mettre de culotte, le cul nu, nous étions des naturistes et vivions nues.
Nous étions au début de l’automne, et le temps permettait d’aller au bord de la mer pour se baigner nus.
Arrivés sur la plage, je posais ma serviette et ôtais mes vêtements. Me retrouvant nue, je jetais un regard à François qui naturellement bandait déjà, alors je lui dis :
- C’est moi qui te mets dans cet état ?
- Viens te baigner et tu le sauras, me répondit-il.
Laure et Bénédicte, sont restée sur le sable et nous sommes partis nous baigner, la plage était déserte et permettait toutes fantaisies.
Une fois dans l’eau, il n’a pas mis beaucoup de formes pour se coller à moi et me faire sentir son sexe dur contre ma jambe, il savait que l’allais céder à ses avances, lors des vacances déjà j’aurais bien aimé et il le savait, alors il me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement.
Je ne le repoussais pas, alors il m’embrassa à nouveau en me pressant contre lui, puis il me caressa les seins prenant doucement possession de moi, avec une main il effleura mon entrejambe où mon sexe commençait à se dresser, et il me dit :
- Tu es très réactive !
Je poussais un cri lorsqu’il s’empara de mon sexe, alors je me laissais aller entre ses bras. Il réussit à me faire jouir en me branlant
Il était vraiment bien gaulé, un corps musculeux et ferme, des fesses biens modelées et un sexe de belles dimensions sans être trop gros.
Le membre dressé vint se coller contre son ventre lorsqu’il me serra à nouveau contre lui. Je me jetais sur lui et le pris en main pour lécher le gland décalotté, et le mis en bouche pour le pomper, d’abord doucement, puis lorsqu’il appuya sur l’arrière de ma tête, plus rapidement et jusqu’à la garde.
Ma caresse plaisait beaucoup à mon partenaire qui ne tarda pas à bander comme un fou, son sexe gonflait de plaisir dans ma bouche.
Je sentis que sa jouissance montait en lui et, voulant à présent qu’il vienne, avec la langue je donnais des petits coups sur le frein. Ce traitement fut radical et une semence abondante fut lancée dans les airs. Elle vint s’écraser sur mon visage, ma poitrine et sur son ventre.
Après nous être baigné à nouveau, nous avons rejoints les filles.
Nous sommes restés un moment sur le plage et nous sommes rentrés pour déjeuner.
En préparant le repas, je me suis retrouvée seule avec Pierre dans la cuisine et il m’a posé cette question :
- Tu ne m’en veux pas de t’avoir violée ainsi ?
- Ce fut très plaisant, lui répondis-je, et beaucoup de femmes seraient ravies de l’être de cette manière, surement qu’elles en redemanderaient.
- Alors on remet ça ?
- Après le déjeuner si tu veux !
Nous étions nus dans la maison, le plus naturellement du monde, en jetant un coup d’œil sur son sexe, je vis qu’il se redressait un peu.
Nous avons rejoints Bénédicte et Laure qui mettaient la table, toutes aussi nues que nous, elles se frôlaient parfois en se caressant du bout des doigts.
Nous avons déjeuné en parlant de nos expériences réciproques, et à la fin du repas Bénédicte nous dit :
- Avec Laure nous allons faire une petite sieste, nous espérons que vous ne nous dérangerez pas.
- Nous avons un programme chargé, répondis Pierre.
Et elles disparurent se tenant par la taille…
Dès qu’elles furent parti, il commença à vouloir me peloter et m’invita à passer dans ma chambre, la sienne étant déjà occupée par Bénédicte et Laure.
Au moment où je suis entrée dans ma chambre, le désir de faire l’amour avec lui m’envahit, sachant que ce ne serait certainement qu’une aventure passagère sans lendemain.
Il m’embrassa et nous avons mêlé nos langues. Le bout de ses doigts rentra en contact avec mon sexe qui se mit à raidir, je pris le sien dans la main et il soupira.
Nous sommes tombés sur le lit et je me suis employée à le sucer, m’attardant un petit moment sur le gland qui suintait légèrement.
Je sentais, dans le même temps, sa main sur mes fesses, puis entre mes cuisses, il massait mon sexe et s’occupa de mon œillet qu’il pénétra d’un doigt.
J’avais envie qu’il le prenne en bouche, il dut le sentir car il se mit à ma sucer, puis sa langue me lécha l’anus me faisant frémir de plaisir.
Elle frétillait sur ma rosette, s’attardant sur les moindres replis, je me sentais m’ouvrir et sa langue dardée me pénétra le trou
Je feulais comme une chatte et il était temps qu’il me prenne, il me tendit un préservatif, j’ouvris l’étui et déroulai la membrane sur son sexe érigé, et je lui ai dis dans un souffle :
Sodomises-moi !
Il se plaça derrière moi dans mon dos et il s’introduisit entre mes fesses avec une douceur extrême. Je ne ressentis aucune douleur tellement il me sodomisait en douceur.
Lorsqu’il fut au plus profond de moi, le plaisir m’emporta, et se décupla lorsqu’il opéra un mouvement de va-et-vient en moi. Je ne pouvais m’empêcher de feuler.
Ses mouvements me transportaient vers une jouissance qui arrivait au galop, je la sentis qui m’envahissait, palier par palier. Je ne pouvais ni ne voulais me retenir, je voulais partir alors qu’il investissait la partie intime de moi-même.
Je la sentais, cette belle queue, se mouvoir et s’activer délicieusement en moi, je contractais mon sphincter sur son membre le faisant gémir, la fusion de nos corps était jouissive, elle me procurait une sensation d’une étreinte totale
Je jouis sans retenue. Je n’étais même plus en état de sentir sa queue se déverser dans mes fesses.
Le week-end fut remplit de gémissements et de hurlements de plaisir, nous avons fait l’amour dans toutes les positions et en changeant souvent de partenaires.
Ce fut un excellent moment et en se quittant, nous savions que nous nous reverrions…
A suivre
Avec Laure nous avons passées au Cap d’Agde un été merveilleux, que du bonheur, nous avons donc décidées avec Laure de continuer à vivre nues et à renouveler les expériences dans des clubs et des camps où nous pouvions vivre nues.
C’est ainsi qu’un jour, nous nous sommes retrouvées pour une semaine chez Bénédicte et François, pour vivre une semaine dans leur maison de campagne.
Nous les avions rencontrés lors de vacances et avions sympathisés, il partait le lendemain et nous avion promis de nous revoir.
Cela ne posait aucun problème de sortir dans le plus simple appareil de la salle de bain ou de prendre le petit déjeuner en courte nuisette sans mettre de culotte, le cul nu, nous étions des naturistes et vivions nues.
Nous étions au début de l’automne, et le temps permettait d’aller au bord de la mer pour se baigner nus.
Arrivés sur la plage, je posais ma serviette et ôtais mes vêtements. Me retrouvant nue, je jetais un regard à François qui naturellement bandait déjà, alors je lui dis :
- C’est moi qui te mets dans cet état ?
- Viens te baigner et tu le sauras, me répondit-il.
Laure et Bénédicte, sont restée sur le sable et nous sommes partis nous baigner, la plage était déserte et permettait toutes fantaisies.
Une fois dans l’eau, il n’a pas mis beaucoup de formes pour se coller à moi et me faire sentir son sexe dur contre ma jambe, il savait que l’allais céder à ses avances, lors des vacances déjà j’aurais bien aimé et il le savait, alors il me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement.
Je ne le repoussais pas, alors il m’embrassa à nouveau en me pressant contre lui, puis il me caressa les seins prenant doucement possession de moi, avec une main il effleura mon entrejambe où mon sexe commençait à se dresser, et il me dit :
- Tu es très réactive !
Je poussais un cri lorsqu’il s’empara de mon sexe, alors je me laissais aller entre ses bras. Il réussit à me faire jouir en me branlant
Il était vraiment bien gaulé, un corps musculeux et ferme, des fesses biens modelées et un sexe de belles dimensions sans être trop gros.
Le membre dressé vint se coller contre son ventre lorsqu’il me serra à nouveau contre lui. Je me jetais sur lui et le pris en main pour lécher le gland décalotté, et le mis en bouche pour le pomper, d’abord doucement, puis lorsqu’il appuya sur l’arrière de ma tête, plus rapidement et jusqu’à la garde.
Ma caresse plaisait beaucoup à mon partenaire qui ne tarda pas à bander comme un fou, son sexe gonflait de plaisir dans ma bouche.
Je sentis que sa jouissance montait en lui et, voulant à présent qu’il vienne, avec la langue je donnais des petits coups sur le frein. Ce traitement fut radical et une semence abondante fut lancée dans les airs. Elle vint s’écraser sur mon visage, ma poitrine et sur son ventre.
Après nous être baigné à nouveau, nous avons rejoints les filles.
Nous sommes restés un moment sur le plage et nous sommes rentrés pour déjeuner.
En préparant le repas, je me suis retrouvée seule avec Pierre dans la cuisine et il m’a posé cette question :
- Tu ne m’en veux pas de t’avoir violée ainsi ?
- Ce fut très plaisant, lui répondis-je, et beaucoup de femmes seraient ravies de l’être de cette manière, surement qu’elles en redemanderaient.
- Alors on remet ça ?
- Après le déjeuner si tu veux !
Nous étions nus dans la maison, le plus naturellement du monde, en jetant un coup d’œil sur son sexe, je vis qu’il se redressait un peu.
Nous avons rejoints Bénédicte et Laure qui mettaient la table, toutes aussi nues que nous, elles se frôlaient parfois en se caressant du bout des doigts.
Nous avons déjeuné en parlant de nos expériences réciproques, et à la fin du repas Bénédicte nous dit :
- Avec Laure nous allons faire une petite sieste, nous espérons que vous ne nous dérangerez pas.
- Nous avons un programme chargé, répondis Pierre.
Et elles disparurent se tenant par la taille…
Dès qu’elles furent parti, il commença à vouloir me peloter et m’invita à passer dans ma chambre, la sienne étant déjà occupée par Bénédicte et Laure.
Au moment où je suis entrée dans ma chambre, le désir de faire l’amour avec lui m’envahit, sachant que ce ne serait certainement qu’une aventure passagère sans lendemain.
Il m’embrassa et nous avons mêlé nos langues. Le bout de ses doigts rentra en contact avec mon sexe qui se mit à raidir, je pris le sien dans la main et il soupira.
Nous sommes tombés sur le lit et je me suis employée à le sucer, m’attardant un petit moment sur le gland qui suintait légèrement.
Je sentais, dans le même temps, sa main sur mes fesses, puis entre mes cuisses, il massait mon sexe et s’occupa de mon œillet qu’il pénétra d’un doigt.
J’avais envie qu’il le prenne en bouche, il dut le sentir car il se mit à ma sucer, puis sa langue me lécha l’anus me faisant frémir de plaisir.
Elle frétillait sur ma rosette, s’attardant sur les moindres replis, je me sentais m’ouvrir et sa langue dardée me pénétra le trou
Je feulais comme une chatte et il était temps qu’il me prenne, il me tendit un préservatif, j’ouvris l’étui et déroulai la membrane sur son sexe érigé, et je lui ai dis dans un souffle :
Sodomises-moi !
Il se plaça derrière moi dans mon dos et il s’introduisit entre mes fesses avec une douceur extrême. Je ne ressentis aucune douleur tellement il me sodomisait en douceur.
Lorsqu’il fut au plus profond de moi, le plaisir m’emporta, et se décupla lorsqu’il opéra un mouvement de va-et-vient en moi. Je ne pouvais m’empêcher de feuler.
Ses mouvements me transportaient vers une jouissance qui arrivait au galop, je la sentis qui m’envahissait, palier par palier. Je ne pouvais ni ne voulais me retenir, je voulais partir alors qu’il investissait la partie intime de moi-même.
Je la sentais, cette belle queue, se mouvoir et s’activer délicieusement en moi, je contractais mon sphincter sur son membre le faisant gémir, la fusion de nos corps était jouissive, elle me procurait une sensation d’une étreinte totale
Je jouis sans retenue. Je n’étais même plus en état de sentir sa queue se déverser dans mes fesses.
Le week-end fut remplit de gémissements et de hurlements de plaisir, nous avons fait l’amour dans toutes les positions et en changeant souvent de partenaires.
Ce fut un excellent moment et en se quittant, nous savions que nous nous reverrions…
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