LeslieSO03
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LeslieSO03
Leslie SO03 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, d’autres soirées
Suite à ma première soirée, j’ai enchainé des rendez-vous pour participer à des réunions, où à la fin je partais avec le client le satisfaire et m’occuper de lui et aussi plusieurs soirées du même type que la première, basée surtout sur les rapports sexuels.
Je me souviens d’une soirée où après avoir diné, la table fut prestement débarrassée et le maitre de maison, un client que je connaissais, me convia de façon très courtoise, après m’avoir mise presque nue, à m’installer allongée sur la table, les jambes bien écartées.
Une fois installée, après m’avoir ôté mon string, il m’offrit aux regards de ses invités, et je l’ai entendu me dire :
- Voilà la belle Leslie, elle est là pour votre plaisir.
- Elle n’a pas de tabous ? Demanda un homme.
- Aucun. Dit le maître de maison.
- Pas de réticence aux objets ? Demanda une femme.
- Je suis ici pour votre plaisir et vous être agréable, répondis-je.
Bien, dit-elle en prenant un des godes que le maitre de maison venait de faire apporter sur un plateau. La femme tenant dans une main mon sexe érigé et le branlant doucement pour m’exciter un peu, introduisit le gode dans mon cul, une chance elle n’avait pas choisi un trop gros.
Cette situation m’excitait passablement, et je ne remarquais pas tout de suite qu’un autre homme s’était approché, et se penchant sur moi se mit aussitôt à me lécher les tétons de mes seins exhibés.
Je commençais à être de plus en plus excitée par la situation, lorsque mon cul fut entièrement possédée par le gode que la femme venait de m’enfouir au plus profond de moi.
Puis elle me goda tranquillement avec, en disant :
- Messieurs, profitez-en, elle n’est pas farouche !
- Et très accueillante, rajouta notre hôte.
Et s’approchant de moi, il me chuchota à l’oreille :
- Soyez à la hauteur, cette soirée va être très profitable pour vous !
Et il déposa un tendre baiser sur mes lèvres.
L’homme qui me léchait la poitrine se redressa et déboutonna alors son pantalon et me présenta à hauteur de la bouche un sexe de dimensions modestes.
J’ouvris la bouche, et happais son gland et commençais à le sucer avec application, le cul toujours goder et la chaleur commençais à envahir mon bas-ventre.
Le maitre de maison retira le gode de mon cul et me demanda de me mettre à quatre pattes sur la moquette. Il me souffla, alors, à l’oreille que si j’acceptais de me faire sodomiser par ses amis, j’aurais une belle récompense.
Je regardais alors autour de moi, et constatais que les autres filles étaient aussi très dévouées et s’occupaient des hommes comme il se doit, la soirée allait être chaude.
Je me laissais donc aller, acceptant ce pourquoi j’étais venue, la femme changea alors le gode et m’en enfila un plus volumineux dans l’anus pendant que l’homme me remettait son membre dans la bouche
Après quelques minutes de va-et-vient de l’homme entre mes lèvres, se déchaina et jouit au fond de ma gorge, et à sa grande satisfaction j’avalais sa jouissance, car il ne retira pas son membre de ma bouche, tandis que la femme activait le gode dans mon cul avec une énergie incroyable.
J’étais toute molle et je m’apprêtais à me relever, quand un autre homme se présenta dans mon dos en me disant :
- Rien de telle qu’un vrai sexe !
La femme sortant le gode de mon cul fit la place à l’homme qui n’eut aucune peine à m’enfiler sa longue et grosse queue, tant mon œillet était bien ouvert.
Je me mis à gémir et cela plut aux hommes présents, qui voulurent chacun à leur tour m’enculer, c’est ainsi que j’ai satisfaite, un à un, les six hommes présents, qui semblaient inépuisables. Les filles de leur côté subirent le même sort sauf que le maître de maison vint et me conduisit dans ses appartement privés.
Là, après une bonne douche pour enlever toute souillure, il me fit un lavement de mon fondement et c’est après, qu’allonger sur le lit et sur le ventre, qu’il m’encula avec son membre très épais et me fit hurler lorsqu’il me pénétra…
Lorsque je suis partie, j’avais le cul en feu, cassé comme jamais, mais heureuse car l’enveloppe était bien fournie…
Dès le lendemain j’ai reçu un message de Maude, me donnant un autre rendez-vous.
Il s’agissait d’aller dans une chambre d’hôtel, de suivre certaines instructions en attendant qu’un riche client vienne me rejoindre afin de passer la soirée ensemble, et qui sait plus si je lui plaisais.
J’ai accepté, intriguée par la teneur du message et par ce client qui voulait peut-être faire un jeu de rôle avec moi…
A dix-huit heures, une fois arrivée à l’hôtel, à la réception je pris les clés d’une chambre qui m’étais réservée et une enveloppe à mon intention.
Dans l’ascenseur, j’ouvris l’enveloppe et sortis un carton sur lequel était écrit :
« Leslie, prenez une douche et attendez mes instructions. »
Je passais donc sous la douche, sitôt dans la chambre, comme l’indiquait le message et dès que je fus sortie de la salle de bains, j’ai sursauté quand j’ai entendu mon téléphone sonner. Une voix d’homme me dit :
« Leslie chérie, sur le lit sont posés des vêtements et accessoires, mettez-les, maquillez-vous et rejoignez moi au bar de l’hôtel quand vous serez prête. » Et il raccrocha.
Sur le lit, était posé des vêtements, une mini-jupe noire qui apparemment devait être assez courte, avec posé dessus un petit string fendu, un blazer-top à manches longues, des bas auto-fixant noirs et des sandales fines à brides en vinyle aux talons aiguille de quinze centimètres.
A côté de tout cela il y a une grande étole en en mousseline de soie unie de couleur noire.
Une vraie tenue pour aiguiser les sens et faire tourner les têtes… Le tout accompagné d’un petit mot :
« Prenez soin de vous faire belle et désirable et venez me rejoindre au bar de l’hôtel. Je vous attends…»
Je me maquille et me parfume légèrement, enfile le string fendu et les bas auto-fixant, puis passe la petite jupe qui effectivement est bien courte, s’arrêtant juste à la lisière des jarretières en dentelles, c’est à cet instant que je remarque qu’il n’y a pas de soutien-gorge, alors je passe le top-blazer.
La matière couvre tout le haut de mon corps, et n'est pas transparent, cintré et très près de mon corps, il sculpte ma silhouette et rehausse mes seins pour en exhiber le sillon par le décolleté, et se ferme par le devant par des crochets comme sur les corsets, puis j’enfilais les escarpins et me regardais dans la glace de la chambre….
L’effet était saisissant, je me trouvais belle, mais surtout attirante et désirable, j’allais avoir des regards sur moi en entrant dans le bar de l’hôtel.
Avant de quitter la chambre et rejoindre mon contact, je passe sur mes épaules la grande étole noire. Je sors de la chambre et me dirige vers l’ascenseur pour rejoindre le bar de l’hôtel.
Lorsque j’entrais dans le bar de l’hôtel, aussitôt un homme se leva et vint à ma rencontre, il me prit par la taille et me conduisit jusqu’à sa table, en me soufflant discrètement dans l’oreille :
- Vous êtes très belle !
- Merci ! Lui répondis-je.
Une fois assis, il commanda des cocktails, deux Margherita, et commença à me parler :
Pour l’instant, allons manger et passons un bon moment…
Je ne dis pas un mot et le suivis jusqu’au restaurant où la serveuse nous assigna une place dans un coin à l’écart, mais d’où nous pouvions embrasés toute la salle du restaurant.
Aussitôt installés un serveur s’approcha avec les menus et deux autres cocktails que Pierre avait commandé, après avoir commandés, nous avons diné tranquillement en parlant comme de vieux amis, mais pas encore amants. Pierre, à quarante-deux ans, était divorcé depuis dix ans et vivait seul, sans enfant, en profitant de la vie, ne se prenant pas la tête avec les femmes, son métier lui prenant une grande partie de son temps, son train de vie lui permettant il s’accommodait d’escortes pour le plaisir avec qui il passait ses soirées et ses nuits.
Bel homme, il était séduisant et avait les manières d’un homme bien élevé et courtois, drôle parfois et quelque peu taquin, se souciant sans cesse de mon bien-être et de mon plaisir…
A la fin du repas, il me prit par la main et me regarda dans les yeux en me demandant ;
- J’espère que tu as passé un bon début de soirée ?
- Oui, lui répondis-je, tout était parfait.
A cet instant je ressentais du désir pour cet homme que je connaissais à peine et avec qui j’allais faire l’amour, mais il ne précipita rien et nous sommes sortis du restaurant comme un couple allant vaquer à d’autres occupations…
Il me guida à l’extérieur, bras dessus, bras dessous et nous prîmes un verre dans un bar près de l’hôtel, avant de rentrer et d’aller dans la chambre.
Dans l’ascenseur, il me prit dans ses bras et déposa un baiser sur mes lèvres en disant :
- J’ai très envie de toi !
- Moi aussi, lui dis-je dans un souffle.
Nous sommes rentrés dans la chambre et dès que la porte fut fermée, il me colla contre en se collant contre moi pour m’embrasser et me caresser le corps, il posa ses mains sur ma poitrine et me caressa les seins pour commencer, appuyant les caresses du bout de ses doigts faisant érigés les bouts, qui dans le même temps durcissaient me faisant gémir de plaisir.
- Tu aimes le sexe, ton envie est tellement forte que je la sens, cette nuit sera fabuleuse… Me dit-il à l’oreille.
Il me caressa comme ça longtemps, mon dos collé à la porte d’entrée, faisant monter en moi le plaisir et le désir.
Puis une main descendit le long de mon corps et Pierre alla délicatement tâter mon sexe, tandis que je sentais une énorme bosse prendre de l’ampleur contre ma cuisse.
Une fois sa main posée sur mon sexe, qui était sorti de mon string pas l’ouverture, il commença à le caresser doucement, puis il m’embrassa à nouveau et me tenant par le sexe me conduisit dans la chambre.
Des coupes de champagne rosé nous attendaient déjà, fraîchement versées pour nous. J’allais m’installer dans un fauteuil et Pierre me tendit une coupe.
Après avoir trinqué, je bus une gorgée, savourant le liquide frais et pétillant.
Pendant ce temps, Pierre se déshabilla et se présenta nu devant moi, et c’est dans un gémissement que je lui dis :
- Ohhh, c’est énorme !
Pierre avait un sexe d’une vingtaine de centimètres, mais très large, je me suis dit à cet instant que j’allais déguster, mais me penchant vers lui, je pris son membre en main et commençais à le caresser.
Il s’approcha un peu plus de moi pour que je le prenne en bouche, ce que je fis sans me faire prier en m’appliquant à le sucer du mieux que je le pouvais.
- Oh oui ! Tu suces bien, ma belle… Me dit Pierre entre deux gémissements. Prends-la toute dans ta jolie bouche.
Je m’exécutais et je fus surprise de pouvoir mettre son membre imposant entièrement dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.
Assise dans le fauteuil, je continuais à sucer Pierre quand il me prit par les épaules pour que je redresse, abandonnant son sexe érigé, il me conduisit sur le lit où il m’installa à quatre pattes et me redonna son membre à sucer.
Tandis que je reprenais ma fellation, Pierre se pencha pour venir me caresser l’anus d’un doigt, le contact me fit frémir et je voulu m’échapper de cette fellation et lui présenter mon cul pour qu’il m’encule, mais il m’attrapa par la nuque et me maintint en place, me baisant littéralement la bouche.
Tandis que je le suçais, il massa tranquillement ma rondelle le temps qu’elle se détende peu à peu , voyant que je commençais à apprécier ce petit massage, il fit pénétrer une phalange puis resta immobile quelques secondes, le temps qu’il constate que mon œillet s’ouvrait sans problème à cette intrusion. Puis il fit pénétrer tout son doigt.
Je gémissais de plaisir et me tortillais à ce contact.
Alors il en ajouta un deuxième, ne sentant aucune résistance, Pierre en déduisit que j’étais prête.
Pierre retira ses doigts et me retourna pour avoir mes fesses vers lui, appuyant sur mes reins pour qu’ainsi je sois parfaitement cambrée et offerte à sa volonté.
Une langue vint bientôt remplacer les doigts, fouillant les moindres recoins et pénétrant mon anus, et m’arracher un gémissement.
Puis se redressant, il enfila un préservatif et positionna son gland sur mon œillet, avant d’appuyer son gland contre mon anus, puis pousser doucement pour le faire entrer en moi…
Bien qu’aguerrie à la sodomie, le sexe de Pierre épais et large avait du mal à se frayer un chemin, la douleur était presque insupportable, il me tenait fermement m’empêchant de me dérober, continuant de pousser avec vigueur, mais sans brutalité…
Je sentais son membre avancer centimètre par centimètre, jusqu’à ce son gland passe la barrière de mon muscle anal, il s’arrêta un instant de pousser, puis reprit jusqu’à ce qu’il soit totalement en moi, et là, il ne bougea plus et il entreprit de me masser doucement les reins, ce qui m’aida à me détendre.
La douleur disparut peu à peu, laissant place au plaisir qui m’envahit petit à petit.
J’ai bougé mon bassin pour lui faire comprendre que j’étais prête, alors il commença à aller et venir, doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement.
- Oh oui, Pierre, c’est bon… Défonce-moi le cul ! J’aime quand tu me baises avec ta grosse queue… Encule-moi fort !
Pierre m’enculait dans les règles de l’art, faisant des mouvements de va-et-vient vite et fort, puis d’autre plus doux, dans une divine tendresse qui m’emmenait dans le plaisir incontrôlable, sans oublier de me chuchoter à l’oreille :
- T’aime te faire enculer ?
- Ohhh, oui… J’adore !
Pierre me prit le visage et le retourna vers lui pour m’embrasser doucement et avec tendresse, en continuant de me perforer l’anus…
- Oui !
Hurlais-je, en proie à un orgasme d’une intensité incroyable alors que je sentais Pierre se répandre dans sa protection.
Puis nous avons bu du champagne et prit une douche avant de refaire l’amour, puisque Pierre avait réservé la nuit complète.
Pierre me fit plusieurs fois l’amour dans la nuit, il paraissait insatiable et inépuisable…
Nous nous sommes endormies vers quatre heures du matin dans les bras l’un de l’autre et nous avons été réveillés à neuf heures par le room-service qui apportait les petits déjeuners.
Je courus sous la douche, rejoint aussitôt par Pierre, qui profita de l’occasion pour me sodomiser une nouvelle fois, mais sans jouir cette fois-ci.
Puis nous avons pris la collation, et nous nous sommes habillés, Pierre me laissait les vêtements et avant de le quitter, après un long baiser, Pierre me dit :
- T’es pas une escorte comme les autres, t’embrasses et tu jouis vraiment, nous allons nous revoir…
- C’est que je ne suis pas une escorte ordinaire !
- Oui tu as raison, j’ai aussi envie que tu me fasses l’amour, je m’offrirais à toi et ce sera la première fois pour moi.
- Tes désirs seront exécutés !
En avançant tranquillement vers l’ascenseur je pensais que pierre avait raison, je n’étais pas une escorte ordinaire…
A suivre…
Escorte occasionnelle, d’autres soirées
Suite à ma première soirée, j’ai enchainé des rendez-vous pour participer à des réunions, où à la fin je partais avec le client le satisfaire et m’occuper de lui et aussi plusieurs soirées du même type que la première, basée surtout sur les rapports sexuels.
Je me souviens d’une soirée où après avoir diné, la table fut prestement débarrassée et le maitre de maison, un client que je connaissais, me convia de façon très courtoise, après m’avoir mise presque nue, à m’installer allongée sur la table, les jambes bien écartées.
Une fois installée, après m’avoir ôté mon string, il m’offrit aux regards de ses invités, et je l’ai entendu me dire :
- Voilà la belle Leslie, elle est là pour votre plaisir.
- Elle n’a pas de tabous ? Demanda un homme.
- Aucun. Dit le maître de maison.
- Pas de réticence aux objets ? Demanda une femme.
- Je suis ici pour votre plaisir et vous être agréable, répondis-je.
Bien, dit-elle en prenant un des godes que le maitre de maison venait de faire apporter sur un plateau. La femme tenant dans une main mon sexe érigé et le branlant doucement pour m’exciter un peu, introduisit le gode dans mon cul, une chance elle n’avait pas choisi un trop gros.
Cette situation m’excitait passablement, et je ne remarquais pas tout de suite qu’un autre homme s’était approché, et se penchant sur moi se mit aussitôt à me lécher les tétons de mes seins exhibés.
Je commençais à être de plus en plus excitée par la situation, lorsque mon cul fut entièrement possédée par le gode que la femme venait de m’enfouir au plus profond de moi.
Puis elle me goda tranquillement avec, en disant :
- Messieurs, profitez-en, elle n’est pas farouche !
- Et très accueillante, rajouta notre hôte.
Et s’approchant de moi, il me chuchota à l’oreille :
- Soyez à la hauteur, cette soirée va être très profitable pour vous !
Et il déposa un tendre baiser sur mes lèvres.
L’homme qui me léchait la poitrine se redressa et déboutonna alors son pantalon et me présenta à hauteur de la bouche un sexe de dimensions modestes.
J’ouvris la bouche, et happais son gland et commençais à le sucer avec application, le cul toujours goder et la chaleur commençais à envahir mon bas-ventre.
Le maitre de maison retira le gode de mon cul et me demanda de me mettre à quatre pattes sur la moquette. Il me souffla, alors, à l’oreille que si j’acceptais de me faire sodomiser par ses amis, j’aurais une belle récompense.
Je regardais alors autour de moi, et constatais que les autres filles étaient aussi très dévouées et s’occupaient des hommes comme il se doit, la soirée allait être chaude.
Je me laissais donc aller, acceptant ce pourquoi j’étais venue, la femme changea alors le gode et m’en enfila un plus volumineux dans l’anus pendant que l’homme me remettait son membre dans la bouche
Après quelques minutes de va-et-vient de l’homme entre mes lèvres, se déchaina et jouit au fond de ma gorge, et à sa grande satisfaction j’avalais sa jouissance, car il ne retira pas son membre de ma bouche, tandis que la femme activait le gode dans mon cul avec une énergie incroyable.
J’étais toute molle et je m’apprêtais à me relever, quand un autre homme se présenta dans mon dos en me disant :
- Rien de telle qu’un vrai sexe !
La femme sortant le gode de mon cul fit la place à l’homme qui n’eut aucune peine à m’enfiler sa longue et grosse queue, tant mon œillet était bien ouvert.
Je me mis à gémir et cela plut aux hommes présents, qui voulurent chacun à leur tour m’enculer, c’est ainsi que j’ai satisfaite, un à un, les six hommes présents, qui semblaient inépuisables. Les filles de leur côté subirent le même sort sauf que le maître de maison vint et me conduisit dans ses appartement privés.
Là, après une bonne douche pour enlever toute souillure, il me fit un lavement de mon fondement et c’est après, qu’allonger sur le lit et sur le ventre, qu’il m’encula avec son membre très épais et me fit hurler lorsqu’il me pénétra…
Lorsque je suis partie, j’avais le cul en feu, cassé comme jamais, mais heureuse car l’enveloppe était bien fournie…
Dès le lendemain j’ai reçu un message de Maude, me donnant un autre rendez-vous.
Il s’agissait d’aller dans une chambre d’hôtel, de suivre certaines instructions en attendant qu’un riche client vienne me rejoindre afin de passer la soirée ensemble, et qui sait plus si je lui plaisais.
J’ai accepté, intriguée par la teneur du message et par ce client qui voulait peut-être faire un jeu de rôle avec moi…
A dix-huit heures, une fois arrivée à l’hôtel, à la réception je pris les clés d’une chambre qui m’étais réservée et une enveloppe à mon intention.
Dans l’ascenseur, j’ouvris l’enveloppe et sortis un carton sur lequel était écrit :
« Leslie, prenez une douche et attendez mes instructions. »
Je passais donc sous la douche, sitôt dans la chambre, comme l’indiquait le message et dès que je fus sortie de la salle de bains, j’ai sursauté quand j’ai entendu mon téléphone sonner. Une voix d’homme me dit :
« Leslie chérie, sur le lit sont posés des vêtements et accessoires, mettez-les, maquillez-vous et rejoignez moi au bar de l’hôtel quand vous serez prête. » Et il raccrocha.
Sur le lit, était posé des vêtements, une mini-jupe noire qui apparemment devait être assez courte, avec posé dessus un petit string fendu, un blazer-top à manches longues, des bas auto-fixant noirs et des sandales fines à brides en vinyle aux talons aiguille de quinze centimètres.
A côté de tout cela il y a une grande étole en en mousseline de soie unie de couleur noire.
Une vraie tenue pour aiguiser les sens et faire tourner les têtes… Le tout accompagné d’un petit mot :
« Prenez soin de vous faire belle et désirable et venez me rejoindre au bar de l’hôtel. Je vous attends…»
Je me maquille et me parfume légèrement, enfile le string fendu et les bas auto-fixant, puis passe la petite jupe qui effectivement est bien courte, s’arrêtant juste à la lisière des jarretières en dentelles, c’est à cet instant que je remarque qu’il n’y a pas de soutien-gorge, alors je passe le top-blazer.
La matière couvre tout le haut de mon corps, et n'est pas transparent, cintré et très près de mon corps, il sculpte ma silhouette et rehausse mes seins pour en exhiber le sillon par le décolleté, et se ferme par le devant par des crochets comme sur les corsets, puis j’enfilais les escarpins et me regardais dans la glace de la chambre….
L’effet était saisissant, je me trouvais belle, mais surtout attirante et désirable, j’allais avoir des regards sur moi en entrant dans le bar de l’hôtel.
Avant de quitter la chambre et rejoindre mon contact, je passe sur mes épaules la grande étole noire. Je sors de la chambre et me dirige vers l’ascenseur pour rejoindre le bar de l’hôtel.
Lorsque j’entrais dans le bar de l’hôtel, aussitôt un homme se leva et vint à ma rencontre, il me prit par la taille et me conduisit jusqu’à sa table, en me soufflant discrètement dans l’oreille :
- Vous êtes très belle !
- Merci ! Lui répondis-je.
Une fois assis, il commanda des cocktails, deux Margherita, et commença à me parler :
Pour l’instant, allons manger et passons un bon moment…
Je ne dis pas un mot et le suivis jusqu’au restaurant où la serveuse nous assigna une place dans un coin à l’écart, mais d’où nous pouvions embrasés toute la salle du restaurant.
Aussitôt installés un serveur s’approcha avec les menus et deux autres cocktails que Pierre avait commandé, après avoir commandés, nous avons diné tranquillement en parlant comme de vieux amis, mais pas encore amants. Pierre, à quarante-deux ans, était divorcé depuis dix ans et vivait seul, sans enfant, en profitant de la vie, ne se prenant pas la tête avec les femmes, son métier lui prenant une grande partie de son temps, son train de vie lui permettant il s’accommodait d’escortes pour le plaisir avec qui il passait ses soirées et ses nuits.
Bel homme, il était séduisant et avait les manières d’un homme bien élevé et courtois, drôle parfois et quelque peu taquin, se souciant sans cesse de mon bien-être et de mon plaisir…
A la fin du repas, il me prit par la main et me regarda dans les yeux en me demandant ;
- J’espère que tu as passé un bon début de soirée ?
- Oui, lui répondis-je, tout était parfait.
A cet instant je ressentais du désir pour cet homme que je connaissais à peine et avec qui j’allais faire l’amour, mais il ne précipita rien et nous sommes sortis du restaurant comme un couple allant vaquer à d’autres occupations…
Il me guida à l’extérieur, bras dessus, bras dessous et nous prîmes un verre dans un bar près de l’hôtel, avant de rentrer et d’aller dans la chambre.
Dans l’ascenseur, il me prit dans ses bras et déposa un baiser sur mes lèvres en disant :
- J’ai très envie de toi !
- Moi aussi, lui dis-je dans un souffle.
Nous sommes rentrés dans la chambre et dès que la porte fut fermée, il me colla contre en se collant contre moi pour m’embrasser et me caresser le corps, il posa ses mains sur ma poitrine et me caressa les seins pour commencer, appuyant les caresses du bout de ses doigts faisant érigés les bouts, qui dans le même temps durcissaient me faisant gémir de plaisir.
- Tu aimes le sexe, ton envie est tellement forte que je la sens, cette nuit sera fabuleuse… Me dit-il à l’oreille.
Il me caressa comme ça longtemps, mon dos collé à la porte d’entrée, faisant monter en moi le plaisir et le désir.
Puis une main descendit le long de mon corps et Pierre alla délicatement tâter mon sexe, tandis que je sentais une énorme bosse prendre de l’ampleur contre ma cuisse.
Une fois sa main posée sur mon sexe, qui était sorti de mon string pas l’ouverture, il commença à le caresser doucement, puis il m’embrassa à nouveau et me tenant par le sexe me conduisit dans la chambre.
Des coupes de champagne rosé nous attendaient déjà, fraîchement versées pour nous. J’allais m’installer dans un fauteuil et Pierre me tendit une coupe.
Après avoir trinqué, je bus une gorgée, savourant le liquide frais et pétillant.
Pendant ce temps, Pierre se déshabilla et se présenta nu devant moi, et c’est dans un gémissement que je lui dis :
- Ohhh, c’est énorme !
Pierre avait un sexe d’une vingtaine de centimètres, mais très large, je me suis dit à cet instant que j’allais déguster, mais me penchant vers lui, je pris son membre en main et commençais à le caresser.
Il s’approcha un peu plus de moi pour que je le prenne en bouche, ce que je fis sans me faire prier en m’appliquant à le sucer du mieux que je le pouvais.
- Oh oui ! Tu suces bien, ma belle… Me dit Pierre entre deux gémissements. Prends-la toute dans ta jolie bouche.
Je m’exécutais et je fus surprise de pouvoir mettre son membre imposant entièrement dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge.
Assise dans le fauteuil, je continuais à sucer Pierre quand il me prit par les épaules pour que je redresse, abandonnant son sexe érigé, il me conduisit sur le lit où il m’installa à quatre pattes et me redonna son membre à sucer.
Tandis que je reprenais ma fellation, Pierre se pencha pour venir me caresser l’anus d’un doigt, le contact me fit frémir et je voulu m’échapper de cette fellation et lui présenter mon cul pour qu’il m’encule, mais il m’attrapa par la nuque et me maintint en place, me baisant littéralement la bouche.
Tandis que je le suçais, il massa tranquillement ma rondelle le temps qu’elle se détende peu à peu , voyant que je commençais à apprécier ce petit massage, il fit pénétrer une phalange puis resta immobile quelques secondes, le temps qu’il constate que mon œillet s’ouvrait sans problème à cette intrusion. Puis il fit pénétrer tout son doigt.
Je gémissais de plaisir et me tortillais à ce contact.
Alors il en ajouta un deuxième, ne sentant aucune résistance, Pierre en déduisit que j’étais prête.
Pierre retira ses doigts et me retourna pour avoir mes fesses vers lui, appuyant sur mes reins pour qu’ainsi je sois parfaitement cambrée et offerte à sa volonté.
Une langue vint bientôt remplacer les doigts, fouillant les moindres recoins et pénétrant mon anus, et m’arracher un gémissement.
Puis se redressant, il enfila un préservatif et positionna son gland sur mon œillet, avant d’appuyer son gland contre mon anus, puis pousser doucement pour le faire entrer en moi…
Bien qu’aguerrie à la sodomie, le sexe de Pierre épais et large avait du mal à se frayer un chemin, la douleur était presque insupportable, il me tenait fermement m’empêchant de me dérober, continuant de pousser avec vigueur, mais sans brutalité…
Je sentais son membre avancer centimètre par centimètre, jusqu’à ce son gland passe la barrière de mon muscle anal, il s’arrêta un instant de pousser, puis reprit jusqu’à ce qu’il soit totalement en moi, et là, il ne bougea plus et il entreprit de me masser doucement les reins, ce qui m’aida à me détendre.
La douleur disparut peu à peu, laissant place au plaisir qui m’envahit petit à petit.
J’ai bougé mon bassin pour lui faire comprendre que j’étais prête, alors il commença à aller et venir, doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement.
- Oh oui, Pierre, c’est bon… Défonce-moi le cul ! J’aime quand tu me baises avec ta grosse queue… Encule-moi fort !
Pierre m’enculait dans les règles de l’art, faisant des mouvements de va-et-vient vite et fort, puis d’autre plus doux, dans une divine tendresse qui m’emmenait dans le plaisir incontrôlable, sans oublier de me chuchoter à l’oreille :
- T’aime te faire enculer ?
- Ohhh, oui… J’adore !
Pierre me prit le visage et le retourna vers lui pour m’embrasser doucement et avec tendresse, en continuant de me perforer l’anus…
- Oui !
Hurlais-je, en proie à un orgasme d’une intensité incroyable alors que je sentais Pierre se répandre dans sa protection.
Puis nous avons bu du champagne et prit une douche avant de refaire l’amour, puisque Pierre avait réservé la nuit complète.
Pierre me fit plusieurs fois l’amour dans la nuit, il paraissait insatiable et inépuisable…
Nous nous sommes endormies vers quatre heures du matin dans les bras l’un de l’autre et nous avons été réveillés à neuf heures par le room-service qui apportait les petits déjeuners.
Je courus sous la douche, rejoint aussitôt par Pierre, qui profita de l’occasion pour me sodomiser une nouvelle fois, mais sans jouir cette fois-ci.
Puis nous avons pris la collation, et nous nous sommes habillés, Pierre me laissait les vêtements et avant de le quitter, après un long baiser, Pierre me dit :
- T’es pas une escorte comme les autres, t’embrasses et tu jouis vraiment, nous allons nous revoir…
- C’est que je ne suis pas une escorte ordinaire !
- Oui tu as raison, j’ai aussi envie que tu me fasses l’amour, je m’offrirais à toi et ce sera la première fois pour moi.
- Tes désirs seront exécutés !
En avançant tranquillement vers l’ascenseur je pensais que pierre avait raison, je n’étais pas une escorte ordinaire…
A suivre…
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