Lingerie fine...lingerie coquine 2 mari piégé
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lingerie fine...lingerie coquine 2 mari piégé
QUAND TA FEMME SE MET EN QUATRE pour te séduire, c’est la moindre des choses de se conformer à ses souhaits. En quelques mouvements me voici nu, assis dans mon fauteuil,. Lili est prompte à s’installer à genoux entre mes jambes. Ses doigts s’activent sur ma verge, soupèsent mes testicules, accentuent le raidissement de mon membre viril, jouent à décalotter mon gland et me livrent finalement à la langue de ma femme pour quelques caresses humides avant la prise en bouche.
- Fais attention, ne pose pas tes mains dans mes cheveux. Laisse moi l’initiative, tu te heurteras au fond de ma gorge, je te le promets. Que ta bite est bonne.
Mon gland heurte le palais, cogne contre les muqueuses des joues. Je progresse noyé de salive et aspiré vers les parois. Lili déploie un zèle louable. Je vois ses joues se creuser et ses mains serrer la base de mon pipeau, le tordre et le secouer. Je sens l’afflux de mon sang dans cette extrémité si sollicitée et, commence à poindre dans mon pubis ce picotement singulier annonciateur d’une éjaculation précoce.
Lili connaît parfaitement le jeu et mes réactions de mari, elle remarque immédiatement chez moi une tentative de recul. Ses yeux me sourient avec malice. Je comprends, elle essaie de me charmer car elle veut pomper mon sperme, s’en remplir la bouche, la gorge et l’estomac, elle veut me vider les couilles, me mettre les batteries à plat et écourter la rencontre.. Pour réaliser son plan elle maintient fermement entre ses doigts le bas de ma queue et accélère la succion de la partie immergée que fouette sa langue déchaînée.
-Lili, pas si vite, tu es trop pressée.
Elle grogne, bouche pleine quelque chose comme ::
-Ton travail, en retard.
C’est son obsession, la raison de sa hâte à mettre un terme rapide à la séance. Mon souci n‘est pas le même. Je souhaite tirer le maximum de jouissance des bonnes dispositions de mon épouse, hic et nunc ! (ici et maintenant) . J’ai besoin de lui montrer ma reconnaissance pour tous les efforts accomplis en vue de mon bonheur, alors, pour une fois, tant pis pour le retard.
Je ne peux pas repousser la tête dévoreuse; il me faut respecter la coiffure. L’éjaculation ne va pas tarder, elle si elle continue à me brouter de la sorte. Si j’éjacule tout de suite, je prendrai encore plus de retard avant de satisfaire sexuellement ma femme. Un minimum d’application s’impose pour obtenir un orgasme véritable qui envoie Lili au septième ciel. Je ne lésinerai pas sur la quantité de sperme, encore faut-il qu’il jaillisse au bon moment . Or c’est ma priorité, je lui rendrai au centuple la joie qu’elle vient de m’offrir. Je réussis pourtant à arracher mon engin de ses dents et de ses lèvres grâce à une rotation surprise de mon bassin. Ouf, il était temps, déjà une perle de sperme décore le bout de mon bout en érection.
- Mais, chéri, que fais-tu, c’était si bon ? Tu ne veux pas éjaculer, je m’apprêtais à gober ton foutre; tu me voles ma récompense.
- Pas trop vite, ma chérie. Moi aussi je veux lécher ton sexe nu, connaître avec ma langue et mes lèvres la sensation rare mais exceptionnelle et nouvelle du contact avec une peau sans poils, douce, lisse. Tu t’es fait raser pour moi, il est normal que je savoure ce plaisir nouveau, autant par le toucher que par la vue afin de te remercier sans tarder du sacrifice que tu m’as fait de ta toison si jolie.
- Je ne savais pas que le rasage était aussi gênant. Heureusement ce soir la douleur devrait être oubliée. Je réfléchirai à deux fois avant de me laisser faire désormais. La jeune fille a insisté, peu de clientes acceptent de montrer leur intimité et de subir les attouchements nécessaires pour éviter les coupures sur les lèvres.
- Dans ma bouche je veux rouler les lèvres de ta vulve sans ressentir l’effet de brosse des poils qui l’ornaient et surtout sans le risque de coincer un poil entre mes dents ou d’en garder un dans une voie respiratoire.
- Bravo, tu cherches le côté positif de la chose. J’ai vaincu mon excès de pudeur. J’ai baissé culotte, je lui ai dévoilé mon bas ventre et j’ai écarté les cuisses. Il m’en a coûté : Lulu a travaillé avec beaucoup de tact et de douceur, sa main n’a pas tremblé, le rasoir n’a pas blessé ma peau si fine à ce niveau. Hélas, ta langue causerait plus de dégâts que de plaisir aussitôt après cette délicate opération.
- Pourquoi exposer ton sexe à une étrangère ? Je me rase chaque matin. J’aurais pu te dépouiller de tes poils avec autant d’attention et de délicatesse et éprouver une émotion agréable en te sentant frissonner au contact de la lame et de mes doigts. A l’avenir réserve moi cet office.
- Pourquoi ? Envisages-tu un avenir d’esthéticien pour dames et as-tu besoin de te faire la main sur des sexes féminins ?
- Qui sait, ce doit être une activité passionnante. Oui, je rêve de m’occuper d’aussi près du minou de ces dames. Une fois si près dans la place on devrait pouvoir s’y installer.
- Je te l’interdis. Je sais trop comment tes doigts succéderaient vite au rasoir, ta langue aux doigts et ton zizi à la langue. Vicieux cochon, mâle libidineux. Oublie les débordements de ton imagination.
- Qu’est-ce que tu peux être mauvaise langue !
- Tu ne disais pas ça quand tu te prélassais dans ma bouche à l’instant.
- C’est vrai. Pardon.
- Voilà, il n’y a plus de poils, tu ne les accuseras plus de te faire tousser. Tu finiras par applaudir l’idée du rasage. Mais, à mon plus grand regret, je dois te mettre en garde. Avant de me raser Lulu a utilisé un gel et après l’opération de rasage, elle a appliqué une pommade pour apaiser le feu du rasoir. Que préféreras-tu goûter ou avaler : du gel ou de la pommade ? En effet l’extérieur de mon sexe en est encore couvert. Accorde-moi un peu de temps pour une douche rapide.
- Cette fois j’ai du mal à te comprendre. Tu t’exposes en tenue sexy quand j’entre, tu me tentes, tu m’excites et, tout à coup, tu fais machine arrière, tu me donnes l’impression de te dérober. Sous prétexte de te doucher alors que tu me serines constamment que je serai en retard. C’est un jeu cruel. A la limite, avant mon retour, tu aurais dû enfiler une robe longue au « col Claudine » et tu ne m’aurais pas allumé. Comment peux-tu parler de douche quand je suis dans l’état où tu viens de me mettre? Pour moi c’est la douche glacée. Ta chère petite Lulu, comparée à moi, aura finalement été favorisée. Elle t’a tripatouillé à loisir les parties intimes alors que je dois me contenter de les regarder. Mais a-t-elle pommadé et enduit de gel l’intérieur de ton sexe, y aurait-elle déniché des poils à couper ou implanté un poison létal pour mari ?
- Allons, mon grognon, n’exagère pas. L’intérieur de mon sexe reste une exclusivité pour mon mari adoré. Tu es impayable de mauvaise foi. Un poison mortel ! Rappelle toi ceci : je t’aime.
- Voilà qui est mieux. Ce midi je m’abstiendrai des jeux de la porte, je n’y appliquerai ni lèvres ni langue. Pose un genou sur l’assise de mon fauteuil, cramponne-toi au dossier. C’est parfait. La posture met en valeur ta croupe, ouvre la longue fente qui court de ton pubis rasé et luisant jusqu’à l’entonnoir enchanteur de ton anus étoilé. Merci de ce spectacle enivrant, il décuple mon envie de toi.
- Ne parle pas tant. Je me prête à tes fantaisies mais n’oublie pas que les minutes passent. Viens, prends-moi vite. Profite de ma bonne volonté. Vois mes doigts ouvrent le passage. Enfonce ton pieu, jouis et cours au travail.
- On dirait qu’il t’en coûte de recevoir mon hommage. Sans un minimum de préparation, tu ne tireras aucun plaisir d’un accouplement bâclé. Te laisser insatisfaite, brûlante de désir serait indigne de ta générosité et de ton amour.
- Mais ? Que fais-tu ,
- Ce sont deux doigts à moi ! Leur toucher sur les terminaisons nerveuses de ton vagin va te mettre au diapason. Oui, tu peux te tendre, tourner autour de ces deux ambassadeurs. Fais girer ton ventre, bouge ton cul, creuse tes reins. Là, je touche de chaque côté, le plus loin possible. Tiens, Euréka ! Voilà le point sensible dont le toucher te fait tressaillir.
- Amour, oh! Je mouille. C’est trop fort. Ahhh!
- Une bonne lubrification naturelle promet un orgasme exceptionnel. Maintenant j’arrive. Sens-tu mon gland à l’ entrée de ton con ? Ciel, comme je t’aime et comme j’ai envie de toi Là, comme ça..
- Oh ! Oui ! Entre, pénètre-moi, entre jusqu’au fond, défonce-moi. Vite, fort et gicle en moi
Chacune de ses phrases comprend une invitation à terminer rapidement, à me délester en vitesse de mon sperme et à repartir au boulot. Je fais aujourd’hui une exception à ma ponctualité habituelle, Lili semble ne pas goûter pleinement la lenteur, le calme de la possession amoureuse. « En retard » , un peu plus ou un peu moins : mon chef comprendra et rira quand je lui raconterai le pourquoi du comment. Il me réclamera des détails et, s’il le faut ,j’en inventerai ! Un bon récit de cul, avec des détails croustillants le fait rêver et il ne pense plus à la faute! Au contact de Lili, je m’apaise. Elle, au contraire, voudrait hâter le dénouement.
J’ai pris la direction du mouvement. Je charge paisiblement, j’observe attentivement chaque réaction de ses sens, je me réjouis de ses frémissements, je m’exalte lorsqu’elle geint,. Lorsqu’elle ouvre instinctivement la corolle de sa fleur d’amour pour mieux accueillir ma verge et sentir battre mon scrotum contre les pétales de ses nymphes trempées j’exulte, je suis sur le point d’être emporté dans mon élan. Du coup, je me retire, je sors de la fièvre du conduit aimé, car je veux faire durer ce moment unique de l’union des corps. C’est trop merveilleux pour ne pas durer. Je suis plus amoureux de Lili que jamais ! Elle m’interroge avec un soupir de soulagement :
- Ça, y est ? Tu as fini ? C’était bien ? Tu es heureux ? Ah ! Non ! Pas par derrière aujourd’hui
- Mais tu n’as pas joui ! Je n’ai pas fini, ne te désole pas, Reprenons.
- Nous pourrions attendre ce soir.
- Nous ? Pas moi. Bon cède moi la place sur le fauteuil. Admire le garde à vous impeccable de ma bistouquette. Tu ne peux pas refuser un second round et me laisser en plan dans cet état d’excitation amoureuse. Viens te planter dessus, face à moi, que je voie ton visage quand la jouissance l’illuminera.
- Le fauteuil est étroit ..
Je bats en brèche la tentative de remettre à plus tard à cause d’un si pauvre inconvénient :
- Qu’à cela ne tienne. Je m’assois sur le canapé, j’empoigne l’essieu,tu montes dessus avec les pieds, une jambe de chaque côté des miennes. C’est ça. Stop, pour un petit baiser sur le clito au passage. Installe-toi confortablement sur le pivot de la joie,monte, descends, roule Allez, plie les genoux, tiens-toi à mon cou, laisse descendre ta croupe, embroche-toi et fouette cocher jusqu’à atteindre la petite mort. Je t’aime
- Et moi aussi ! Ah, je touche. Je te guide en moi, dans le bon trou, hein, espèce de voyou. Non mais, tu m’aurais vraiment enculée ? Je n’aime pas trop l’erreur d’itinéraire et tu le sais. Je préfère me laisser entraîner par mon poids et entourer ton épée de mon fourreau. Là je m’installe bien. Ce sont « tes » poils qui chatouillent mes petites lèvres. Un jour je te raserai.
- A moins que ta demoiselle Lulu ne cherche un nouveau terrain d’entraînement. Je me porte volontaire. Le mien est à sa disposition. Je n’aurai aucune hésitation si elle veut voir, toucher et passer le rasoir , moi aussi je baisserai culotte. Elle pourra également me pommader les endroits les plus sensibles, je lui indiquerai comment me prendre en main. Ah! Tu me pinces ! Je plaisantais vilaine jalouse.
- Plaisanterie de mauvais goût. Tu es marié, elle est sérieuse. Si tu la touches, je te coupe les roupettes. Je t’aime, tu m’as juré fidélité, n’imagine pas l’impossible.. Pour tenir ta queue tendue vers le ciel et te débarrasser des poils superflus, une seule adresse : ta femme !
Lili a dansé sur mon pieu, j’ai lu dans ses yeux la montée du plaisir, elle m’a embrassé longuement pendant l’explosion de l’orgasme. Elle a couronné mon éjaculation par une plainte perçante, prolongée. Elle s’est levée, a plaqué une main sur sa vulve et est partie en courant à la salle de bain criant ;
- Viens vite à la douche.
Je suis entré dans la cabine, contre elle, dans son dos. Lili collée à moi, a oublié sa coiffure, a fait couler l’eau , nous nous sommes éclaboussés, avons ri de bonheur. Mais ensuite, devant le miroir ma chérie a pesté:
- Zut ! Tu me fais faire n’importe quoi, regarde mes cheveux ! Je savais bien que ça allait mal finir.
- Tu es si belle comme ça, même avec ta chevelure trempée. Et puis je suis seul à le constater. Je suis le plus heureux des maris. Mais maintenant, vite, je cours au travail, le coeur en joie. Je t’embrasse.
Elle semble pressée, écourte l‘au revoir:
- C’est bien, mais ne traîne plus. Va mon amour. Je vais essayer de réparer le désastre pour te plaire ce soir.
- Fais attention, ne pose pas tes mains dans mes cheveux. Laisse moi l’initiative, tu te heurteras au fond de ma gorge, je te le promets. Que ta bite est bonne.
Mon gland heurte le palais, cogne contre les muqueuses des joues. Je progresse noyé de salive et aspiré vers les parois. Lili déploie un zèle louable. Je vois ses joues se creuser et ses mains serrer la base de mon pipeau, le tordre et le secouer. Je sens l’afflux de mon sang dans cette extrémité si sollicitée et, commence à poindre dans mon pubis ce picotement singulier annonciateur d’une éjaculation précoce.
Lili connaît parfaitement le jeu et mes réactions de mari, elle remarque immédiatement chez moi une tentative de recul. Ses yeux me sourient avec malice. Je comprends, elle essaie de me charmer car elle veut pomper mon sperme, s’en remplir la bouche, la gorge et l’estomac, elle veut me vider les couilles, me mettre les batteries à plat et écourter la rencontre.. Pour réaliser son plan elle maintient fermement entre ses doigts le bas de ma queue et accélère la succion de la partie immergée que fouette sa langue déchaînée.
-Lili, pas si vite, tu es trop pressée.
Elle grogne, bouche pleine quelque chose comme ::
-Ton travail, en retard.
C’est son obsession, la raison de sa hâte à mettre un terme rapide à la séance. Mon souci n‘est pas le même. Je souhaite tirer le maximum de jouissance des bonnes dispositions de mon épouse, hic et nunc ! (ici et maintenant) . J’ai besoin de lui montrer ma reconnaissance pour tous les efforts accomplis en vue de mon bonheur, alors, pour une fois, tant pis pour le retard.
Je ne peux pas repousser la tête dévoreuse; il me faut respecter la coiffure. L’éjaculation ne va pas tarder, elle si elle continue à me brouter de la sorte. Si j’éjacule tout de suite, je prendrai encore plus de retard avant de satisfaire sexuellement ma femme. Un minimum d’application s’impose pour obtenir un orgasme véritable qui envoie Lili au septième ciel. Je ne lésinerai pas sur la quantité de sperme, encore faut-il qu’il jaillisse au bon moment . Or c’est ma priorité, je lui rendrai au centuple la joie qu’elle vient de m’offrir. Je réussis pourtant à arracher mon engin de ses dents et de ses lèvres grâce à une rotation surprise de mon bassin. Ouf, il était temps, déjà une perle de sperme décore le bout de mon bout en érection.
- Mais, chéri, que fais-tu, c’était si bon ? Tu ne veux pas éjaculer, je m’apprêtais à gober ton foutre; tu me voles ma récompense.
- Pas trop vite, ma chérie. Moi aussi je veux lécher ton sexe nu, connaître avec ma langue et mes lèvres la sensation rare mais exceptionnelle et nouvelle du contact avec une peau sans poils, douce, lisse. Tu t’es fait raser pour moi, il est normal que je savoure ce plaisir nouveau, autant par le toucher que par la vue afin de te remercier sans tarder du sacrifice que tu m’as fait de ta toison si jolie.
- Je ne savais pas que le rasage était aussi gênant. Heureusement ce soir la douleur devrait être oubliée. Je réfléchirai à deux fois avant de me laisser faire désormais. La jeune fille a insisté, peu de clientes acceptent de montrer leur intimité et de subir les attouchements nécessaires pour éviter les coupures sur les lèvres.
- Dans ma bouche je veux rouler les lèvres de ta vulve sans ressentir l’effet de brosse des poils qui l’ornaient et surtout sans le risque de coincer un poil entre mes dents ou d’en garder un dans une voie respiratoire.
- Bravo, tu cherches le côté positif de la chose. J’ai vaincu mon excès de pudeur. J’ai baissé culotte, je lui ai dévoilé mon bas ventre et j’ai écarté les cuisses. Il m’en a coûté : Lulu a travaillé avec beaucoup de tact et de douceur, sa main n’a pas tremblé, le rasoir n’a pas blessé ma peau si fine à ce niveau. Hélas, ta langue causerait plus de dégâts que de plaisir aussitôt après cette délicate opération.
- Pourquoi exposer ton sexe à une étrangère ? Je me rase chaque matin. J’aurais pu te dépouiller de tes poils avec autant d’attention et de délicatesse et éprouver une émotion agréable en te sentant frissonner au contact de la lame et de mes doigts. A l’avenir réserve moi cet office.
- Pourquoi ? Envisages-tu un avenir d’esthéticien pour dames et as-tu besoin de te faire la main sur des sexes féminins ?
- Qui sait, ce doit être une activité passionnante. Oui, je rêve de m’occuper d’aussi près du minou de ces dames. Une fois si près dans la place on devrait pouvoir s’y installer.
- Je te l’interdis. Je sais trop comment tes doigts succéderaient vite au rasoir, ta langue aux doigts et ton zizi à la langue. Vicieux cochon, mâle libidineux. Oublie les débordements de ton imagination.
- Qu’est-ce que tu peux être mauvaise langue !
- Tu ne disais pas ça quand tu te prélassais dans ma bouche à l’instant.
- C’est vrai. Pardon.
- Voilà, il n’y a plus de poils, tu ne les accuseras plus de te faire tousser. Tu finiras par applaudir l’idée du rasage. Mais, à mon plus grand regret, je dois te mettre en garde. Avant de me raser Lulu a utilisé un gel et après l’opération de rasage, elle a appliqué une pommade pour apaiser le feu du rasoir. Que préféreras-tu goûter ou avaler : du gel ou de la pommade ? En effet l’extérieur de mon sexe en est encore couvert. Accorde-moi un peu de temps pour une douche rapide.
- Cette fois j’ai du mal à te comprendre. Tu t’exposes en tenue sexy quand j’entre, tu me tentes, tu m’excites et, tout à coup, tu fais machine arrière, tu me donnes l’impression de te dérober. Sous prétexte de te doucher alors que tu me serines constamment que je serai en retard. C’est un jeu cruel. A la limite, avant mon retour, tu aurais dû enfiler une robe longue au « col Claudine » et tu ne m’aurais pas allumé. Comment peux-tu parler de douche quand je suis dans l’état où tu viens de me mettre? Pour moi c’est la douche glacée. Ta chère petite Lulu, comparée à moi, aura finalement été favorisée. Elle t’a tripatouillé à loisir les parties intimes alors que je dois me contenter de les regarder. Mais a-t-elle pommadé et enduit de gel l’intérieur de ton sexe, y aurait-elle déniché des poils à couper ou implanté un poison létal pour mari ?
- Allons, mon grognon, n’exagère pas. L’intérieur de mon sexe reste une exclusivité pour mon mari adoré. Tu es impayable de mauvaise foi. Un poison mortel ! Rappelle toi ceci : je t’aime.
- Voilà qui est mieux. Ce midi je m’abstiendrai des jeux de la porte, je n’y appliquerai ni lèvres ni langue. Pose un genou sur l’assise de mon fauteuil, cramponne-toi au dossier. C’est parfait. La posture met en valeur ta croupe, ouvre la longue fente qui court de ton pubis rasé et luisant jusqu’à l’entonnoir enchanteur de ton anus étoilé. Merci de ce spectacle enivrant, il décuple mon envie de toi.
- Ne parle pas tant. Je me prête à tes fantaisies mais n’oublie pas que les minutes passent. Viens, prends-moi vite. Profite de ma bonne volonté. Vois mes doigts ouvrent le passage. Enfonce ton pieu, jouis et cours au travail.
- On dirait qu’il t’en coûte de recevoir mon hommage. Sans un minimum de préparation, tu ne tireras aucun plaisir d’un accouplement bâclé. Te laisser insatisfaite, brûlante de désir serait indigne de ta générosité et de ton amour.
- Mais ? Que fais-tu ,
- Ce sont deux doigts à moi ! Leur toucher sur les terminaisons nerveuses de ton vagin va te mettre au diapason. Oui, tu peux te tendre, tourner autour de ces deux ambassadeurs. Fais girer ton ventre, bouge ton cul, creuse tes reins. Là, je touche de chaque côté, le plus loin possible. Tiens, Euréka ! Voilà le point sensible dont le toucher te fait tressaillir.
- Amour, oh! Je mouille. C’est trop fort. Ahhh!
- Une bonne lubrification naturelle promet un orgasme exceptionnel. Maintenant j’arrive. Sens-tu mon gland à l’ entrée de ton con ? Ciel, comme je t’aime et comme j’ai envie de toi Là, comme ça..
- Oh ! Oui ! Entre, pénètre-moi, entre jusqu’au fond, défonce-moi. Vite, fort et gicle en moi
Chacune de ses phrases comprend une invitation à terminer rapidement, à me délester en vitesse de mon sperme et à repartir au boulot. Je fais aujourd’hui une exception à ma ponctualité habituelle, Lili semble ne pas goûter pleinement la lenteur, le calme de la possession amoureuse. « En retard » , un peu plus ou un peu moins : mon chef comprendra et rira quand je lui raconterai le pourquoi du comment. Il me réclamera des détails et, s’il le faut ,j’en inventerai ! Un bon récit de cul, avec des détails croustillants le fait rêver et il ne pense plus à la faute! Au contact de Lili, je m’apaise. Elle, au contraire, voudrait hâter le dénouement.
J’ai pris la direction du mouvement. Je charge paisiblement, j’observe attentivement chaque réaction de ses sens, je me réjouis de ses frémissements, je m’exalte lorsqu’elle geint,. Lorsqu’elle ouvre instinctivement la corolle de sa fleur d’amour pour mieux accueillir ma verge et sentir battre mon scrotum contre les pétales de ses nymphes trempées j’exulte, je suis sur le point d’être emporté dans mon élan. Du coup, je me retire, je sors de la fièvre du conduit aimé, car je veux faire durer ce moment unique de l’union des corps. C’est trop merveilleux pour ne pas durer. Je suis plus amoureux de Lili que jamais ! Elle m’interroge avec un soupir de soulagement :
- Ça, y est ? Tu as fini ? C’était bien ? Tu es heureux ? Ah ! Non ! Pas par derrière aujourd’hui
- Mais tu n’as pas joui ! Je n’ai pas fini, ne te désole pas, Reprenons.
- Nous pourrions attendre ce soir.
- Nous ? Pas moi. Bon cède moi la place sur le fauteuil. Admire le garde à vous impeccable de ma bistouquette. Tu ne peux pas refuser un second round et me laisser en plan dans cet état d’excitation amoureuse. Viens te planter dessus, face à moi, que je voie ton visage quand la jouissance l’illuminera.
- Le fauteuil est étroit ..
Je bats en brèche la tentative de remettre à plus tard à cause d’un si pauvre inconvénient :
- Qu’à cela ne tienne. Je m’assois sur le canapé, j’empoigne l’essieu,tu montes dessus avec les pieds, une jambe de chaque côté des miennes. C’est ça. Stop, pour un petit baiser sur le clito au passage. Installe-toi confortablement sur le pivot de la joie,monte, descends, roule Allez, plie les genoux, tiens-toi à mon cou, laisse descendre ta croupe, embroche-toi et fouette cocher jusqu’à atteindre la petite mort. Je t’aime
- Et moi aussi ! Ah, je touche. Je te guide en moi, dans le bon trou, hein, espèce de voyou. Non mais, tu m’aurais vraiment enculée ? Je n’aime pas trop l’erreur d’itinéraire et tu le sais. Je préfère me laisser entraîner par mon poids et entourer ton épée de mon fourreau. Là je m’installe bien. Ce sont « tes » poils qui chatouillent mes petites lèvres. Un jour je te raserai.
- A moins que ta demoiselle Lulu ne cherche un nouveau terrain d’entraînement. Je me porte volontaire. Le mien est à sa disposition. Je n’aurai aucune hésitation si elle veut voir, toucher et passer le rasoir , moi aussi je baisserai culotte. Elle pourra également me pommader les endroits les plus sensibles, je lui indiquerai comment me prendre en main. Ah! Tu me pinces ! Je plaisantais vilaine jalouse.
- Plaisanterie de mauvais goût. Tu es marié, elle est sérieuse. Si tu la touches, je te coupe les roupettes. Je t’aime, tu m’as juré fidélité, n’imagine pas l’impossible.. Pour tenir ta queue tendue vers le ciel et te débarrasser des poils superflus, une seule adresse : ta femme !
Lili a dansé sur mon pieu, j’ai lu dans ses yeux la montée du plaisir, elle m’a embrassé longuement pendant l’explosion de l’orgasme. Elle a couronné mon éjaculation par une plainte perçante, prolongée. Elle s’est levée, a plaqué une main sur sa vulve et est partie en courant à la salle de bain criant ;
- Viens vite à la douche.
Je suis entré dans la cabine, contre elle, dans son dos. Lili collée à moi, a oublié sa coiffure, a fait couler l’eau , nous nous sommes éclaboussés, avons ri de bonheur. Mais ensuite, devant le miroir ma chérie a pesté:
- Zut ! Tu me fais faire n’importe quoi, regarde mes cheveux ! Je savais bien que ça allait mal finir.
- Tu es si belle comme ça, même avec ta chevelure trempée. Et puis je suis seul à le constater. Je suis le plus heureux des maris. Mais maintenant, vite, je cours au travail, le coeur en joie. Je t’embrasse.
Elle semble pressée, écourte l‘au revoir:
- C’est bien, mais ne traîne plus. Va mon amour. Je vais essayer de réparer le désastre pour te plaire ce soir.
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