Lisa l'étudiante, l'emménagement dans le studio
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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Lisa l'étudiante, l'emménagement dans le studio
Après cette nuit un peu spéciale, nous nous levons tous ensemble à neuf heure afin de prendre le petit-déjeuner et faire un aller-retour Bordeaux Châteauroux afin de récupérer mes vêtements, mes produits de beauté, ma petite télévision et mes anciens livres de cours afin de ne pas trop être déconnecter des études.
Je vois mes parents descendre les marches de l'escalier, ma mère a les cheveux ébouriffés, ce qui n'est pas étonnant, et mon père a de petits yeux. L'odeur de café envahit la cuisine, nous l'avalons d'un trait, remercions Romain pour son accueil fort sympathique, je ne manque pas de l'inviter à m'aider pour emménager dans ma chambre d'étudiante et lui fais un petit bisou en coin de lèvre. Le trajet paraît interminable, mon esprit est troublé, je me demande si Romain pouvait être mon premier. Il est sympathique, je le trouve à mon goût, puis le petit écart de conduite d'hier soir m'a émoustillé. Il s'est montré tendre, ne m'a pas forcé à faire des choses dont je ne me sentais pas prête. Bref, peut-être le garçon idéal. Voilà, nous sommes arrivés dans ma ville natale, je rentre dans la maison familiale et pars dans ma chambre pour préparer mes affaires. Il me faut pratiquement deux valises, mais j'assume, je suis une fille quand même.
Pendant ce temps-là, mes amis sont venus me dire au revoir. Je leur fais des accolades et leur promets de revenir quelques fois au village pour prendre de leurs nouvelles. Je monte en voiture avec mes parents, un pincement au cœur, mais à la fois léger en espérant vivre une aventure humaine et professionnelle digne de mes attentes à Bordeaux. Après quelques coups de klaxon, nous reprenons la route. Le temps passe à grande vitesse. Je n'ai pas vu passé les quatre-heures de route. Nous arrivons devant la maison de Romain, je sonne, il m'accueille avec un grand sourire et me donne une accolade. Il fait de même avec mes parents. Nous prenons ensuite la direction de mon studio. Nous nous arrêtons sur une place de parking, nous commençons les vas et vient, les deux valises, le petit écran de télévision, la table de chevet et le four micro-onde, tout y est.
Il est presque dix-huit heures. Mes parents décident de retourner à Châteauroux. Ils ne peuvent pas se permettre de laisser la ferme sans surveillance trop longtemps. Le déchirement est beaucoup plus douloureux que prévu, je m'assoie quelques instants sur une chaise. Romain tente de me consoler, mais le cœur est lourd. Il commence à ranger les affaires, il me branche mon écran, règle les chaînes de la télévision et installe mon four micro-onde dans la kitchenette. De mon côté, je défais la valise de vêtement que j'installe dans le placard, puis ensuite avec l'aide de mon compagnon, nous installons les draps et la couette sur le lit. Il est presque vingt heures, l'appartement est prêt, la faim me rattrape, mais mon réfrigérateur est complètement vide. Romain s'aperçoit de la scène et souhaite m'inviter dans un restaurant puis d'aller boire un petit coup dans un pub de la ville. Il m'indique par la même occasion que cela peut me permettre de prendre connaissance des endroits sympathiques de la ville. Je pars dans la salle de bains pour me préparer, je me maquille légèrement, met une robe qui m'arrive à peine au-dessus du genou sans mettre de soutien-gorge pour éviter de faire un doublon de bretelles.
Nous voilà partis, nous parcourons la fameuse artère principale qui est la rue Sainte-Catherine. Il est vrai que les boutiques sont nombreuses. Puis nous tournons dans une ruelle assez sombre pour arriver sur une petite place. S'y trouve un restaurant mexicain. N'ayons jamais goûté à ce genre de spécialité, je valide le choix. Le dîner est copieux, entre fajitas et guacamole, je me régale. Pour finir, le serveur nous emmène un petit digestif à base de pomme. Je le bois d'un trait. Le début de cette soirée se déroule merveilleusement bien. Je me sens sur un petit nuage, avant de retourner au studio, Romain me propose une petite balade sur le bord de Garonne. J'y découvre les lumières de la ville, mais aussi le pont de Pierre vue de côté, nous passons devant la place de la Bourse avec son miroir d'eau, moi qui aime l'architecture ancienne, je suis gâtée.
Il est aux alentours de minuit, nous partons en direction du pub. Nous nous installons à l'intérieur du bar, la serveuse nous donne une carte, je choisis un alcool à base de noix de coco accompagné d'un jus de fruit. Mon compagnon prend une bière mexicaine. Nous discutons de tout et de rien. Puis vient l'heure de rentrer chez nous. Je l'invite à dormir à la maison, je me sens mal passer une nuit dans un nouvel endroit, toute seule. Il accepte mon invitation. Nous entrons dans l'appartement, je lui propose de boire un verre d'eau fraîche. Nous continuons de discuter. J'en apprends enfin un peu plus sur lui. Il est en troisième année d'université, il étudie en médecine. Il veut devenir chirurgien, il est aussi sportif, il joue dans l'équipe de handball inter-scolaire, puis travaille de temps en temps pour se faire un peu d'argent de poche.
Je suis contente d'en savoir plus, et aussi heureuse de savoir que je vais certainement le croiser dans les couloirs de l'université. C'est toujours agréable d'arriver en terrain connu. C'est moins stressant. Après ces quelques instants de conversation, je vais ranger les verres dans l'évier, puis Romain se lève aussi. Il se rapproche de moi, me saisit par les hanches. En me chuchotant dans l'oreille, il me dit qu'il me trouve très belle, que je le fais craquer.
Après ces paroles douces, il fait glisser ses lèvres le long de mon cou, puis décale légèrement la brettelle de ma robe, puis continue de me faire des bisous le long de l'épaule. Rapidement, j'ai quelques frissons. Il continue de m'effeuiller petit à petit. Je suis toujours dos à lui, sauf que je suis seins nus à présent. Il passe le creux de sa paume sur mes tétons, saisit ma poitrine fermement, faut avouer qu'avec un quatre-vingt-quinze C, il est gâté. Je me retourne face à lui. À mon tour de le déshabiller, je lui enlève son tee-shirt, son jean, mais lui laisse son caleçon. Je suis vierge et je ne me sens pas prête. Romain est très compréhensif à mon égard et comprend très bien ma situation. Mais comme la nuit dernière, je veux lui faire une fellation, lui de son côté me propose de faire un soixante-neuf sans pénétration sexuelle. J'accorde sa demande, je commence par me mettre à genou devant lui et j'avale sa délicieuse verge avec plaisir.
Je fais des va-et-vient variés. Puis je me relève, mon compagnon fait glisser mon string le long de mes jambes. C'est la première fois que je me retrouve complètement nue face à un homme.
Il me caresse légèrement, m'embrasse le haut de mon aine pour descendre petit à petit sur le haut de ma fente. Il s'allonge sur le dos, et je me mets à califourchon sur sa bouche. Et je reprends ma fellation. Je sens sa langue glisser le long de ma fente, il joue même avec monclitoris. Je commence à avoir un plaisir méconnu qui pénètre mon corps. Mes jambes commencent même à trembler. Dans le même temps, je continue de procurer du plaisir à mon compagnon, je frotte son sexe sur mes seins, mais soudain un arc électrique parcourt mon corps. Romain continue de jouer avec sa langue, et même quelques fois avec ses doigts le tout en caresses sensuelles. Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive. Je crois que je viens de jouir. Dans le même temps, plusieurs jets de sperme viennent s'étaler sur ma bouche. Je me couche à côté de mon compagnon et je vois sa bouche complètement mouillée. Je lui demande ce qui lui arrive et je lui réponds aussi vite en lui disant qu'il venait de me faire jouir. Nous nous câlinons à la suite de cette aventure très forte d'un point de vue sensualité. Nous discutons brièvement, il me signale que pendant une semaine, il ne pourra être présent sur Bordeaux. Il doit travailler avec un ami à lui dans un camping. Il reviendra le plus vite possible pour passer du temps avec moi, et préparer son année scolaire.
J'espère que cette semaine passera vite. De plus en plus, je me dis que Romain est vraiment l'homme à qui je veux offrir ma virginité. Je ne veux pas que se sois quelqu'un d'autre.
Je vois mes parents descendre les marches de l'escalier, ma mère a les cheveux ébouriffés, ce qui n'est pas étonnant, et mon père a de petits yeux. L'odeur de café envahit la cuisine, nous l'avalons d'un trait, remercions Romain pour son accueil fort sympathique, je ne manque pas de l'inviter à m'aider pour emménager dans ma chambre d'étudiante et lui fais un petit bisou en coin de lèvre. Le trajet paraît interminable, mon esprit est troublé, je me demande si Romain pouvait être mon premier. Il est sympathique, je le trouve à mon goût, puis le petit écart de conduite d'hier soir m'a émoustillé. Il s'est montré tendre, ne m'a pas forcé à faire des choses dont je ne me sentais pas prête. Bref, peut-être le garçon idéal. Voilà, nous sommes arrivés dans ma ville natale, je rentre dans la maison familiale et pars dans ma chambre pour préparer mes affaires. Il me faut pratiquement deux valises, mais j'assume, je suis une fille quand même.
Pendant ce temps-là, mes amis sont venus me dire au revoir. Je leur fais des accolades et leur promets de revenir quelques fois au village pour prendre de leurs nouvelles. Je monte en voiture avec mes parents, un pincement au cœur, mais à la fois léger en espérant vivre une aventure humaine et professionnelle digne de mes attentes à Bordeaux. Après quelques coups de klaxon, nous reprenons la route. Le temps passe à grande vitesse. Je n'ai pas vu passé les quatre-heures de route. Nous arrivons devant la maison de Romain, je sonne, il m'accueille avec un grand sourire et me donne une accolade. Il fait de même avec mes parents. Nous prenons ensuite la direction de mon studio. Nous nous arrêtons sur une place de parking, nous commençons les vas et vient, les deux valises, le petit écran de télévision, la table de chevet et le four micro-onde, tout y est.
Il est presque dix-huit heures. Mes parents décident de retourner à Châteauroux. Ils ne peuvent pas se permettre de laisser la ferme sans surveillance trop longtemps. Le déchirement est beaucoup plus douloureux que prévu, je m'assoie quelques instants sur une chaise. Romain tente de me consoler, mais le cœur est lourd. Il commence à ranger les affaires, il me branche mon écran, règle les chaînes de la télévision et installe mon four micro-onde dans la kitchenette. De mon côté, je défais la valise de vêtement que j'installe dans le placard, puis ensuite avec l'aide de mon compagnon, nous installons les draps et la couette sur le lit. Il est presque vingt heures, l'appartement est prêt, la faim me rattrape, mais mon réfrigérateur est complètement vide. Romain s'aperçoit de la scène et souhaite m'inviter dans un restaurant puis d'aller boire un petit coup dans un pub de la ville. Il m'indique par la même occasion que cela peut me permettre de prendre connaissance des endroits sympathiques de la ville. Je pars dans la salle de bains pour me préparer, je me maquille légèrement, met une robe qui m'arrive à peine au-dessus du genou sans mettre de soutien-gorge pour éviter de faire un doublon de bretelles.
Nous voilà partis, nous parcourons la fameuse artère principale qui est la rue Sainte-Catherine. Il est vrai que les boutiques sont nombreuses. Puis nous tournons dans une ruelle assez sombre pour arriver sur une petite place. S'y trouve un restaurant mexicain. N'ayons jamais goûté à ce genre de spécialité, je valide le choix. Le dîner est copieux, entre fajitas et guacamole, je me régale. Pour finir, le serveur nous emmène un petit digestif à base de pomme. Je le bois d'un trait. Le début de cette soirée se déroule merveilleusement bien. Je me sens sur un petit nuage, avant de retourner au studio, Romain me propose une petite balade sur le bord de Garonne. J'y découvre les lumières de la ville, mais aussi le pont de Pierre vue de côté, nous passons devant la place de la Bourse avec son miroir d'eau, moi qui aime l'architecture ancienne, je suis gâtée.
Il est aux alentours de minuit, nous partons en direction du pub. Nous nous installons à l'intérieur du bar, la serveuse nous donne une carte, je choisis un alcool à base de noix de coco accompagné d'un jus de fruit. Mon compagnon prend une bière mexicaine. Nous discutons de tout et de rien. Puis vient l'heure de rentrer chez nous. Je l'invite à dormir à la maison, je me sens mal passer une nuit dans un nouvel endroit, toute seule. Il accepte mon invitation. Nous entrons dans l'appartement, je lui propose de boire un verre d'eau fraîche. Nous continuons de discuter. J'en apprends enfin un peu plus sur lui. Il est en troisième année d'université, il étudie en médecine. Il veut devenir chirurgien, il est aussi sportif, il joue dans l'équipe de handball inter-scolaire, puis travaille de temps en temps pour se faire un peu d'argent de poche.
Je suis contente d'en savoir plus, et aussi heureuse de savoir que je vais certainement le croiser dans les couloirs de l'université. C'est toujours agréable d'arriver en terrain connu. C'est moins stressant. Après ces quelques instants de conversation, je vais ranger les verres dans l'évier, puis Romain se lève aussi. Il se rapproche de moi, me saisit par les hanches. En me chuchotant dans l'oreille, il me dit qu'il me trouve très belle, que je le fais craquer.
Après ces paroles douces, il fait glisser ses lèvres le long de mon cou, puis décale légèrement la brettelle de ma robe, puis continue de me faire des bisous le long de l'épaule. Rapidement, j'ai quelques frissons. Il continue de m'effeuiller petit à petit. Je suis toujours dos à lui, sauf que je suis seins nus à présent. Il passe le creux de sa paume sur mes tétons, saisit ma poitrine fermement, faut avouer qu'avec un quatre-vingt-quinze C, il est gâté. Je me retourne face à lui. À mon tour de le déshabiller, je lui enlève son tee-shirt, son jean, mais lui laisse son caleçon. Je suis vierge et je ne me sens pas prête. Romain est très compréhensif à mon égard et comprend très bien ma situation. Mais comme la nuit dernière, je veux lui faire une fellation, lui de son côté me propose de faire un soixante-neuf sans pénétration sexuelle. J'accorde sa demande, je commence par me mettre à genou devant lui et j'avale sa délicieuse verge avec plaisir.
Je fais des va-et-vient variés. Puis je me relève, mon compagnon fait glisser mon string le long de mes jambes. C'est la première fois que je me retrouve complètement nue face à un homme.
Il me caresse légèrement, m'embrasse le haut de mon aine pour descendre petit à petit sur le haut de ma fente. Il s'allonge sur le dos, et je me mets à califourchon sur sa bouche. Et je reprends ma fellation. Je sens sa langue glisser le long de ma fente, il joue même avec monclitoris. Je commence à avoir un plaisir méconnu qui pénètre mon corps. Mes jambes commencent même à trembler. Dans le même temps, je continue de procurer du plaisir à mon compagnon, je frotte son sexe sur mes seins, mais soudain un arc électrique parcourt mon corps. Romain continue de jouer avec sa langue, et même quelques fois avec ses doigts le tout en caresses sensuelles. Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive. Je crois que je viens de jouir. Dans le même temps, plusieurs jets de sperme viennent s'étaler sur ma bouche. Je me couche à côté de mon compagnon et je vois sa bouche complètement mouillée. Je lui demande ce qui lui arrive et je lui réponds aussi vite en lui disant qu'il venait de me faire jouir. Nous nous câlinons à la suite de cette aventure très forte d'un point de vue sensualité. Nous discutons brièvement, il me signale que pendant une semaine, il ne pourra être présent sur Bordeaux. Il doit travailler avec un ami à lui dans un camping. Il reviendra le plus vite possible pour passer du temps avec moi, et préparer son année scolaire.
J'espère que cette semaine passera vite. De plus en plus, je me dis que Romain est vraiment l'homme à qui je veux offrir ma virginité. Je ne veux pas que se sois quelqu'un d'autre.
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