Lisa l'étudiante, Sonia une sacrée voisine
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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Lisa l'étudiante, Sonia une sacrée voisine
Ça fait maintenant deux jours que Romain est parti. Je me sens vraiment seule, je déprime un peu et je suis en manque d'affection. Ce jeune homme est vraiment mon idéal. Il est attentionné, il n'est pas obsédé par la sexualité brutale étant donner ma virginité au contraire, il est très doux. Il respecte mes conditions et de nos jours, je pense que les hommes de ce style sont très rares, surtout ceux de mon âge qui ne pense évidemment qu'à enchaîner les aventures sexuelles.
J'essaye de trouver des occupations, je zappe les programmes de télévision, je relis quelques cours. Nous sommes à la moitié du mois d'août, la chaleur est étouffante et je n'ai pas de moyen de transport ni les moyens financiers pour rejoindre le bord de plage. Quand tout à-coup, je suis sorti de mon silence par des bruits de roues de valises. Des cris de joie raisonnent dans le couloir de l'immeuble. Je glisse un œil à travers mon œil-de-bœuf, mais je ne vois rien.
J'entrouvre la porte. Et je vois un groupe de quatre filles qui arrivent. Je les salue, ce sontdes deuxièmes années en médecine. Celle-ci me dit aussi bonjour, puis file dans leur chambre pour s'installer. Je retourne dans mon lit. Puis au bout d'une heure, j'entends quelqu'un frapper à ma porte. J'ouvre en pensant que c'était une des filles qui venait à ma rencontre. Mais pas du tout, c'était deux jeunes hommes qui cherchaient une certaine fille qui s'appelle Sonia, ils me donnent la description, blonde, pas très grande avec des yeux bleus. Je leur indique que je suis nouvelle et que je ne connais personne. Je leur indique malgré tout que j'ai vu quatre filles passer tout à l'heure et qu'elles sont entrées dans une chambre à proximité de la mienne. Sans doute qu'elle dût se trouver dans le lot. Les deux jeunes se présentent, l'un s'appelle Valentin et l'autre Mathieu. Je me présente à mon tour, puis ils s'en vont à la rencontre de cette fameuse Sonia. Les murs n'étant pas épais, j'entends des cris de joie, des cris de retrouvailles visiblement. Ce petit groupe doit se connaître depuis l'année dernière. Puis le calme revient à nouveau. Au bout de quelques minutes, j'entends des gémissements à la fois féminins et masculins.
Curieuse, j'approche mon oreille du mur, et les deux voix des garçons sont mélangées à celle de la fille. Visiblement, ça doit être une sacrée coquine. Je prends mon téléphone, j'écris un message à Romain pour lui raconter ce qui se passe. Il me répond en me disant que Sonia est une fille qui apprécie les aventures hors du commun, et qu'elle a redoublée sa deuxième année à cause de ses égarements de conduite. Il continue en me disant que c'est une personne qui l'apprécie, mais sans plus et que ce n'est pas son genre. Je suis un peu rassurée, je lui réponds avec un peu d'ironie, que je suis mieux qu'elle. Il me renvoie un message en me disant tout simplement, oui que je suis mieux qu'elle, et laisse filtrer un, je t'adore avec un cœur comme point final.
Cet échange me redonne le sourire. En plus d'être doux et affectueux, il sait parler aux femmes. De l'autre côté du mur, les bruits sont, de plus, intenses, jusqu'au moment où un cri commun rompt le silence. Je retourne m'allonger dans le lit. Je somnole un peu, puis à nouveau, j'entends frapper à ma porte. Je l'ouvre, c'est Sonia, je l'invite à entrer dans l'appartement. Puis elle vient présenter ses excuses suite aux bruits qu'elle a faits. Je lui dis que ce n'est pas grave que chacun à le droit de se faire plaisir quand il veut et avec qui ils veulent. Je sens dans son regard une pointe de regret. C'est un joli bout de femme, une petite blonde avec les cheveux ondulés, une poitrine faut l'avouer généreuse, et des fesses à faire tourner le regard des garçons. Je ne suis pas du tout lesbienne, mais si j'étais à la place d'un mec, je dois avouer que je ne me ferais pas prier. Après quelques instants de discussion, j'apprends que le groupe de six vient de Limoges et qu'ils sont venus ensemble pour étudier. Quelques fois, ils leur arrivent de coucher ensemble. Une sorte de fraternité, on va dire. Elle me demande si je suis célibataire et je lui signale que non, j'ai un petit copain qui justement étudie dans la même université que nous et qu'il s'appelle Romain. Elle me dit que j'ai de la chance, car en apparence, il apparaît sérieux. Ils étaient dans la même classe l'année dernière. Je ne tarde pas à confirmer ses propos. Pour s'excuser du bruit de tout à l'heure, elle me propose d'aller au bord de l'océan avec ses amis. L'un d'eux possède un monospace à sept places, afin de faciliter les déplacements en groupe, mais aussi les aller-retour entre Bordeaux et Limoges. J'accepte sa proposition, un peu de soleil me fera le plus grand bien, ce n'est jamais bon de déprimer seule dans un appartement. Par contre, seul souci, je n'ai pas de maillot de bain. Je le signale à Sonia. Elle me dit qu'elle en a plusieurs et qu'elle peut m'en prêter un. Je valide la proposition. Je m'aperçois que je n'ai même pas de serviette de plage. Mes prochains frais iront dans ce sens. Nous allons dans son studio, dans le couloir, je me présente à ses amies.
Elles sont trois, Maeva, Johanna, et Florine. Elles sont déjà prêtes avec leur tenue de plage et leur serviette. Avec Sonia, nous entrons dans l'appartement, elle me donne le choix entre trois maillots, l'un est blanc, je ne le prendrais pas, le blanc, c'est transparent, le deuxième est noir avec des points blancs, je vais dans la salle de bains pour l'essayer. Je me regarde dans le miroir, il me convient parfaitement. Je sors de la salle d'eau pour remettre ma robe. Et je vois Sonia devant moi, complètement nue, prête à enfiler la tenue que je ne voulais pas. Le blanc lui va à merveille, visiblement ce n'est pas sa première journée à la plage. Le contraste entre le bronzage et le maillot est saisissant. Un peu bouche bée, elle me regarde, me sourit, je lui dis qu'elle est très belle. Ce qui est la stricte vérité. Après un petit éclat de rire, nous rejoignons nos camarades dans le couloir, puis nous partons en direction de la plage. Dans la voiture, la chaleur est étouffante. Au bout d'une demi-heure, nous arrivons dans un village qui s'appelle le Cap Ferret, et nous allons en direction d'une plage qui s'appelle le Grand Crohot. Nous trouvons une place pour stationner, puis nous marchons à travers les dunes pendant un quart d'heure. Devant moi se dessine l'horizon, ce n'est que la deuxième fois que je vois l'océan depuis que je suis née. Nous descendons les marches en bois, puis nous cherchons un espace assez grand pour nous installer. Quand tout à-coup, Florine me demande où est-ce que j'ai mis ma serviette ? Un peu honteuse, je lui dis que pour l'instant, je n'en ai pas et que j'en achèterais une lorsque j'aurais reçu mon premier mois de bourse.
Sonia m'invite à la rejoindre sur la sienne qui est une serviette à deux places. Johanna s'installe avec Valentin sur sa serviette, Maeva, quant à elle, se met avec Mathieu et à côté de nous il y a Florine. Ça forme un gros carré de serviette. Les garçons décident de partir à l'eau pour voir si la température est acceptable. Pendant ce temps-là, je demande à Sonia de me passer de la crème solaire. Les premières expositions étant souvent les plus dangereuses, je préfère prendre mes précautions. L'étalement de la solution se fait en douceur, les mains de Sonia sont vraiment douces, elle sait très bien masser en plus. Je suis tellement bien au frais, avec l'air de l'océan que je vais finir par m'endormir. Je reprends mes esprits, les deux garçons sont de retour et nous invitent à venir dans l'eau. Je fais des premiers pas timides, les premières vagues claquent le bas de mes tibias. Je continue de m'avancer lentement. Mathieu voyant ma difficulté a entré dans l'eau, vient à mes côtés. Il me conseille de mouiller ma nuque, mon ventre afin de me mettre en température. Il est vrai qu'il fait pratiquement trente degrés et que l'eau doit en faire vingt-deux pas plus. Le jeune homme continue de me donner des conseils. Je rentre petit à petit dans l'eau. Il me tient par la main avec vigueur, certaines vagues peuvent être dangereuses me dit-il. Puis, j'arrive à entrer dans l'eau jusqu'au niveau de la taille. Je commence à prendre un peu plus confiance. Nous rejoignons le groupe par la même occasion. Il me lâche la main et s'amuse à arroser les filles. Une grosse vague arrive, je ne sais pas trop quoi faire, et je prends l'option de sauter. Mais je me fais entièrement happer par la puissance. J'en ai même bu la tasse. Mathieu qui m'aide depuis le début dans cette nouvelle épreuve vient à mon secours. J'arrive à reprendre conscience rapidement. Je remets mon haut de maillot en place qui a bougé et qui laisse paraître une partie de mon sein. Le jeune homme m'explique que lorsqu'une vague arrive, il faut plonger en dessous pour éviter de se noyer, ou alors sauter avant que le rouleau de la vague se mette en action. Il me prend par la main, nous retournons voir nos amis, qui me demandent si tout va bien. Je réponds que oui.
Une nouvelle vague semble se former, Mathieu me tend ses doigts. Je l'ai saisi, puis nous plongeons ensemble sous la vague. Effectivement, cette tactique évite les dangers et notamment de prendre des risques. Maintenant que j'ai compris, le jeune homme lâche ma main et recommence à arroser les filles. Je fais de même. Au bout de quelque temps, nous sortons de l'eau afin de parfaire nos bronzages respectifs. Sur la serviette, je discute avec Sonia et Florine. L'une d'elles me dit que je dois plaire à Mathieu pour qu'il s'occupe de moi comme ça. À mon tour, je leur signale que je suis heureuse d'avoir appris à éviter les dangers de l'océan et que c'était en tout bien tout honneur. Florine me met en garde malgré tout car Mathieu est un homme à fille.
J'accepte cette remarque, il faut donc être prudent en sa compagnie. Mais étant une fille de bonne éducation, il faudra tout de même que je le remercie. Il est presque dix-neuf heures. La fatigue commence à gagner l'ensemble du groupe. Valentin nous propose de manger dans un snack et ensuite de rentrer à la résidence universitaire. Tout le monde valide cette proposition. Nous remontons les marches en bois en direction de la voiture. Entre temps, nous faisons une pause rinçage aux douches. Mathieu fait alors un sifflement, je me retourne, Sonia se rince, mais visiblement n'a pas vu la transparence de son maillot, ce qui doit certainement affoler les pulsions du jeune étudiant. De mon côté, je suis prête à partir. Nous entrons dans la voiture, et partons en direction du centre-ville du Cap Ferret. Valentin connaît un petit restaurant où il a ses habitudes. Nous nous installons à une table. Chacun prend un panini puis un soda. Le repas se déroule bien, généreusement Mathieu souhaite nous offrir une bouteille de vin blanc accompagné d'une assiette d'huîtres. N'ayant que très peu manger de fruits de mer dans ma vie, j'accepte volontiers cette proposition. Les filles n'aimant pas trop ce genre de nourriture, nous sommes donc trois à déguster les produits locaux. Je savoure ce moment, puis dans un ton humoristique, Valentin me dit de faire attention, car les huîtres ont des vertus aphrodisiaques. Et je ne sais pas pourquoi, je lui réponds sur le même ton que ça ne risque rien étant donner que je suis vierge. Un éclat de rire raisonne à table. Sonia salue mon franc-parler et Mathieu semble confus. Il est presque vingt-deux heures, nous reprenons la route en direction de notre résidence universitaire. Avec l'air marin et cette après-midi de détente, je ne tarde pas à fermer les yeux. Au bout d'une demi-heure de route, Sonia me réveille, nous sommes arrivés. Nous nous souhaitons bonne nuit, puis nous entrons dans nos chambres respectives. Je vais me prendre une douche, un thé et partir dans un sommeil bien confortable. Un quart d'heure après, j'entends frapper à ma porte, je suis en soutien-gorge et en string. J'entrouvre, et Sonia me demande si je peux lui passer de la crème pour soulager d'éventuel coup de soleil. J'accepte, je vais enfiler ma nuisette. Je fais les quelques pas séparant nos chambres. Je rentre, la jeune fille me tend le spray puis s'allonge sur le ventre. Je lui dégrafe son haut pour plus de confort. Je me mets à genou à côté d'elle au niveau de sa taille pour pouvoir étaler la crème sur son corps. J'asperge son dos avec la lotion, ce qui ne manque pas de la faire sursauter dû à l'écart de température, puis je m'applique à l'étaler du mieux possible. Visiblement, ce massage semble lui plaire. Elle commence à avoir la chair de poule. Elle me demande de lui en passer sur le haut des cuisses jusqu'au mollet. Je sens une réelle complicité avec cette fille, c'est très appréciable. À la fin de cette séance, elle me propose de m'en mettre aussi sur le dos. Elle se lève, on échange nos places, je lui signale tout de même qu'elle est torse nue face à moi. Elle me répond que ce n'est pas grave, car nous sommes entre filles. Je ne dis rien de plus après tout, elle a quand même raison. J'enlève ma nuisette, puis je m'allonge sur le ventre. C'est la première fois que je me retrouve en sous-vêtements avec une fille, mais je ne ressens pas de gênes. Elle commence à m'asperger avec la crème, l'écart de température fait sortir un petit cri de ma bouche, puis rapidement la sensualité avec laquelle Sonia étale la lotion m'envoie sur un nuage de douceur.
Elle passe sur mon dos et mes jambes. Quelques fois, je sens un doigt coquin passer sur la fente de mes fesses. Je n'y prête pas attention, car cela doit être son côté un peu enjôleur, je dirais. Quelques minutes après, elle me propose de me retourner, un peu hésitante, j'accepte.
Après tout, il n'y a rien de mal à se faire masser gratuitement. Mais j'avais légèrement oublié que mon soutien-gorge ne tenait plus. Me voilà donc seins à l'air face à Sonia. Elle me félicite sur la beauté de ma poitrine. Je la remercie et lui renvoie le compliment. Le massage continu, je m'allonge sur le dos. Les mains de mon amie parcourent mon corps, du haut jusqu'en bas. Et comme lorsque j'étais sur le ventre, quelques passages malicieux s'échappent sur la fente de mon puits d'amour. J'ouvre les yeux, je lui dis qu'il est peut-être temps d'aller dormir.
Un peu surprise, elle me demande si ce qu'elle me fait n'est pas appréciable. Je lui dis que oui bien entendu, et elle réplique aussitôt de laisser mes envies guider mes sens. Je suis confuse, dans mon esprit, je me demande si un acte à connotation sexuel avec une fille sera perçu comme une adultère par Romain mon cher et tendre. J'essaye de me convaincre que non. Et que se sera une nouvelle aventure pour moi. Je ferme les yeux, signe pour Sonia que nous pouvons continuer notre petit jeu. Les gestes sont beaucoup plus concrets, elle n'hésite pas à me toucher les seins, à me caresser le bout des tétons, et à me les embrasser. De mon côté, mes doigts s'aventurent sur sa poitrine que je malaxe avec un savant mélange de douceur et de fermeté. Sa main descend petit en direction de ma vulve, puis disparaît sous mon string. Elle me caresse, me titille le clitoris, j'en remue mes fesses de plaisir. Je réponds à ses gestes avec beaucoup de pudeurs. Je soulève mon derrière, elle en profite pour faire glisser mon string le long de mes jambes, que j'écarte aussitôt. Nous sommes en soixante-neuf. Elle déguste me lèche avec passion, et je fais de même.
Je suis en train de découvrir le plaisir charnel entre filles et je dois avouer que ça ne me déplaît pas. Sonia se relève, puis attrape un objet dans le tiroir de sa table de chevet. C'est un gode rose en forme de sexe masculine. Elle le mouille, puis se dirige avec vers mon puits d'amour. Et là, je lui dis que je ne suis pas d'accord, car je souhaite rester vierge pour Romain.
Elle respecte mon choix, puis me le donne et me conseille de faire de profonds allers-retours dans sa vulve. Je m'exécute, et plus je vais vite plus en gémis de plaisir. De son côté, elle est toujours en train de me dévorer. Je commence à avoir des secousses dans le bas de mon ventre. Les mêmes que j'avais eus lorsque Romain m'avait fait ce qu'il appelle un cunnilingus. Je sens que je vais jouir et ça ne tarde pas. Sonia de son côté prend beaucoup de plaisir aussi puisque je vois le gode s'humidifier de plus en plus. Dans un cri commun, nous jouissons ensemble.
Elle se relève, la bouche brillante, m'embrasse et me signale par la même occasion que Romain va être content, car visiblement, je suis une femme fontaine. Nous nous embrassons une dernière fois, je lui dis malgré tout que mes sentiments restent inchangés pour Romain, mais que cette aventure m'a beaucoup plu. Elle comprend ce que je veux dire. Puis nous nous quittons pour rejoindre nos chambres respectives. Mes rêves sont hantés par le plaisir que je viens de prendre.
Je n'ai pas l'impression d'avoir tromper mon compagnon. J'ai juste découvert une autre aventure.
J'essaye de trouver des occupations, je zappe les programmes de télévision, je relis quelques cours. Nous sommes à la moitié du mois d'août, la chaleur est étouffante et je n'ai pas de moyen de transport ni les moyens financiers pour rejoindre le bord de plage. Quand tout à-coup, je suis sorti de mon silence par des bruits de roues de valises. Des cris de joie raisonnent dans le couloir de l'immeuble. Je glisse un œil à travers mon œil-de-bœuf, mais je ne vois rien.
J'entrouvre la porte. Et je vois un groupe de quatre filles qui arrivent. Je les salue, ce sontdes deuxièmes années en médecine. Celle-ci me dit aussi bonjour, puis file dans leur chambre pour s'installer. Je retourne dans mon lit. Puis au bout d'une heure, j'entends quelqu'un frapper à ma porte. J'ouvre en pensant que c'était une des filles qui venait à ma rencontre. Mais pas du tout, c'était deux jeunes hommes qui cherchaient une certaine fille qui s'appelle Sonia, ils me donnent la description, blonde, pas très grande avec des yeux bleus. Je leur indique que je suis nouvelle et que je ne connais personne. Je leur indique malgré tout que j'ai vu quatre filles passer tout à l'heure et qu'elles sont entrées dans une chambre à proximité de la mienne. Sans doute qu'elle dût se trouver dans le lot. Les deux jeunes se présentent, l'un s'appelle Valentin et l'autre Mathieu. Je me présente à mon tour, puis ils s'en vont à la rencontre de cette fameuse Sonia. Les murs n'étant pas épais, j'entends des cris de joie, des cris de retrouvailles visiblement. Ce petit groupe doit se connaître depuis l'année dernière. Puis le calme revient à nouveau. Au bout de quelques minutes, j'entends des gémissements à la fois féminins et masculins.
Curieuse, j'approche mon oreille du mur, et les deux voix des garçons sont mélangées à celle de la fille. Visiblement, ça doit être une sacrée coquine. Je prends mon téléphone, j'écris un message à Romain pour lui raconter ce qui se passe. Il me répond en me disant que Sonia est une fille qui apprécie les aventures hors du commun, et qu'elle a redoublée sa deuxième année à cause de ses égarements de conduite. Il continue en me disant que c'est une personne qui l'apprécie, mais sans plus et que ce n'est pas son genre. Je suis un peu rassurée, je lui réponds avec un peu d'ironie, que je suis mieux qu'elle. Il me renvoie un message en me disant tout simplement, oui que je suis mieux qu'elle, et laisse filtrer un, je t'adore avec un cœur comme point final.
Cet échange me redonne le sourire. En plus d'être doux et affectueux, il sait parler aux femmes. De l'autre côté du mur, les bruits sont, de plus, intenses, jusqu'au moment où un cri commun rompt le silence. Je retourne m'allonger dans le lit. Je somnole un peu, puis à nouveau, j'entends frapper à ma porte. Je l'ouvre, c'est Sonia, je l'invite à entrer dans l'appartement. Puis elle vient présenter ses excuses suite aux bruits qu'elle a faits. Je lui dis que ce n'est pas grave que chacun à le droit de se faire plaisir quand il veut et avec qui ils veulent. Je sens dans son regard une pointe de regret. C'est un joli bout de femme, une petite blonde avec les cheveux ondulés, une poitrine faut l'avouer généreuse, et des fesses à faire tourner le regard des garçons. Je ne suis pas du tout lesbienne, mais si j'étais à la place d'un mec, je dois avouer que je ne me ferais pas prier. Après quelques instants de discussion, j'apprends que le groupe de six vient de Limoges et qu'ils sont venus ensemble pour étudier. Quelques fois, ils leur arrivent de coucher ensemble. Une sorte de fraternité, on va dire. Elle me demande si je suis célibataire et je lui signale que non, j'ai un petit copain qui justement étudie dans la même université que nous et qu'il s'appelle Romain. Elle me dit que j'ai de la chance, car en apparence, il apparaît sérieux. Ils étaient dans la même classe l'année dernière. Je ne tarde pas à confirmer ses propos. Pour s'excuser du bruit de tout à l'heure, elle me propose d'aller au bord de l'océan avec ses amis. L'un d'eux possède un monospace à sept places, afin de faciliter les déplacements en groupe, mais aussi les aller-retour entre Bordeaux et Limoges. J'accepte sa proposition, un peu de soleil me fera le plus grand bien, ce n'est jamais bon de déprimer seule dans un appartement. Par contre, seul souci, je n'ai pas de maillot de bain. Je le signale à Sonia. Elle me dit qu'elle en a plusieurs et qu'elle peut m'en prêter un. Je valide la proposition. Je m'aperçois que je n'ai même pas de serviette de plage. Mes prochains frais iront dans ce sens. Nous allons dans son studio, dans le couloir, je me présente à ses amies.
Elles sont trois, Maeva, Johanna, et Florine. Elles sont déjà prêtes avec leur tenue de plage et leur serviette. Avec Sonia, nous entrons dans l'appartement, elle me donne le choix entre trois maillots, l'un est blanc, je ne le prendrais pas, le blanc, c'est transparent, le deuxième est noir avec des points blancs, je vais dans la salle de bains pour l'essayer. Je me regarde dans le miroir, il me convient parfaitement. Je sors de la salle d'eau pour remettre ma robe. Et je vois Sonia devant moi, complètement nue, prête à enfiler la tenue que je ne voulais pas. Le blanc lui va à merveille, visiblement ce n'est pas sa première journée à la plage. Le contraste entre le bronzage et le maillot est saisissant. Un peu bouche bée, elle me regarde, me sourit, je lui dis qu'elle est très belle. Ce qui est la stricte vérité. Après un petit éclat de rire, nous rejoignons nos camarades dans le couloir, puis nous partons en direction de la plage. Dans la voiture, la chaleur est étouffante. Au bout d'une demi-heure, nous arrivons dans un village qui s'appelle le Cap Ferret, et nous allons en direction d'une plage qui s'appelle le Grand Crohot. Nous trouvons une place pour stationner, puis nous marchons à travers les dunes pendant un quart d'heure. Devant moi se dessine l'horizon, ce n'est que la deuxième fois que je vois l'océan depuis que je suis née. Nous descendons les marches en bois, puis nous cherchons un espace assez grand pour nous installer. Quand tout à-coup, Florine me demande où est-ce que j'ai mis ma serviette ? Un peu honteuse, je lui dis que pour l'instant, je n'en ai pas et que j'en achèterais une lorsque j'aurais reçu mon premier mois de bourse.
Sonia m'invite à la rejoindre sur la sienne qui est une serviette à deux places. Johanna s'installe avec Valentin sur sa serviette, Maeva, quant à elle, se met avec Mathieu et à côté de nous il y a Florine. Ça forme un gros carré de serviette. Les garçons décident de partir à l'eau pour voir si la température est acceptable. Pendant ce temps-là, je demande à Sonia de me passer de la crème solaire. Les premières expositions étant souvent les plus dangereuses, je préfère prendre mes précautions. L'étalement de la solution se fait en douceur, les mains de Sonia sont vraiment douces, elle sait très bien masser en plus. Je suis tellement bien au frais, avec l'air de l'océan que je vais finir par m'endormir. Je reprends mes esprits, les deux garçons sont de retour et nous invitent à venir dans l'eau. Je fais des premiers pas timides, les premières vagues claquent le bas de mes tibias. Je continue de m'avancer lentement. Mathieu voyant ma difficulté a entré dans l'eau, vient à mes côtés. Il me conseille de mouiller ma nuque, mon ventre afin de me mettre en température. Il est vrai qu'il fait pratiquement trente degrés et que l'eau doit en faire vingt-deux pas plus. Le jeune homme continue de me donner des conseils. Je rentre petit à petit dans l'eau. Il me tient par la main avec vigueur, certaines vagues peuvent être dangereuses me dit-il. Puis, j'arrive à entrer dans l'eau jusqu'au niveau de la taille. Je commence à prendre un peu plus confiance. Nous rejoignons le groupe par la même occasion. Il me lâche la main et s'amuse à arroser les filles. Une grosse vague arrive, je ne sais pas trop quoi faire, et je prends l'option de sauter. Mais je me fais entièrement happer par la puissance. J'en ai même bu la tasse. Mathieu qui m'aide depuis le début dans cette nouvelle épreuve vient à mon secours. J'arrive à reprendre conscience rapidement. Je remets mon haut de maillot en place qui a bougé et qui laisse paraître une partie de mon sein. Le jeune homme m'explique que lorsqu'une vague arrive, il faut plonger en dessous pour éviter de se noyer, ou alors sauter avant que le rouleau de la vague se mette en action. Il me prend par la main, nous retournons voir nos amis, qui me demandent si tout va bien. Je réponds que oui.
Une nouvelle vague semble se former, Mathieu me tend ses doigts. Je l'ai saisi, puis nous plongeons ensemble sous la vague. Effectivement, cette tactique évite les dangers et notamment de prendre des risques. Maintenant que j'ai compris, le jeune homme lâche ma main et recommence à arroser les filles. Je fais de même. Au bout de quelque temps, nous sortons de l'eau afin de parfaire nos bronzages respectifs. Sur la serviette, je discute avec Sonia et Florine. L'une d'elles me dit que je dois plaire à Mathieu pour qu'il s'occupe de moi comme ça. À mon tour, je leur signale que je suis heureuse d'avoir appris à éviter les dangers de l'océan et que c'était en tout bien tout honneur. Florine me met en garde malgré tout car Mathieu est un homme à fille.
J'accepte cette remarque, il faut donc être prudent en sa compagnie. Mais étant une fille de bonne éducation, il faudra tout de même que je le remercie. Il est presque dix-neuf heures. La fatigue commence à gagner l'ensemble du groupe. Valentin nous propose de manger dans un snack et ensuite de rentrer à la résidence universitaire. Tout le monde valide cette proposition. Nous remontons les marches en bois en direction de la voiture. Entre temps, nous faisons une pause rinçage aux douches. Mathieu fait alors un sifflement, je me retourne, Sonia se rince, mais visiblement n'a pas vu la transparence de son maillot, ce qui doit certainement affoler les pulsions du jeune étudiant. De mon côté, je suis prête à partir. Nous entrons dans la voiture, et partons en direction du centre-ville du Cap Ferret. Valentin connaît un petit restaurant où il a ses habitudes. Nous nous installons à une table. Chacun prend un panini puis un soda. Le repas se déroule bien, généreusement Mathieu souhaite nous offrir une bouteille de vin blanc accompagné d'une assiette d'huîtres. N'ayant que très peu manger de fruits de mer dans ma vie, j'accepte volontiers cette proposition. Les filles n'aimant pas trop ce genre de nourriture, nous sommes donc trois à déguster les produits locaux. Je savoure ce moment, puis dans un ton humoristique, Valentin me dit de faire attention, car les huîtres ont des vertus aphrodisiaques. Et je ne sais pas pourquoi, je lui réponds sur le même ton que ça ne risque rien étant donner que je suis vierge. Un éclat de rire raisonne à table. Sonia salue mon franc-parler et Mathieu semble confus. Il est presque vingt-deux heures, nous reprenons la route en direction de notre résidence universitaire. Avec l'air marin et cette après-midi de détente, je ne tarde pas à fermer les yeux. Au bout d'une demi-heure de route, Sonia me réveille, nous sommes arrivés. Nous nous souhaitons bonne nuit, puis nous entrons dans nos chambres respectives. Je vais me prendre une douche, un thé et partir dans un sommeil bien confortable. Un quart d'heure après, j'entends frapper à ma porte, je suis en soutien-gorge et en string. J'entrouvre, et Sonia me demande si je peux lui passer de la crème pour soulager d'éventuel coup de soleil. J'accepte, je vais enfiler ma nuisette. Je fais les quelques pas séparant nos chambres. Je rentre, la jeune fille me tend le spray puis s'allonge sur le ventre. Je lui dégrafe son haut pour plus de confort. Je me mets à genou à côté d'elle au niveau de sa taille pour pouvoir étaler la crème sur son corps. J'asperge son dos avec la lotion, ce qui ne manque pas de la faire sursauter dû à l'écart de température, puis je m'applique à l'étaler du mieux possible. Visiblement, ce massage semble lui plaire. Elle commence à avoir la chair de poule. Elle me demande de lui en passer sur le haut des cuisses jusqu'au mollet. Je sens une réelle complicité avec cette fille, c'est très appréciable. À la fin de cette séance, elle me propose de m'en mettre aussi sur le dos. Elle se lève, on échange nos places, je lui signale tout de même qu'elle est torse nue face à moi. Elle me répond que ce n'est pas grave, car nous sommes entre filles. Je ne dis rien de plus après tout, elle a quand même raison. J'enlève ma nuisette, puis je m'allonge sur le ventre. C'est la première fois que je me retrouve en sous-vêtements avec une fille, mais je ne ressens pas de gênes. Elle commence à m'asperger avec la crème, l'écart de température fait sortir un petit cri de ma bouche, puis rapidement la sensualité avec laquelle Sonia étale la lotion m'envoie sur un nuage de douceur.
Elle passe sur mon dos et mes jambes. Quelques fois, je sens un doigt coquin passer sur la fente de mes fesses. Je n'y prête pas attention, car cela doit être son côté un peu enjôleur, je dirais. Quelques minutes après, elle me propose de me retourner, un peu hésitante, j'accepte.
Après tout, il n'y a rien de mal à se faire masser gratuitement. Mais j'avais légèrement oublié que mon soutien-gorge ne tenait plus. Me voilà donc seins à l'air face à Sonia. Elle me félicite sur la beauté de ma poitrine. Je la remercie et lui renvoie le compliment. Le massage continu, je m'allonge sur le dos. Les mains de mon amie parcourent mon corps, du haut jusqu'en bas. Et comme lorsque j'étais sur le ventre, quelques passages malicieux s'échappent sur la fente de mon puits d'amour. J'ouvre les yeux, je lui dis qu'il est peut-être temps d'aller dormir.
Un peu surprise, elle me demande si ce qu'elle me fait n'est pas appréciable. Je lui dis que oui bien entendu, et elle réplique aussitôt de laisser mes envies guider mes sens. Je suis confuse, dans mon esprit, je me demande si un acte à connotation sexuel avec une fille sera perçu comme une adultère par Romain mon cher et tendre. J'essaye de me convaincre que non. Et que se sera une nouvelle aventure pour moi. Je ferme les yeux, signe pour Sonia que nous pouvons continuer notre petit jeu. Les gestes sont beaucoup plus concrets, elle n'hésite pas à me toucher les seins, à me caresser le bout des tétons, et à me les embrasser. De mon côté, mes doigts s'aventurent sur sa poitrine que je malaxe avec un savant mélange de douceur et de fermeté. Sa main descend petit en direction de ma vulve, puis disparaît sous mon string. Elle me caresse, me titille le clitoris, j'en remue mes fesses de plaisir. Je réponds à ses gestes avec beaucoup de pudeurs. Je soulève mon derrière, elle en profite pour faire glisser mon string le long de mes jambes, que j'écarte aussitôt. Nous sommes en soixante-neuf. Elle déguste me lèche avec passion, et je fais de même.
Je suis en train de découvrir le plaisir charnel entre filles et je dois avouer que ça ne me déplaît pas. Sonia se relève, puis attrape un objet dans le tiroir de sa table de chevet. C'est un gode rose en forme de sexe masculine. Elle le mouille, puis se dirige avec vers mon puits d'amour. Et là, je lui dis que je ne suis pas d'accord, car je souhaite rester vierge pour Romain.
Elle respecte mon choix, puis me le donne et me conseille de faire de profonds allers-retours dans sa vulve. Je m'exécute, et plus je vais vite plus en gémis de plaisir. De son côté, elle est toujours en train de me dévorer. Je commence à avoir des secousses dans le bas de mon ventre. Les mêmes que j'avais eus lorsque Romain m'avait fait ce qu'il appelle un cunnilingus. Je sens que je vais jouir et ça ne tarde pas. Sonia de son côté prend beaucoup de plaisir aussi puisque je vois le gode s'humidifier de plus en plus. Dans un cri commun, nous jouissons ensemble.
Elle se relève, la bouche brillante, m'embrasse et me signale par la même occasion que Romain va être content, car visiblement, je suis une femme fontaine. Nous nous embrassons une dernière fois, je lui dis malgré tout que mes sentiments restent inchangés pour Romain, mais que cette aventure m'a beaucoup plu. Elle comprend ce que je veux dire. Puis nous nous quittons pour rejoindre nos chambres respectives. Mes rêves sont hantés par le plaisir que je viens de prendre.
Je n'ai pas l'impression d'avoir tromper mon compagnon. J'ai juste découvert une autre aventure.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dec. 30, 2017. Que voici une bien jolie histoire et si une suite devait venir, ce serait avec le plus grand des plaisirs. Alors à bientôt.
Excitanteet bonne maniere de presentation
J'attends la suite avec impatience...