lise libertine 69 Je suis tata
Récit érotique écrit par les-jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 24 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de les-jacanas ont reçu un total de 167 961 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 637 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
lise libertine 69 Je suis tata
Alan candauliste et moi Élise hyper sexuelle Ce texte est un petit retour en arrière il relate une aventure qui m’est arrivée en 2002 lorsque nous habitions Bordeaux.
Ma sœur vient d’accoucher le onze octobre à vingt-trois heures, je suis tata à quarante-huit ans. Alan étant pris par son travail Je monte quatre jours seule à Nancy pour la naissance de mon neveu. Le lundi en fin d’après-midi je retrouve Martine ma petite sœur qui a quinze ans de moins que moi, je ne l’ai pas vue depuis deux ans. Je trouve ma frangine, sortie de la maternité le matin même, le visage un peu fatigué et découvre mon neveu Lucas son magnifique bébé. Nous discutons plusieurs heures nous avons tant de choses à nous dire. Pendant trois jours je profite de ma frangine et de mon neveu. Le quatrième jour il est temps pour moi de rentrer retrouver mon mari je prends un billet direct pour bordeaux un départ prévu l’après-midi vers 17h00 avec arrivée vers 23h00 23h30 aux bénédictins. Par SMS j’envoie mon heure d’arrivée Alan.
J’enfile une petite jupe droite rouge et la veste assortie sur un string et un pull blanc col en v moulant ma poitrine nue puis je fais ma valise à 16h30 je suis prête. J’attends Antony mon beauf qui arrive avec sa voiture le temps d’embrasser Martine et le petit Lucas nous partons pour la gare de Nancy. A Nancy un accrochage en voiture nous retarde mais à la gare le train ne m’a pas attendu. Je change donc mon billet pour le train de 20h qui cette fois n’est pas direct j’arrive à Paris vers 22h00 changement de gare avec un départ vers 6 heures ce qui me fait une longue attente. J’appelle Alan -« Chéri j’ai raté mon train à cause d’un accrochage du coup je n’arriverai que demain matin vers 9h00 car je dois changer à Paris où j’ai presque 8h00 d’attente. »
-« pour moi pas de problème je t’attendrai au bar du Terminus pour le petit déjeuner. Sois sage pendant ton attente ! »
-« j’essaierai mais si j’ai l’occasion de passer le temps je t’envoie un SMS Bisous à demain »
Quand mon train s’affiche sur le tableau je rejoins le quai et monte dans la voiture indiquée sur le billet. Je prends la place coté fenêtre qui n’est pas occupée. Le train s’ébranle un jeune homme arrive près de moi.
-« pardon madame vous occupez la place qui m’est réservée »
-« je suis désolée je peux changer »
-« non ce n’est pas la peine les deux sièges vont à Paris et je ne voudrais pas déplaire à une si charmante dame. »
Je le regarde poser son bagage au-dessus du siège, son pull remonte découvrant des abdos bien marqués, il s’installe se tourne vers moi et entame la conversation. Il se présente Ludovic, célibataire et sergent aux pompiers de Paris, il revient de l’enterrement d’un ami à Lunéville. Je me présente à mon tour Élise mariée depuis longtemps je reviens de voir mon neveu qui vient de naitre. Ce qui lui fait dire : un part l’autre arrive nous devions nous rencontrer. Il est assez bavard et même un peu charmeur. Je surprends à plusieurs reprises son regard sur mes cuisses ou ma poitrine à travers ma veste ouverte. Après une heure de bavardage je somnole quand je sens sa main tirer le bas de ma jupe. je ne sais pas depuis combien de temps je dors, Je me redresse et le regarde.
-« je m’excuse mais votre jupe est remontée quand vous avez bougé et la vue devenait gênante »
-« c’était si moche que cela ? »
-« ce n’est pas ce que je voulais dire, disons que cette vision a provoqué un certain émoi chez moi »
Je le regarde puis mes yeux se posent sur son pantalon. Je découvre une forte déformation sur laquelle ma main glisse.
- « voilà qui confirme que vous êtes un homme. Je peux peut être vous soulager ? »
- « nous n’avons pas le temps, nous arrivons dans moins d’un quart d’heure et les gens commencent à bouger »
- « j’ai toute la nuit mon train pour bordeaux est à six heures. »
- « Dans ce cas on peut aller à mon appartement ce n’est pas très loin de Montparnasse et Jérôme un copain doit me raccompagner chez moi »
Nous sortons de la gare son copain est là avec sa golf. Ludo me présente, Jérôme me fait la bise je monte à l’arrière les deux copains à l’avant. Durant le trajet d’un quart d’heure je comprends à leur conversation qu’ils sont en collocation. J’envoie un SMS à Alan : (J’ai deux pompiers Ludo et Jérôme prêts à éteindre l’incendie qui me dévore).
En arrivant Jérôme prend ma valise pour la monter au troisième étage. En entrant Ludo m’entraine dans le salon je retire ma veste, Ludo s’assied près de moi sur le grand canapé et Jérôme sur un fauteuil. Ils m’offrent à boire et me demandent si j’ai faim. J’accepte le whisky les deux garçons se joignent à moi. Au deuxième verre Ludo m’embrasse à pleine bouche tout en me caressant la poitrine je lui rends son baiser. Jérôme se moque un peu de moi :
- « pour quelqu’un qui n’a pas fin la salade de museau passe bien »
-« c’est la jalousie qui te fait parler mais si tu veux il y en a pour deux »
Jérôme quitte son fauteuil pour s’assoir près de moi et m’embrasse à son tour tout en me caressant les cuisses. Ludo se lève retire son pantalon et son boxer il exhibe fièrement un sexe de 17cm et bien au-dessus de la moyenne en épaisseur il me présente l’engin à sucer pendant que son pote se déshabille.
La bouche bien remplie je ne peux qu’exprimer ma satisfaction par des « humm ». Jérôme trouve judicieux de m’attraper par la taille :
-« on passe dans ta chambre Ludo ton lit est plus grand on sera mieux »
-« c’est vrai qu’à trois dans ton lit de 90 ça va être juste, dans le 140 on doit y arriver »
On me retire ma sucette et je suis entrainée dans la chambre et me retrouve entre les deux mâles je suce le premier le second me suce le clito. Les deux garçons semblent très complices le premier me prend pendant que je suce le second puis vice versa les deux coquins savent y faire et me font jouir chacun leur tour. Ils sont aussi adroits de la bite que de la langue si bien qu’à minuit j’en suis à quatre ou cinq orgasmes.
Puis vient le temps des trios les deux hommes échangeant leurs positions les couilles se vident dans mon trou d’amour ou celui du ramoneur, les préservatifs se remplissent mes orgasmes se succèdent.
Vers quatre heures Ludo et Jérôme décident de me prendre en double vaginale. Je suis assise sur Ludo face à lui, Jérôme se glisse entre les jambes de son pote pour le rejoindre dans ma chatte le deux se mettent en rythme et me font jouir encore une fois. Eux restent bandés et décident de jouir ensemble dans mon cul ils me font coucher de dos sur Jérôme et Ludo face à moi présente sa bite contre celle de son collègue pour forcer mon petit trou par deux fois il dérape dans ma chatte mais à la troisième son chibre se loge dans mon fondement avec celui de Jérôme. Les deux queutards s’agitent dans mon intestin je commence à être réceptive quand ils jouissent de concert me laissant sur ma faim les deux verges quittent mon anus les capotes garnies de semence. Après les nombreux orgasmes qu’ils m’ont procurés au cours de la nuit Je ne peux pas leur en vouloir de ne pas m’avoir attendu pour ce dernier round. Nous discutons un peu mais l’heure tourne. Après une douche bien méritée et nécessaire pour retrouver figure humaine il est temps de se préparer au départ.
Jérôme et Ludo me raccompagnent à la gare Montparnasse où je peux prendre mon train pour Bordeaux. Je dors pendant tout le voyage, heureusement la jeune fille près de moi me réveille à l’arrivée. Valise à la main je rejoins mon mari qui m’attend au café Terminus et je dévore un petit déjeuner avant de lui raconter ma nuit avec les soldats du feu. De retour à la maison le reste de la matinée est très mouvementée mon petit mari étant excité comme une puce après le récit de mon voyage si bien que jusqu’à midi nous ne quittons pas le lit.
Ma sœur vient d’accoucher le onze octobre à vingt-trois heures, je suis tata à quarante-huit ans. Alan étant pris par son travail Je monte quatre jours seule à Nancy pour la naissance de mon neveu. Le lundi en fin d’après-midi je retrouve Martine ma petite sœur qui a quinze ans de moins que moi, je ne l’ai pas vue depuis deux ans. Je trouve ma frangine, sortie de la maternité le matin même, le visage un peu fatigué et découvre mon neveu Lucas son magnifique bébé. Nous discutons plusieurs heures nous avons tant de choses à nous dire. Pendant trois jours je profite de ma frangine et de mon neveu. Le quatrième jour il est temps pour moi de rentrer retrouver mon mari je prends un billet direct pour bordeaux un départ prévu l’après-midi vers 17h00 avec arrivée vers 23h00 23h30 aux bénédictins. Par SMS j’envoie mon heure d’arrivée Alan.
J’enfile une petite jupe droite rouge et la veste assortie sur un string et un pull blanc col en v moulant ma poitrine nue puis je fais ma valise à 16h30 je suis prête. J’attends Antony mon beauf qui arrive avec sa voiture le temps d’embrasser Martine et le petit Lucas nous partons pour la gare de Nancy. A Nancy un accrochage en voiture nous retarde mais à la gare le train ne m’a pas attendu. Je change donc mon billet pour le train de 20h qui cette fois n’est pas direct j’arrive à Paris vers 22h00 changement de gare avec un départ vers 6 heures ce qui me fait une longue attente. J’appelle Alan -« Chéri j’ai raté mon train à cause d’un accrochage du coup je n’arriverai que demain matin vers 9h00 car je dois changer à Paris où j’ai presque 8h00 d’attente. »
-« pour moi pas de problème je t’attendrai au bar du Terminus pour le petit déjeuner. Sois sage pendant ton attente ! »
-« j’essaierai mais si j’ai l’occasion de passer le temps je t’envoie un SMS Bisous à demain »
Quand mon train s’affiche sur le tableau je rejoins le quai et monte dans la voiture indiquée sur le billet. Je prends la place coté fenêtre qui n’est pas occupée. Le train s’ébranle un jeune homme arrive près de moi.
-« pardon madame vous occupez la place qui m’est réservée »
-« je suis désolée je peux changer »
-« non ce n’est pas la peine les deux sièges vont à Paris et je ne voudrais pas déplaire à une si charmante dame. »
Je le regarde poser son bagage au-dessus du siège, son pull remonte découvrant des abdos bien marqués, il s’installe se tourne vers moi et entame la conversation. Il se présente Ludovic, célibataire et sergent aux pompiers de Paris, il revient de l’enterrement d’un ami à Lunéville. Je me présente à mon tour Élise mariée depuis longtemps je reviens de voir mon neveu qui vient de naitre. Ce qui lui fait dire : un part l’autre arrive nous devions nous rencontrer. Il est assez bavard et même un peu charmeur. Je surprends à plusieurs reprises son regard sur mes cuisses ou ma poitrine à travers ma veste ouverte. Après une heure de bavardage je somnole quand je sens sa main tirer le bas de ma jupe. je ne sais pas depuis combien de temps je dors, Je me redresse et le regarde.
-« je m’excuse mais votre jupe est remontée quand vous avez bougé et la vue devenait gênante »
-« c’était si moche que cela ? »
-« ce n’est pas ce que je voulais dire, disons que cette vision a provoqué un certain émoi chez moi »
Je le regarde puis mes yeux se posent sur son pantalon. Je découvre une forte déformation sur laquelle ma main glisse.
- « voilà qui confirme que vous êtes un homme. Je peux peut être vous soulager ? »
- « nous n’avons pas le temps, nous arrivons dans moins d’un quart d’heure et les gens commencent à bouger »
- « j’ai toute la nuit mon train pour bordeaux est à six heures. »
- « Dans ce cas on peut aller à mon appartement ce n’est pas très loin de Montparnasse et Jérôme un copain doit me raccompagner chez moi »
Nous sortons de la gare son copain est là avec sa golf. Ludo me présente, Jérôme me fait la bise je monte à l’arrière les deux copains à l’avant. Durant le trajet d’un quart d’heure je comprends à leur conversation qu’ils sont en collocation. J’envoie un SMS à Alan : (J’ai deux pompiers Ludo et Jérôme prêts à éteindre l’incendie qui me dévore).
En arrivant Jérôme prend ma valise pour la monter au troisième étage. En entrant Ludo m’entraine dans le salon je retire ma veste, Ludo s’assied près de moi sur le grand canapé et Jérôme sur un fauteuil. Ils m’offrent à boire et me demandent si j’ai faim. J’accepte le whisky les deux garçons se joignent à moi. Au deuxième verre Ludo m’embrasse à pleine bouche tout en me caressant la poitrine je lui rends son baiser. Jérôme se moque un peu de moi :
- « pour quelqu’un qui n’a pas fin la salade de museau passe bien »
-« c’est la jalousie qui te fait parler mais si tu veux il y en a pour deux »
Jérôme quitte son fauteuil pour s’assoir près de moi et m’embrasse à son tour tout en me caressant les cuisses. Ludo se lève retire son pantalon et son boxer il exhibe fièrement un sexe de 17cm et bien au-dessus de la moyenne en épaisseur il me présente l’engin à sucer pendant que son pote se déshabille.
La bouche bien remplie je ne peux qu’exprimer ma satisfaction par des « humm ». Jérôme trouve judicieux de m’attraper par la taille :
-« on passe dans ta chambre Ludo ton lit est plus grand on sera mieux »
-« c’est vrai qu’à trois dans ton lit de 90 ça va être juste, dans le 140 on doit y arriver »
On me retire ma sucette et je suis entrainée dans la chambre et me retrouve entre les deux mâles je suce le premier le second me suce le clito. Les deux garçons semblent très complices le premier me prend pendant que je suce le second puis vice versa les deux coquins savent y faire et me font jouir chacun leur tour. Ils sont aussi adroits de la bite que de la langue si bien qu’à minuit j’en suis à quatre ou cinq orgasmes.
Puis vient le temps des trios les deux hommes échangeant leurs positions les couilles se vident dans mon trou d’amour ou celui du ramoneur, les préservatifs se remplissent mes orgasmes se succèdent.
Vers quatre heures Ludo et Jérôme décident de me prendre en double vaginale. Je suis assise sur Ludo face à lui, Jérôme se glisse entre les jambes de son pote pour le rejoindre dans ma chatte le deux se mettent en rythme et me font jouir encore une fois. Eux restent bandés et décident de jouir ensemble dans mon cul ils me font coucher de dos sur Jérôme et Ludo face à moi présente sa bite contre celle de son collègue pour forcer mon petit trou par deux fois il dérape dans ma chatte mais à la troisième son chibre se loge dans mon fondement avec celui de Jérôme. Les deux queutards s’agitent dans mon intestin je commence à être réceptive quand ils jouissent de concert me laissant sur ma faim les deux verges quittent mon anus les capotes garnies de semence. Après les nombreux orgasmes qu’ils m’ont procurés au cours de la nuit Je ne peux pas leur en vouloir de ne pas m’avoir attendu pour ce dernier round. Nous discutons un peu mais l’heure tourne. Après une douche bien méritée et nécessaire pour retrouver figure humaine il est temps de se préparer au départ.
Jérôme et Ludo me raccompagnent à la gare Montparnasse où je peux prendre mon train pour Bordeaux. Je dors pendant tout le voyage, heureusement la jeune fille près de moi me réveille à l’arrivée. Valise à la main je rejoins mon mari qui m’attend au café Terminus et je dévore un petit déjeuner avant de lui raconter ma nuit avec les soldats du feu. De retour à la maison le reste de la matinée est très mouvementée mon petit mari étant excité comme une puce après le récit de mon voyage si bien que jusqu’à midi nous ne quittons pas le lit.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par les-jacanas
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah les pompiers !!!
Toujours prêts à jouer avec leurs lances ....
Toujours prêts à jouer avec leurs lances ....
Élise ne perd aucune occasion!