Looking for Manara. Chapitre II De drôles de paroissiens.

- Par l'auteur HDS Iovan -
Récit érotique écrit par Iovan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Looking for Manara. Chapitre II De drôles de paroissiens. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Looking for Manara. Chapitre II De drôles de paroissiens.
Looking for Manara Chapitre II
  De drôles de paroissiens.











Elle gémissait encore son plaisir, quand apparut à la porte du compartiment, restée grande ouverte, un homme portant un panier d'osier, je reconnus immédiatement, le maire de Brescello !
Il restait bouche bée, contemplant l'incroyable spectacle, qui s'offrait à ses yeux éberlués : une beauté entièrement nue, gémissante de plaisir...seule !
Il se retourna et appela, dans le couloir — Hé ! Venez ! Venez voir ça, vous autres ! Mais venez, donc !
Deux autres hommes s'approchèrent, des paysans sûrement, qui restèrent un moment stupéfaits, puis s'entre-regardèrent, l'œil allumé.
— Attends, on va pas la laisser comme ça, la chérie !
Le notable,  premier arrivé et ne se souciant que peu de la fidèle Maria qui l'attendait au foyer, avait posé son panier et s'approchait, dégrafant déjà son pantalon, dénouant la large ceinture  de tissu rouge.
Je m'attendais à ce que ma belle Carla se regimbe, et m'apprêtai à faire le coup de poing , avec cet avantage, qu'ils ne pourraient pas me voir.

Au lieu de ça, stupéfait,  je la vis sourire et tendre la main vers l'imposante mentule que le notable avait déjà sortie. Se retournant sur ses compagnons : — Alors, vous attendez quoi ? Elle a pas l'air farouche, la mignonne...
Je profitai de ce court répit, pour me dégager d'entre les cuisses de ma belle,  bousculant un peu le type, qui était bien trop absorbé par son affaire, pour se préoccuper de quoi que ce soit.
Les deux autres s'étaient approchés, et entouraient maintenant la splendide créature, qui les regardait, tour à tour, avec un sourire vicieux. Ces trois types voulaient la sauter, et non seulement , elle acceptait, mais elle semblait s'en réjouir !
Je me glissai côté fenêtre, m'interrogeant sur mon comportement. Je m'étonnais : Comment ? Moi , qui suis d'un tempérament exclusif, jaloux comme un tigre...
La petite saleté, à l'affût, dans son nuage rouge, qui me poussait, parfois, aux pires emportements, pour un simple regard, ou une parole anodine, cette fois, me fichait paix !
Je n'éprouvais aucun sentiment de jalousie, au contraire ! Alors que je venais seulement de faire mienne, la plus belle d'entre toutes les femmes, j'étais heureux, que ma merveilleuse conquête, puisse s'offrir, sans vergogne, ni retenue, aux premiers venus, pour satisfaire ses dévorantes envies de stupre... Je n'en revenais pas.
Monsieur le Maire, qui s'était approché le premier de la magnifique créature, empoigna son gourdin, au gland violacé, et se mit à lui en lui frapper la joue avec un ricanement lubrique, elle le regarda, soumise, se tourna, bouche entrouverte, et il enfonça sa grosse mentule entre ses lèvres offertes, empoigna sa chevelure, la forçant sur son engin. Les deux autres avaient baissé leur pantalon  et Carla s'était emparée de leur queue, qu'elle branlait à gestes lents et lascifs, l'un deux caressait ses cheveux.
Elle lâcha la queue qu'elle avait en bouche, pour sucer celle d'un des autres types, puis ce fut au tour du troisième, et alternant ainsi, elle les suça jusqu'à ce que, celui qu'elle pompait, le souffle précipité ne se tende, et avec un long cri , décharge tout son sperme, à larges giclées, dans la jolie bouche ravie, et implorante de ma belle garce.
Avec des rires obscènes et des exclamations de  contentement, ils la firent se lever, ses lèvres et son menton dégouttant  de sperme. L'édile s'assit sur la banquette, jambes écartées, dégageant son gros chibre. Un des deux autres,  fit se retourner la belle enfant, et amena ses jolies fesses au- dessus du gourdin turgide sur lequel, écartant les beaux lobes soyeux, ils la fit s'empaler, gémissante.
Elle avait les yeux révulsés et son beau visage avait une expression crispée de  souffrance, mais je remarquai l'ineffable sourire, qui disait le plaisir, que lui causait la brutale pénétration.
Quand il l'eut entièrement pénétrée, Le magistrat prit sa taille à deux mains, et impulsant des mouvements de va et vient à son bassin, il la secoua puissamment sur son mandrin, déclenchant chez la mignonne, un orgasme qui la fit hurler.
L'un des deux autres types s'était agenouillé, et enjoignant son comparse d'approcher de lui, la belle proie, il enfonça son pieu dans le petit con délicat, la faisant râler de plus belle. Le troisième larron s'approcha, et saisissant la belle enfant par les cheveux, il empoigna son chibre et l'enfonça entre ses jolies lèvres distendues.
La belle poussait des râles et des geignements de plaisir, ses bourreaux râlaient, eux aussi, tout en proférant  insultes, et mots obscènes.
Plusieurs personnes, dont un ecclésiastique en soutane, dans lequel je reconnus, sans erreur possible , le curé de Brescello, Don Camillo, lui-même, attirées par les cris et l'agitation, s'étaient attroupées, se tenant à la porte et ne perdaient rien du spectacle. Il y avait même une vieille bourgeoise, en toque de vison et voilette, qui n'était pas des moins intéressés.
Regardant sévèrement le clérical, la vieille dame le poussa, celui-ci la gênait, pour voir...Elle pénétra dans le compartiment, et s'assit d'abord sur la droite , tout en maugréant des commentaires aigres, sur les mœurs actuelles, puis décida de changer de place, et s'installa sur la banquette d'en face, ne perdant pas une miette du spectacle, choquant, auquel elle assistait.
Pendant ce temps, la folle bacchanale continuait, et à entendre ses cris et ses gémissements, ces trois salauds faisaient jouir la belle coquine, comme une bête.
Je regardai le curé, dont l'expression montrait une forte tension intérieure...et sûrement, pas que... tout en l'observant, je n'étais pas sans considérer, qu'il allait craquer, et entrer dans le jeu.
Le type qui baisait la mignonne, se mit à pousser des ahanements rauques, qui montraient que son excitation était à son paroxysme, il n'en pouvait plus. Il se lâcha dans un long cri auquel répondirent de petits gémissements saccadés de la belle.
Cela dut inciter Peppone, qui la prenait par derrière à conclure, car, lui aussi, se lâcha, dans un râle, alors qu'il enfonçait sa mentule, au plus profond du ventre de la belle enfant, lui faisant exhaler une longue plainte de gorge.
Carla suçait le troisième type et le branlait, y prenant manifestement beaucoup de plaisir, alors que les deux autres, leur gourme jetée, se dégageaient déjà. Lui, tenait le beau visage entre ses mains, et penché en arrière, se tendait à petits mouvements de va et vient, vers la jolie bouche, dispensatrice de l'ineffable caresse.
Je le vis se tendre encore, il eut deux ou trois hoquets et dans un chapelet de cris brefs et intenses, il déchargea sa semence dans la bouche avide de la jolie vicieuse, qui en avala la presque totalité.
Alors qu'il remontait son pantalon, il se tourna vers un jeune gars qui se trouvait à la porte, lui fit un signe de tête, et s'adressant au curé : — Si ça vous dit, faut pas vous gêner, Padre, elle aime ça, la salope ! Toi aussi ...Vas y !
Le gars regarda le curé, qui regarda Carla. Elle eut un magnifique sourire vicieux.
— Si, Padre ! Vieni ... Et toi aussi, viens !
Le jeunot oubliant alors, toute réserve, se jeta sur elle et baissant son pantalon il la tourna et enfouit son mandrin dans la petite chatte trempée de cyprine et de sperme. La jolie coquine l'accueillit avec un profond soupir de bonheur.
Le curé, s'avança. On dut lui parler, car il s'immobilisa , hochant la tête, attentif ,et tout soudain, lâcha : — Mais, Seigneur ! Ce ne sont que quelques putes !
Puis il sembla écouter à nouveau et il acquiesça d'un : — Oui !
Qui semblait plutôt signifier « Merde ! », et levant sa soutane, découvrit un large slip « Éminence Grise » que baissa, immédiatement, la belle curieuse, dévoilant un gourdin de belle taille. Elle l'empoigna, décalotta le gros gland turgide, plusieurs fois, et l'engloutit avec gourmandise.
La vieille, qui se taisait depuis un bon moment, se contentant de jouir du spectacle, retrouva sa verve de moraliste, et se mit à pérorer sur « ces enculés de curés, qui ne respectaient même pas, ce pourquoi ils avaient été élus »parlant suffisamment fort, pour que l' « enculé de curé » entende ses remarques acrimonieuses.
L'ecclésiastique, lui, avait fermé les yeux, tenant toujours sa soutane à deux mains, et semblait en proie, aux plus délicieux vertiges. On pouvait voir ses lèvres remuer, comme pour une prière . Je ne sais quel saint il faut remercier, dans un pareil cas d'extase, mais lui, le savait sûrement, et il le faisait avec la plus grande ferveur.
Le jeune gars se déchaînait, secouant la mignonne, qu'il faisait gémir à chaque coup de boutoir. Elle, n'en continuait pas moins à satisfaire le curé, qui ayant emprisonné le bas de sa soutane entre ses dents, caressait éperdument le beau visage de celle qui lui donnait tant de plaisir.
Il précipita ses marmonnements, jusqu'à ce qu'ils se transforment en un drôlatique chevrotement,  qu'il ne contrôlait plus. Alors, les yeux révulsés, crispant ses doigts sur la nuque de la belle, il éjacula à longs jets puissants, dans sa jolie bouche. Avec des geignements avides, elle avalait  la copieuse décharge, de larges gouttes s'échappant des coins de sa bouche, pour goutter sur son menton, trempant ses adorables petits seins.
La maintenant sur sa queue, finissant son abondante éjaculation, on entendit le prêtre rendre grâce à celle qui venait de le combler, alors que, du pouce, il signait son front : — Ut benedicat tibi filiam meam, quoniam bonus es tu.(Je te bénis, ma fille, car tu es bonne.) Le jeune type qui continuait à besogner la mignonne, déchargea à ce moment,  dans un dernier coup de boutoir encore plus violent, comblant la  belle d'une longue décharge, qu'elle accueillit avec des geignements lascifs.
C'est alors qu'il arriva.
Il se tenait immobile, tête basse, à la porte du compartiment, petit bonhomme chétif, presque malingre. Il était vêtu de l'uniforme gris des contrôleurs des “Ferrovie dello Statto”,* et coiffé de la casquette plate réglementaire. Quand il entra dans le compartiment, je m'aperçus qu'il boitait. Il répandait autour de lui, une odeur, pestilentielle, de série américaine. Il leva les yeux, deux trous vides, et je le reconnus : Al Paccino!
— Eh, bien! Eh, bien ! On dirait qu'il se passe, ici,  des choses pas très catholiques,  n'est ce pas, le prêtre?
Il avait une voix puissante, rauque et profonde, qui n'avait rien à voir avec son physique.
— Mon Dieu!
S'écria le curé, se signant trois fois. Et, saisissant son bréviaire, de sur le coin de banquette, où il l'avait posé, il s'enfuit, précipitamment. On l'entendit cavaler dans le couloir, hurlant: — Urlaub! Urlaub! * Don Camillo était polyglotte. Et très courageux.
Alors que retentissaient, parmi des tintements de cloches, des explosions d'obus, qui semblaient le poursuivre...
Dans le compartiment, tous les protagonistes se tenaient cois, comme s'ils étaient absents.
Seule ma belle Carla, en proie à une extraordinaire crise d'un désir irrépressible, tordait son merveilleux corps, sous les caresses, qu'elle-même, se prodiguait, lascive , les yeux révulsés, la bouche grande ouverte, sur un souffle  qu'elle cherchait.
Le contrôleur la fixait des deux trous de son regard, et, se tournant vers les autres, de sa voix caverneuse: — Voici une aimable donzelle, qu'il faudra absolument calmer! Quelle indécence!
Il s'approcha d'elle et lui posa une main velue sur un sein.  Carla se tordit de plus belle, son beau visage torturé, par une expression douloureuse.
— Oooh! Prends moi...! S'il te plaît... Ne me laisse pas comme ça! Oooh! Je t'en supplie...!
Les mâchoires crispées, les lèvres retroussées sur ses dents qui grinçaient, elle geignait, d'une voix qui n'était qu'un filet, essoufflé et tremblant , les yeux embués de larmes.
— Voici un cas, dont je dois, absolument, m'occuper! Ne la dirait-on pas...Possédée?
Ce type avait grandi! Était-ce possible?
— Aaah! Gueuse! Lubrique femelle! J’accéderai à ton désir...mais auparavant...
Il dégrafa son pantalon, le baissa, et, produisant un large fessier carré et velu, il se tourna et hurla: — Baise moi le cul, sorcière!
Il avait encore grandi!
Soumise et gémissante, Carla, se pencha sur le repoussant postérieur, écarta les larges fesses poilues,  et se livra à l'odieux baiser, alors que le bougre éclatait d'un rire sardonique.
Puis il se redressa, apparaissant immense … Entre ses jambes tortes  et velues, se dressait un mandrin d'une taille inimaginable, le gland démesuré, tumescent et violacé, surmontait une hampe noueuse, d'une épaisseur incroyable,  parcourue de grosses veines bleues. Sous la forêt de  poils du pubis pendaient des couilles de taureau, lourdes et velues.
Carla, ébahie, regardait l'énorme vit avec une expression d'incrédulité, en même temps que d'envie : même si l'engin l'effrayait, par sa taille et sa grosseur, colossales, elle était attirée, subjuguée, par la puissance qui en émanait, et tout son être se tendait, maintenant, vers un seul et impérieux désir : être possédée par le monstrueux chibre.
L'infernal personnage se penchant, alors sur la divine enfant , caressant sa chevelure, lui murmura de sa voix sépulcrale : — Je vais te baiser comme tu ne l'as jamais été, et ne le sera jamais, lubrique petite débauchée, Mais d'abord, suce moi, gourgandine !
Carla, totalement hagarde, se précipita sur l'énorme mandrin, et le saisissant à deux mains, essaya de la prendre en bouche, mais n'y parvenant pas, tant le gland était volumineux, elle se mit à le branler avec une douceur et une docilité consommée, léchant l'énorme cabochon turgide, promenant sa langue sur l'épaisse hampe et les lourdes couilles, tout en proférant des gémissements et des râles, qui disaient le plaisir lubrique qu'elle tirait, de s'approprier l'énorme mentule.
—Que tu es bonne, petite Rosemary !
Carla bredouilla : — .e ..e ..suis ...as ose..a..y !
— Comment ?... Que dis tu ?
La belle enfant se redressa, toujours agrippée au monstrueux mandrin, des deux mains, et levant les yeux vers l'odieux personnage : — Je ne suis pas Rosemary. Je m'appelle Carla.
L'autre, laissa, alors, éclater sa colère, et sa frustration , hurlant : — Merde, alors ! Merde ! Merde !Et re-merde ! Si, jamais, je chope ce con de Polanski... ! Ah ! L'enfoiré !
Puis, presque s'excusant : — Bon, ben! Là, ma poule, je crois que ça va plus être possible...tiens regarde, je débande... et tel que me connais... Ah ! c'est la contrariété ! A chaque coup, ça me fait ça ! Ah ! Putain !... je dis pas ça pour toi...
Il allait sortir se rajustant... Déjà il avait rapetissé.
Se ravisant, il fit demi-tour, se dirigea vers moi.
Il s'arrêta, à deux pas. Et, je pus lire brodé sur le col de sa veste d'uniforme, son matricule : 999. Il  me fixa, des deux trous noirs de ses yeux — Quant à toi, petit con, si tu crois que je ne te vois pas... ! T'as pas payé ton billet, hein ? T'inquiète ! On se retrouvera.
Il sortit, jetant : — Je vous laisse finir la pute, vous autres !
A peine eut il quitté le compartiment, que les quatre crétins, précités, qui étaient restés curieusement absents, et sans réaction, tant que le délétère personnage était là, se manifestèrent à nouveau, dans toute la volubilité et l'assurance, des grandes gueules qu'ils étaient. La vieille retrouvait, vie elle aussi, et s'installait confortablement.
Peppone, en homme d'action , fit un discours, et prit la direction des opérations.
Carla, que le noir employé des chemins de fer, avait amené à un point d'excitation extrême, avait besoin d'assouvir les désirs, et tensions  lubriques, qui la tordaient, nouant son ventre et ses  reins. Elle accueillit les étreintes bestiales, et les caresses obscènes de ses bourreaux, avec résignation, soulagement, et peut-être, même, un certain plaisir.
Elle fut baisée, sodomisée, à plusieurs reprises, et dut tous les sucer, tour à tour, avalant éjaculation sur éjaculation, elle fut facialisée, couverte de sperme. Ils ne la lâchèrent, dévastée, qu'après avoir totalement vidé leurs couilles.
Alors, avec des éclats de voix qui se voulaient mâles, des plaisanteries lourdes, et des rires gras, ils s'en allèrent, laissant la pauvrette, pantelante, éreintée, dégouttant de leur sperme...
Je la contemplai, alors qu'elle émergeait de son orgie de stupre et de débauche, hagarde...
Ces cons ne s'étaient même pas aperçus, à côté de quelle merveille ils étaient passés...Ils avaient seulement tiré leur coup, se confortant dans l'image dégueulasse qu'ils avaient de la femme, en rustres qu'ils étaient, et qu'ils   demeureraient...
La vieille quitta le compartiment en dernier, avec un haussement d'épaules, jetant un ultime regard méprisant, à la petite traînée.
La justice immanente veillait, car, buttant sur un sac qui traînait, elle se cassa la gueule, dans le couloir, ce qui nous fit rire.
Qu'importait ce ramassis ! Ma belle s'en était donné à cœur joie, et malgré son épuisement, brisée, saoule des extases et des débordements lubriques, dont elle venait de jouir, je la savais comblée.
Chancelante, sa main fine posée sur son front, dans un geste d'accablement, elle eut un petit rire gêné : —Je crois que j'ai bien besoin de me rafraîchir, non ?
Elle me chercha et m'embrassa.
—Attends moi, je reviens...
—Certainement pas...! Je t'accompagne !



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        * Urlaub: Congé .    


        * Ferrovie dello Statto ;  Chemins de fer de l'État.

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