Looking for Manara. Chapitre V. Pâtes, sexe et Rock 'n roll.

- Par l'auteur HDS Iovan -
Récit érotique écrit par Iovan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Looking for Manara.   Chapitre V.   Pâtes, sexe et Rock 'n roll. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Looking for Manara. Chapitre V. Pâtes, sexe et Rock 'n roll.
Looking for Manara Chapitre 5 Pâtes, sexe et Rock and roll

Le repas se terminait. Claudia la femme de mon cousin, nous avait préparé un croccante, absolument délicieux, nous en étions à le déguster, et Gian Carlo partit dans la cuisine pour préparer le rituel du « caffè ».
Il fut décidé, avant de retrouver Claudia Cristiani , son mari et Faust chez Camparino, d'aller faire une promenade au château des Sforza, et ensuite au Giardini, le grand jardin public et parc zoologique de Milan, . Notre rendez- vous étant à dix-sept heures, nous avions tout notre temps.
Zio et Zia restaient à la maison , ma tante nous chassant presque, pour, disait-elle « s'occuper, sans nous avoir dans les pattes, du rangement et de la vaisselle », la femme de mon cousin décidant, elle aussi, de rester, pour la seconder. Zio pendant ce temps, ferait la sieste, et je songeai, avec admiration, à l'intelligence du partage des tâches, dans la culture latine.

Alors que nous arpentions les allées du Giardini, le Jardin Public, après voir visité le Castello Forzesco, le palais des Ducs de Milan : un ramassis de tyranneaux, qui opprimaient, pour leur bien-être et satisfaire leur mégalomanie, toute la Lombardie, et que pas mal de crétins continuent d'admirer, nous vîmes arriver, dans un petit trot décontracté, deux silhouettes, toutes deux vêtues d'un survêtement rose framboise. Nous n'y prêtions pas plus d'attention que ça, quand Carla nous alerta :  — Regardez ! Mais, regardez ! C'est lui ! C'est Mick Jagger !
Effectivement, je le reconnus, après ce moment d'incrédulité qui vous arrête et vous fige, avant d'accepter, vaguement déçu, la confrontation du mythe et de sa réalité. Il était accompagné de Lou Reed, autre légende, du Rock'n Roll Swindle, lui aussi, tout de rose vêtu.
Je remarquai la présence, avachi sur un banc, la clope au bec de Keith Richards, qui se marrait, avec son rire éraillé, et avait l'air de, sérieusement, se foutre de la gueule des deux sportifs d'opérette. Il essayait une Lucky 7, de mille neuf cent soixante et un , guitare en contreplaqué, considérée comme une authentique bouse à l'époque, mais le temps semblait avoir fait, là aussi, son effet, et le riche rocker  rebelle  trouvait que, je cite : «  cette gratte sonnait bien... ».
Les filles étaient folles... Béatrice n'en pouvait plus, et collait Mick Jagger, qui n'avait plus qu'à se laisser faire...Carla, radieuse, total folasse, était toute émoustillée, et décochait ses sourires, à tout va, aux trois idoles du Show Biz.
— On est à Milan pour un concert, Lou passe en première partie .
Lou Reed commençait à faire la gueule... Keith se marrait.
— Et vous ? Vous êtes milanais ?
Clara expliqua que nous y étions à la recherche de Milo Manara.
— Looking for Manara, huh ?
C'est ainsi que Sir Mick, me donna l'idée du titre de ma nouvelle.
—Il était à notre dernier concert à Genève ! Très sympa, ce mec ! Et quel talent !
Pendant tout le temps qu'il parlait, Mick dévorait Honey des yeux, et Lou Reed regardai Keith, qui continuait à gratter sa gratte et à se marrer, sous le regard enamouré de Simona.
Sir Jagger parlait à voix basse à Honey et la coquine avait l'air de trouver ce qu'il lui disait, très intéressant... Nous les vîmes s'éloigner et gagner un endroit où les buissons semblaient accueillants...
Pendant ce temps, les filles posaient des tas de questions à Lou Reed , qui ravi, se racontait abondamment, et signait des autographes à tour de bras.
Les deux tourtereaux revinrent au bout d'un bon moment, se tenant par la main . Honey semblait avoir touché une étoile du bout de ses jolis doigts.

Et, c'est à ce moment, après une remarque de Mick Jagger, qui semblait être une blague, que nous prîmes conscience, que quelque chose de faisandé était entrain de se tramer.
Le chanteur à la bouche carrée, nous dit : — Ok, pour la ballade, babes, mais il faut qu'on vous prévienne : on a lâché les fauves...
Béatrice, avec son sens de l'à propos : — Oh ! Avec vous, les Stones , lâcher les fauves... on a l'habitude !
— Ah, ah ! Excellent ! Sauf que là, c'est pas des conneries... On l'a vraiment fait !
C'en était trop ! Je m'écriai : —Non , mais vous êtes complètement con !
—Mais non, tu parles... on a pensé à tout : on a relâché aussi les zèbres, les girafes...enfin, les proies, quoi ! S'agirait pas qu'on les laisse crever de faim ! Bon … ben , faîtes gaffe quand même. Nous, on y va ! Allez, Bye !
Et ils repartirent au petit trot se dirigeant vers la grille de sortie, nous laissant, sidérés.
Keith Richards, se leva, l'air harassé, il nous regarda, secouant la tête, dans un geste d'accablement, il jeta simplement : — Ah, les cons !
Et se dirigea, nonchalamment, vers la sortie.
Avec cette histoire, il n'était plus question de traîner au Giardini, maintenant qu'il prenait des airs de jungle et de savane africaine. Nous prîmes, nous aussi, la direction de la sortie, les filles encore toutes excitées de cette rencontre people. Alors que nous nous dirigions vers la place du dôme plus exactement, vers la galerie Victor Emmanuel II, le désir de faire du lèche vitrine ayant encore frappé, Honey reçut un appel. Après y avoir répondu : — Claudia vient de m'appeler , elle nous rejoint à la galerie dans une heure. Faust sera là, lui aussi, ainsi que son mari.
Carla me regarda en louchant, ajoutant encore à son charme.
Elles firent du lèche vitrines comme doivent l'aimer les commerçants : Carla et ses copines déclenchèrent une crise de fièvre acheteuse, et claquèrent un fric de folie. J'envisageai de piquer une nouvelle Audi...
Heureusement, Claudia Cristiani, arriva, escortée de ses deux soupirants : l'officiel et l'illicite.
Elle était d'une beauté à couper le souffle, grande, un corps de reine et une distinction naturelle qui en imposait. Elle portait une légère robe grise à pois blancs, d'une élégance discrète et raffinée, ses cheveux tirés en catogan, attachés par un nœud de velours noir. La profondeur de son regard gris, la finesse de ses traits, la spiritualité de son expression en faisait une femme d'exception... La dualité de cette grande bourgeoise un peu prude qui pouvait se transformer en une baiseuse au tempérament volcanique, lorsqu'elle était sous influence, me fascinait...j'étais sous le charme...
Carla me bouscula, en riant.
— Hé ! Dis, donc ! J'existe, moi aussi !
Claudia nous présenta son mari, un homme empâté, d'une cinquantaine d'années, costume trois pièces, engoncé dans son rôle de capitaine d'industrie. Il était très occupé, au téléphone, et eut juste un signe de tête vers nous.
Puis vint le tour du « branleur », Faust, beau gosse, tignasse blonde, blouson de cuir, qui tenait à se la jouer cool. Il se montra sympa et amusant, et la belle Simona avait l'air de particulièrement apprécier son charme.
Nous partîmes vers le « caffè Camparino » pour faire plus ample connaissance, devant le meilleur café qui soit au monde.
Notre groupe faisait se retourner tous les hommes...et quelques femmes aussi. Un photographe de mode, en pleine séance de shooting avec un mannequin de chez « Élite », s'interrompit et se précipitant vers Carla, se saisit de sa main, qu'il baisa, et lui remettant une carte : —Mademoiselle, rappelez moi, s'il vous plaît !
Claudia , Honey, Béa, Tamara et Simona eurent droit aux mêmes égards.
Un peu plus loin, ce fut un type en combinaison de ski jaune, qui arrêta Honey —Ciao, sono Marco Biondi, di Milano... Si vous avez un petit moment Mademoiselle, je vous fais découvrir un trésor caché de notre belle ville.
C'est que, Honey, cette morpionne, avait l'air intéressée ! Elle, la découverte des richesses du patrimoine, c'était son truc !
— Dis donc, folasse ! Tu ne crois pas qu'on a autre chose à faire, pour le moment! Allez, viens !
C'était la très belle Claudia, qui usait de son ascendant sur sa gourgandine de copine, pour la ramener à la raison.
Elle attrapa la mignonne par le poignet, et la tirant presque derrière elle, lui fit rapidement rejoindre notre groupe.
Attablés devant un café ristretto d'anthologie, nous discutâmes de la suite à donner aux choses.
Leur faisant remarquer qu'il était dix huit heures passées, je suggérais de nous rendre directement chez la Nonna, chez qui nous étions invités.
— Tous ? Demanda Claudia..
— Oui, on y va tous. De toutes façons, il y a un restaurant juste en bas de chez eux, si on manque de quoi que ce soit, on pourra toujours aller acheter... Pas de soucis. Mais, connaissant la Nonna, je ne pense pas que cela sera utile.
Nous prîmes le café, puis le tram.
Une heure après, la Nonna habitant à l'autre bout de Milan, nous arrivions chez elle.
Le Zio et la Zia étaient déjà arrivés, et discutaient, ma tante avec son père et mon oncle avec la Nonna. Carla fit la présentation des nouveaux arrivants et Claudia se montra charmante avec la Nonna qu'elle accompagna en cuisine, s'intéressant à ce qu'avait préparé la vieille dame. Si la Zia était un fin cordon bleu, sa mère évoluait, culinairement parlant, à un niveau stratosphérique.
Le repas fut gai et enjoué et fut un véritable sommet de gastronomie italienne. Le mari de Claudia, pourtant un habitué des plus grandes tables milanaises, Claudia me chuchota qu'il avait son rond de serviette chez « Il Borghetto », ne tarissait pas d'éloges sur les pappardelle au sanglier et sur le risotto aux cèpes de la Nonna. La vieille dame était ravie et ses yeux en pétillaient de plaisir.
Béatrice qui s'était, d'autorité, assise à coté de Simona, tenait sa main gauche sous la table, un reste d'éducation anglaise, sans doute, et Simona, sa jolie voisine, le regard perdu, alternait sourires gênés et soupirs contenus, et mordait souvent sa lèvre inférieure, en fermant les yeux. Tamara discrètement, observait en souriant, le manège des deux belles coquines.
Au dessert, nous eûmes droit à une Torta della Nonna, la bonne vieille dame ne pouvait pas faire l'impasse...une merveille !
Nous en vînmes à parler de ce qui préoccupait mes compagnons, retrouver leur créateur Maurilio Manara. Ils s'étaient ouverts de leur projet, et chacun était, maintenant, au courant de leur quête : demander à l'auteur de leur existence, l'autorisation d'échapper à l'univers dans lequel ils évoluaient depuis leur création, pour rejoindre le monde des humains : le mythe de Pinocchio revu façon Comics strip, et tous étaient dans l'angoisse de la réponse de leur Geppetto moderne...Encore restait-il à le trouver, car Monsieur Manara menait une existence discrète, retirée dans la campagne Lombarde, presque secrète. Carla, initiatrice du projet, l'idée de départ, était d'elle, s'était enquise de l'endroit où se trouvait sa résidence, mais n'était pas arrivée à la localiser avec précision. Je voyais la Nonna, plisser les yeux...elle avait du mal à suivre la conversation dans ce joyeux brouhaha, étant un peu dure d'oreille.
Elle se pencha sur Carla.
— Vous parlez bien de Monsieur Manara, n'est ce pas ?
— Oui, Madame, il est notre créateur à tous, notre père, en quelque sorte, et nous le cherchons depuis un moment, mais nous ne connaissons pas son adresse, nous ne savons pas où le chercher.
La Nonna eut son beau sourire.
— Eh bien, ne cherchez plus ! Vous avez devant vous quelqu'un qui le connaît très bien : je suis sa cuisinière !
Tous se regardèrent, stupéfaits et ravis. Carla prit la Nonna dans ses bras et lui claqua une bise sur chaque joue.
—Oh ! Nonna ! Si vous saviez le soulagement et le plaisir que vous nous faîtes, enfin, nous allons pouvoir le rencontrer ! Vous savez où il demeure ? Vous nous y conduirez ?
— Mais, bien sûr, je travaille chez lui. Demain matin , à la première heure, je l'appellerai, c'est un bourreau de travail, il commence sa journée avec le jour, ainsi il sera facile de vous rencontrer.
Rendez vous fut pris pour le lendemain et chacun prit congé de nos charmants vieux hôtes, que nous laissâmes se reposer , ils l'avaient bien mérité.
Notre petite bande se sépara devant chez la Nonna, et embrassant Zio et Zia et les cousins, chacun repartit vers ses pénates. Béatrice et Simona prenant le même chemin … Je me retrouvai enfin seul, avec ma merveilleuse petite vicieuse.. Nous rentrâmes au « Savona».
La porte refermée, je m'y appuyai et attirant ma belle Carla à moi , la prit dans mes bras et la serrant tendrement, l'embrassai d'un long baiser passionné auquel elle répondit avec fougue.
Puis, la prenant par la taille, la fis s'installer dans le joli sofa qui faisait face à la fenêtre , me dirigeai vers le bar où je pris le vermouth et lui en versai une généreuse dose, que j'agrémentai de quelques glaçons, je lui tendis le verre et dans une jolie roucoulade, elle s'amusa, une fois encore, de voir le verre , comme suspendu dans l'espace avant de s'approcher d'elle.
— Tu ne m'accompagnes pas... ?
— Je vais faire beaucoup mieux que t'accompagner, ma salope adorée... je vais t'offrir un cocktail de ma composition, des plus érotiques... tu ne pourras plus te passer de ton barman favori...
— Mmh ! Voyons...
Déjà je m'étais assis à ses pieds. Je posai une main sur son genou.
— Ooh... ! Ça... ! Oui !
Je caressai légèrement ses jambes à travers le tissu de sa jolie petite robe et effleurai son ventre, frôlai ses seins, touchai sa joue, sa bouche du dos de mon index. Elle avait renversé la tête en arrière et les yeux fermés souriait , lumineuse. Je m'étais agenouillé face à elle et caressai des deux mains le visage adoré. Je ne me lassais pas d'en admirer la perfection. n bassin me disaient qu'une tension insidieuse montait en elle.
Tout en la caressant, je commençai à lui murmurer des mots tendres et crus, mouillés d'acide, lui répétant à l'envi quelle délicieuse petite salope elle était, lui racontant mon désir de sa peau, de son cul mignon,lui demandant vicieusement si elle me permettrait d'y poser ma bouche et l'adorer de mes baisers les plus lubriques … Par la parole aussi, je voulais provoquer en elle, la montée du désir. Aussi, quel ne fut pas mon plaisir quand je l'entendis dans un souffle :— Ooh...! Continue... Encore...dis, encore !
Alors, je laissai libre cours à mon envie, libérant totalement ma parole et célébrai dans un hymne lubrique et enflammé, le désir fou qu'elle déchaînait en moi.
Carla semblait bercée par mes paroles qu'elle approuvait avec de petits hochements de tête, le regard perdu, murmurant de temps à autre un « Ooh ...oui ! » langoureux.
J'avais entrepris de déboutonner sa robe , alternant avec des caresses qui se faisaient plus appuyées et plus précises et me retrouvai bientôt devant la splendide nudité du corps de ma merveilleuse maîtresse, que la jolie pièce de dentelle du minuscule string exaltait encore.
Je laissai mes mains effleurer ses courbes, lisses, abîmes de douceur, où je me noyais, éperdu de bonheur. Ses soupirs me disaient son désir, son envie de se faire prendre sauvagement. Tout son être se tendait vers la caresse et l'abandon, elle se faisait garce, ma belle, ma tendre, mon amoureuse salope …
     Mes mains glissaient sur ses épaules, frôlant sa poitrine, et descendaient vers ses hanches, glissaient doucement sur son entrejambes, remontant, elles effleuraient, délicatement, son précieux bourgeon, gonflé par le plaisir,         Mes caresses se faisaient parfois griffures, striant sa peau de soie, provoquant spasmes, soupirs et gémissements qui attisaient ma jouissance.
Mes caresses sur la peau satinée de ses cuisses remontaient doucement vers son trésor soyeux que je devinais ruisselant sous la fragile barrière du petit string de dentelle ivoire. Insensiblement , avec de longs soupirs et de petits gémissements, elle s'abandonnait, s'offrait à la caresse désirée, écartant insensiblement ses divines cuisses, s'enfonçant de plus en plus dans le sofa pour presque atteindre la position allongée, dans une attitude d'une délicieuse indécence.
Je prenais tout mon temps , différant le moment que ma belle appelait de toutes les fibres de son corps, déposant de légers baisers sur ses cuisses, faisant crisser ses bas, les léchant même, laissant mon souffle caresser le haut de ses cuisses. Sa respiration se désordonnait, elle haletait de plus en plus fort. Je passai lentement de ses cuisses à son ventre en prenant soin de ne pas toucher à son clitoris, éveillant chaque parcelle de son merveilleux corps. Je glissai mes mains sous ses fesses et approchai ma bouche à quelques centimètres du précieux bourgeon, lui faisant sentir mon souffle sur son sexe, à travers la petite pièce de lingerie que je léchai d'un long coup de langue et que je pris soin de ne pas appuyer. Je la sentais trembler dans mes mains. Elle était à bout.
J'embrassai le satin du haut de ses cuisses, le picorai de petits baisers, alternant avec des morsures que je faisais tendres et posai enfin mes lèvres dans un long baiser sur sa jolie petite motte que dissimulait à peine l'affriolante minuscule pièce de lingerie.
Carla se tendit, poussant son bassin en avant, écarta le doux compas de ses jambes, et renversant la tête, aspirant l'air entre ses dents serrées, saisit ma nuque entre ses de mains , écrasant ma bouche sur son sexe pour en goûter davantage la caresse.
Le joli triangle de dentelle était trempé de sa cyprine dont je me délectai, en imprégnai mes lèvres et ma langue, me propulsant à des summums de jouissance. Alors, Je baissai l'exquis petit string, dévoilant à mon regard les plis nacrés de son bouton de rose, humide désir.
Avec une lenteur étudiée, j'approchai ma langue de son bourgeon incandescent et y posai juste la pointe que je durcis et la maintins, dessus, y exerçant une pression de plus en plus intense. Carla n’en pouvait plus de cette délicieuse torture, et écartant ses cuisses des deux mains, s’abandonna. Son plaisir jaillit dans ma bouche et je me délectai de chacune des éjaculations féminines qui sortaient d’elle avec avidité. Alors, n'y tenant plus, je fondis de ma bouche avide, sur le trésor mouillé, dans un baiser passionné , déclenchant râles et feulements de ma belle, provoquant une nouvelle vague d’éjaculations et lorsque je possédai, de deux doigts réunis, sa tendre armille, une autre série suivit.
Alors que j'abandonnais, à regret, sa douce chatte baignée de cyprine, elle achevait son orgasme caressant mes cheveux, haletante.
— Ooh... ! C'est si bon ! Encore... !Viens... Viens ! Prends moi... ! Baise moi !
Me prenant par la main elle m'entraîna vers le lit, où elle s'abandonna, je fus immédiatement sur elle, la caressant ,l'embrassant avec fièvre.
Carla s'allongea les fesses au bord du lit, je lui soulevai les jambes et pointai mon pieu sur sa mignonne chatte aux lèvres turgides et mouillés de désir, je les écartai de mon gland, jouissant de leur baiser mouillé et lentement pénétrai son vagin, elle râla, "Ohh,oui, doucement, s'il te plait", je continuai à m'enfoncer en elle, sentant l'étau mouillé de son vagin sur mon mandrin, augmentant peu à peu l'intensité des mouvements de mon bassin.
Ma belle feula "Ahhhhh, c'est trop bon, tu vas déjà me faire jouir, ne t'arrête pas... Encore !". Je ne pouvais plus refréner mes mouvements, je la baisai avec violence, il y avait là, quelque chose de sauvage et puissant qui me faisait me déchaîner et lui crier combien elle était belle, combien j'adorais la baiser. Mes mots crus ne faisant qu'exciter son désir, elle se mit à jouir, secouée de spasmes, ses bras enserrant mon torse dans une étreinte convulsive, son orgasme se prolongeant en râles et Voyant qu'elle venait de jouir, je sortis ma mentule de sa chatte et m'allongeai sur le dos, mandrin dressé, l'enjoignant à venir sur moi.
Elle me chevaucha et se saisissant de mon mandrin, le dirigea sur son antre et je la sentis doucement s'y empaler, jusqu'à ce qu'il se soit enfoncé au fond de son ventre. Je la saisis par les fesses et entrepris de puissants aller-retours en elle, elle hurlait son plaisir, mes coups de queues incessants l'affolaient, elle jouit une nouvelle fois, tétanisée de plaisir et de stupre.Elle s'affala de tout son corps sur mon torse et nous restâmes ainsi un long moment, soudés l'un à l'autre .
D'une main je la soulevai légèrement, de l'autre, je dirigeai mon sexe vers son anneau. « Oh, oui... ! Prends moi comme ça... ! » Elle avait émis tant de cyprine pendant son orgasme que sa rosette en était trempée , tout comme mon mandrin, j'abouchai mon gland turgide à sa mignonne ventouse et entrepris de pousser pour me frayer un chemin.
La pénétration fut longue, la faisant geindre, mais je sentais peu à peu son armille s'écarter délicieusement et se laisser remplir par mon membre. " — Oh... ! C'est bon... !Ooh ! Continue, c'est bon!".
J'entamai une série d'aller-retour, courts et lents, elle gémit en se serrant contre mon torse, mon sexe qui bougeait en elle la rendait dingue, je ne retenais plus mes coups de boutoir et je sentais mon membre pénétrer le fourreau soyeux plus profondément encore.
Ses gémissement étaient maintenant continus, ses mouvements s’accélérèrent, j'agrippai ses lobes fessiers que j’écartelai, tendu dans un désir de la pénétrer plus encore.
Ma mentule pénétrait son anneau de plus en plus fort, elle gémissait et émettait dans de longs râles, les manifestations de sa volupté. La tête renversée, les yeux révulsés derrière ses paupières , elle se caressait les seins, et transporté de contempler sa jouissance, je sentais sa cyprine inonder mes cuisses. Lorsque son orgasme se fut calmé, je la fis se retourner. D'une voix que l'excitation hachait, je lui jetai : — Tourne-toi, je veux te voir quand je te prends!
Elle se leva, se tourna et cambra son cul sublime vers mon mandrin, m'offrant la vue affolante de sa mignonne rosette palpitante; je me penchai sur le trésor nacré et l'embrassai avec dévotion, et ne pouvant résister à l'appel, y introduisis délicatement deux doigts dont je contemplai, émerveillé, la douce intrusion dans l'adorable sanctuaire.
Son souffle accourci disait sa tension et la voix tremblant d'émotion et d'impatience, elle me supplia : — Ooh... ! Viens...Viens ! ...Prends moi... !
Je la saisis par la talle et caressant la courbe de ses reins , j'empoignai mon vit et en dirigeai le gland sur son œillet, je poussai doucement, distendant la mignonne rosette, qui résista, pour s'ouvrir et accepter le gland turgide qui la distendait ; je le ressortis pour recommencer , et encore et encore, lui faisant proférer ces puissants soupirs que provoque la pénétration anale. A chaque sortie de mon sexe de son œillet, j'en voyais le tour se retourner tant la pénétration était forte, à chaque lente poussée, il s'enfonçait, docile, semblant m'aspirer dans son abîme d'incandescente douceur.
Subjugué par ce spectacle dont la puissance érotique était telle, que j'en étais littéralement hypnotisé, je continuais de lents et puissants mouvements de va et vient, empalant ma belle victime sur mon pieu; proférant râles, soupirs et gémissements, je la sentais se tendre un peu plus à chaque pénétration. Je la sentais monter, se tendre, monter encore. Alors, dans un hurlement, son orgasme explosa, la tétanisant en convulsions et tremblements inextinguibles. Agrippant ses hanches dans un brutal mouvement d'accaparement, je l'empalai au plus profond, sur mon mandrin, et explosai dans un long râle de jouissance, libérant en elle par violentes saccades convulsives, tout mon sperme.
Feulant les répliques de son orgasme elle s'affala, le visage en avant sur le lit, sa magnifique croupe levée, offrant à mon regard émerveillé, le spectacle de sa mignonne rosette de nacre, dégoulinante de larmes de sperme qui se perdaient le long de ses cuisses.
Elle bascula sur le côté et m'attira à elle.
— Embrasse-moi... salaud...embrasse-moi ! Baise moi encore... !
Je l'attirai à moi, l'enlaçant avec passion, reprenant mes caresses, plus précises, plus chaudes encore; de mes lèvres je pinçai ses tétons, remontai le long de son cou... Jusqu'à son oreille...
— Je vais te prendre... et te faire jouir encore, petite salope !
Je sentais mon mandrin battre contre la douceur de sa cuisse.
Je la sentis frissonner, tendue dans une résistance qu'elle poussait au paroxysme, exacerbant encore son plaisir... retardant le moment où elle laisserait le torrent de son désir emporter ses dernières défenses.
   Mes doigts s'introduisaient en elle, fouillant son intimité,comme bon leur semblait, tantôt dans sa chatte incandescente, tantôt dans son tendre anneau. Elle criait sa jouissance, s'ouvrant à mon désir, sans désormais, plus aucune pudeur, ni réserve. Noyée de plaisir, elle se faisait soumise, implorante. Elle goûtait sur mes doigts, le goût de sa luxure. Et je lisais dans son regard voilé le plaisir intense , que nos jeux lubriques éveillaient en elle, au plus profond.
De sa langue impatiente, elle se mit à me lécher, remontant le long de mon sexe, gonflé par le désir. Elle me léchait, goulûment, puis, arrivée au gland, laissa libre cours à sa convoitise . Elle s'en délectait avec des gémissement s et des bruits de gorge qui m'excitaient au plus haut point, ses lèvres l'enserraient, puis délicatement, elle l'aspirait et l'enfonçait au plus profond de sa bouche soyeuse.
Fou de désir, je la saisis par la taille, l'amenai sur moi, et la fis lentement glisser, sur mon mandrin dressé, sur lequel elle s'empala, dans un long gémissement, m'enserrant de son précieux fourreau soyeux, inondé de cyprine.
Je ressortis ma mentule de son sanctuaire noyé de plaisir, d'un long coup de reins, m'enfonçai en elle, au plus profond, lui arrachant un feulement de jouissance. Elle se cambra, alors, un peu plus, intensifiant ses mouvements, se mettant en rythme avec moi. Dès que je la  pénétrais, elle reculait ton bassin, intensifiant la pénétration Elle avait passé ses bras autour de mon cou, et avec de doux et longs feulements, m'embrassant avec une douceur attentive, elle ondulait, avec de lents mouvements du bassin, alors que je me tendais, de toute la force de mon mandrin, sur ton trésor, moite de désir. Son tendre petit con inondé de ta mouille, son bourgeon turgide, étaient embrasés de désir. Je la pénétrais intensément, profondément, elle ne gémissait plus, elle hurlait son plaisir, elle en voulait encore , encore et encore...et je le lui donnai.
Quand elle atteignit l'orgasme, avec un art consommé, elle parvint à prolonger cet état de grâce, dans lequel nous étions suspendus, tous deux , un lâcher prise total, où toutes nos fibres, unies, baignaient en  un tout, hors du temps, où nos esprits et nos corps, s'unissaient dans un abandon absolu. Elle nous berçait, dans une longue ondulation ataraxique. Combien de temps cela dura t-il... ? Je ne sais. Mais lorsque enfin, je me lâchai,  libérant en elle, dans un long râle, un flot de semence, une sensation de volupté indicible m'envahissait tout entier, tandis que tout mon corps, tendu, se pressait à se fondre, contre l'éblouissement de son  somptueux corps.
Je tombai contre sa bouche, éperdu de gratitude, alors qu'elle achevait de jouir, dans de lentes et douces ondulations, de tout son corps.
Nous nous reposâmes un moment ,nous murmurant des mots tendres , des mots crus, nous promettant les jeux les plus lubriques , un moment apaisés. Cependant, notre soif d'amour était loin d'être assouvie et ce n'est qu'après avoir fait l'amour trois nouvelles fois que ma Carla s'apaisa.
Je la déshabillai, assagie, la caressant encore et l'allongeai près de moi dans le grand lit, où elle s'endormit, dans mes bras.

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