Ma belle-fille (6) se marie ! - histoire érotique

Presque 2 ans de mariage entre ma bru, Nathalie et mon fils. Il faut que je vous conte comment s’est passé ce mariage…. !
Tout commence la veille, en fait. Lorsque les beaux-parents nous reçoivent pour nous éviter l’hôtel. Enfin, la belle-mère a beaucoup insisté, ce qui me fait espérer une petite folie. Vous savez que je suis très intime avec elle depuis un certain déplacement professionnel… Je l’avais presque bousculée pour finir par lui faire perdre délicieusement la tête (je vous avais décrit ce moment d’extase…). Elle a revêtu une tenue trèèèès légère….et son sourire est éloquent. Je profite de la première occasion pour caresser sa taille de guêpe, ses yeux me sourient…m’invitent… L’occasion ne tarde pas pour que, dans un recoin, nos bouches se soudent en un divin baiser….si bref.
C’est que Nathalie est sortie, quelques copines l’accompagnent mais elle sera bientôt de retour ! Alors je sais qu’ensuite ce sera bien avec elle que je tenterai de m’isoler !
Mais sa mère est là, et lorsque je peux à nouveau la caresser, je n’y manque pas. Mes mains sont sur ses fesses, et je sens le bas de son ventre se plaquer contre mon sexe. Qu’elle a envie de se faire prendre !!! il ne reste qu’à trouver le moment… ! Elle provoque hardiment l’occasion en me demandant de venir vérifier son ordinateur « pendant que nous avons 5 minutes ». Dans l’escalier, elle sent mes mains entre ses cuisses, j’en peux plus de vouloir cette femme… La mère de ma petite salope de future belle-fille…. Dans le couloir à l’étage, elle se retourne et ouvre ses jambes pour me laisser la fouiller de trois doigts énergiques….Je chuchote des mots qui la font défaillir
- Cette fois tu ne vas pas me dire que je te force, hein , Lydie? Tu les sens mes doigts ? Ouvre-toi bien… Je veux te mettre ma queue , je veux te sentir jouir… Ce que tu mouilles, tu attendais ce moment, hein ? Dis que tu veux être une salope…. Dis !
- Oui, j’ai envie !
Elle va jouir debout avec mes doigts, ma langue dans sa bouche, plus un mot d’échangé…. Et je sens son ventre qui accompagne mes pénétrations, j’arrache sa fragile culotte, et je sors ma queue…. Je m’enfonce comme un fou dans cette chatte liquide…. Que c’est bon ma douce…. Haaaaaaaaaan … haaaaan …. Haaaan…. Puissamment, je la soulève à chaque élan…. Elle se bouffe les lèvres… et je la pilonne…. Elle jouit si vite… je sens son sexe qui se contracte en un puissant orgasme…. Je veux venir, je laboure, frénétique…. Et j’éjacule en saccades brulantes…. Elle couine…. Ma main vient vite la baillonner….. Vite la salle de bain car nous sommes dans un état…. Sans équivoque…. Elle s’agenouille pour nettoyer ma queue de sa bouche, elle y met tant de cœur…. Je ne débande pas…. Pourtant… il faut bien redescendre…. On va s’inquiéter, on risque de venir… 2 ou 3 clics sur le pc et le petit problème disparait. « Une nuit avec toi… bientôt !! » voilà ce que je lui promets et elle en frémit de plaisir.
Une orangeade au soleil, et bavardages autour de ce mariage, des invités. Blabla quoi ! Le futur marié est avec des potes pour enterrer sa vie de garçon, on en rigole.
Et voilà la princesse qui revient. Court vétue, limite de l’indécence, comme souvent…. Je pense à ce minou à peine caché et surement humide d’envie, comme souvent…comme toujours ???
Elle ne trouve rien de mieux que de s’asseoir sur le bout de mes genoux pour nous montrer ses quelques achats. Je bous !!! Contorsions, d’une fesse sur l’autre, je les vois qui se déforment sur mes genoux, ses reins qui se creusent… la trace d’un string au milieu…je crois que je louche ! Et je crois que je bande….
Feignant de vouloir regarder par-dessus son épaule, je me redresse et me colle dans son dos, ma main est cachée de tous et je peux sentir la courbe de sa fesse dans le creux de ma paume… Délice… Elle se soulève, sciemment, toujours dans la fièvre d’une explication et ma main glisse sous ses fesses, mon majeur peux appuyer sur ce sillon tant convoité. Et bien sûr…elle bouge, remue, se caresse sur ces doigts qui appuient juste là… au centre du désir….Son petit accent méridional est à peine éraillé par les sensations qui montent de son ventre, elle sait admirablement donner le change, elle a ça dans le sang ma petite salope de future belle-fille.
Bon, je retire prudemment ma main et tache de ne plus regarder ce cul divin. J’ai peur que la bosse ne soit trop évidente. Ce n’est pas du gout de la petite garce qui recule son derrière pour s’installer plus confortablement. Sa mère regarde ça avec un soupçon de jalousie. Mais comment suspecter sa fille, la veille de son mariage qui plus est ? Je ne sais pas trop où mettre mes mains… Ne pas paraitre trop intime. Je voudrais vous y voir, une superbe minette, chaude comme la braise sur vos genoux et qui ne demande que d’être tripotée… Devant vous, votre moitié, les futurs beaux-parents, les deux petites sœurs de la future mariée…Ouh la la ! Et il n’y a, autour de la table, que les deux gamines, des jumelles de 16 ans que je n’ai pas touchées !!!
-J’ai envie de piquer une tête ! décrète Nathalie en montrant la piscine. Vous venez ?
Unanimité et chacun va se changer.
Le maillot de ma bru est un appel au viol. Aussi peu de tissu… ses seins débordent, ses fesses sont séparées par cette ficelle…une envie de coït me saisit le bas-ventre. Elle parvient à passer près de moi et sa main attrape le contenu de mon boxer « ne bande pas comme ça, garde ça pour tout à l’heure, j’ai tellement envie que tu me sautes ! »
Je plonge pour cacher mon érection. Pour la calmer aussi. Cette salope a le don de me rendre dingue.
Les jeux dans la piscine sont l’occasion pour la mère et la fille de me toucher, me frôler, me dévorer des yeux. Nathalie, pas dupe car elle sait que je me suis tapé sa mère, me regarde courroucée quand elle voit sa rivale (!!) s’approcher de trop près. Je gère.
Apéro, repas léger, douce soirée provencale….
Je monte mettre un T-shirt. A peine dans la chambre et Nathalie est là, qui me saute au cou, me donne sa bouche, vient jouer avec ma langue, impudique et si fraiche. « suce moi, vite ! » elle ne se fait pas prier, elle est penchée en avant, sa bouche vient engober ma queue…. Mes mains malaxent son postérieur… C’est le bruit d’un pas dans l’escalier qui font fuir la petite… mon pénis se demande où est passé l’écrin qui le suçait ??? T’inquiète… tu auras ton dû, me dis-je !
Allons ! demain dure journée : tous au lit ! décrète le beau-père
Fenêtre ouverte, cigales… je ne dors pas et repense à ces deux femmes si proches. Finalement je m’endors et c’est une main sur ma queue qui me réveille. Nathalie récidive ! Elle est déjà venue dans ma chambre en pleine nuit, mais cette fois c’est la veille de son mariage et chez papa-maman qu’elle se permet ça !
Elle a dû commencer délicatement car ma queue est à son apogée ! Sa bouche vient me lécher puis me pomper… je me suis tourné sur le côté, juste sa tête qui dépasse au dessus du lit ! Elle va me faire jouir cette salope…. Sa bouche est si bonne. Elle aime tellement ça, me sucer…. Ma main caresse son genou, attire sa cuisse, elle se tourne, approche son cul divin…. Ma paume flatte cette croupe parfaite, se glisse entre deux fesses, cherche un petit trou caché pour le masser… et le cul ondule… la main se crispe autour de ma queue… mes doigts descendent et plongent dans sa chatte…. Et je commence un lent va et vient…. Je la connais la petite, je sais comment l’amener au plaisir rien qu’avec deux doigts plantés dans sa foufoune et remuant… savamment !
Elle s’empale elle-même sur mes doigts, c’est trop bon de rester immobile et de sentir son corps qui se masturbe sur mes doigts…. Avant – arrière… avant…. Arrière… et ça clapote. Bruyamment. Trop ! Je la veux. Je lui fais signe de sortir. Et me lève discrètement. Elle me tire par la main jusqu’à l’escalier, on descend. Sitôt en bas, elle enroule ses cuisses autour de la mienne et m’embrasse goulument. Je prends ses fesses, la soulève, elle remonte ses jambes autour de ma taille et s’empale sur ma queue….Je la baise à grands coups, debout, la faisant monter et descendre sur ce pieu qu’elle adore. Sa bouche ne quitte pas la mienne, pour éviter de crier son plaisir… Elle vient dans un orgasme de folie…. Je veux son cul… je la pose, la retourne contre le sofa, la pousse , elle a compris et m’offre tout ! Mon gland sur sa rondelle….Et le bonheur absolu de m’enfoncer dans son antre secrète… Mes mains la tiennent aux hanches, et je l’encule doucement et de plus en plus fort. Pour finir par des saccades intenses tout au fond de son cul….Que c’est bon, petite princesse…que c’est bon de te baiser…
Un baiser fougueux et on se retire prudemment…. Dodo !!!
Le grand jour. Et l’arrivée de la mariée en robe blanche est un grand moment. Elle est absolument divine. Je félicite ...la maman et le papa d’avoir créé une fille si parfaite. Enfin je parle du physique, car ils ont quand même réussi à créer une sacré salope !!!
Je vous passe les détails d’une noce normale. Hormis que je trouve les jumelles de plus en plus …femmes… J’ai un peu honte…
La soirée est déjà entamée, quelques danses avec Lydie la belle-mère officielle de mon fils. Peu de lumière, alors j’en profite pour explorer ce corps tout acquis à mes caresses… Elle finit par me proposer de la rejoindre vers leur voiture, sur le parking du resto. Sa robe est soulevée par mes mains, je suis accroupi, ma bouche lui dévore la chatte… je suis pas confortable, je soulève Lydie, la pose sur le capot, lève et écarte ses cuisses et ma bouche fait merveille… une main sur sa bouche et je l’emmène ou elle voulait aller…au 7e ciel !! mes doigts accompagnent son bassin qui ne cesse de basculer…. Mon majeur s’égare, masse son petit anus et oups ! je pénètre d’une phallange hardie…
Et je tournicote et je prépare le chemin… j’élargis, glisse un second doigt…. Elle est comme folle…. Elle jouit encore et encore….je pistonne maintenant son trou du cul…. Je vais la sodomiser la Lydie… je crois bien
Quand elle ne sait plus où elle en est, je la fait glisser et retourner, collée contre le capot, son cul et sa chatte à la lumière des lampadaires du parking…mmm… ma queue se glisse et je la baise gaillardement…. Pendant que mon pouce vient accompagner le pistonnage dans son petit trou… Et puis je tente mon va-tout… mon gland contre la pastille…je pousse… encore… elle pose ses mains sur ses fesses et les écarte… ahhhhhh je passe la tête de mon sexe dans ce boyau étroit… Doucement… progresser… encore… encore… et quand elle est bien enculée jusqu’à la garde de mes couilles, je lui murmure que maintenant elle est à moi « tu es le premier à passer par là » répond-elle….Oh mes aieux ! Je commence alors à la pistonner . Grandiose ! Je veux lui laisser un souvenir inoubliable de ce moment…. Je me sens si dur, si gros dans ce petit conduit… Elle me serre si fort…. Sa main va, entre ses cuisses…elle va se caresser …. Elle va jouir avec ma queue dans son cul… plus fort...plus vite...plus vite…plus vite… j’accélère jusqu’à cracher mon plaisir dans le cul de la belle Lydie qui échappe un cri dans la nuit…. Une fessée bien sèche pour ce cri !!!
Que c’était bon… je m’essuie avec sa petite culotte…. Je transpire…. Waouh !!! Son regard est plein d’amour… de gratitude…
Et la mariée ? Je garde le meilleur pour la fin : je l’ai admirée tout le jour de loin, un jour extraordinaire pour elle et mon fils…. Je suis resté en retrait. L’admirant car elle est resplendissante, me disant que peut-être la nuit passé fut la dernière fois qu’elle et moi…
En rentrant dans la salle, après avoir si bien pris sa mère… je la vois rappliquer, l’œil vif comme elle sait le faire.
-tu viens de baiser maman, toi ?
-heu…
-arrête !!! et moi ? je compte plus ??? t’es bien un baiseur.
-mais c’est ton mariage, tu voudrais pas….
-justement encore plus ! Invite moi à danser qu’on parle
Et nous voilà sur la piste, quelques applaudissements devant cette scène touchante du beau-père et sa bru qui dansent le slow. Même mon fils y va de ses photos !! Je suis pas très à l’aise ! Mais la belle qui frotte son ventre contre le mien… c’est plus fort que tout.
-ou veux-tu qu’on puisse se cacher ?
-avec maman vous étiez ou ?
-dans le parking, un coin noir mais ta robe blanche….hum, on verra que ça !
-restent les toilettes !
-pas très poétique, Nathalie…je veux pas ce souvenir, tu es si belle ! La plus belle des mariées !
-Attends que je te fasse signe. Finit-elle par dire
On finit ce slow si agréable… et elle s’éclipse !
Plusieurs minutes avant que je ne la vois réapparaitre. Radieuse. Elle va d’un groupe à l’autre, elle étincelle !!! Finalement elle passe près de moi, qui discute avec quelques inconnus sympas, je comprends que je dois la retrouver.
Je vais remplir mon verre et elle me glisse « 2e étage, porte du fond dans 10 minutes » et part dans un grand éclat de rire.
2e étage, porte du fond… C’est une chambre de bonne. Probablement un des apprentis du cuisinier ??? Derrière moi, la porte se ferme, une clé se tourne… Elle est là. Pour moi. Si belle !
Une main sous ses genoux, une autre sous ses épaules, je la soulève comme une plume… Elle me regarde, heureuse. Cet homme à la quarantaine alerte, père de son mari…elle se donne totalement à lui… ce soir, le soir de ses noces ! Je la dépose sur le lit, je penche ma tête, prend ses lèvres. Nous sommes un peu émus, un peu comme si…nous deux….
Posée sur le lit, elle semble encore plus belle… J’enlève doucement sa robe, ses sous-vêtements sont raffinés…
-J’ai très envie de toi lui dis-je
-prends-moi !
Un appel qui me transcende…. Je suis à genoux au bord de ce lit étroit, ma main sur son ventre, ma bouche sur la sienne…. Je remonte et ôte ce soutien-gorge si décolleté, ma bouche vient gouter et darder ces pointes qui m’attendaient, ma main glisse sur le renflement là, entre ses jambes, et comme elle ouvre le chemin, je caresse tendrement ce mont de vénus brulant. Baisers, suçotements… et ma main qui caresse, qui épouse la forme de son sexe, qui glisse à l’intérieur d’une petite culotte hors de prix… Que tu es mouillée petite chérie, que j’ai envie de te boire…
Je glisse la culotte sur deux cuisses fuselées et la glisse dans ma poche. Ma bouche butine son ventre, chaque baiser me rapproche de sa grotte humide. Et quand je pose enfin mes lèvres sur cette proéminence tremblante….je sens deux cuisses qui s’ouvrent toutes grandes, un soupir semblant dire « enfin » ….s’exhale de ses lèvres… ma langue commence ce jeu si divin, je goute, je lape… j’excite sa chatte…elle ondule, son bassin me suit, sa main qui presse ma tête…. Quel nectar…. Je te bois, je te mange, je suis heureux…. Mon majeur vient ajouter un peu de folie, il tourne et s’enfonce en cadence…. La voilà partie dans ce tourbillon qui s’achèvera dans une plainte orgasmique….
Je la veux sur moi, la contempler. Je m’allonge et elle vient me chevaucher…ses seins qui ballottent, ses yeux révulsés, sa lèvre qu’elle mord si adorablement…. Je m’emporte, elle saute si haut pour retomber sur ma queue et chaque fois elle geint… Je veux la voir jouir… je le lui dis… Et mes mains caressent ses seins, son ventre… et je lui donne mes doigts à sucer…. Viens, oui, je vois que … la voila qui explose… oh que c’est bon ce sexe qui se remplit de spasmes autour de ma queue démesurée… viens, penche toi vers moi, mes mains enserrent ses reins et je la matraque de coups de bite… fort, si fort… jusqu’à ce que nous explosions dans un plaisir partagé et violent….
Longtemps je reste en elle, je la sens se contracter pour bien sentir ma présence au fond de son sexe...au fond de son ventre…. Nous nous sourions… c’était parfait
-mais comment as-tu trouvé …ici ? hasardè-je ?
-j’ai demandé à un apprenti « pour une amie ». Et payé …une heure !
Tu es gonflée, ma géniale petite salope… !!
Il nous reste à nous … rendre présentables et je descends le premier, un crochet par le parking…
« ou étais tu ? »
-Voiture, je me suis assoupi je crois !
Le pire de tout ça… c’est que ça c’est passé pratiquement ainsi…. Vous ne le répéterez pas, hein ?