Ma belle fille - TRIO (I) - histoire érotique

Chap II – Faute avouée

Je m’étais mis dans une situation inconfortable, risquée peut être en cédant a mes désirs et à ceux de ma jolie belle-fille. D’un autre côté j’avais confiance dans la mentalité de ma compagne Annie. Je raconterais plus tard notre rencontre, séparée depuis quelques années d’un mari alcoolique et flic (cela ne s’invente pas). Annie avait quitté le domicile conjugal, accompagnée de Danielle à la faveur d’un héritage qui l’avait émancipée financièrement. Mère et fille avaient vécu depuis ces moments libres de leurs envies. Dany finissait ses études aux beaux-arts, Annie avait dû reprendre un emploi puisqu’elle n’avait plus travaillé depuis sa démission de l’administration où elle travaillait. Secrétaire de formation, elle avait trouvé un job dans la grande distribution. Et était chargée de la formation des caissières après avoir été elle-même caissière quelques temps.

Avec Dany mère et fille avaient vécu la belle vie. Annie n’avait jamais été un modèle de vertu et devant l’indifférence de son mari avait multiplié les aventures. Annie est tout sauf sage. Jolie et extrêmement sensuelle c’est une femme aux courbes pleines et a l’allure distinguée. Cheveux courts, blonde quand je l’ai rencontrée, c’est une femme bien en chair. Elle adore le sexe, et je n’ai pas eu grand mal à la faire adopter mes vues sur le domaine. Elle osait essayer tout ce que je lui ai proposé, je n’ai eu aucun mal à la décider à participer à des soirées. Elle avait déjà un peu d’expérience avec deux amants dans le même lit. Elle était fascinée par mes “aventures” passées et ne demandait qu’a tout essayer. Ce n’est pas pour rien que cela fait plus de 30 ans que nous sommes ensemble.

Là j’avais poussé le bouchon un peu loin. Mais je ne voulais pas lui cacher ce qui était arrivé avec Danielle. Sa fille était adulte, nous aussi il n’y avait à mon avis pas matière à provoquer un esclandre de proportion nucléaire. Je me décidais donc à lui parler de ce Week-end passé au lit avec sa fille. Et franchement j’avais envie de remettre ça , Dany aussi. J’avais également conçu le fantasme de mettre les deux femmes dans mon lit. Ce n’étais pas la première fois que j’aurais la mère et la fille dans mon lit c’était arrivé déjà dans le passé. En l’espèce c’était plus tentant et important car il était évident que Annie et moi sauf accident finirions nos jours ensembles. On ne quitte pas une femme que l’on a modelé à son désir. C’est le cas avec Annie, elle a accepté de devenir la femme idéale pour mon plaisir. Elle partage mon gout immodéré pour les partouzes, elle est branchée SM et est devenue quand nous jouons mon esclave ou ma dominatrice selon le désir du moment. Elle porte tous les bijoux intimes que je désirais qu’elle porte. Désir partagé je le précise. Je suis certes très dominateur, mais je répète que je n’ai jamais au long de ma vie forcé une femme ou un homme à faire ce qu’il ne désirait vraiment pas faire. Jamais je n’ai violé une femme ou un homme. J’ai simulé la chose par jeu c’est vrai. Mais ce n’est qu’un jeu accepté de bonne grâce. Avec Annie le fait de coucher avec un /une autre partenaire ne constituait pas un délit, mas on en parlait. Je savais qu’elle avait de temps en temps des aventures. Elle savait que de mon côté çà arrivait. Et fréquemment, on invitait nos amantes et amants a des soirées a plusieurs.



Le lundi donc de ce fameux week-end au plumard avec Dany je me décidais à tout dire à Annie.

- Ah je dois te dire une chose, faire un aveu si tu préfères ma chérie.

- Qu’est-ce que tu as encore inventé !! Qui tu as baisé ? C’est çà où tu as encore acheté une arme (une de mes vieilles passions, la collection, assumée légalement) demanda Annie sourire en coin

- Juré je n’ai rien acheté dis-je

- Bon tu en as déjà tellement tu ne sais plus où les ranger !! Donc tu as sauté qui ? Je la/le connais ? Questionna ma chérie

- Heuuu oui tu la connais bien même et depuis toujours. Dis-je

- Gilles arrête de tourner autour du pot, dis-moi qui c’est. Tu m’inquiètes habituellement tu me dis çà plus directement là tu donnes l’impression d’avoir fait une grosse bêtise. Dis-moi qui c’est !!

- Bon, j’ai passé tout le Week-end au lit avec ta fille, Danielle. J’avais lâché çà avec un soulagement visible.

- Ah oui. Quand même. Là je suis assez surprise. Heu c’est toi qui l’a branchée ou c’est elle ? Demanda Annie très calme.

- Disons que c’est mutuel, c’est parti en plaisantant puis on pouvait plus faire marche arrière. Dis-je.

- Bon tu sais bien déjà que quand on était toutes les deux on a eu des amants qu’on s'est échangés Dit Annie avec un petit sourire. Mais là tu me prends de court. Je n’aurais jamais pensé à çà.

- En plus vous vous ressemblez tellement, c’était étrange et très agréable tu sais. Dis-je

- En plus ça t’a plu on dirait dit Annie sur un ton neutre.

Je me sentais soulagé qu’elle n’explose pas, déjà cela ne partait pas trop mal. Mais je n’étais toujours pas tranquille. Annie n’est jamais colérique, mais elle peut être blessée et le cacher. Je voulais absolument éviter çà.

- Oui elle et moi on a passé de bons moments, tu pourras lui demander. Dis-je

- Oh çà je vais lui poser la question c’est sûr. Mais bon maintenant c’est fait, on ne pourra pas le défaire. Cela me fait tout drôle. Je ne vous imagine pas tous les deux. Bon maintenant, tu voudrais recommencer ? Que je te donne l’autorisation de baiser ma fille ? Dit Annie calmement.

- Je pense que oui, car elle a beaucoup aimé, mais il n’y a pas que çà. Dis-je

- Pas que çà. Je te vois venir, je te connais bien depuis le temps. Je te vois venir, je sais comment tu peux être tordu quand tu veux. Je sais ce qui te fait bander !! Tout ce qui n'est pas ordinaire. Mais tu vas le dire à la fin !! Je sais déjà ce que tu vas me demander. Allez ose dit Annie me fixant des ses yeux bleu marine

- Je pense et elle aussi que l’on pourrait faire des soirées tous les trois. Voilà je l’ai dit, c’est ce que je pense et elle aussi serait partante. Dis-je avec soulagement.

- Ah oui quand même. Heuu tu sais que c’est ma fille, a ma connaissance elle n’a jamais fait ce genre de choses, elle ne doit pas avoir essayé avec la moindre femme. Toi tu crois que ce serait plus facile entre mère et fille ?? Tu es assez osé non ?

- Oui je sais que c’est vraiment strange, mais tu me connais, je n’ai jamais fait dans la simplicité.

- Bon Gilles, mon chéri. Tu m’as convaincu de faire plein de choses étranges, bizarres, interdites par la morale. J’ai accepté et franchement je n’ai jamais rien regretté. Mais là tu me prends de court. Que répondre à çà ? Dit Annie

- Je voulais que ce ne soit pas caché, je ne pouvais pas faire çà dans ton dos, surtout avec Dany. Maintenant tu peux réfléchir rien ne presse. Dis-je

- De toute façon il faut que je parle à Danielle, on doit parler ce n’est pas possible autrement. Je sais ce que tu a dans la tête, je veux voir ce qu’elle en pense Dit Annie. Mais tu te rends compte que Danielle est ma fille, que ce n’est pas vraiment autorisé ce genre de choses. Dit Annie sans s’énerver.

- Enfin si elle avait 14 ans, bien sûr, d’ailleurs il n’y aurait même pas à en parler jamais je n’aurais fait ça, mais elle a 24 ans. Elle fait ce qu’elle veut. Avançais je

- Oui mais c’est quand même ma fille, tu me vois au plumard avec toi et elle ? Ça ne coince pas un peu ? Dit Annie.

- Si tout le monde est d’accord, on est adultes, majeurs on fait ce que l’on veut. Je parle légalement. Rien d’illégal d’avoir des rapports entre adultes. En France on ne peut absolument rien te reprocher si il n’y a pas de contrainte ou choses de ce genre. Dis-je

- En plus tu a creusé la question on dirait. Dit Annie

- Oui j’avoues que ça me tournait dans la tête j’ai voulu vérifier si légalement on était dans les clous. Eh oui c’est possible. Moralement là c’est autre chose, ce n’est pas le genre de chose que tu vas raconter chez ton coiffeur. Finis-je

- Ecoute chéri, je vais parler avec Danielle, on verra plus clair ensuite.

J’étais soulagé de la façon dont c’était déroulé cet aveu. J’avoue volontiers que je m’attendais à une confrontation plus sévère. Pour le moment laissons mère et fille évoquer la situation. Je ne suis pas rentier hélas et le devoir m’appelait. On verrait donc plus tard ce “problème”.

Rentrant du bureau le soir, Danielle et Annie étaient là puisque la fifille venait de s’installer depuis quelques jours dans la chambre d’ami qui est a sa disposition quand elle le désire. Etant assez versatile avec ses copains Dany fait des allez retour entre son appartement et la maison au grès des humeurs.

A table la routine habituelle, atmosphère légère, discussions banales. Si ce n’est que je sens une sorte de malice dans le comportement de la mère et de la fille.

Comme souvent, je suis a mon bureau, je fais le tour des choses habituelles que je gère. Les filles sont dans le salon à regarder je ne sais quelle niaiserie. Ayant quelques recherches a faires avant de marchander une transaction sur un revolver ancien qui me fais de l’œil depuis longtemps. Bref

Vers 23h00 il est temps d’aller se coucher, je passe au salon voir ce qui se trame et là plus personne, elles ont donc décidé d’aller dormir. Je me dirige donc vers la chambre, porte ou verte, et là j’entre et je vois Annie et Danielle enlacées, s’embrassant et se caressant toutes deux nues. Inutile de vous dire que je me suis trouvé instantanément en forme.

- Ah dit Annie tu as décidé de venir te coucher. On t’attendait on s'est occupées avant que tu n’arrives.

- Je vois, j’en conclus que le Week end que j’ai passé n’est pas remis en cause.

- Non maman, passe l’éponge et elle a commencé a me montrer ce qu’on pouvait faire entre femmes. Et j’adore. Dit Danny

- Alors chéri, un autre fantasme qui devient réalité ? Dit Annie.

- Je suis très content que çà se passe ainsi, j’aurais imaginé devoir être plus insistant. Mais c’est mieux ainsi. Et vous voir là toutes les deux, c’est dingue comme vous êtes si semblables.

En effet, mère et fille se ressemblent tant. Annie avec ses bijoux intimes tapes plus a l’œil mais les chiens ne font pas de chats, de chattes en l’occurrence, car elles sont toute deux d’une sensualité exacerbée. Leurs seins lourds appellent les caressent et déjà leurs mains cajolent et caressent doucement.

- Allez mon chéri, viens nous rejoindre tu dois être tout dur déjà dit Annie

- Oui Gilles, viens je suis toute chaude et mouillée, maman viens de me faire jouir, elle a un coup de langue, presque aussi bien que toi beau papa.

Mes deux salopes, sont prêtes a tout on dirait. Dit moi Dany tu aimes les bijoux de ta mère ?

- Oh oui çà à de la gueule, ça me plairait bien aussi dit Dany

- Elle t’a expliqué que c’est moi qui lui ai posé ? Dis-je

- Oui oui maman m’a aussi expliqué que c’est toi qui lui as fait çà Dit Dany posant le doigt sur des marques laissées par la cravache.

- C’est vrai, mais elle t’a dit aussi qu’elle aimait çà ? Rétorquais-je

- Hmm oui elle m’a expliqué, je la trouve un peu dingue mais si ça lui plait. Moi je préfère ce qu’on a fait dimanche, mais là on est deux çà sera plus fatiguant non ?

- Oh ma chérie dit Annie, méfies toi ton beau papa est parfaitement capable de nous fatiguer toutes les deux. Je t’ai raconté ma première nuit avec lui Et que je n’avais jamais connu çà avant.

Je m’étais mis à poil tandis qu’on discutait. Annie me tendit la main pour me faire approcher. Dany avait les yeux rieurs, Annie ce petit sourire moqueur. Elles étaient contentes de ma surprise, le fait est que même si je ne l’ai pas trop laissé voir, je ne m’attendais pas du tout, à retrouver mère et fille dans mon lit. La situation était éminemment excitante. Il est vrai qu'après avoir cédé à Dany ce week end, c’était dans l’ordre des choses, encore une fois Annie me surprenais par cette faculté d’acceptation des choses. Elle m’avoua qu’après mon aveu elle avait tout de suite envisagé de s’amuser avec sa fille, car Annie aime beaucoup les femmes. Jamais elle n’a refusé les caresses d’une femme. Elle est profondément hétéro mais adore les jeux saphiques surtout en compagnie, en présence d’un homme. Même si elle m’a déjà jeté en dehors de la chambre pour consommer certaines amies en duo. Avant de m’autoriser à les rejoindre. Après bien des essais j’ai enfin trouvé une femme qui pouvait me comprendre.

- Viens entre nous deux, on va s’occuper de toi mon chéri dit Annie

- Oui viens Gilles ajouta Dany j’ai très envie de m’amuser.

Je m’allongeais entre la mère et la fille, avec un ensemble presque prémédité elle se précipitèrent vers mon sexe totalement dressé, Annie avait ma queue entre son pouce et son index en anneau à sa base, tirant légèrement sur la peau elle me décalottait le plus possible. J’adore, ayant le frein déchiré on peut vraiment aller très loin. Danielle regardait faire sa mère et posa la question.

- Cela te fait pas mal quand on tire à ce point, je n’oserais pas. Demanda Dany

- Oh ma chérie tu ne peux pas imaginer ce que j’ai pu lui faire subir, ton beau-père est aussi une sacrée salope quand il est soumis. Dit Annie

- Ah oui c’est vrai vous aimez çà. Tu sais maman quand je vois tous les anneaux que tu as çà me donne des frissons, même si je trouve que c’est joli. Excitant même. Dit Dany

- Arrête de parler suces le dit Annie.

- Oui allez un peu de nerf les filles. Dis-je caressant les croupes de mes deux jolies odalisques.

Je dois avouer que la sucette en duo est vraiment maitrisée !! Je bande comme un malade, mes couilles sont massées, Annie n’oublie pas mon petit trou ou une paire de doigt s’approchent de ma prostate. Les bouches se succèdent sur mon gland, Dany adore me lécher comme un esquimau et sa langue fais merveille derrière mon gland. Annie me prends a fond ses lévres touche mon bas ventre mon gland est dans sa gorge, elle bave tellement sur ma queue qu’elle semble couverte de mucus, ce qui ne gêne pas Dany qui elle aussi m’avale de belle manière. Je suis parcouru de frissons. Et maintenant mon gland suinte en continu. Dany adore cette liqueur qu’elle fait remonter en pressant mon urètre avec ses doigts en remontant vers le gland. Une grosse goute apparait qu’elle lape sans plus attendre. Mes deux coquines mouillent allégrement mes doigts qui fouillent leurs sexe brûlants, palpitants et dégoulinants. Mes doigts sont totalement enfouis dans leurs vagins et mon pouce taquinent leur gros clito. Celui de Dany est presque aussi gros que mon pouce. Celui d’Annie est percé d’un assez gros anneau d’or. Elle aime que je le fasse bouger. Je me souviendrais toujours du moment où je l’ai percé sous le contrôle d’un ami tatoueur. Quand l’aiguille a traversé avec la tige. J’ai tout bonnement éjaculé sur la jambe d’Annie et elle a eu un orgasme quand elle fut percée. Alors jouer avec cet anneau est un délice.

Dany et Annie me pompent le nœud avec application mais elles prennent leur temps. Est-ce dans ma tête, j’ai l’impressions de subir la meilleure fellation de ma vie. Le fait d’avoir la mère et la fille à l’œuvre est certainement le petit plus dans ma sensation.



- Allez les filles c’est trop bon, je vais m’occuper de vous maintenant. Dis-je me redressant un peu.

- Dany me repousse sur le lit et dit

- Ah non. Gilles, laisse-nous aller au bout, on veut te faire sur nos lèvres. Et puis peut être une seconde fois dit Annie, tu sais bien que tu le feras facilement.

- Ah oui maman, il est fatigué quand ton homme ? Ce Week end il m’a épuisée Dit Dany

- Il est toujours comme çà. Un vrai obsédé, mais c’est si agréable, tu comprends pourquoi je veux le garder, mais je te le prête. Dit Annie

Je ne pouvais que les laisser faire, elles réagissaient toutes deux à mes caresses. Les chattes étaient trempées et ouvertes, Annie avec tous ses anneaux cliquetait a chaque instant. Danielle sautait comme une carpe a chaque contact sur son clito totalement sorti de son capuchon. Je sentais son corps se tendre de plus en plus. J’avais de plus en plus de mal à leur prodiguer des caresses car les bougresses étaient en train de me rendre fou. Je bande tellement que j’en ai mal, j’ai tellement besoin de cracher que mes couilles gonflées sont douloureuses. Elles lapent l’écoulement qui glisse de mon méat, il est devenu laiteux très abondant et coule tout le long de ma tige dont les veines saillantes sont sur le point d’exploser surtout que Annie serre toujours fortement la base de mon sexe. Elle aime le voir noueux les veines palpitantes. Souvent je porte un cock ring mais pas ce soir.

Quel plaisir de se laisser mener au sommet du plaisir par deux femmes caressantes et là maman et sa fille s’occupe de moi. Immoral ? Surement mais pas selon ma morale, nous sommes trois adultes conscients de la situation. Ceci nous regarde.

Je suis maintenant au bord de l’explosion, Dany aussi est proche du plaisir, mes doigts font merveille sur son sexe, elle aime mes caresses tout comme Annie.

Elles savent que je suis a deux doigts de l’orgasme, c’est évident, elles ont ralenti les choses et font de leur mieux pour retarder ma délivrance. Cela me rend fou, mes coups de reins pour accélérer les choses ne servent a rien. Elles me sucent a tour de rôle, lentement, elles effleurent mon sexe, qui coule en permanence cette liqueur laiteuse qui précède le sperme. Mais là j’en suis presque a me vider goutte a goutte tant elles y mettent tout leur savoir. Annie a le doigté pour me refuser le plaisir, Dany suis les recommandations de sa mère. Je dois me contenir pour ne pas attraper ma queue et me faire jouir. Les frissons sont intenses, le tremble comme une feuille mes oreilles bourdonnent ,, mon sang semble taper dans mes oreilles. Mon cœur s’emballe.

Ma queue est comme tétanisée. Je gémis, pousse des soupirs des cris.

- Ouii Ouiii oh encore oui faites-moi jouir !!! Finissez-moi !!!

- Oh chéri tu vas nous inonder de ton jus dit Danielle entre deux coups de langue.

Et soudain je sens monter dans mon ventre l’orage, la tempête. C’est puissant me submerge. Je crie je gueule en bandant tous mes muscles. Mes coups de rein accompagnent chaque giclée.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhh putain!!!!!!!!!!!! Prenez tout!!!! Je jouissssssssssssssssss salopes

Elles font de leur mieux pour se partager la pluie de sperme, leurs visages, leurs cheveux sont maculés. On entend sur les draps le floc floc du sperme qui retombe. Une paire e giclées retombent sur mon visage et ma poitrine.
Bon sang quel pied ! Je viens d’avoir un orgasme qui me met hors circuit un petit moment, je ne suis que plaisir je ne sais plus ce qui se passe autour de moi. Dany frissonne lourdement et jouis elle aussi en même temps que moi. Annie lui a pris la bouche et elles partagent ma semence et jouent avec Quand je ressors mes doigts de la chatte de Dany, ils sont couverts d’une crème onctueuse, mousseuse que Annie vient lécher sur mes doigts je lui barbouille les lèvres. Mes deux femmes, viennent m’embrasser a tour de rôle, lécher le sperme sur mon visage et même Annie récupère mon foutre épais du bout des doigts avant de le mettre entre mes lèvres.
Annie et Danielle sont collantes à souhait, le baiser a trois est savoureux.

- Tu as bien jouis beau papa me dit Dany.

- Oh ce n’est pas encore fini tu sais, il a encore des réserves. Et je veux le voir te prendre pendant que tu vas me lécher, j’aimes ta langue. Dit Annie

- Oui je veux bien, surtout que Gilles bande toujours regarde, dimanche je me demandais quand il arrêterait de bander, mais non il bande toujours. Dit Dany

- Hé tant pis pour vous mes chéries, je dois avouer que vous m’avez bien vidé. Dany vient sur moi tu en a besoin je crois. Dis-je

- Oh oui je peux dit-elle regardant sa mère.

- Allez en piste la chérie, je vais m’occuper de l’autre face dit Annie

Elle alla farfouiller dans le meuble a jouets et revint avec un gode ceinture qu’elle fixait à sa taille. Un beau gode bien réaliste long et épais. Un pot de lubrifiant a porté de main.

- Tu vas faire quoi maman ? Dit Dany

- Tu n’a jamais été prise des deux côtés en même temps je pense, tu va adorer çà ma chérie dit Annie en lui mettant une claque sur les fesses. Allez monte sur beau papa.

Dany m’enjamba, ma queue pointait vers le ciel, inutile de la guide, sa chatte est trempée, après le premier orgasme elle est parfaitement lubrifiée. Mon sexe entre dans une fournaise, palpitante, ruisselante et d’une douceur de soie.

- Ohhhhh c’est bon dit Dany se prenant les seins dans ses mains et rejetant sa tête en arrière. Comme tu es dur Gilles !!

Spectacle magnifique que ce jeune corps tout en courbe qui se laisse empaler lentement. Mes mains enserrent sa taille. Dany commence à onduler du bassin. Ma queue glisse dans ce sexe juteux qui se serre sur mon gland.

- Quel beau cul tu as ma fille, et ton petit trou a l’air accueillant. Je sais que tu aimes être prise par-là tu me l’as déja dis. Tu ne pensais pas que maman te ferait çà hein ma chérie ?

- Oh oui vas-y pas trop fort il a une belle queue ton homme dit Dany

Annie avait copieusement enduit le gode de lubrifiant. Bien lubrifié la rondelle de sa fille. Elle posa le gode bien contre l’orifice et d’une seule poussée lente elle la pénétrait jusqu’a la garde. Danielle poussa un long cri ou plutôt fort soupir. Qui vint mourir sur mes lèvres quand elle prit ma bouche. Je l’enlaçais, c’était fort pour elle. Elle luttait pour ne pas pleurer mais les larmes remplissaient ses yeux.

- Ohhh c’est fort dit elle me regardant dans les yeux. Bouge plus que je puisse m’habituer.

Je glissais ma main entre nos corps et avec mon pouce mouillé je caressais son clitoris, elle se mit à frémir. Secouant la tête faisant valser sa chevelure. Poings serrés qu’elle agitait dans l’air pour se calmer. Avant de se cambrer. Annie avait planté le gode sans concession je l’avais senti investir la place au travers de la fine paroi entre vagin et ampoule rectale.
Dany reprenait son souffle, je continuais à taquiner son gros clito avec mon pouce. Les mains d’Annie malaxait les gros seins de Danielle, s’attardant sur les tétons qu’elle pinçait et tordait, tout en lui mordillant le cou et l’épaule.

- Oh la la je vous sens fort tous les deux, c’est fou c’est bon souffait Dany haletante.

- Laisse-toi aller ma chérie, tu vas prendre ton pied dit Annie.

Notre trio avait trouvé la bonne cadence. Le gode dans l’anus de Danielle réduisait l’espace pour ma queue dans son vagin et j’étais terriblement serré. Les sensations étaient dingues. La situation me rendait dingue également. J’avais déjà été maintes fois dans ces situations et même avec mère et fille (majeures bien sûr) mais là c’était avec ma femme (même si on n'est pas mariés) et sa fille, un peu bohême changeant de compagnon ou de compagne souvent et venant Souvent se ressourcer chez maman et beau papa. Vivre en faisant du graphisme ou de la peinture ce n’est pas facile, même si on est doué. C’était la solution pour ne pas galérer et cela convenait à sa mère et a moi. Surtout que l’on s’entendait bien, qu’on s’entends toujours bien même si les années ont passé et qu’elle vient surtout pour passer un moment avec nous et non pas parce que le frigo est plein. Et non malgré qu’elle ai une compagne, nous n’avons pas cessé de nous donner du bon temps avec Dany .. La dernière fois remonte à cet été.

Cette première fois à trois est restée imprimée dans ma mémoire. Je prenais conscience de combien je désirais cette jeune femme adorable, la voir prendre du plaisir avec nous c’était un grand moment. Et travaillée par mon sexe et le gode Dany se mit a souffler haleter, ses cris de plaisir étaient puissants vrillant nos tympans. C’était une débauche totale, en plus la température assez élevée de la soirée avait cet effet magique a mon sens de la sueur sur les corps, j’aime les peaux humides trempées de sueur, les courbes de Dany et de Annie soulignées par la fine sueur du plaisir est un régal pour les yeux. De même mon sexe est noyé par le plaisir de Danielle, tout mon pus est inondé et j’étais rasé et elle aussi ce jour-là. Les bruits humides de nos sexes étaient un aphrodisiaque puissant.

- Ohhhh la la je vais jouir !!!! C'est bon !!! Maman tu me rends folle, cas y fort.. Suppliait Dany

- Quelle jolie salope tu fais, ah tu aimes çà te faire défoncer le cul. Dis-le. Dis-moi que tu aimes.

- Ohhhh oui j’aime que tu me défonces le cul fort comme çà oh maman je jouisssssssssssssssssssssssss !!!!

Totalement tétanisée Danielle, son vagin broies mon sexe Cette soudaine contraction me fait jouir moi aussi et je gicle, bien calé, au fond de ce sexe affolé qui convulse. Une main attrape la mienne et la serre, c’est Annie qui me regarde intensément par-dessus l’épaule de sa fille. Toute secouée par des tremblements irrépressibles Danielle se couche sur moi sa bouche sur la mienne dans une série de baisers profonds, de halètement partagé. Le plaisir que je viens d’avoir est vraiment spécial et intense. Cela se renouvelle même encore maintenant quand ça arrive j’adore lui faire l’amour. Annie me taquine en me disant que je suis amoureux d’elle depuis toujours. Je ne pense pas, je l’aime oui comme si elle était ma fille. Moi je n’ai pas eu d’enfants je dois reconnaitre un certain manque. Je compense en la gâtant et en m’inquiétant pour elle. Mais je peux aussi lui montrer mon affection d’une façon peu orthodoxe, mais je ne suis ni un croyant ni moraliste, épicurien oui sans aucun doute. Danielle se dégage et se met sur le dos, cuisses largement écartées, son sexe est grand ouvert son anus aussi.

- Gilles va donc lui nettoyer la chatte tu l’as remplies la pauvre. Me dit Annie avec un sourire que je connais. Pendant que tu la nettoies je vais t’enculer mon amour. Tu vois Dany maintenant c’est lui ma pute. Ajouta Annie.

-Oh oui défonces moi bien ma salope adorée Dis je me mettant a quatre pattes le nez dans le sexe ruisselant de Dany.

En effet mon éjaculation a été copieuse, le vagin largement ouvert vomis des coulées de sperme tout chaud. De mes doigts j’ouvre cette fleur de chair et plonge ma langue dans le mélange de sperme et de cyprine. J’aime le sperme, qu’il soit pris directement depuis la queue d’un ami ou déposé dans le joli sexe d’une belle.

Alors que ma bouche prend le sexe de Danielle comme terrain de jeu. Annie a changer le gode de son harnais pour un beaucoup plus gros. Elle me graisse le cul avec application. Faisait pénétrer du lubrifiant loin dans mon anus. Vu la taille de l’engin c’est plus prudent même si j’ai une grande habitude des hyper pénétrations.

- Tu va pas l’enculer avec ce truc énorme maman. S’exclama Dany.

- Oh mais si tu n'as pas vu sa chatte ? Tu verras apprès… Il peut tout encaisser dans son cul. dit Annie

- Et il aime çà vraiment demanda Danielle

- Oh oui ma chérie j’adore çà tu sais et j’espére que vous alles me fister toutes les deux.. J'aimerais.

- T'est complétement pervers papa... mais tu fais çà si bien. Oh ta langue !!!

Annie pousse le gode dans mon anus. Je m’ouvre largement. L’engin me ramone le cul avec force. Presque instantanément ma queue se met a couler. Mon érection ne faiblit pas mais un long fil de mouille est accroché a mon méat et plus de flux arrive. Je le sens monter dans mon urètre puis s’épanouir en une norme goutte transparente avant de se transformer en ce long fil qui pend au bout de mon gland. Annie est habituée et sans concession elle donne de grands coups de reins, le gode est presque totalement entré en moi. Je commence a perdre pied comme toujours quand on me baise comme çà. Je deviens soumise et salope.

- Ouiiiiii Ouiiiiii encore !!! Défonce moi chérie !!! Je suis ta chienne, ta pute. Éclate-moi le cul !!

- Gilles, mais tu est vraiment dingue dit Danielle en se mettant a genoux devant moi.

Je lui mordille le bout des seins tandis qu’elle attrape mes tétons et les serre violemment. Cela me fait un effet extraordinaire. Je gueule me tortille comme une femelle.

- Viens Dany viens près de moi dit Annie.

Sa fille obéit et me voilà a quatre pattes sur le lit, Annie me défonce la rondelle et Danielle observe. Annie se retire de mon cul, laissant la vision de ma chatte anale a Dany

- Mon dieu, comment on peut avoir un trou du cul comme çà? Dit Danny

- En se faisant défoncer souvent ma chérie. Tu sais il a une bande de copains gay il passe souvent du temps avec eux. Et il se fait dilater par tous dans les soirées.

- Je ne pensais pas qu’on pouvait être dans cet état. C’est excitant et çà fait peur a la fois.

- Met du gel sur tes mains, après je vais te montrer comme le fister ton beau papa. Tu veux bien ? Il va adorer tu sais. Dit Annie

- Oh oui Danielle, fais-le avec ta mère toutes les deux vos mains dans moi ensembles mes chéries allez-y.

(A suivre)