ma belle-mère et moi (chapitre 2) - histoire érotique

Après avoir été surpris par ma belle-mère (voir chapitre 1), le soir même je chauffais ma copine. J'avais trop envie d'elle, de me sentir en elle, faire de longs vas-et-vient en elle, trempée. Elle était particulièrement excitée ce soir-là et nous avons baisé assez fort ensemble, lorsqu'elle mordait l'oreiller pour étouffer ses cris et ainsi éviter que ses parents nous entendent j'enlevais l'oreiller de sa bouche. Je voulais que sa mère entende... Bien qu'elle m'ait humilié plutôt dans la journée elle m'avait demandé de devenir dominant avec elle. Je m'imaginais lui faire tout ce que sa fille ne voulait pas... les pires perversions, tous mes fantasmes pourraient être réalisés avec elle...

Le lendemain, en nous levant pour prendre le petit-déjeuner Marie (ma belle-mère) et son époux sont encore en pyjama en train de déjeuner également. Nous les saluons et nous asseyons à table. Je me retrouve en face de Marie. Je lui souris, mais elle ne me le rend pas. Cela me calme tout de suite. Le petit-déjeuner se déroule normalement et je tente à nouveau quelque chose avec elle: lui faire du pied. J'avance mon pied vers le siens et remonte sa jambe. Elle me regarde, sourit et je sens son pied faire de même. Elle arrive alors au niveau de mon sexe et d'un coup elle tape juste assez fort pour faire mal sur mes couilles. Surpris du coup je sursaute et ma copine me demande si tout va bien, je prétexte alors mettre bruler en buvant mon thé. Je regarde Marie et le sourire présent sur son visage me glace le sang. Je retrouve la dominatrice de la veille. Je commence légèrement à bander et commence à gigoter dans tous les sens pour cacher mon début d'érection. Ma belle-mère sourit et prend la parole.

- Chéri, ça t'embête d'aller seul au marché couvert pour les courses ? j'aimerais faire un peu de ménage, j'ai pas eu le temps de la semaine.

Son mari, le nez dans ses tartines, répond:

- Oui bien sûr, vous voulez venir avec moi vous deux ?

Ma copine répond par le positif et avant que je puisse répondre quoi que ce soit je sens le pied ferme de ma belle-mère sur mes couilles.

- Heu... bah... allez-y tous les deux j'avoue être un peu fatigué de ma nuit j'aimerais bien en profiter pour m'allonger d'ici à votre retour.

Juliette devient rouge pivoine et balbutie un "ok" timide, je souris sachant que mes sous entendues la gène, surtout devant ses parents. Ce sourire est vite effacé par le pied toujours plus insistant de ma belle-mère qui cette fois trouve à son contact un pénis en érection totale... C'est à son tour de sourire.

Ma belle-mère se lève d'un bond et demande à son mari et sa fille de ne pas trainer, les deux se lèvent à leur tour. Ma copine me regarde et me demande:

- Tu viens ?

- Heu... oui je finis juste mon thé, va te préparer je vais prendre mon temps moi.

Elle s'approche de moi, m'embrasse et s'en va dans sa chambre. Je sens une main saisir ma queue, qui commençait à se calmer, et, l'odeur de ma belle-mère me parvient aux narines lorsqu'elle me chuchote à l'oreille: "moi aussi je vais prendre tout mon temps" avant de me mordre l'oreille. A peine sa main retirée ma queue palpite à nouveau de rigidité.

Je finis par redevenir mou et peu enfin me lever et part me brosser les dents. Ma copine sort de sa chambre prête à partir, vient m'embrasser à nouveau, demande à son père s'il est prêt et suite à sa réponse les deux s'en vont. J'entends la porte claquée, je finis de me brosser les dents et sort de la salle de bain. En sortant personne à l'horizon la chambre des parents est fermé. Je toque et entre dans la pièce. Marie est nue elle est en train d'accrocher un soutient-gorge rouge en dentelle très sexy. Je souris bêtement et commence à bander. Je m'approche d'elle.

- Je peux savoir ce que tu fous ?

- Bah... tu m'as demandé d'être dominant et tu m'as dit que la prochaine fois tu m'apprendrais à te baiser... je viens apprendre...

Elle me fait signe de ne pas bouger. J'obéis. Elle enfile le tanga assortie à son soutient-gorge et s'approche de moi. Elle saisie ma queue et mes couilles avec sa main.

- Ouais mais tu vois, je t'ai dit ça avant de t'entendre baiser ma fille comme la dernière des soumises. Tu as fait exprès pour que j'entende c'est ça ? Et bah tu vas voir c'est qui le soumis maintenant. Met toi à genoux chien.

Je bande aussi dur que possible sous cette main douce mais si ferme. Son ton, sa tenue, cette confiance en soit me transperce jusqu'à mon âme, elle peut faire ce qu'elle veut de moi... Alors j'obéis.

- Met-toi nu soumis.

- D'ac...

Je reçois une gifle avant même de finir ma phrase.

- C'est oui madame ou maitresse et rien d'autre c'est compris ?

- oui madame.

Je me déshabille. Je suis à genoux, devant elle debout.

- Toujours aussi grosse ta bite, hâte de l'essayer. Tire la langue.

J'obeis. Elle me crache alors dans la bouche. Puis une autre fois sur mon visage et enfin sur la bite mais elle rate ce dernier crachat.

- Les mains dans le dos et frotte ta bite contre la bave au sol comme un bon chien.

J'obéis. Elle est debout, les bras croisées et me regarde avec un sourire qui lui est propre et qui me fait fondre. Après un moment à frotter ma bite au sol contre la bave elle s'approche de moi et m'ordonne de me mettre face au lit, elle saisie ma queue et commence à me branler très fort, après quelques minutes mes gémissements se font plus fort et je la préviens d'un orgasme imminent. Elle rigole, arrête son geste si plaisant et place ma queue dure et trempée entre le matelas et le sommier.

- Maintenant baise le matelas, mais je te promets que si tu jouis petit chien tu vas le regretter.

Elle s'allonge devant moi ses jambes sont posées sur mes épaules et elle commence à se caresser à quelques centimètres de mon visage par-dessus son tanga. Cette vision me rend fou et je commence à baiser le matelas de plus en plus fort.

- Oh ça te plait petit soumis de voir ta maitresse se caresser devant toi ?

- Oui madame, beaucoup j'aimerais être en vous là, sentir vos parois trempée contre ma grosse bite, vous faire jouir avec ma queue. Je rêve tellement de vous baiser...

- Mmmh tu m'excites salaud... c'est vrai qu'elle est grosse ta bite, je suis sur qu'elle me ferait beaucoup de bien. Mais tu vas tout de même pas baiser une mère et sa fille le même jour non ?

- S'il vous plait madame... désolé pour hier soir c'était idiot, je suis idiot, je vous en supplie laissez-moi vous pénétrer...

Mes vas-et-viens entre le matelas et le sommier font trembler la pièce, mes couilles commencent à me faire mal à force de taper contre le meuble, mais voir ma belle-mère se caresser de plus en plus fort juste devant mon visage m'excites au plus au point et je suis incapable de m'arrêter. Marie commence à basculer son visage en arrière, ses jambes se resserrent sur mon visage et je l'entends jouir comme ça. Son tanga est trempée. Elle reprend ses esprits puis se redresse, elle enlève son tanga et le met dans ma bouche.

- Tu aimes ça bouffer mes culottes non ? c'est pour te récompenser bon chien. Voyons-voir où tu en es plus bas !

Elle sort ma queue du matelas et du liquide pré séminal dégouline de mon sexe.

- En voilà un mauvais garçon, ne bouge pas !

Ma queue palpite, elle se dirige vers le tiroir où j'avais découvert pleins de sextoy la veille et sort de là un lacet.

- Il est temps de dresser la queue du vilain chien.

Et dans un mouvement fluide, avec ce lacet elle sert ma queue et mes couilles très très fort. Les veines de ma bite semblent être sur le point d'exploser et mes couilles deviennent rouge très rapidement. Elle s'approche de moi et me dit:

- Tu veux me baiser ?

Je deviens fou et acquiesce et remuant la queue dans tous les sens.

- Oui s'il vous plait maitresse je veux vous satisfaire avec ma bite... je serais à votre service.

Elle sourit, me masse les couilles qui sont de plus en plus sensibles avec le lacet et tape dessus légèrement.

- Bon d'accord, il faut bien que je vois ce que tu vaux... Mais avant... il faut se protéger.

Elle se lève alors et va chercher des préservatifs.

- Je suis une femme mariée après tout je ne peux pas faire n'importe quoi, surtout avec un soumis en rut comme toi.

Elle me met alors un premier préservatif, puis un second et rigole.

- Voilà, on est jamais trop prudent avec les chiens en rut.

- Mais maitresse... je ne vais rien sentir...

- Tu préfères qu'on ne fasse rien ? très bien c'est ton choix soumis.

Et elle se relève.

- Non non ! Pardon ! Revenez s'il vous plait !!

- Je préfère ce ton la petit soumis, maintenant soit un bon gode humain et allonge toi je vais m'empaler sur ta grosse bite bien dure voir si ça sert à quelque chose.

J'obéis immédiatement et m'allonge sur le dos, elle commence à me chevaucher, attrape ma queue et la frotte contre sa fente humide. Je donne de petits coups de bassin sans m'en rendre compte, trop excité par la scène et le graal bientôt atteint.

- Bon alors, ça fait quoi une grosse bite comme la tienne.

Elle s'empale d'un coup jusqu'à la garde, ses fesses viennent taper sur mes couilles gonflés ce qui mélange douleur et plaisir.

- Oh c'est pas mal du tout dis-moi...

Commence alors une danse sur ma queue ou je n'existes pas, je ne sens pas grand-chose avec les deux préservatifs, mais cela m'excite tout autant et les gémissements de ma belle-mère suffisent à mon plaisir. Ce manège dur plusieurs minutes et Marie commence à gémir de plus en plus fort. Elle s'assoit sur ma queue de tout son poids à chaque aller-retour et accélère le rythme, après quelques secondes elle se fige avec ma queue au plus profond d'elle et joui dans un orgasme puissant. Après avoir retrouvé ces esprits elle se redresse, enlève les deux capotes et commence à me branler fort, très fort.

- Putain elle est bonne ta grosse queue mon salaud, tu vas aller faire des tests parce que la prochaine fois je veux sentir ta grosse bite directement en moi tu as pas finit de baiser avec moi je te le garantis, maintenant joui pour ta belle-mère mon bon chien soumis. Joui pour moi comme un bon toutou.

Et à ces mots je me vide dans une explosion que je ne savais pas possible. Du sperme partout sur mon torse et même sur mon visage. Après plusieurs jets mon sexe commence à ramollir et je tente d'enlever le lacet encore en place, mais Marie me saisit alors les mains, les places au-dessus de ma tête et me gifle les couilles fort, cela provoque un nouveau jet de sperme.

- Tu vas garder ça tout le reste de la journée et ce soir tu viens me voir je vais vérifier que c'est toujours là. Maintenant à la douche va nettoyer tout ce sperme mon chien.

J'obéis, le mélange de plaisir et de honte m'envahis à nouveau.

(Voilà pour cette seconde histoire, je vais essayer d'être plus régulier et de ne pas sortir un chapitre tous les 3 mois... J'espère que ça vous à plus et mon mail est dispo en bio pour échanger !)