ma belle-mère et moi (chapitre 3)

Récit érotique écrit par EmilioEros [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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ma belle-mère et moi (chapitre 3)
Je quitte la pièce, nu, fébrile, terriblement excité et un peu honteux. Honteux de ce que Marie (ma belle-mère) me fait subir. Je ne suis qu'un objet pour elle. Un objet qu'elle domine comme bon lui semble. Je traverse donc le grand appartement nu avec du sperme partout sur mon torse et la queue et mes couilles enroulé autour d'un lacet très serré. Je rentre dans la salle de bain. C'est une grande pièce avec une baignoire et une douche à l'italienne cloisonnée par une grande baie vitré. Je vais sous la douche et commence à faire couler l'eau. J'entends Marie à côté au téléphone.
- Oui, oui aucun problème prenez votre temps. Emilio fait la sieste je crois et je vais me prendre un bain et bouquiner. À toute à l'heure.
Elle entre sans frapper dans la salle de bain et me regarde nu sous la douche elle sourit. Elle met dans la machine à laver son tanga et son soutien-gorge ayant servi plus tôt. Elle s'approche de la baignoire et commence à faire couler l'eau, elle met des huiles et de la mousse. Une odeur de douceur envahie la pièce. Le fait qu'elle ne me prête aucune attention me frustre et une douleur à mon sexe en début d'érection me rappelle qu'il est prisonnier d'un lacet. Mon sexe commence à durcir et la légère douleur du lacet commence à me procurer un plaisir qui accélère mon érection... je me retrouve à nouveau dur devant elle. Elle termine la préparation de son bain, se tourne vers moi et ses yeux ses dirigent vers mon sexe. Elle sourit.
- C'est beau la jeunesse, tu viens à peine d'éjac et tu bandes à nouveau. Mon mari est plus capable de ça. Je ne sais pas s'il en a déjà été capable cela dit...
Elle rigole.
- Tu es propre c'est bon ?
J'acquiesce.
- Bien, maintenant laisse belle-maman profiter de son bain. Compris le chien ?
- Oui madame.
Je me dirige vers la sortie et passe devant elle. Elle me met une claque sur les fesses.
- N'oublie pas, interdiction de te toucher, de toucher ma fille et d'enlever le lacet, c'est compris ?
- Oui Madame.
- Ah et j'oubliais, j'ai mis un petit quelque chose sur le lit de Juliette (ma copine/sa fille) met le.
Je quitte la pièce en silence, la distance entre la salle de bain et la chambre de Juliette semble s'étirer. Qu'est-ce que cela pouvait-il être... J'arrive dans la chambre et je trouve un objet assez fin, long en forme de T. J'avais déjà cherché des sextoys pour homme et donc je comprenais ce que c'était : un stimulateur prostatique. J'avais toujours hésité à en acheter un pour essayer et voir ça à disposition m'excitais terriblement. Je pris le lubrifiant dans le tiroir de ma copine et en appliqua sur le jouet. J'enfonçais un doigt en moi pour la première fois également. En le faisant je repensais à ma belle-mère qui avait enfoncé trois doigts en moi la veille et je commençais à être excité, à 4 pattes sur le lit, un doigt en moi à faire de léger va-et-vient. La sensation était très plaisante et je m'habituais rapidement à ce doigt, la curiosité me poussa à en mettre un second. C'était bon, mais moins bon que les doigts experts de ma maitresse. Soudain le bruit de la porte d'entrée claqua et j'entendis ma copine et son père rigoler. Je me dépêche alors de mettre le jouet en moi. Il rentre facilement car très fin, mais la longueur et plus grande que mes doigts et je le sens taper à un endroit nouveau... probablement la prostate... Cette seconde de plaisir fut troublante, mais je devais me dépêcher de ranger le lubrifiant, essuyer mes doigts et me glisser sous la couette.
J'entends les bruits de pas de ma copine arriver vers la chambre, j'ai à peine le temps de tout faire et de commencer à faire semblant de dormir que ma copine entre doucement dans la pièce. Elle s'approche doucement de moi. Et pose une main sur mon sexe à travers la couette. Une décharge parcours tout mon corps, sentir la main de ma copine sur mon sexe attaché et la possibilité qu'elle le découvre m'excite et provoque un stimuli au niveau de la prostate... Le reste de la journée allait être très long...
- Bonjour... comment on va ce matin... envie d'un réveil spécial ?
- Coucou... non pas ce matin, je suis pas trop dans le mood. (si je veux, mais si tu passes sous la couette tu vas découvrir que je suis le soumis de ta mère...)
- Oh d'accord... pour une fois que c'est toi...
Je sens une déception dans sa voix. J'aimerais tellement la baiser mais je suis bite et couilles liées.
La journée se déroule normalement. Ma copine lit un livre dans sa chambre et révise, je joue aux jeux vidéos dans le salon (il m'arrivait régulièrement de passer plusieurs jours chez eux), le papa a fait une sieste une bonne partie de l'après-midi et Marie a fait du jardinage dans la véranda. À un autre moment j'étais en train de me servir un verre d'eau, elle passait derrière moi, elle a appuyé sur le jouet à travers mon jean en me glissant à l'oreille : " Ce soir, tu vas avoir bien plus gros que ce petit truc en toi". Ce qui a eu pour effet de me faire bander rapidement. Je sentais le lacet se défaire légèrement au fil de la journée et je suis donc allé la prévenir dans la véranda.
- Oh tu as peur de te faire punir vilain toutou ? C'est bien d'être sage comme ça, tu commences à comprendre. Baisse ton pantalon soumis.
- Mais madame, si quelqu'un passe...
Elle s'approche de moi et me saisi la bite avec force, son regarde devient sévère.
- Tu as raison.
Elle part baisser les stores en bois des baies vitrées de la véranda et revient à mon niveau et me reprends les couilles en main.
- Maintenant, dis waf et baisse ton pantalon en tirant la langue sale chien.
- Waf...
Je baisse mon pantalon ainsi que mon boxer en tirant la langue. Lorsqu'elle à cette attitude je ne peux pas luter j'ai beau faire une tête de plus qu'elle j'ai la sensation d'être tout petit dans ce genre de moment. Elle se met à genoux devant moi et prend mon sexe dans sa main, elle enlève le lacet. Mon gland est luisant de liquide pré séminal, elle passe sa main dessus et commence à me branler fort, sans le lacet pour me restreindre je sens mon plaisir monter rapidement.
- Je vais éjac maitresse...
Elle arrête et avec le même mouvement habile plus tôt ce matin revoilà ma bite et mes couilles serré, cette fois encore plus fort, par le lacet.
- Tu as vraiment une grosse bite... attachée comme ça elle parait encore plus grosse... pas étonnant que tu fasses couiner ma fille.
- Madame je ne vais pas tenir s'il vous plait laissez-moi jouir... je ferais ce que vous voulez.
- Ce que je veux c'est que tu ne jouisses pas petite merde. Tu vas être un bon toutou et remuer ta queue nouée maintenant.
Je me retrouve alors à gigoter ma queue devant elle, elle rigole.
- Continue petit toutou.
Elle passe derrière moi et je la sens saisir le stimulateur.
- Tu aimes ce petit jouet en toi ?
- Oui madame...
- Et si je fais ça ?
Elle le retire alors d'un coup, créant un vide en moi... je laisse échapper un gémissement.
- hahaha et bah alors on aime se faire stimuler le cul petit chien. Peut être qu'il faut que je te trouve un amant pour t'initier.
- Non maitresse...
Elle me fesse le cul très fort.
- Tu as dit quoi là ?
- Je veux que vous maitresse.
- Elle enfonce deux doigts dans ma bouche.
- Tu n'as pas compris que tu n'avais pas le droit de dire "non" je crois.
J'essaie de répondre malgré ses doigts dans ma bouche.
- Pardon... maitresse... je voulais... simplement... dire... que je ne voulais... que vous...
- Ta gueule... bouge pas je reviens. Interdiction de remonter ton pantalon !
Elle sort de la Véranda et revient quelques secondes plus tard. Je n'arrive pas à voir ce qu'elle à en main. Elle met sa main à plat devant mon visage.
- Lèche comme un bon chien.
Je m'applique.
- Stop.
Elle remonte mon t-shirt sur mon visage. En ouvrant les yeux je peux voir légèrement au travers en flou.
- Tu vas comprendre ce que c'est qu'une punition.
J'entends un bruit d'eau qui se verse, elle saisie ma queue sans que je m'y attende ce qui me fait sursauter.
- Tu vois, je t'ai dit que ce soir tu aurais bien plus gros, bah tu vas avoir un aperçu maintenant.
Je sens quelque chose frotter mon cul, je reconnais le plastique d'une capote et le froid gluant d'un lubrifiant.
- Respire profondemment.
Je m'excécute et au milieu de ma respiration je sens quelque chose me pénétrer. C'est long et fin, mais plus gros et long que le stimulateur ou des doigts. La sensation me surprend. Je commence à gémir.
- Mais c'est qu'il aime ça le chien.
Et couplé à ses va-et-vient elle tape sur mes couilles avec ses mains. Après plusieurs minutes de ce traitement je me sens venir.
- Madame... je ne vais pas tenir longtemps si vous continuez...
- Très bien, alors j'arrête.
Et elle stop. Créant une immense frustration. Elle renfonce quelque chose en moi que je reconnais être le jouet. Il rentre facilement.
- Rhabille toi petit chien tu ne voudrais pas que ma fille te vois comme ça devant sa mère tout de même !
Je me rhabille, enlève mon t-shirt de ma tête et cherche l'objet ayant baiser mon cul à l'instant. Je comprends rapidement en voyant l'arrosoir avec un préservatif au bout. Je suis excité d'avoir été utilisé de la sorte. Mon coeur bat à la chamade. Mon regard croise celui de Marie. Elle sourit.
- Tu es un bon petit chien sache-le. On va bien s'amuser ensemble.
- Oui maitresse.
Je quitte la pièce.
*Quelques heures plus tard*
Nous finissons de manger le dîner. Je débarrasse avec Juliette. Nous décidons de regarder un film. Pendant le film Juliette est très tactile et me fait comprendre qu'elle à envie de moi. Je lui dit que je ne suis pas trop d'humeur, mais que je me rattraperai demain. Sa mère passe dans le salon de temps en temps et me lâche des sourires pervers qui me glace le sang. Je sens que la soirée va être très longue. Après le film Juliette et moi souhaitons bonne nuit à sa mère. Le père est déjà parti dormir depuis longtemps. Nous allons nous coucher, Juliette s'endort rapidement dans mes bras. J'entends un peu et je me glisse hors du lit et de la chambre sans faire de bruit...
(Voilà pour cette troisième histoire, comme promis j'ai été plus rapide. J'espère que ça vous plait. N'hésitez pas à me le dire en commentaire ou par mail [lien en bio])
- Oui, oui aucun problème prenez votre temps. Emilio fait la sieste je crois et je vais me prendre un bain et bouquiner. À toute à l'heure.
Elle entre sans frapper dans la salle de bain et me regarde nu sous la douche elle sourit. Elle met dans la machine à laver son tanga et son soutien-gorge ayant servi plus tôt. Elle s'approche de la baignoire et commence à faire couler l'eau, elle met des huiles et de la mousse. Une odeur de douceur envahie la pièce. Le fait qu'elle ne me prête aucune attention me frustre et une douleur à mon sexe en début d'érection me rappelle qu'il est prisonnier d'un lacet. Mon sexe commence à durcir et la légère douleur du lacet commence à me procurer un plaisir qui accélère mon érection... je me retrouve à nouveau dur devant elle. Elle termine la préparation de son bain, se tourne vers moi et ses yeux ses dirigent vers mon sexe. Elle sourit.
- C'est beau la jeunesse, tu viens à peine d'éjac et tu bandes à nouveau. Mon mari est plus capable de ça. Je ne sais pas s'il en a déjà été capable cela dit...
Elle rigole.
- Tu es propre c'est bon ?
J'acquiesce.
- Bien, maintenant laisse belle-maman profiter de son bain. Compris le chien ?
- Oui madame.
Je me dirige vers la sortie et passe devant elle. Elle me met une claque sur les fesses.
- N'oublie pas, interdiction de te toucher, de toucher ma fille et d'enlever le lacet, c'est compris ?
- Oui Madame.
- Ah et j'oubliais, j'ai mis un petit quelque chose sur le lit de Juliette (ma copine/sa fille) met le.
Je quitte la pièce en silence, la distance entre la salle de bain et la chambre de Juliette semble s'étirer. Qu'est-ce que cela pouvait-il être... J'arrive dans la chambre et je trouve un objet assez fin, long en forme de T. J'avais déjà cherché des sextoys pour homme et donc je comprenais ce que c'était : un stimulateur prostatique. J'avais toujours hésité à en acheter un pour essayer et voir ça à disposition m'excitais terriblement. Je pris le lubrifiant dans le tiroir de ma copine et en appliqua sur le jouet. J'enfonçais un doigt en moi pour la première fois également. En le faisant je repensais à ma belle-mère qui avait enfoncé trois doigts en moi la veille et je commençais à être excité, à 4 pattes sur le lit, un doigt en moi à faire de léger va-et-vient. La sensation était très plaisante et je m'habituais rapidement à ce doigt, la curiosité me poussa à en mettre un second. C'était bon, mais moins bon que les doigts experts de ma maitresse. Soudain le bruit de la porte d'entrée claqua et j'entendis ma copine et son père rigoler. Je me dépêche alors de mettre le jouet en moi. Il rentre facilement car très fin, mais la longueur et plus grande que mes doigts et je le sens taper à un endroit nouveau... probablement la prostate... Cette seconde de plaisir fut troublante, mais je devais me dépêcher de ranger le lubrifiant, essuyer mes doigts et me glisser sous la couette.
J'entends les bruits de pas de ma copine arriver vers la chambre, j'ai à peine le temps de tout faire et de commencer à faire semblant de dormir que ma copine entre doucement dans la pièce. Elle s'approche doucement de moi. Et pose une main sur mon sexe à travers la couette. Une décharge parcours tout mon corps, sentir la main de ma copine sur mon sexe attaché et la possibilité qu'elle le découvre m'excite et provoque un stimuli au niveau de la prostate... Le reste de la journée allait être très long...
- Bonjour... comment on va ce matin... envie d'un réveil spécial ?
- Coucou... non pas ce matin, je suis pas trop dans le mood. (si je veux, mais si tu passes sous la couette tu vas découvrir que je suis le soumis de ta mère...)
- Oh d'accord... pour une fois que c'est toi...
Je sens une déception dans sa voix. J'aimerais tellement la baiser mais je suis bite et couilles liées.
La journée se déroule normalement. Ma copine lit un livre dans sa chambre et révise, je joue aux jeux vidéos dans le salon (il m'arrivait régulièrement de passer plusieurs jours chez eux), le papa a fait une sieste une bonne partie de l'après-midi et Marie a fait du jardinage dans la véranda. À un autre moment j'étais en train de me servir un verre d'eau, elle passait derrière moi, elle a appuyé sur le jouet à travers mon jean en me glissant à l'oreille : " Ce soir, tu vas avoir bien plus gros que ce petit truc en toi". Ce qui a eu pour effet de me faire bander rapidement. Je sentais le lacet se défaire légèrement au fil de la journée et je suis donc allé la prévenir dans la véranda.
- Oh tu as peur de te faire punir vilain toutou ? C'est bien d'être sage comme ça, tu commences à comprendre. Baisse ton pantalon soumis.
- Mais madame, si quelqu'un passe...
Elle s'approche de moi et me saisi la bite avec force, son regarde devient sévère.
- Tu as raison.
Elle part baisser les stores en bois des baies vitrées de la véranda et revient à mon niveau et me reprends les couilles en main.
- Maintenant, dis waf et baisse ton pantalon en tirant la langue sale chien.
- Waf...
Je baisse mon pantalon ainsi que mon boxer en tirant la langue. Lorsqu'elle à cette attitude je ne peux pas luter j'ai beau faire une tête de plus qu'elle j'ai la sensation d'être tout petit dans ce genre de moment. Elle se met à genoux devant moi et prend mon sexe dans sa main, elle enlève le lacet. Mon gland est luisant de liquide pré séminal, elle passe sa main dessus et commence à me branler fort, sans le lacet pour me restreindre je sens mon plaisir monter rapidement.
- Je vais éjac maitresse...
Elle arrête et avec le même mouvement habile plus tôt ce matin revoilà ma bite et mes couilles serré, cette fois encore plus fort, par le lacet.
- Tu as vraiment une grosse bite... attachée comme ça elle parait encore plus grosse... pas étonnant que tu fasses couiner ma fille.
- Madame je ne vais pas tenir s'il vous plait laissez-moi jouir... je ferais ce que vous voulez.
- Ce que je veux c'est que tu ne jouisses pas petite merde. Tu vas être un bon toutou et remuer ta queue nouée maintenant.
Je me retrouve alors à gigoter ma queue devant elle, elle rigole.
- Continue petit toutou.
Elle passe derrière moi et je la sens saisir le stimulateur.
- Tu aimes ce petit jouet en toi ?
- Oui madame...
- Et si je fais ça ?
Elle le retire alors d'un coup, créant un vide en moi... je laisse échapper un gémissement.
- hahaha et bah alors on aime se faire stimuler le cul petit chien. Peut être qu'il faut que je te trouve un amant pour t'initier.
- Non maitresse...
Elle me fesse le cul très fort.
- Tu as dit quoi là ?
- Je veux que vous maitresse.
- Elle enfonce deux doigts dans ma bouche.
- Tu n'as pas compris que tu n'avais pas le droit de dire "non" je crois.
J'essaie de répondre malgré ses doigts dans ma bouche.
- Pardon... maitresse... je voulais... simplement... dire... que je ne voulais... que vous...
- Ta gueule... bouge pas je reviens. Interdiction de remonter ton pantalon !
Elle sort de la Véranda et revient quelques secondes plus tard. Je n'arrive pas à voir ce qu'elle à en main. Elle met sa main à plat devant mon visage.
- Lèche comme un bon chien.
Je m'applique.
- Stop.
Elle remonte mon t-shirt sur mon visage. En ouvrant les yeux je peux voir légèrement au travers en flou.
- Tu vas comprendre ce que c'est qu'une punition.
J'entends un bruit d'eau qui se verse, elle saisie ma queue sans que je m'y attende ce qui me fait sursauter.
- Tu vois, je t'ai dit que ce soir tu aurais bien plus gros, bah tu vas avoir un aperçu maintenant.
Je sens quelque chose frotter mon cul, je reconnais le plastique d'une capote et le froid gluant d'un lubrifiant.
- Respire profondemment.
Je m'excécute et au milieu de ma respiration je sens quelque chose me pénétrer. C'est long et fin, mais plus gros et long que le stimulateur ou des doigts. La sensation me surprend. Je commence à gémir.
- Mais c'est qu'il aime ça le chien.
Et couplé à ses va-et-vient elle tape sur mes couilles avec ses mains. Après plusieurs minutes de ce traitement je me sens venir.
- Madame... je ne vais pas tenir longtemps si vous continuez...
- Très bien, alors j'arrête.
Et elle stop. Créant une immense frustration. Elle renfonce quelque chose en moi que je reconnais être le jouet. Il rentre facilement.
- Rhabille toi petit chien tu ne voudrais pas que ma fille te vois comme ça devant sa mère tout de même !
Je me rhabille, enlève mon t-shirt de ma tête et cherche l'objet ayant baiser mon cul à l'instant. Je comprends rapidement en voyant l'arrosoir avec un préservatif au bout. Je suis excité d'avoir été utilisé de la sorte. Mon coeur bat à la chamade. Mon regard croise celui de Marie. Elle sourit.
- Tu es un bon petit chien sache-le. On va bien s'amuser ensemble.
- Oui maitresse.
Je quitte la pièce.
*Quelques heures plus tard*
Nous finissons de manger le dîner. Je débarrasse avec Juliette. Nous décidons de regarder un film. Pendant le film Juliette est très tactile et me fait comprendre qu'elle à envie de moi. Je lui dit que je ne suis pas trop d'humeur, mais que je me rattraperai demain. Sa mère passe dans le salon de temps en temps et me lâche des sourires pervers qui me glace le sang. Je sens que la soirée va être très longue. Après le film Juliette et moi souhaitons bonne nuit à sa mère. Le père est déjà parti dormir depuis longtemps. Nous allons nous coucher, Juliette s'endort rapidement dans mes bras. J'entends un peu et je me glisse hors du lit et de la chambre sans faire de bruit...
(Voilà pour cette troisième histoire, comme promis j'ai été plus rapide. J'espère que ça vous plait. N'hésitez pas à me le dire en commentaire ou par mail [lien en bio])
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