MA CHASSE AUX LOUPS - histoire érotique

Je suis parti en chasse, ce soir ! Après quelques heures sans réponse à mon annonce sur le net. Un mec me dit avoir envie d'un plan avec moi. Il me donne rendez-vous à 21 heures sur le parking d'une salle de sports à quelques kilomètres. C'est la photo de mon chibre qui l'a fait se décider. Je n'ai aucune description. Par rapport à son nom , je vais voir sur Facebook, et je découvre un mec de 25-30 ans athlétique, belle gueule. Mon imagination fait le reste. Pour l'heure je suis sur le parking en question. La salle ferme il est 21 heures . Personne à l'horizon. Encore le plan d'un mytho. Je démarre et suis décidé à ne pas passer ma soirée seul. C'est vers un bois que je me dirige, ou je suis certain de trouver une consolation.

Une fourgonnette et deux voitures sont stationnées en bordure. Ce soir je suis en tenue de chasse. Un short en nylon sans rien dessous, des baskets, et un polo. Ma queue frôle le tissu lorsque je marche, et cette sensation met mon zob en forme. Je parcours le bois pendant un quart d'heure sans rencontrer quiconque. Le prédateur de sexe masculin que je suis est en chasse. Au détour d'une allée j'aperçois un mec la quarantaine qui attends. Je fais de même et je le vois se diriger vers un grand barbu à la trentaine qui est le dos appuyé contre un marronnier en contrebas. Le barbu porte un short long et se caresse l'entre jambes. L'autre arrive à sa hauteur et lui baisse son short, pour empoigner sa queue. Je vais les rejoindre en sortant ma queue à mon tour. Le barbu se laisse faire, l'autre lui branle le sexe d'une main et s'astique lui même de l'autre . Il s'écarte à ma vue, moi je vais poser ma bouche sur la queue du barbu appuyé contre l'arbre les mains jointes dans son dos. Et je mouille le méat de ce beau sexe de 18-19 cm bien bandé, recourbé vers le haut, et qui appelle à une prise en bouche. Ma bouche s'active sur sa queue, et ma main droite remonte son tee shirt pour titiller ses mamelons. Il commence à couiner. L'autre mec s'astique toujours et viens me rejoindre pour lui prendre l'autre mamelon entre le pouce et l'index et le pincer. Son bas ventre ondule, plus profondément dans le fond de ma gorge. Le second mec se recule et éjacule sur les orties. Je propose au barbu de le prendre. Il refuse et se dérobe. Je pense qu'il ne veut pas encore jouir.

Cette soirée s'annonce vraiment compliquée. Une dizaine de minutes plus tard, une voiture rouge s’arrête. Un homme de 55 ans environ en sort. Je rentre dans l'allée connue de tous pour être le lieu le rencontre. Il s'avance vers moi. Ma queue est sortie de mon short. Il la saisie au passage. Je plaque ma main sur son pantalon de toile, gonflé au niveau du zob. J'ouvre la fermeture de la braguette et le bouton du pantalon pour venir cueillir un beau sexe lourd et bandé qui doit faire 17 x 5 bien large et sombre. Le mec est typé européen du sud. J'astique sa queue à la main avant d'y poser mes lèvres. Il soupire et aime.
Que sa bite est bonne et bien rigide. Elle sent bon le propre et le savon. Je titille le méat avec ma langue pour l'avaler toute entière et gloutonner son gland lorsque je la fais ressortir .
Lui me branle le jonc. Je lui dit que sa queue est bonne et que j'aimerais la prendre dans mes fesses. Cela l'excite et il ose sa main sur mes fesses, pour insinuer son majeur dans ma fente. Moi je caresse ses cuisses et ses fesses velues, car il est très poilu. Il me dit que j'ai une belle queue aussi. C'est vrai que je n'ai pas à pâlir. 20X5, il y a pire. Je ne me suis pas décris d'ailleurs. J'ai tout juste 50 ans , taille moyenne un peu rond, je suis surtout actif mais j'aime aussi me faire prendre. Je pince ses tétons et il grimace mais en fait il aime cette sensation. Fais moi jouir me souffle t'il. J’accélère la cadence, je le sens. Il pousse un petit cri strident, son sexe durci encore. Et je reçois au même moment mon offrande. Quatre ou cinq jets de semence. Que je garde en bouche le temps de bien lécher son sexe pour qu'il ne s'en échappe pas. Je recrache ensuite son foutre qui a un goût légèrement sucré. Je remonte mon short, lui son pantalon et chacun s'éloigne.

Deux voitures viennent d'arriver simultanément. L'un des mecs entre dans le bois par l'allée principale, l'autre prends une allée de traverse. Le premier marche très vite, et je choisi de prendre l'oblique pour me retrouver très vite au niveau de celui qui avait pris la traverse. Il commence à faire sombre. Je devine sa main s'activer sur son sexe. J'arrive à sa hauteur et remplace sa main par la mienne. Le mec a à peine la quarantaine, grand, visage allongé,1,80 pour 80 kilos, belle queue bien tendue, je dirais 20 x 4, un bon morceau. Il entre sa main d'office dans mon short et commence des va et vient manuels. Ma queue semble lui plaire. Je lui propose de le sucer. Il refuse. A ce moment l'autre mec arrive vers nous, et tombe son pantalon. Il est plus petit 1,65 mètre pour 85 kilos je dirais, visage plus rond, petit sourire en coin, mais petite quéquette fine 16x 2,5 pas plus. Il se met à astiquer le premier, moi j'ouvre sa chemise et caresse son torse. Ma queue est particulièrement dressée, et ne laisse pas le second indifférent puisqu'il la prend en bouche. L'autre ayant refusé également qu'il le suce. L' autre mec a le visage vers le ciel, comme s'il ne voulait pas qu'on le regarde. Est ce la honte ? La culpabilité ? Mais il aime se faire branler et branler lui même d'autres queues. Chacun son trip. Il aime aussi se faire caresser , à croire que ce soir, seuls ceux là sont de sortie. Cela fait bien un quart d'heure qu'il se fait astiquer le jonc. Il pousse un son rauque et se recule. Cinq à six jets drus et vifs sortent de son zob. Quel jet ! Dit on avec l'autre mec, en même temps. Il se rajuste et s'éloigne. Je propose à mon partenaire restant de le prendre.
Oui je veux bien , tu as une sacrée queue, mais je n'ai pas de capote.
T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut.
Il poursuit ses caresses buccales. Mon zob est à son maximum, tellement il me chauffe. Il retire son pantalon et son polo. Nous pivotons face à l'allée. Je vois dans la pénombre le barbu du début , qui vient vers nous. Mon partenaire se baisse, il me tend ses fesses. J'enfile une capote pendant qu'il s'enduit l'anus de gel. Je me positionne derrière lui. Mon sexe se faufile dans son trou. Il pousse un soupir . Et me demande de ressortir.
Putain t'as un sacré morceau
Il remet du gel, et recule sur mon sexe. Le barbu observe toujours à une dizaine de mètres de nous. Mon partenaire le capte maintenant, et lui fais signe d'avancer. Il se paluche le sexe fièrement redressé et toujours recourbé. Pour ma part je commence à entrer. J’entends le mec souffler et j'y vais en douceur. Ma bite n'est pas encore au plus profond. Il se penche davantage, et me voilà calé au fond de son cul. Son antre est chaud et tout en velours. Un bel écrin bien doucereux. Que je suis bien, j'entame de lents va et vient qui le font couiner. Le barbu s'est approché et introduit sa queue dans sa bouche. Quel kif j'adore ce genre de plans. Un qui lime et l'autre se fait sucer. Le barbu s'est à nouveau adossé en passif contre un arbre. Il ne fait qu'offrir sa bite et elle est bien bonne puisque je l'ai sucée avant mon partenaire. Il déglutit , j'entends sa salive qui reflue. Moi je le bourre et les flocs de la capote limant son fion , sont évocateurs de la mouille qu'il produit.
T'aimes ça la bite ? Hein ?... je lui dis.
Il hoche la tête car il est bien trop occupé à téter.
Profites, bien de ma queue dans ton cul et de celle dans ta bouche.
Les onomatopées du barbu ont attirés un nouveau mec ,la quarantaine qui se présente la bite en dehors de son short en jean. Il vient branler la petite queue du mec que je baise. Et lui présente également sa queue. Ce dernier tête désormais deux bites. A tour de rôle, il en branle une pendant qu'il astique la seconde et inversement. Tout cela devient de plus en plus animé, dans cette allée. Un nouveau mec se présente attiré par les soupirs de moins en moins discrets de mon enculé et du barbu.

La soixantaine, il se contente de se masturber en contemplant la scène. Et je lime de plus en plus fort, des coups plus secs pour bien taper le fond. Les à coups le projette sur la bite qu'il suce et je l''entends râler de plus en plus fort. Je maintien ses hanches et lui tape sur ses fesses de temps à autre. Sa seconde main branle sa queue par en dessous. De temps à autre il attrape mes burnes. Tant de mouvements et d'animations, attisent mon désir. Je le baise de plus en plus fort. Je me suis à deux ou trois reprises retiré pour lui demander si tout aller bien, et pour que les voyeurs voient bien mon calibre. Et je l'ai re besogné à nouveau. Tout à coup il se redresse, et relâche la bite qu'il tête, et me dit :
C'est bon j'en peux plus.
Je suis très endurant, et je le comprends. J’ôte ma capote. Des mains autres viennent s'y poser et mastiquent en rythme. Un nouveau mec s'est joint au groupe. Nous sommes désormais sept et le barbu contre l'arbre glousse, plusieurs mains lui malaxent le gland et lui serrent les couilles et les seins. Mon enculé met des coups de langue sur son zgeg entre les doigts qui s'affolent.
J'ai pris ma bite en main et je me branle de plus en plus fort. Tant de mouvements m'excitent au plus haut point. Ça monte, ça va jaillir d'une minute à l'autre. Je ralenti pour faire durer le plaisir. Mais je crois que j'ai atteint le point de non retour. Je sens que je suis submergé. Jambes écartées, flageolant, c'est un moment unique ou je sens tout mon être sublimé. Ma main repart à l'assaut et voilà le moment ou je soupire de plus en plus fort. Tous les mecs se tournent vers moi ou plutôt vers ma queue. Et je déverse plusieurs longs jets de crème onctueuse. Mon enculé pousse un :
Et bien dis donc... Admiratif .
Je reprends mes esprits et vois un mec qui arrive. Le moment pour moi est venu de remballer la marchandise. Je remonte mon short. Et je quitte le lieu. Je ne regrette pas ma soirée. Par contre les moustiques se sont régalés sur mes jambes. Il m'ont bien sucés le sang !