MA COLOCATAIRE ENDORMIE
Récit érotique écrit par Liloo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MA COLOCATAIRE ENDORMIE
Ça faisait un an et demi que je partageais mon appartement avec Louise une infirmière qui travaillait de nuit. Résultat on ne faisait quasiment que se croiser, ce qui était bien pratique pour moi.
Louise était ronde avec un joli minois, elle était aussi très timide. Bien souvent lorsque je me levais pour aller en cours elle dormait, aidée par des somnifères. Je passais devant sa chambre et de temps en temps j’aimais regarder par la porte entrouverte. Elle dormait nue et j’aimais mater ses grosses fesses ou sa poitrine généreuse. Ce matin là, je rentrais d’une nuit bien arrosée, elle était déjà rentrée et dormait. Comme toujours je jetais un coup d’œil dans sa chambre. Elle dormait sur le ventre, une jambe passée dessus les draps. Encore une fois très excité de la surprendre ainsi j’entrais en silence dans la chambre et tirais sur le drap. Je passais la main sur ses grosses fesses.
« Je la touche un peu et je vais dormir » me dis-je.
Je passais un doigt sur la raie de ses fesses et descendais plus bas. Je savais, pour l’avoir souvent vue nue que la sage Louise ne s’épilait pas. Le bout de mes doigts entra en contact avec une petite chatte bien poilue. Dans son sommeil elle bougea et écarta un peu plus les jambes. J’en profitais pour écarter un peu plus ses lèvres charnues et jouais avec son clito. Elle commença à mouiller. Encore plus excité par ce constat j’oubliais ma résolution et introduit mon majeur en elle, surpris je constatais que malgré son âge la belle était encore vierge. Ce qui ne m’empêcha pas de la travailler de mes doigts. Elle poussa un long gémissement. Enhardis je m’installais à genou entre ses jambes, de mes deux mains j’écartais ses globes et de ma langue je suivais sa raie jusqu’à son petit trou. Je l’embrassais amoureusement avant de le lécher du plat de la langue, une fois, deux fois, ainsi de suite jusqu’à ce qu’il soit bien mouillé par ma salive. Je commençais à l’attaquer du bout de la langue, du mieux que je pouvais, l’œillet s’ouvrait timidement. J’étouffais dans son cul mais c’était si bon. La salope mouillais à n’en plus pouvoir mais ne se réveillais pas pour autant, je le regrettais presque.
Je me redressais et sorti mon braquemart de mon pantalon. J’enfilais un préservatif et m’allongea sur elle. Je frottais ma queue entre ses jambes, contre sa chatte. Quand j’estimais qu’elle était bien lubrifiée je présentais mon gland à l’entrée de son petit trou. A ma grande surprise il entra dès la première poussée. Lentement je poussais jusqu’à m’enfoncer complètement. Elle commença à s’agiter sous moi, bougeant son cul contre mon ventre. Je n’osais plus bouger, était-elle réveillée?
Elle n’ouvrait pourtant pas les yeux. Etre dans le gros cul d’une belle endormie, c’est, croyez moi un vrai bonheur. Pourtant au bout d’un moment sans bouger je sentais qu’il fallait que je finisse ce que j’avais commencé. Je pistonnais donc lentement tendis que dans son sommeil Louise gémissait. Je jouis très vite, elle aussi je crois.
Un fois mes esprits retrouvais-je me retirais rapidement et tirais le drap en déposant un baisé sur sa tempe.
« Merci Louise ».
Dans l’après-midi, Louise m’apporta le café au lit et ne me parla pas de l’évènement de la nuit. Seulement en quittant ma chambre elle s’arrêta et dit en se retournant.
« La prochaine fois que tu rentre après moi, passe me réveiller j’aime savoir que tu es bien rentré » Et elle me fit un clin d’œil.
Louise était ronde avec un joli minois, elle était aussi très timide. Bien souvent lorsque je me levais pour aller en cours elle dormait, aidée par des somnifères. Je passais devant sa chambre et de temps en temps j’aimais regarder par la porte entrouverte. Elle dormait nue et j’aimais mater ses grosses fesses ou sa poitrine généreuse. Ce matin là, je rentrais d’une nuit bien arrosée, elle était déjà rentrée et dormait. Comme toujours je jetais un coup d’œil dans sa chambre. Elle dormait sur le ventre, une jambe passée dessus les draps. Encore une fois très excité de la surprendre ainsi j’entrais en silence dans la chambre et tirais sur le drap. Je passais la main sur ses grosses fesses.
« Je la touche un peu et je vais dormir » me dis-je.
Je passais un doigt sur la raie de ses fesses et descendais plus bas. Je savais, pour l’avoir souvent vue nue que la sage Louise ne s’épilait pas. Le bout de mes doigts entra en contact avec une petite chatte bien poilue. Dans son sommeil elle bougea et écarta un peu plus les jambes. J’en profitais pour écarter un peu plus ses lèvres charnues et jouais avec son clito. Elle commença à mouiller. Encore plus excité par ce constat j’oubliais ma résolution et introduit mon majeur en elle, surpris je constatais que malgré son âge la belle était encore vierge. Ce qui ne m’empêcha pas de la travailler de mes doigts. Elle poussa un long gémissement. Enhardis je m’installais à genou entre ses jambes, de mes deux mains j’écartais ses globes et de ma langue je suivais sa raie jusqu’à son petit trou. Je l’embrassais amoureusement avant de le lécher du plat de la langue, une fois, deux fois, ainsi de suite jusqu’à ce qu’il soit bien mouillé par ma salive. Je commençais à l’attaquer du bout de la langue, du mieux que je pouvais, l’œillet s’ouvrait timidement. J’étouffais dans son cul mais c’était si bon. La salope mouillais à n’en plus pouvoir mais ne se réveillais pas pour autant, je le regrettais presque.
Je me redressais et sorti mon braquemart de mon pantalon. J’enfilais un préservatif et m’allongea sur elle. Je frottais ma queue entre ses jambes, contre sa chatte. Quand j’estimais qu’elle était bien lubrifiée je présentais mon gland à l’entrée de son petit trou. A ma grande surprise il entra dès la première poussée. Lentement je poussais jusqu’à m’enfoncer complètement. Elle commença à s’agiter sous moi, bougeant son cul contre mon ventre. Je n’osais plus bouger, était-elle réveillée?
Elle n’ouvrait pourtant pas les yeux. Etre dans le gros cul d’une belle endormie, c’est, croyez moi un vrai bonheur. Pourtant au bout d’un moment sans bouger je sentais qu’il fallait que je finisse ce que j’avais commencé. Je pistonnais donc lentement tendis que dans son sommeil Louise gémissait. Je jouis très vite, elle aussi je crois.
Un fois mes esprits retrouvais-je me retirais rapidement et tirais le drap en déposant un baisé sur sa tempe.
« Merci Louise ».
Dans l’après-midi, Louise m’apporta le café au lit et ne me parla pas de l’évènement de la nuit. Seulement en quittant ma chambre elle s’arrêta et dit en se retournant.
« La prochaine fois que tu rentre après moi, passe me réveiller j’aime savoir que tu es bien rentré » Et elle me fit un clin d’œil.
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