Mon colocataire endormi... - histoire érotique

Je m'appelle Louise, je suis infirmière, je travaille principalement de nuit. Depuis un an et demi je partage mon appartement avec Rémi. Avec mes horaires et le fait qu'il soit étudiant on ne fait bien souvent que se croiser.
Ca fait plusieurs mois que je surprends Rémi entrain de me mater durant mon sommeil. Il sait que je prends des somnifères pour mieux dormir, mais il ne sait pas que c'est juste de temps en temps. Ca ne m'a jamais gênée, au contraire, Rémi est beau garçon et je me suis sentie flattée. Jusqu'au matin où il est allé trop loin. Certes j'avais pris beaucoup de plaisir, mais ça méritait vengeance.

Quelques semaines plus tard, je profitais que nous ayons une soirée libre commune pour mettre mon plan à exécution, c'était simple, je profitais que nous prenions un apéritif pour assaisonner son whisky coca de somnifère. Je sais, ce n'est pas très sympa, mais la dose était assez légère, juste de quoi l'assommer un peu. Contrairement à lui j'aime que mes partenaires soient "actifs". Après le repas, constatant qu'il piquait sérieusement du nez devant la télé je lui conseillais d'aller se coucher. Je le rejoignais quelques minutes plus tard dans sa chambre. Il n'avait pas eu la force de retirer son jean, et s'était endormi allongé sur le dos. Il dormait comme un bienheureux.
Adossée au chambranle de la porte je le contemplais de longues minutes, comme lui-même en avait l'habitude. Il était vraiment très bien fait, musclé mais pas trop, je souriais à l'idée de pouvoir embrasser chaque centimètre carré de son torse si tentant, voire plus. Ni tenant plus je m'approchais du lit et me déshabillais, ne gardant qu'une chemise, pudeur oblige. Je m'allongeais sur le flanc près de lui. Doucement je passais le bout de mes doigts sur son visage, ses sourcils, sa joue, sa bouche sur laquelle je posais mes lèvres tendit que ma main passait sur son fameux torse. Dans son sommeil il entrouvrit la bouche, j'en profitais pour y passer ma langue. Etait-il dans un rêve ? En tout cas sa langue répondit à la caresse et nous nous embrassâmes. Ma main continuait son chemin, buta contre la toile du jean, descendit plus bas et constata que tout ne dormait pas chez mon charmant colocataire.
Excitée par cette réaction, je passais à califourchon sur lui, ma chatte nue contre la bosse de son pantalon. Il remua un peu le bassin tendis que je passais la langue dans son cou. Lentement je passais les mains sur ses épaules, suivais la ligne de ses bras. Il se réveilla un peu, entrouvrit les yeux.

"Louise? C’est toi ?"

Je posais l'index sur ses lèvres.

"Chut."

Je lui pris le poignet droit et ramenais son bras au dessus de sa tête. De l'autre main je pris un des bas que j'avais emmené avec moi. Je lui attachais le poignait au montant du lit. Il était alors tout à fait réveillé mais ses muscles encore gourds de sommeil je répondais pas tendis que je faisais de même avec le bras gauche.

"Mais qu'est-ce que tu fais Louise?
-Je rends la monnaie de ta pièce Rémi. A la différence que moi je préfère que tu sois réveillé, dis-je en le regardant droit dans les yeux.
-Je...Je suis désolée, j'étais ivre, je suis vraiment désolé, si tu veux je peux quitter l'appart'.
-Chut, répétais-je, mes lèvres collées aux siennes, si ça m'avait tant déplu ne t'inquiète pas que je t'aurais mis dehors séance tenante. Maintenant laisse moi profiter de toi"
Je cru qu'il allait protester mais pour toutes réponses il m'embrassa. Ses bras entravés n'en rendaient que plus agile sa langue. Il visita ma bouche voracement et grogna de frustration lorsque je quittais ses lèvres. Je me fis glisser lentement jusqu'à arriver à hauteur de sa braguette, que j'ouvris. Il se leva un peu pour que je puisse retirer son jean. Il était en boxer et la bosse qui le déformait était encore plus impressionnante. J'embrassais son sexe à travers le tissu, remontais jusqu'à son nombril dans lequel je faisais jouer ma langue. Il s'agita sous moi, fermement je coinçais ses genoux entre les miens.

"Tout doux, ou je ne sais pas si je sors ma nouvelle amie de sa cage.
-Louise ! Cria-t-il d'un ton suppliant et impuissant.

Je le regardais d'un air goguenard tendis que deux doigts s'insinuaient lentement sous l'élastique du boxer. D'un geste brusque il souleva le bassin, dans le mouvement le boxer descendit et libera son sexe. Je me redressais et dégluti avec peine. Un moment je fus effarée de ce que je faisais et de l'effet que je produisais sur Rémi. Ce fut à lui de me regarder d'un air goguenard.

"Si tu veux on peux arrêter tout de suite, si madame n'assume pas ses bêtises."

Je secouais la tête.

"Alors continue Louise, n'ai pas peur. C'est toi la maîtresse du jeu, il ne peut rien t'arriver."

Pour confirmer il tira sur les liens. Très vite je reprenais mes esprits et le débarrassais du boxer. Je me reposais à côté de lui, la tête sur son ventre, la bite dans la main que je caressais lentement.

"Je n'en reviens pas que tu ais osé me la mettre dans le cul, elle est énorme!"

C'est vrai que sans être hors normes elle était très large.

"Prends la dans ta bouche, s'il te plait, je veux te voir la sucer."

En temps normal je ne suis pas adepte de la chose, mais j'étais fascinée et puis... c'est vrai qu'elle me faisait envie. Je m'installait de biais et ramenais mes longs cheveux derrière l'oreille de sorte qu'il puisse me voir sucer, aspirer son gland. Du bout de la langue je titillais son méat, puis son frein. J'alternais sucions et aspirations, puis m'enhardi à prendre sa bite en bouche, entièrement. J'allais et venais, il écarta les cuisses.

"Hum continue, j'adore sentir tes cheveux caresser mes couilles."

Je senti ses muscles se contracter et le goût salé de la première goutte sur son gland. Sans prévenir je me dégageais prestement. Il râla.

Lentement, en le regardant dans les yeux, je passais une jambe par dessus ses hanches, je remontais lentement mon visage vers le sien. Un petit sourire satisfait aux lèvres.

"Tu ne pensais pas que j'allais te finir ainsi? Moi aussi je veux ma part!"

Je clôturais ma phrase d'un baiser. Pendant ce temps, mon bassin en suspension au dessus de son sexe, je masturbais mon clito du bout de son gland.

"Retire ta chemise, tu peux pas me baiser habillée, je veux voir tes nibards danser."

Je secouais la tête négativement.

"Je préfère rester comme ça"

Et enfin, tenant la base de son sexe, je m'empalais sur lui. Il m'emplissait tellement que j'en écarquillais les yeux de surprise. C'était tellement bon, j'avais peur de jouir instantanément. Je m'affalais presque sur son torse, la bouche à son oreille je lui susurrais à quel point c'était bon de le sentir dans ma chatte. Je le massais de mes muscles intimes. Il demanda de le détacher. Ce que je fis sans m'en rendre compte. Il posa ses mains sur mes hanche tendis que je me redressais. De ses mains il m'imprima son rythme. Il coulissait en moi avec une facilité déconcertante, je me cambrais un peu plus afin de le sentir buter au fond de moi. Ses main s'égarèrent sous ma chemise et vinrent pétrir mes seins.

"J'adore tes gros nichons, ils me font bander comme un cerf."

Ce disant d'un coup brusque il arracha ma chemise. Je fus surprise, mais trop déchaînée sur sa bite pour vouloir m'offusquer. Il repris possession de mes seins et en en pinçant les bouts il les attira à son visage. Il les compressa vivement, me procurant une douleur vive qui m'excita encore plus. Ma chevauchée était encore plus rapide, j'approchais de l'orgasme. Quand il en prit les tétons tendus entre ses dents...
D'un coup je perdis totalement pieds, des étoiles dansaient devant mes yeux, je basculais la tête en arrière et criais ma jouissance. Il mordit encore mes bourgeons tendis qu'en trois coup de reins qui faillit m'ouvrir en deux et il jouit à son tour...