Ma cousine Amandine 17.

- Par l'auteur HDS Coquine3618 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma cousine Amandine 17. Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Ma cousine Amandine 17.
Et avant de continuer plus loin mon récit, je voudrais vous faire part de ma stupéfaction! Ce jour je viens de tomber sur une histoire sur HDS d’un certain Surcouf, aller la lire je suis dedans, voilà que je n’ai plus besoin de les raconter moi-même !

Surcouf, je le connaissais comme corsaire, mais en fait c’est un vrai pirate, un drôle de flibustier, un forban, un fripon, une fripouille, un écumeur des mers, et pas seulement, il écume aussi par un autre endroit mais je le laisse vous raconter notre aventure, je lui pardonne, il a une si belle plume que je ne lui fais aucun reproche et même je l’encourage à poursuivre car si je suis une coquine, lui aussi est bien mon penchant au masculin.

MARION
- Sais-tu ce que c’est ? Demandé-je à Amandine, en exhibant une petite boîte et en y retirant un petit sachet.

- Non, me fait-elle avec franchise et rougissant de nouveau.

- C’est des capotes, lui enseigne Camille.

- Et qu’est-ce qu’on fait des capotes ? Renchéris-je.

- Je ne sais pas, me répond elle innocemment.

- Et bien on les met sur les queues des garçons, dit Camille, pour ne pas avoir de bébé, tu n’en veut pas tout de suite ? Et en plus cela protège de certaines vilaines maladies, tu n’en veux pas non plus ?

Amandine commence à comprendre où l’on veut en venir et elle est très enthousiasme à notre proposition.

- Oui mais auparavant il faut redresser les barres et hisser les pavillons ( coucou Surcouf ), complété-je.

- Avec des petites pipes ça devrait aller, conseille Camille, ça tombe bien nous sommes trois filles pour trois pines.

Elle saute déjà sur l’occasion, bon en même temps je n’en suis pas fâchée, une pipe après le repas ça aide à digérer, c’est comme une camomille, mais en plus aphrodisiaque.

Camille prends Théo, ah elle l’aime la bite de Théo ! Je laisse le choix à Amandine qui élit Hugo et moi il me reste Alexis, je ne l’ai pas sucé depuis la dernière fois qui fut la première chez ce libertin de photographe.

Camille nous donne le départ, 3 , 2,1, go.
La compétition fait rage, laquelle d’entre nous va remporter la bite d’or de la meilleure pipeuse de la maison, en attendant de se présenter au championnat de France et pourquoi pas au championnat du monde.

Les garçons, eux, relax Max, tranquille Émile, à l’aise Blaise se laissent faire avec bonheur. Nous les choisissons pour arbitrer ce match, en deux temps trois mouvements nous arrivons toutes à un résultat prometteur, à cet âge les garçons réagissent au quart de tour. J’ai connu des plus matures beaucoup plus long à la détente, mais c’est une autre histoire.

- il aurait fallu une photo finish et nous n’avons pas pensé à cela, déclare Théo en riant.

- Match nul, ajoute Hugo.

- Vous êtes toutes les trois médaillées d’or dans nos cœurs, dis Alexis.

Quel charmeur cet Alexis, il sait parler aux filles, il a une bite plus mince que ses deux concurrents et c’est lui que j’ai choisi pour inaugurer le nid d’Amandine, et mettre son petit Jésus dans la crèche. Et je fais donc coucher la demoiselle sur le dos au-dessus d’un confortable matelas de coussins pour son plus grand bien-être.

- Alexis, viens donc entre ses jambes préparer sa salle des fêtes, Dis-je et toi Camille cesse de brouter la tétine de Théo tu vas l’estropier. Pour lui faire lâcher une bite quand elle l’a dans la bouche, c’est mission impossible avant qu’elle est reçu sa dose de lait, mais là, pour Amandine elle devient raisonnable et abandonne tristement son jouet.

A peine attablé, Alexis nous informe :
- Amandine est déjà toute mouillée !

Et en effet il écarte légèrement ses grosses lèvres et nous voyons que l’intérieur est bien humide. Il poursuit tout de mêmequelques instants le débourrage de la pouliche.

- Ça va passer comme une lettre à la poste, viens mon grand que je t’équipe, ordonne Camille en ouvrant le sachet d’un préservatif. La perverse en profite évidemment pour toucher et branlotter la queue que lui présente Alexis. Il n’a pas besoin de cela avant d’enfiler sa protection, mais elle ne peut pas résister, elle va même jusqu’à donner quelques coups de langue dessus en me regardant, et mon regard noir la stoppe dans son élan.

- Observe bien comment on emballe le saucisson, dit-elle à Amandine.

Sa dextérité à faire la chose nous prouve qu’elle a l’habitude de coiffer Popaul, elle teste avec la main si tout fonctionne bien et va même jusqu’à la reprendre dans la bouche et faire quelques va-et-vient.

- Ça va, bien à l’aise? demande-t-elle à Alexis.

- Parfait, répondit-il, reste plus qu’à aller au fond des choses et croquer la pomme.

- Ne te crispe pas, conseille t-elle à Amandine.

Et pour la décontracter, elle l’ embrasse avec fougue, pendant qu’Alexis frotte le bout de sa bite à l’entrée de sa grotte, il luichatouille le fourreau de son clito. Ses petits sursauts nous informent qu’il a mis dans le 1000. La cochonne est clitoridienne !
La boîte à ouvrage dégouline de plus belle, ça doit bien être lubrifié là-dedans, Alexis tente une première visite, il est très prudent et il y va doucement à tâtons, se retire légèrement et poursuit son exploration. Nous observons déjà que plus de la moitié de la bite a disparu.

- C’est dedans ? Demande effarouchée Amandine.

- Oh oui c’est dedans, fait Camille, et bien dedans.

Amandine arbore un large sourire, sa décontraction a grandement facilité la chose. Camille, se positionne derrière Alexis et elle donne la cadence en malaxant ses fesses et même par-dessous elle lui touche les couilles.

Amandine n’est pas insensible au ramonage de sa cheminée, elle soupire de plaisir, je prends sa main et touche ses seins avec mon autre main, je sens son petit cœur palpitant, et ma bouche s’approche de la sienne et elles s’unissent dans un langoureux baiser.

Camille accélère le mouvement et nous pouvons entendre un léger gazouillis prouvant que l’étui est parfaitement huilé, mais après une pipe, un cunni et un rodéo, notre Alexis montre quelques signes de fatigue.

- Aller au suivant, ordonne Camille en se tournant vers deux loustics qui piaffent d’impatience.

A suivre.

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Texte coquin : Ma cousine Amandine 17.
Histoire sexe : Une rose rouge
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