Ma déchéance

- Par l'auteur HDS Dual -
Récit érotique écrit par Dual [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Ma déchéance Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma déchéance
Chapitre 1

C’était la énième dispute, depuis 3 ans que je ne bandais plus, suite à mon accident, ma femme qui avait toujours eu de gros besoins sexuel me reprochait encore mon état. Je l’écoutais penaud, jadis dominateur nos rapport avaient évolués. Le manque de sexe rendait ma femme acide.
-J’en ai marre, je ne me suis pas marié à un canard de bain, j’ai besoin d’une vrai grosse bite. Si tu crois que je vais me contenter des petites léchouilles que tu me dispenses, soit dit en passant parcimonieusement, tu te fourres le doigt dans l’œil. Je vais aller sur internet me recruter un gros chibre.
Je savais depuis longtemps déjà que cela finirait par quelque chose comme ça, aussi je n’opposais pas trop de résistance. J’essayais seulement de négocier ma présence, qui même en simple voyeur me donnerait l’impression de participer à ses jeux sexuels.
« Couple. Lui impuissant cherche grosse bite pour contenter madame affamée devant monsieur. »
Avec une annonce comme celle la elle ne risquait pas d’attirer des prix Nobel, mais après tout ce n’était pas le cerveau qu’elle souhaitait voir irrigué.
10 minutes après elle reçu une photo d’un homme nu, le membre impressionnant au garde à vous. En voyant la photo ma femme sauta de joie et se dépêcha d’envoyer une photo salace d’elle. Il répondit presque instantanément, et rapidement rendez vous fut pris chez nous immédiatement. ½ heure après il sonnait à la porte. Il me toisa du haut de son mètre 90.
-Alors c’est toi le mari impuissant même pas capable de faire reluire bobonne. Je vais être obligé de faire le travail à ta place.
A ma femme il se présenta comme Hubert. Ce mec me méprisait et c’était encore plus humiliant.
Le temps que j’aille chercher des rafraichissements et je les retrouvais enlacés, la main de ma femme palpant l’entrejambe d’Hubert qui devenait de plus en plus volumineux dans son jean maintenant trop petit. Elle se laissa glisser par terre et entreprit de le débarrasser de ce qui était devenu un carcan. Il ne portait pas de sous vêtements et son membre jaillit fièrement. Il avait fière allure, bien proportionné, épais bien sur, mais la longueur rattrapait l’harmonie. Il devait faire 20 bons centimètres. Je n’étais pas expert mais je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Ma femme gloussait à ces genoux visiblement transportée par la vision qui s’offrait à elle. Hubert savourait son petit effet.
-Tu vois le cocu, la réaction de ta femme face à une belle bite. On voit que ça fait un bout de temps que tu ne l’as pas fourré. T’es vraiment une lopette. Ma femme me regardait par en dessous avec un petit sourire qui montrait son plaisir à me voir humilier de la sorte. J’aurais du réagir mais je vis dans les yeux de ma femme que si je lui faisais perdre sa gourmandise elle ne me le pardonnerait pas. Je baissais donc le regard et me tut. Pendant ce temps ma femme avait pris en bouche le sexe d’Hubert, mais il faut bien avouer à peine le gland. Le sexe était bien dur et visiblement ma femme était excitée comme jamais. J’imaginais sous sa mini jupe, sa petite chatte ruisselante. Elle escalada Hubert pour venir se placer à califourchon sur l’obélisque érigé. Je la vis descendre lentement d’abord puis se laisser tomber brutalement en poussant un cri rauque. Mon imagination avait du être limité, car pour avaler un tel membre il fallait qu’elle soit sacrément mouillée.
-Putain ma cochonne tu es serrée, mais t’inquiète pas j’aime ça
Céline ne répondis pas, Je ne sais même pas si elle l’entendit tant elle baignait dans la volupté. Elle montait et descendait en douceur en poussant de petits cris aigus. J’avais beau être consentant, je ne pouvais m’empêcher d’être jaloux. Si j’avais pu foudroyer Hubert à l’instant je crois que je l’aurais fait. Au lieu de cela, il sortit de ma femme afin de la positionner en levrette Il en profita pour faire sauter la minijupe, comme je m’en doutais ma femme n’avait pas mis de culotte et l’intérieur de ses cuisse luisait de cyprine.
En se déshabillant Hubert sortit un billet de20€ de sa poche.
-Tiens le cocu pendant que je fais reluire ta moitié va me chercher des clopes.
Je fulminais mais néanmoins je m’entendis demander :-Quelle marque ?
Il me toisa et je partis penaud en baissant la tête sous les gloussements de Céline.
Je revins un quart d’heure après et la chevauché fantastique continuait. Ma femme avait un orgasme dévastateur, elle avait les traits tirés et semblait épuisée.
Et bien ma jolie, 3 orgasmes quand même !! Hubert me regardais avec un sourire narquois. Il la besognait en levrette et la pénétrait bien à fond ce qu’il m’invita à constater en me couchant sous elle. Il me fit bien sur d’abord me déshabiller et se moqua allégrement de ma bite molle. Je ne sais pas pourquoi ce type antipathique me faisait me plier à ses 4 volontés mais une force obscure me paralysait Moi qui habituellement était assez autoritaire, je me trouvais à présent humilié devant ma femme, obéissant comme un petit chien à son amant. C’était l’explosion dans mon cerveau submergé d’émotion diverses. De la haine bien sur, mais aussi une certaine excitation à me faire dominer ainsi. Je n’en avais pas l’habitude et cela provoquait un trouble d’autant plus violent que ma femme assistait à ma dégradation et semblait s’en réjouir. J’étais donc là, allongé sous les cuisses de ma femme à contempler un gros chibre la pénétrer brutalement, ce qu’elle semblait apprécier. La bite s’enfonçait jusqu'à ce que les couilles viennent taper sa chatte dans un ballotement régulier puis ressortait. Il essaya à plusieurs reprises de s’en prendre à son anus, mais ma femme repoussa les assauts prétextant qu’il était trop gros.
Le moins qu’on puisse dire est qu’Hubert était endurant et avait une certaine légitimité à se moquer de ma pine flasque. Ma femme commença à se plaindre d’échauffement. Après trois ans d’abstinence le contraire fut étonnant et cela faisait un bon moment maintenant qu’elle se faisait ramoner. Hubert la fit délicatement changer de position afin de l’allonger sur le canapé et lui glissa un coussin sous les fesses. Il s’allongea sur elle et la pénétra en douceur, il allait et venait lentement quand il accéléra son rythme avant de se raidir. Il envoyait la purée dans un grognement rauque.
Céline restait alanguie, proche de l’évanouissement. Il m’envoya lui chercher un whisky et je revins avec 3 verres. J’avais bien besoin d’un remontant. J’étais dévoré par la jalousie et la haine que m’inspirait Hubert et en même temps je devais bien avouer que je prenais du plaisir à me faire humilier.
-Pourquoi 3 verres, le whisky c’est pour les hommes, rapporte les 2 verres en trop à la cuisine.
-Céline, ton mari t’a-t-il déjà nettoyé après l’amour ? Demandes lui
-Viens ici me lécher.
Je n’étais pas très chaud à l’idée de lécher le sperme d’Hubert.
Il faut que tu sois plus impérieuse dans tes ordres.
-Viens me lécher espèce de sale chien. D’un ton si autoritaire que je ne pus m’empêcher d’obéir. Je fourrais donc ma tête entre ses jambes et léchait l’intérieur de ses cuisse et goutait les résidus de foutre, le gout était douçâtre et légèrement sucré. En visualisant que c’tait du sperme, je faillis vomir.
Hubert me plaqua la tête contre la chatte de ma femme m’ordonnant d’aspirer et je me retrouvais bientôt la bouche pleine de foutre et de secrétions vaginales. Je n’eus pas besoin d’ordre pour déglutir, j’avais déjà compris que je serais obligé de tout avaler. Ma femme serra brutalement les cuisses et me coinça la tête comme dans un étau.
-Tiens Hubert, tu semblais vouloir te farcir un trou du cul tout à l’heure.
Il cracha sur ma rondelle et entrepris de faire pénétrer un doigt, mais mon anus résistait, il refusait cette intrusion. Une vive douleur aux couilles provoquée par une claque fit relâcher mon anus et le doigt pénétra jusqu'à la garde. Recracha su mon petit trou et fit 2 ou 3 aller/retour. La sensation était bizarre, mes chairs se contractaient sur le doigt qui me donnait l’impression de me remplir. Jamais son gros chibre n’arrivera à se frayer un passage dans mon petit conduit. Je savais pourtant qu’il y arriverait et que j’allais passer un sale quart d’heure. Il recracha sur mon petit trou et présentât son énorme gland à l’entrée. Je redoutais cette pénétration mais tout mon corps la réclamait, j’étais toujours en pleine confusion.
-Regarde moi cette petite salope, elle cherche à s’empaler. Demande le moi connard si tu veux que je te défonce le cul.
-Hubert encule moi s’il te plait
-Qui t’a permis de me tutoyer ? Tu seras puni pour ça. Pour l’instant de mande le moi de façon plus convaincante ! Fais ta chienne.
-Défoncez moi le fion, je n’en peux plus j’ai besoin que vous me remplissiez le conduit.
Il me saisit par les hanches et força, j’essayais de me détendre mais l’anus refusait cette intrusion. Je sentais le gland qui tentait de forcer le passage, mais rien à faire. Quand il céda la moitié de sa queue se fraya un passage rapidement m’arrachant un cri de douleur. Tout mon cul était en feu, c’était trop petit, ça ne passait pas.
-Mais si ça va passer, c’est serré c’est tout.
Il ‘s’enfonçait maintenant implacablement dans mon fondement, me donnant l’impression d’être pénétré par un fer chauffé au rouge. Je criais mais ne me débattais pas, Hubert m’intima de me taire. Je pleurais maintenant en silence, Hubert avait commencé à me besogner et chaque mouvement me donnait l’impression de m’arracher l’intérieur. La douleur mua subitement et la brulure se transforma en une douce chaleur.
-Regarde moi cette chienne, elle commence à aimer ça
Sa besogne devint plus brutale et j’explosais bientôt dans mon premier orgasme anal. J’étais épuisé, et cela fut une véritable délivrance quand je sentis le sperme d’Hubert couler en moi. Il se dégagea, laissant un grand vide dans mon fondement, je sentais le sperme couler sur mes cuisses.
-Putain, il n’est même pas foutu d’avoir le cul propre ce porc !!! Tu vas me nettoyer ça, comme cela tu penseras à te laver le cul. Il approcha sa bite de mon visage, une odeur de merde envahit mes narines et je vis de grosses traces glaireuses maronnasses tout le long du membre maintenant dégonflé.
Je voulus me rebeller, mais ma femme hilare m’apostropha
-Pour une fois tu nettoieras toi-même ce que tu as sali. Exécutes-toi chien et que ça brille.
J’étais abasourdi d’entendre ces paroles dans la bouche de ma femme, elle qui avait toujours été docile. Hubert la regardait avec un petit sourire satisfait. Quand à moi je commençais à lécher la bite souillée. Je réprimais fréquemment des hauts le corps. Le gout était ignoble, mais je fis disparaitre toutes les traces et Hubert se déclara satisfait.
-Et tu ne devais pas le punir ?
-Mais si ma chère, et je vais même t’offrir cette punition. Que direz tu de 5 coups de pieds dans les couilles dans 5 positions différentes ?
-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii dit elle, ce salopard va déguster.
Hubert me fit mettre debout mains derrière la tète, jambes écartées. Toute volonté avait disparu en moi et j’obéissais servilement à cet homme que je ne connaissais pas 2 h auparavent. J’étais brisé, terrorisé à l’idée du châtiment qui m’attendait. J’avais perdu toute dignité, je n’étais plus qu’une larve. J’espérais de la clémence de ma femme, mais à voir son sourire carnassier je crois que je me berçais d’illusion.
-Je peux taper fort ?
-Tant que tu veux, de toute manière le jouet est cassé. Tu peux te défouler, fais toi plaisir.
Je vis son pied partir, et je ne pus m’empêcher de lancer les mains pour l’intercepter mais la pointe de son pied atteignit quand même son but, pas très fort bien sur, mais la douleur était si vive que je ne pus m’empêcher de tomber à 4 pattes.
-La prochaine fois que tu bouges tes mains ou autres manœuvre d’esquive je double ta punition. Maintenant remet toi en position car bien sur celui la ne compte pas. Je repris la pose et ne bougea pas quand je vis arriver la pénalité de Wilkinson. Entre les poteaux, but, ko. Je me roulais par terre en gémissant
Position n °2 debout, jambes écartées, mains sur la chaise. C’est un peu la levrette debout du casseur de couilles.
Le deuxième coup fut aussi violent que le premier et en me roulant par terre je pus constater qu’elle prenait son pied à me martyriser ainsi. Sa petite chatte était toute gonflée et humide. Ses poils que je savais propres puisque je les avais moi-même nettoyés, étaient de nouveau tous poisseux de mouille. Cette vision m’électrisa mais déjà le 3 eme coup m’attendait, à 4 pattes cette fois ci et toujours par derrière.
-Regarde cette petite pute, il a pris son pied. Sans bander il à giclé. Après il pourra toujours dire qu’il n’aime pas ça. Sa vocation c’est de se faire défoncer le cul et massacrer les couilles.
- Quand il a giclé j’ai cru que je lui avais explosé les couilles dit ma femme en rigolant.
- Il te reste 2 coups pour le faire. Hahaha. Tu vas voir maintenant qu’il à joui ces couilles vont être encore plus sensibles. Il va vivre le martyr.
-Pour le 4 eme coup ce fut à genoux les mains se tenant les chevilles. Comme toutes les positions choisies par Hubert les couilles étaient bien exposées. Ma femme frappa beaucoup moins fort, avait elle enfin pitié, la douleur était cependant vive et je me réconfortais en me disant qu’il n’en restait plus qu’un.
Pour le 5eme coup Hubert me fit reprendre la premier position, de bout mains derrière la tète mais retourné, ce qui ne permettait pas de voir le coup arriver. J’eus l’impression que mes testicules explosaient, ma femme avait mis toute sa force dans ce dernier coup. Je m’effondrais et me mis à sangloter, prostré sur le tapis.
-Je suis toute mouillée, tu viens me remettre un petit coup. Et elle emmena Hubert vers la chambre conjugale.
Quand il repartit 30 m après j’étais toujours prostré et gémissant. Il n’eut pas un regard pour moi.
Ma femme sortit peu après pour ce rendre à la salle de bain et m’ignora de la même façon, elle prit un bain et alla se coucher. Ma nuit fut douloureuse, tout mon ventre me lançait et je ne pouvais pas penser à autre chose que cette douleur lancinante.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Ah bon il est normal de traiter son mari comme de la merde, de le tabasser et de niquer l'amant et le mari sans capotes sérieux vous etes tous completement malade.

Le mec a eu 1 accident , il ne bande plus soit la femme divorce soit elle assume et ne l'emmerde pas !!!!

Histoire Libertine
il est normal qu'un cocu lèche sa femme et qu'il prenne cher

Histoire Erotique
pauvre type autant j'adore voir ma femme se faire baiser ,autant je déteste cette humiliation et cette violence ,quant à la femme aucun respect de ma part.

Histoire Libertine
une fessée aurait suffit!!

Histoire Libertine
Je suis surprise qu’HDS est valide 1 histoire ou l’on parle de coups et blessures avec risques de traumas et d’hémorragie.

La femme est 1 poufiasse pour laisser son mari se faire traiter comme de la merde.

J'aime beaucoup et vivement la suite !
Par contre STP, aère le texte avec des sauts de ligne pour le confort de lecture.

Histoire Erotique
J'aime beaucoup.
Par contre STP, aère le texte avec des sauts de ligne pour le confort de lecture.
Vivement la suite !

Histoire Erotique
bonjour
j'ai vécus la même situation sans les coups
je suis remonté dans mes souvenir de ma période d'impuissance
et des désirs de mon épouse qui est devenu dominatrice



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