Ma déchéance chapitre 2
Récit érotique écrit par Dual [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma déchéance chapitre 2
Ch 2
18h, ma femme n’était toujours pas rentrée. 19h, 20h, 21h.Je me faisais vraiment du soucis, et si suite à la soirée d’hier elle avait décidé de ne pas rentrer. Elle rentrait toujours directement après le travail, cela lui donnait le temps de faire tranquillement les taches ménagères avant le repas.
Il était 22h quand elle arriva moitié ivre. Elle s’écroula dans mon fauteuil et écartant les jambes elle découvrit une petite culotte blanche maculée de matières gluantes à l’emplacement de sa fente.
-Je me suis fait sabrer par 2 beaux chibres, tu vas me nettoyer tout ça. Commence par lécher ma culotte et écoute moi. Je ne veux pas t’entendre.
Son ton impérieux ne me laissait pas le choix. Quel changement, je ne reconnaissais plus ma femme. Je me mis à lécher la fine étoffe. Le gout du sperme, découvert la veille, envahit mes papilles.
-La soirée d’hier à été aussi instructive que jouissive. Je sais depuis longtemps comment tu peux être dur avec les faibles, mais j’ai découvert comment tu pouvais être servile avec les forts.
Elle enleva sa culotte et le sperme dégoulinât entre ses cuisses. Je me mis à lécher avec application, d’autant que je commençais à en apprécier le gout douceâtre.
-J’ai épousé un homme pas une larve impuissante. Tu comprendras que dans ces conditions, tu ne peux plus être mon mari et je vais demander le divorce. Je m’effondrais en larme mais Céline m’ordonna de reprendre mon ouvrage.
-Cependant j’ai vraiment adoré la soirée d’hier et me suis découvert une nouvelle nature. Je ne suis pas fait pour être une femme soumise à son mari. Je suis faite pour dominer et pour cela j’ai besoin d’un esclave. Selon Hubert tu as de bonnes dispositions. Si tu es encore la demain matin quand je me lève c’est que tu souhaite devenir cet esclave. Je te laisse visionner ce que cela implique.
Elle me connecta sur un site de vidéo sm et disparue dans la salle de bain. Je commençais à surfer et découvrit vite horrifié ce que le sadomasochisme veut dire réellement, je pensais jusqu'à présent de petits jeux pimentant la vie sexuelle mais je découvrais sur ce site des hommes et des femmes torturés cruellement. Je vis des couilles percées, électrocutées, des chattes cousues, des anus fistés.
Je commençais à avoir sérieusement peur mais je ne pouvais pas me résoudre à partir. Je tombais alors sur l’interview, à la fin d’une vidéo ou la fille qui avait été torturé sévèrement au fouet et à l’électricité. Elle disait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir, qu’elle ressentait d’abord la douleur ensuite cela montait au cerveau et à la suite de réactions chimique redescendait dans son corps. Elle dit avoir joui 4 fois pendant la séance. Je me remémorais les émotions ressenties la veille et me dis que je devais être maso car je voyais très bien ce qu’elle voulait dire. Il n’y’avait plus d’hésitation à avoir et au petit matin je finis par m’endormir.
Je fus réveillé par une violente douleur aux couilles, ma femme les avaient prises dans une main et les malaxait brutalement. Je me tordais de douleur mais elle ne lâchait pas, les pétrissant et les tordant dans tous les sens.
-Si tu es encore la c’est que tu acceptes ta condition, donc va me préparer mon petit dej.
Je rentrais du boulot vers 18h et Céline n’était toujours pas rentrée. Je ne savais pas trop comment me comporter à son retour. Elle arriva vers 19h et sonna pour que je vienne lui ouvrir et m’ordonna d’aller chercher les paquets dans la voiture.
-Je vois que tu n’as pas fait le ménage ni la cuisine, as-tu une excuse pour cela ?
-non Céline
-Céline !!!!!!!!!!!!!! Tu oses m’appeler Céline. Dorénavant si tu oses m’appeler autrement que madame je t’écorche les couilles.
-Oui madame.
-Je vois que tu mérites déjà d’être puni sévèrement. Je vais t’apprendre non seulement à obéir mais aussi à anticiper mes désirs. Tu seras sévèrement puni pour chaque manquement. Tu me connais je ne fais jamais les choses à moitié. Toutes les règles sont permanente et sauf contre–ordre doivent être exécuté parfaitement. Dans cet appartement tu dois toujours être nu avec le petit tablier que voici.
Ton sexe m’appartient, ton cul m’appartient, ton corps m’appartient…
Tu n’as pas le droit de parler sans y avoir été autorisé au préalable.
Tu es à l’entière disposition sexuelle de toute personne que je désigne.
Tu obéis sans aucune réticence à toute forme d’ordre, ta seule préoccupation doit être la satisfaction de ta maitresse.
Tu dormiras désormais dans le placard à balai, sauf quand tu seras puni ou tu iras à la cave.
Elle sortit de ses paquets un plug tulipe qu’elle s’empressa de m’enfiler avant de m’ordonner d’aller lui chercher une pizza à emporter. Malgré une lubrification sommaire à la salive, Il rentra assez facilement, le passage étant encore bien ouvert de la veille. Si le format était raisonnable, la matière composée de jelly ne glissait pas beaucoup dans mon trou mal lubrifié et à chaque pas j’avais l’impression de me déchirer l’intérieur. L’expression « marcher avec un bâton dans le cul » prenait toute sa valeur. J’étais raide et droit tout en faisant de tous petits pas afin d’épargner mon conduit.
Ma maitresse me retira le plug et le ressorti souillé.
-Tu ne t’es pas encore lavé le fion, la punition pour ce manquement à été établie….
Je me mis donc à nettoyer consciencieusement l’olibo. Contrairement à hier Il y’avait des morceaux de merde dure que je fus contraint de mâcher. Je ne pus me retenir de vomir. Ce que je dus nettoyer de la même manière. Malgré ou grâce à la dureté de ma maitresse je me laissais tomber dans ce nouveau rôle. Mon excitation cérébrale montait crescendo, je crois que j’étais fait pour le masochisme. Je n’avais plus peur.
-J’espère que tu as bien gardé le souvenir du gout de ma petite chatte, car tu n’y’aura plus accès. Que comme récompense, et crois moi tu devras les mériter. Ta punition pour avoir négligé tes tâches ménagères sera de passer la nuit à la cave avec 5 kg pendus aux couilles. De toute façon elles ne sont pas assez pendantes à mon gout. Elle prit un sac et nous descendîmes à la cave. J’avais la chair de poule, pas de peur, je m’étais résigné à abandonner mon sort à ma maitresse et vibrait même d’impatience d’explorer ce plaisir interdit qu’était la souffrance. Mais la cave était froide et en tenue d’Adam ça piquait un peu. Elle m’attacha les mains en l’air à une poutre et me lia les pieds à une barre qui m’obligeait à garder les jambes largement ouvertes. Elle prit une corde fine et lui fit faire 2 tours autour de mes couilles. J’étais étonné par son expertise mais avais d’autres choses à penser. Elle accrocha un poids de 5kg à la corde, me mis un suppositoire dans le cul et me souhaita bonne nuit.
J’étais presque un peu déçu, la nuit serait certes longue est inconfortable, mais le poids aux couilles me paraissait supportable même si je savais qu’avec le temps il allait s’alourdir.
Cela devait faire une demi-heure quand je sentis une douce chaleur envahir mon fondement, ce n’était pas désagréable au contraire. Au bout d’une heure mon cul était transformé en brasier. Malgré le froid extérieur je transpirais de grosses gouttes. Je commençai à me tortiller dans tous les sens ce qui avait pour effet de provoquer le balancement du poids tordant mes couilles dans tous les sens. La douleur était maintenant bien présente et je ne pouvais m’empêcher de me débattre accentuant la pression sur mes roustons. Soudain tout mon corps se tendit comme un arc et dans un long feulement rauque je m’écroulais. J’étais pendu par des menottes qui me déchiraient les poignets. Le feu continuait dans mes intestins et je dus prendre plusieurs minutes pour me relever. Une flaque de sperme maculait le ciment. Très vite le cycle recommença, me tortillant sous l’effet de la chaleur, contraction, éjaculation. Je crois que j’ai fini par perdre connaissance et madame me retrouva le lendemain pendu dans mes menottes, à bout de force, les pieds trainant dans une flaque de sperme.
-Hubert m’avais bien dit que tu étais masochiste. Il t’a plu mon petit suppo ? Apparemment oui si j’en juge par tes déjections. Tu as joui plusieurs fois à ce que je vois, mais tu ne m’as pas demandé l’autorisation. Tu seras puni pour ça. Maintenant vas te nettoyer et vas au boulot.
18h, ma femme n’était toujours pas rentrée. 19h, 20h, 21h.Je me faisais vraiment du soucis, et si suite à la soirée d’hier elle avait décidé de ne pas rentrer. Elle rentrait toujours directement après le travail, cela lui donnait le temps de faire tranquillement les taches ménagères avant le repas.
Il était 22h quand elle arriva moitié ivre. Elle s’écroula dans mon fauteuil et écartant les jambes elle découvrit une petite culotte blanche maculée de matières gluantes à l’emplacement de sa fente.
-Je me suis fait sabrer par 2 beaux chibres, tu vas me nettoyer tout ça. Commence par lécher ma culotte et écoute moi. Je ne veux pas t’entendre.
Son ton impérieux ne me laissait pas le choix. Quel changement, je ne reconnaissais plus ma femme. Je me mis à lécher la fine étoffe. Le gout du sperme, découvert la veille, envahit mes papilles.
-La soirée d’hier à été aussi instructive que jouissive. Je sais depuis longtemps comment tu peux être dur avec les faibles, mais j’ai découvert comment tu pouvais être servile avec les forts.
Elle enleva sa culotte et le sperme dégoulinât entre ses cuisses. Je me mis à lécher avec application, d’autant que je commençais à en apprécier le gout douceâtre.
-J’ai épousé un homme pas une larve impuissante. Tu comprendras que dans ces conditions, tu ne peux plus être mon mari et je vais demander le divorce. Je m’effondrais en larme mais Céline m’ordonna de reprendre mon ouvrage.
-Cependant j’ai vraiment adoré la soirée d’hier et me suis découvert une nouvelle nature. Je ne suis pas fait pour être une femme soumise à son mari. Je suis faite pour dominer et pour cela j’ai besoin d’un esclave. Selon Hubert tu as de bonnes dispositions. Si tu es encore la demain matin quand je me lève c’est que tu souhaite devenir cet esclave. Je te laisse visionner ce que cela implique.
Elle me connecta sur un site de vidéo sm et disparue dans la salle de bain. Je commençais à surfer et découvrit vite horrifié ce que le sadomasochisme veut dire réellement, je pensais jusqu'à présent de petits jeux pimentant la vie sexuelle mais je découvrais sur ce site des hommes et des femmes torturés cruellement. Je vis des couilles percées, électrocutées, des chattes cousues, des anus fistés.
Je commençais à avoir sérieusement peur mais je ne pouvais pas me résoudre à partir. Je tombais alors sur l’interview, à la fin d’une vidéo ou la fille qui avait été torturé sévèrement au fouet et à l’électricité. Elle disait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir, qu’elle ressentait d’abord la douleur ensuite cela montait au cerveau et à la suite de réactions chimique redescendait dans son corps. Elle dit avoir joui 4 fois pendant la séance. Je me remémorais les émotions ressenties la veille et me dis que je devais être maso car je voyais très bien ce qu’elle voulait dire. Il n’y’avait plus d’hésitation à avoir et au petit matin je finis par m’endormir.
Je fus réveillé par une violente douleur aux couilles, ma femme les avaient prises dans une main et les malaxait brutalement. Je me tordais de douleur mais elle ne lâchait pas, les pétrissant et les tordant dans tous les sens.
-Si tu es encore la c’est que tu acceptes ta condition, donc va me préparer mon petit dej.
Je rentrais du boulot vers 18h et Céline n’était toujours pas rentrée. Je ne savais pas trop comment me comporter à son retour. Elle arriva vers 19h et sonna pour que je vienne lui ouvrir et m’ordonna d’aller chercher les paquets dans la voiture.
-Je vois que tu n’as pas fait le ménage ni la cuisine, as-tu une excuse pour cela ?
-non Céline
-Céline !!!!!!!!!!!!!! Tu oses m’appeler Céline. Dorénavant si tu oses m’appeler autrement que madame je t’écorche les couilles.
-Oui madame.
-Je vois que tu mérites déjà d’être puni sévèrement. Je vais t’apprendre non seulement à obéir mais aussi à anticiper mes désirs. Tu seras sévèrement puni pour chaque manquement. Tu me connais je ne fais jamais les choses à moitié. Toutes les règles sont permanente et sauf contre–ordre doivent être exécuté parfaitement. Dans cet appartement tu dois toujours être nu avec le petit tablier que voici.
Ton sexe m’appartient, ton cul m’appartient, ton corps m’appartient…
Tu n’as pas le droit de parler sans y avoir été autorisé au préalable.
Tu es à l’entière disposition sexuelle de toute personne que je désigne.
Tu obéis sans aucune réticence à toute forme d’ordre, ta seule préoccupation doit être la satisfaction de ta maitresse.
Tu dormiras désormais dans le placard à balai, sauf quand tu seras puni ou tu iras à la cave.
Elle sortit de ses paquets un plug tulipe qu’elle s’empressa de m’enfiler avant de m’ordonner d’aller lui chercher une pizza à emporter. Malgré une lubrification sommaire à la salive, Il rentra assez facilement, le passage étant encore bien ouvert de la veille. Si le format était raisonnable, la matière composée de jelly ne glissait pas beaucoup dans mon trou mal lubrifié et à chaque pas j’avais l’impression de me déchirer l’intérieur. L’expression « marcher avec un bâton dans le cul » prenait toute sa valeur. J’étais raide et droit tout en faisant de tous petits pas afin d’épargner mon conduit.
Ma maitresse me retira le plug et le ressorti souillé.
-Tu ne t’es pas encore lavé le fion, la punition pour ce manquement à été établie….
Je me mis donc à nettoyer consciencieusement l’olibo. Contrairement à hier Il y’avait des morceaux de merde dure que je fus contraint de mâcher. Je ne pus me retenir de vomir. Ce que je dus nettoyer de la même manière. Malgré ou grâce à la dureté de ma maitresse je me laissais tomber dans ce nouveau rôle. Mon excitation cérébrale montait crescendo, je crois que j’étais fait pour le masochisme. Je n’avais plus peur.
-J’espère que tu as bien gardé le souvenir du gout de ma petite chatte, car tu n’y’aura plus accès. Que comme récompense, et crois moi tu devras les mériter. Ta punition pour avoir négligé tes tâches ménagères sera de passer la nuit à la cave avec 5 kg pendus aux couilles. De toute façon elles ne sont pas assez pendantes à mon gout. Elle prit un sac et nous descendîmes à la cave. J’avais la chair de poule, pas de peur, je m’étais résigné à abandonner mon sort à ma maitresse et vibrait même d’impatience d’explorer ce plaisir interdit qu’était la souffrance. Mais la cave était froide et en tenue d’Adam ça piquait un peu. Elle m’attacha les mains en l’air à une poutre et me lia les pieds à une barre qui m’obligeait à garder les jambes largement ouvertes. Elle prit une corde fine et lui fit faire 2 tours autour de mes couilles. J’étais étonné par son expertise mais avais d’autres choses à penser. Elle accrocha un poids de 5kg à la corde, me mis un suppositoire dans le cul et me souhaita bonne nuit.
J’étais presque un peu déçu, la nuit serait certes longue est inconfortable, mais le poids aux couilles me paraissait supportable même si je savais qu’avec le temps il allait s’alourdir.
Cela devait faire une demi-heure quand je sentis une douce chaleur envahir mon fondement, ce n’était pas désagréable au contraire. Au bout d’une heure mon cul était transformé en brasier. Malgré le froid extérieur je transpirais de grosses gouttes. Je commençai à me tortiller dans tous les sens ce qui avait pour effet de provoquer le balancement du poids tordant mes couilles dans tous les sens. La douleur était maintenant bien présente et je ne pouvais m’empêcher de me débattre accentuant la pression sur mes roustons. Soudain tout mon corps se tendit comme un arc et dans un long feulement rauque je m’écroulais. J’étais pendu par des menottes qui me déchiraient les poignets. Le feu continuait dans mes intestins et je dus prendre plusieurs minutes pour me relever. Une flaque de sperme maculait le ciment. Très vite le cycle recommença, me tortillant sous l’effet de la chaleur, contraction, éjaculation. Je crois que j’ai fini par perdre connaissance et madame me retrouva le lendemain pendu dans mes menottes, à bout de force, les pieds trainant dans une flaque de sperme.
-Hubert m’avais bien dit que tu étais masochiste. Il t’a plu mon petit suppo ? Apparemment oui si j’en juge par tes déjections. Tu as joui plusieurs fois à ce que je vois, mais tu ne m’as pas demandé l’autorisation. Tu seras puni pour ça. Maintenant vas te nettoyer et vas au boulot.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La femme est complètement taree à enfermer en psy ou en taule pour coups et blessures voir non assistance à personne en danger. Le mari aurait besoin de se faire soigner comme en post trauma.
Le mec a eu 1 accident et sa femme le traite comme de la merde.
J’espère que c’est du fictif si c’est réel cassez vous.
Le mec a eu 1 accident et sa femme le traite comme de la merde.
J’espère que c’est du fictif si c’est réel cassez vous.