Ma femme baisée par un client (suite) - histoire érotique

Ma femme baisée par un client (partie 2)

Après avoir entendu mon épouse timide et coincée accepter les avances de son client, m'être branlé en l'écoutant se faire insulter et baiser sans ménagement, ensuite la rejoindre pour mélanger mon sperme à celui qui dégoulinait de sa chatte en massant ses grosses tétines et enfin l'encourager à continuer à faire la pute pour cet homme je me sentais vraiment humilié mais excité comme jamais. Ce jour là on a pris une douche et on a repris notre boulot chacun dans son bureau mais le travail n'a pas beaucoup avancé ce jour là. Je me demandais si son client allait vraiment revenir la baiser toutes les semaines pendant 6 mois, si j'arriverais à être présent à chaque fois caché dans mon bureau ou si parfois elle serait seule avec lui ... bref je découvrais le cocufiage volontaire et ses turpitudes. Les jours suivants on a pas osé en reparlé même si on y pensait tout le temps tous les deux, nous en étions presque à agir comme s'il ne s'était rien passé tout en sachant que cela ne faisait que commencer. Les soirs on baisait comme jamais et je me laissais aller à mon tour à la traiter de putain soumise, de sac à foutre et elle de répondre
- oui je suis une putain mais ça te plait d'écouter mon client m'insulter hein ? Et de venir me prendre dans tes bras la chatte pleine de son jus quand il est parti ?
et j'avouais ! Le lundi soir suivant quand je suis rentré on s'est embrassé normalement et d'un ton presque détaché elle m'a dit
- au fait Claude Dubois (son client) a téléphoné, il m'a juste dit qu'il venait demain matin pour le contrat et qu'il ne resterait pas longtemps ... il n'a fait aucune allusion, je crois qu'il est aussi gêné que moi de ce qui s'est passé. Tu veux être là, enfin comme la dernière fois ? Si ça se trouve il me présentera ses excuses je n'en sais rien ... et s'il recommence tu veux toujours que .. heu enfin que je le laisse faire ?
- et bien je ne sais pas trop, c'est vrai qu'on trouve ça excitant tous les deux je crois hein, mais il ne faudrait pas que ça brise quelque chose entre nous ... je devais partir en déplacement à l'aube mais je vais rester jusque midi et puis on verra bien quand il viendra qu'est ce que t'en pense ?
Au fond de moi j'aurais voulu qu'il soit déjà là et le regarder ordonner à mon épouse de se branler devant lui, la prendre en levrette et voir comment il lui malaxait les outres. Je bandais comme un âne à l'avance mais j'ai fait semblant de rien. J'étais sûr que pour Marie c'était pareil même si j'avais encore du mal à faire le rapprochement entre l'épouse prude et timide avec qui je partageais ma vie et la salope en chaleur que j'avais entendue réclamer de se faire défoncer et avouer qu'elle était une putain ! Le soir on ne s'est pas touché, je pense que nous étions tous les deux gênés de se laisser aller à cet adultère librement consenti. Lundi matin, nous sommes tous les deux tendus, Marie porte une robe d'été boutonnée sur le devant, il fait une chaleur à crever... ça sonne, elle ouvre
- ho bonjour monsieur Dubois entrez, est ce que vous voullez un café ?
- non merci je suis pressé, je suis venu vous apporter votre contrat, je n'ai rien modifié, lisez le ...
A ce moment je me suis dis que tout était fini et que cette partie de baise entre ma femme et son client allait se transformer en un souvenir dont au fur et à mesure du temps nous nous demanderions s'il a été vrai ou pas ... jusqu'à ce que ...
- au fait si, j'ai tout de même ajouté comme nous en avons convenu un paragraphe sur les visites hebdomadaires pour vérifier l'avancement du projet. J'ai mis ça dans une annexe, j'aimerais que vous me la lisiez que je sois sur de ne rien avoir oublié, ensuite vous la signerez ou pas ...
- Je heu oui monsieur Dubois je heu heu je cherche l'annexe, ha la voici je vous la lis : Annexe 1 au contrat de prestation entre Marie ... et Claude Dubois, entreprise X. Le contrat de prestation conclu entre les parties implique de la part de Claude Dubois, le paiement de la somme de XXXXX euros. De son coté Marie ... réalisera les prestations décrites au contrat. Pendant toute la durée de la prestation soit 6 mois, Marie ... présentera l'avancement des réalisations une fois par semaine à son bureau. Lors de ces rencontres celle ci accèdera à toutes les exigences de son client. Marie ... étant une putain elle devra obéir aux attentes quelles qu'elles soient : sexuelles, vestimentaires etc... En cas de désobéissance, le contrat sera annulé et ne pourra donner lieu à aucune compensation.
Tout ce que j'avais entendu soufflait le chaud et le froid, une fois je pensais que tout revenait à la normale, une fois qu'il allait refaire d'elle son amante, puis la lecture du contrat me rassurait (ou me faisais perdre espoir de continuer à savoir mon épouse soumise aux désirs vicieux d'un autre homme) enfin la dernière phrase sonnait froidement, ma femme était une putain soumise et ce pendant 6 mois une fois par semaine !
La voix de Marie s'était presque étranglée en lisant la fin de l'annexe au contrat mais elle ne protesta pas et quand son client lui proposa de signer j'ai eu beau attendre un refus ... rien sauf :
- Voilà monsieur Dubois c'est signé
- Bien, bien, bien, alors comme ça c'est officiel hein ? Une grosse pute voilà ce que tu es ! J'imagine que tu ne souhaites pas que ton mari ou tes autres clients soient au courant ?
- non monsieur
- alors il va falloir non seulement être très obéissante mais aussi faire du zèle tu comprends ?
- oui monsieur
- ce qui veut dire que désormais tu sera une ... une quoi ?
- je heu une pute monsieur
- ha non pas seulement c'est trop léger, sois plus imaginative, devance mes désirs allez une ...?
- une grosse pute soumise monsieur.

Dans mon bureau je m'astiquais déjà, j'étais debout devant mon bureau le pantalon sur les cuisses la bite dressée et je me branlais d'une main et j'alternais de l'autre en me caressant les couilles et en me pinçant un téton. Je voulais attendre pour jouir et j'ai bien fait !

- Alors puisque tu es une grosse pute soumise approche toi de moi, penche toi en avant pour me montrer tes mamelles par ton décolleté, oui c'est bien j'aime me détendre en malaxant de la chair molle mais tu vas tout de suite enlever ton sg, je me tourne pour ne pas te voir, enlève tout ce que tu as sous ta robe et préviens moi quand tu as fini.
- voilà j'ai finis monsieur
- c'est bien reviens vers moi, penche toi ! Comme ça oui humm j'adore les mamelles pendantes comme ca ouvre trois boutons, oui comme penchée en avant elles pendent bien tes mamelles de vache, allez caresses toi les, continue malaxe les bien fort, tu aimes ça te pétrir les outres hein ? Ton mari doit te le faire souvent avec la paire que tu as, il est plutôt du genre puceau caresseur ou mâle pétrisseur ?
- ho monsieur humm oui j'aime ça, mon mari est plutôt du genre puceau caresseur, il me les palpe parfois mais bien moins bien que vous la dernière fois, vous m'avez fait découvrir un nouveau plaisir.
- c'est bien j'aime que tu me parles de ton intimité, allez continue pendant que je relève ta robe sur tes reins, ho lala mais tu as la chatte trempée grosse truie, ça dégouline sur tes cuisses
- humm hooo oui c bon caressez moi la chatte j'aime ça je suis une vraie cochonne vous avez raison, j'ai tellement envie que vous me ramoniez
Jamais je n'avais entendu mon épouse parler comme ça et j'en ai éjaculé dans ma main de plusieurs giclées mais j'ai continué à me branler lentement sans débander, j'étais prêt à tout et si mon épouse m'avait appelée pour me demander de venir sucer son amant j'y serais allé ! Mais elle ne pensais pas à moi une seconde !
- avant de te saillir tu vas déjà me sucer sale pute, allez active toi, je t'ai déjà dis qu'avec moi tu allais bouffer de la queue, oui c'est bien pompe moi j'adore les femmes mariées à lunettes qui sucent mais prends la moi plus profond je veux que tu t'empales sur ton gosier humm oui tu es une bonne pute, lève les yeux vers l'objectif que je puisse avoir de beaux souvenirs (je l'ai su plus tard par Marie mais il l'a prise en photo à de nombreuses reprises avec son téléphone, que ce soit en train de le sucer en se tenant les seins, les mains dans le dos ou ensuite par le coté en la baisant en levrette); humm oui tu commence à te débrouiller je pourrais même te prêter à des clients à moi, il faudra qu'on organise ça, tu dira à ton mari que tu es invitée à apéro amuse gueule comme ça tu n'aura pas à mentir hahaha houu humm sale pouffiasse tu mets les bouchées doubles hein ça t'excite l'idée de faire la pute pour mes clients ouiii humm allez tourne toi, mets tes mains dans le dos pendant que je te baise debout, je vais te prendre en photo les mamelles ballottantes.
- HOOOO mon dieu ouiii defoncez moi ouiii que c'est bon ouii encore allez y ça fait une semaine que je n'attends que ça !
- Clac, Tiens prends ça je vais te bourrer le cul pendant au moins un quart d'heure, tu vas voir pendant une semaine tu ne pensera plus qu'à ma prochaine visite, tiens houuu Clac, ton cocu va pouvoir te baiser sans se sentir à l'étroit, je vais te dilater la chatte il va rentrer sans que tu le sentes maintenant !
Je n'en pouvais plus, je transpirais à grosse gouttes, mon tee shirt était trempé, ma bite me faisait mal, je me crachait sur le gland pour lubrifier et j'avais déjà léché tout le sperme que j'avais joui dans ma main quand j'ai à nouveau éjaculé. J'avais l'impression d'écouter un film porno bien hard sauf que c'était ma femme qui se faisais ramoner ! Son amant m'excitait encore plus quand il parlait de moi à Marie, comme j'aurais aimé être à genou à coté d'eux à me branler en les regardant sous les collibets de cet homme dominateur !
Ils ont continué à baiser un bon moment, lui en insultant Marie et elle en gémissant et en réclamant de se faire baiser, défoncer et en jouissant au moins 5 ou 6 fois. J'avais honte mais la situation me plaisait vraiment ! A un moment j'ai compris qu'il allait se vider sous peu
- hoo putain je vais te remplir de foutre ma grosse vache bouge pas hoooo hummm hooo haaa ho putain que c'était bon, attends bouge pas je vais m'essuyer la queue dans ta raie du cul, la prochaine fois c'est par là que tu vas payer tes honoraires ! Allez c'est bon tu peux t'allonger par terre mais attention à ton tapis avec ce que je viens de te mettre ça risquerait de faire une belle tache ! Allez je te laisse ton contrat tu l'as bien mérité, tu es une bonne putain! je garde l'annexe que tu as signé rendez vous la semaine prochaine à poil sous une robe moulante .... Clac
Cette fois ce n'était plus une claque sur le cul de ma femme mais la porte qui refermait cet épisode d'un érotisme que je n'aurais jamais imaginé vivre il y a 15 jours ! J'ai remonté mon pantalon et je suis descendu rejoindre Marie, toujours allongée par terre. Je me suis mis contre elle l'ai embrassée, mon dieu qu'elle sentait la bite ! Nous ne nous sommes rien dit, elle a pris ma main et l'a posé sur un sein. Il était tout rougi, il avait du les lui malaxer vraiment fort ! j'ai caressé doucement ses seins, suis descendu vers son sexe encore ouvert débordant de foutre gras, tout doucement j'ai enfoncé deux doigts dans ce mélange de cyprine et de sperme, elle fermait les yeux de honte, d'épuisement et de plaisir mélangé. Moi je regardais sa chatte qui restait ouverte pleine du sperme dans lequel mes doigts allaient et venaient, je me suis mis à genou, je les ai porté à ma bouche, je les ai léchés puis je me suis déshabillé et me suis enfoncé en elle lentement, il avait raison son client, je nageais dans sa chatte, mais ça m'a tellement excité de sentir ma bite tremper dans cette soupe de foutre et de mouille mélangés que j'ai ajouté à mon tour mon ingrédient, j'ai éjaculé en fermant les yeux sous le regard tendre de Marie. Une fois remis de l'émotion, je me suis retiré et je suis descendu jusqu'à sa chatte, j'ai posé ma langue entre ses lèvres vaginales, léchant le jus crémeux de son client mêlé au mien ... Je n'osais pas regarder mon épouse mais j'ai senti ses doigts dans mes cheveux témoigner du plaisir que je lui donnais. J'ai léché son sexe jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de foutre et même au delà, jusqu'à la faire jouir. Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre et je suis parti en retard pour mon déplacement professionnel.