Mon épouse soumise à son client

- Par l'auteur HDS Mbonnete -
Récit érotique écrit par Mbonnete [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon épouse soumise à son client Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon épouse soumise à son client
Ma femme et moi sommes un couple tout à fait normal, une vie épanouie et une sexualité devenue routinière au fil des ans tout en nous laissant aller parfois à quelques fantaisies entre nous. Nos activités professionnelles (tous les deux à notre compte) nous amènent à parfois travailler depuis notre domicile et à y recevoir des clients. J'ai un bureau à l'étage de notre appartement en duplex et mon épouse, Marie, en dispose d'un au RC.
Un jour, une modification de mon emploi du temps m'a amené à repousser un déplacement et à rentrer en pleine journée. Je travaillais sur mon ordinateur lorsque je l'ai entendue rentrer, comme elle n'était pas seule (surement un client) je n'ai pas voulu la déranger et je ne me suis pas manifesté en restant le plus discret possible car on entend tout d'un étage à l'autre. Je les entendais parler sans vraiment écouter quand mon attention a été happée par leur conversation. L'homme (je l'ai su plus tard, il avait la cinquantaine) lui faisait des compliments sur le professionnalisme de sa proposition technique, et a ajouté que
"Malgré le tarif élevé si votre prestation est aussi généreuse que semble être votre poitrine je pourrais me laisser tenter"...
Il y a eu un blanc, je connais mon épouse elle devait être vraiment mal à l'aise car elle est assez prude et complexée par sa forte poitrine, un 90 bonnet E qui parait d'autant plus gros qu'elle a une taille assez fine mais à ses yeux, ses seins sont trop gros, trop lourds et trop mous (moi j'adore). Elle porte d'ailleurs toujours des tailleurs assez stricts, chemisier fermés jusqu'en haut pour les dissimuler autant que possible. De mon bureau je ne pouvais bien sur rien voir mais je l'imaginais très gênée ... Je m'apprêtais à intervenir si l'homme se faisait insistant malgré la sérieuse remise en place par mon épouse qui, j'imaginais allait intervenir sous peu ... malheureusement (ou heureusement ?) rien ne s'est déroulé comme j'imaginais ! À la place des protestations de mon épouse, je l'ai entendu très clairement répondre
"Si vous vous laissez tenter vous ne serez pas déçu, vous pourriez en avoir encore plus qu'il n'y parait" !
Je n'en revenais pas, mon épouse Marie si coincée, si timide quand il s'agit de sexe devait avoir mal compris ! Mais la suite m'indiqua que non et se livrait volontairement au charme de cet homme. Celui ci encouragé par la réponse de ma femme ajouta
"des paroles, des paroles, je veux en être sûr avant de signer, il faut que je puisse juger par moi même de la générosité et de la souplesse de ce que vous me proposez... humm oui comme ça, c'est bien ouvre ta veste, non garde tes lunettes, mais oui c'est peut être vrai, il semble y en avoir beaucoup plus sous ton chemisier quand tu ne caches pas tes trésors sous ton tailleur ... laisse moi toucher oui c'est bien tu es très docile, humm c'est vrai ils sont énormes, tu aimes que je te les caresses, laisse moi ouvrir ton chemisier que je puisse mieux voir tes gros seins ... mais oui c'est incroyable ce sont de vrai melons bien murs humm ta peau est douce, mets tes mains dans le dos, continue à te laisser faire, je vais enlever cet horrible soutien gorge qui cache tout ça, hoo oui magnifique mais tu as de véritables mamelles de déesse humm tu aimes ça hein que je te les malaxe ça te plait, donne moi ta bouche ...".

Je devenais fou de jalousie mais en même temps je bandais comme rarement ! Je les imaginais s'embrasser à pleine bouche pendant que ce salaud pétrissait les grosses loches de ma femme ! Après ce baiser, l'homme a commencé à parler à mon épouse de façon plus autoritaire et plus crue. Il savait que maintenant elle devait être excitée et se laisserait faire sans protester, il avait compris à sa passivité et à son silence que sous une apparence de rigueur professionnelle elle était en fait assez docile et soumise, ce dont je n'avais jamais vraiment profité, ayant peur d'aller trop loin.

- "Marie tu es une sacré salope, tu te laisses ploter les outres comme ça chez toi alors que tu es mariée, tu es une bonne salope regarde comme ils sont gonflés, tu aimes ça hein te faire malaxer tes mamelles de vache laitière ?"
- "hoo mon dieu j'ai si honte je ne devrais pas vous laisser faire mais oui c'est vrai j'aime ça, vous me rendez folle"
- "allez fout toi à poil maintenant que je regarde le reste ... humm tu as un très beau cul, donne moi ta culotte ... mais elle est trempée ! Tu fais la femme fidèle bcbg mais tu es une truie en chaleur avoue, pose ton pied sur la chaise, voilà comme ça, caresse ta chatte ... oui comme ça branle toi, ça te plait hein ? Avoue que tu es une salope !"

Je n'en pouvais plus, je ne les voyais pas mais je pouvais imaginer Marie à poil offerte en train de se branler les mamelles exhibées devant ce pervers qui en profitait. J'étais partagé entre l'envie de descende pour le foutre dehors et faire une scène à ma femme et celle de me branler en continuant la suite ... je suis resté dans mon bureau, sortant ma bite pour me branler lentement en écoutant silencieusement ma femme lui répondre

- "hoo oui vous avez raison je suis une salope, j'ai la chatte en feu regardez comme je me branle pour vous, hoo mon dieu si mon mari me voyait, j’ai tellement honte et en même temps je n'ai jamais été aussi excitée faites moi tout ce que vous voulez je suis à vous"
- "oui tu es à moi, tu es ma salope, ma pute même, vas y branle toi la chatte encore et masse toi tes grosses outres pendantes ... oui comme ça regarde comme je bande, tu as vu le morceau ? Regarde ce que tu vas prendre"
- "hoo lala elle est énorme monsieur, elle est deux fois plus grosse que celle de mon mari"
- "allez assez parlé putain, penche toi en avant suce... hummm oui c'est bon tu as une bouche à sucer et tu peux être sure que tu vas en bouffer de la queue avec moi, j'adore me faire sucer par des femmes à lunettes, hoo oui ma grosse salope continue tu aimes ça hein te faire ramoner la bouche pendant que je te malaxe les mamelles"

Il a continué à l'insulter en se faisant sucer pendant un bon moment, non seulement il avait une grosse queue mais en plus il durait beaucoup plus longtemps que moi le salaud ! De mon coté je continuais à me branler et j'ai éjaculé sur mon bureau avant que ma femme ne termine de le sucer. J'avais honte de moi, de me laisser cocufier sous mon propre toi et en même temps je n'y croyais toujours, pas, Marie ma femme si amoureuse et si prude était en train de sucer un inconnu chez nous ! Au bout d'un moment, il lui a dit de poser ses mains sur son bureau et il a du se mettre derrière elle .

- "ho putain tu suces bien, j'adore te fourrer ma grosse queue jusque dans la gorge mais maintenant on va passer aux choses sérieuses, lève toi tourne toi, c'est bien, tu sens ma grosse bite contre tes fesses ... vas y penche toi en avant et pose tes coudes sur le bureau, écarte bien les cuisses, voilà c'est bien, putain tu as la chatte qui dégouline, humm oui ça rentre tout seul, tu la sens ma bite qui rentre là ? T’aime ça te faire défoncer les mamelles pendantes sous toi hein ? humm oui vas y laisse toi aller, prends ça, t'aime aussi te faire claquer le cul hein"
- "hoo mon dieu, oui hoo elle est grosse, allez y oui humm fessez moi je le mérite, je suis votre pute en chaleur baisez moi, ouii hoo défoncez moi la chatte, haaa oui malaxez mes grosses mamelles ... haa c'est bon hoo je vais jouir ...hooo haaa"

En écoutant ma femme se faire baiser, gifler le cul et en réclamer, je me suis remis à bander à nouveau et à me branler. Tout en m'astiquant, j’essuyais de mes doigts mon sperme sur mon bureau et le portait à la bouche. Par le passé, j'en avais déjà eu envie après m'être branlé seul, mais quand l'excitation retombait je n'osais pas le faire. J'écoutais ma femme se faire insulter et jouir en me pinçant les tétons et lorsque le gars a joui en la traitant de grosse truie, de vache laitière, de sac à foutre et j'ai éjaculé une deuxième fois sur mon bureau en imaginant le faire sur le visage de mon épouse, honteux, jaloux et en même temps, me demandant comme j'allais gérer la situation. Après avoir joui, le gars a dit à Marie

- humm oui reste comme ça, j'adore remplir de foutre une bourgeoise mariée, je vais garder ta culotte et ton sg en souvenir
- je heu d'accord mais vous ne direz rien à personne hein ? Je heu je me suis laissée aller mais j'aime mon mari (déjà ça de pris) et je ne voudrais pas avoir de problèmes, je heu c'est la première fois que je le trompe (ouf)
- on verra ça oui... mais là je dois filer, j'ai des choses à faire, je ne dirai surement rien à personne mais on va se revoir, il faut que je relise le contrat avant de le signer, ça me donnera l'occasion de réfléchir et de te remplir la chatte ou la gorge, peut être même le cul. Je pense que je vais ajouter au contrat des réunions hebdomadaires pendant les six mois à venir pour vérifier l'avancée de votre prestation, comme ça tu auras ta dose de grosse queue régulièrement, j'espère que tu ne croyais pas que j'en resterais là !
- Je heu bien monsieur, mais je vous en supplie ne dites rien à personne

Je sentais que malgré son infidélité ma femme m'aimait, c'était le plus important pour moi, et qu'elle regrettait peut être même, mais maintenant elle était coincée, si elle voulait son contrat et garder son image de femme fidèle, elle devait se livrer à cet homme...

- Je te laisse, lave toi la chatte avant que ton mari rentre, avec la dose que je viens de te mettre ça va dégouliner un moment sur tes cuisses hahaha. Tu dois avoir quand même honte de toi de tromper ton mari j'imagine, mais bon quand on est une salope aussi chaude, on sait mentir à son mari. Je reviens la semaine prochaine arrange toi pour pouvoir me recevoir !

Et il est parti, je ne savais pas quoi faire, descendre lui dire de faire sa valise ou continuer à faire comme si je n'étais pas là ... mais à un moment je l'ai entendue pleurer, je suis descendu et était là toujours à poil penchée en avant sur son bureau. Quand elle m'a vu descendre les escaliers elle a compris que j'étais là depuis le début. Elle sanglotait de plus belle en me regardant, alors je me suis approché d'elle, nue, mon dieu qu'elle était belle ainsi, les mamelles lourdes, pendantes, les cuisses ouvertes, du sperme débordant de la chatte coulant sur une cuisse. Je me suis mis à coté d'elle, j'ai posé ma main sur ses reins, l'ai remontée doucement vers sa nuque pendant qu'elle se redressait et je l'ai prise dans mes bras tandis qu'elle me disait qu'elle m'aimait plus que tout, qu'elle regrettait, qu'elle ne savait pas pourquoi elle s'était laissé faire (en le provocant un peu aussi!) et on s'est embrassés longuement. Je sentais ses larmes salées sur ses lèvres mais aussi une odeur et un gout de bite ! Je lui caressais le dos doucement, puis sans le préméditer j'ai passé ma main sur ses cotes et l'ai remontée pour prendre un sein en main, le palper lentement mais plus fort que je ne le faisais d'habitude ... Je bandais comme un âne ! Alors je lui ai dit que moi aussi je l'aimais, que ce n'était pas grave et ma main est descendue vers son sexe poisseux, je l'ai branlée. Elle me regardait étonnée au début puis a commencé à respirer fort, à gémir doucement puis m'a embrassé fougueusement en déboutonnant mon jean et s'est jeté sur ma bite qui bandait à nouveau alors que jamais je ne l'ai baisée deux fois de suite, et m'a sucé comme jamais, longtemps pendant que je caressais ses gros seins et ses fesses. Sans rien dire, je me suis positionné derrière elle et je me suis enfoncé en elle. Ma queue est rentrée d'un coup, je sentais sa chatte dilatée, pleine du jus d'un autre et je l'ai pistonnée plus longtemps que jamais en la faisant jouir 2 fois avant d'éjaculer en elle mélangeant mon foutre à celui de son client.

Nous nous sommes pris dans les bras, épuisés en nous caressant tendrement. Elle me disait qu'elle m'aimait que ce n'était pas grave si elle ne signait pas son contrat qu'elle se refuserait à d'autres avances de la part de cet homme et moi, sans comprendre pourquoi je disais cela, je lui ai dit "tu sais ma chérie, j'ai entendue comme tu as joui avec cet homme, plus que jamais avec moi ! Et puis on a pris beaucoup de plaisir tous les deux après ... si tu le souhaites, même un peu, tu peux recommencer ... et moi je serai en haut à attendre qu'il parte pour te rejoindre ... Le temps qu'elle répondre m'a paru une éternité, non seulement j'étais cocu, mais je venais de lui dire qu'elle pouvait continuer. Je me sentais nul, jusqu'à ce que je la vois sourire et répondre "on fera comme tu veux mon amour, si tu me le demandes je le laisserai me baiser comme une salope, me traiter de sac à foutre et me baiser comme une putain"

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