Ma femme et mon pote complices (3)
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme et mon pote complices (3)
Résumé. Chantal, exhibée, pelotée en public dans un restaurant, est amenée dans l’appartement de mon pote pour être livrée au japonais repreneur de mon entreprise. Après avoir tout d’abord refusé de se faire baiser, elle participe au jeu une partie de la nuit, prise entre deux obsédés, humiliée, elle jouit plusieurs fois, complètement libérée.
Dans l’ascenseur, Chantal se love contre moi la tête sur mon épaule. Le gros, collé dans son dos lui caresse les cheveux, tendrement. Son regard est ambigu. Il la couve comme son objet fragile avec lequel il se prépare à jouer, en se ménageant et se préparant pour le meilleur.
Rêne habite un grand appartement. A peine entrés, il s’occupe à nous servir à boire. Encore. Son manteau encore sur elle, Chantal soudain se jette dans mes bras et me souffle :
- « Je veux rentrer. Je n’en peux plus. Tu as eu ce que tu voulais, mais maintenant rentrons ». Je ne peux me résoudre à arrêter là cette soirée. J’en veux encore plus.
- « Sois sympa. On est bien ici. On ne va pas te faire n’importe quoi. Laisse-le encore te mater et j’arrête quand tu le demandes. Tu avais l’air contente quand René t’embrassait dans la rue. C’est super ». Et je continue de la convaincre, en lui enlevant son manteau. Elle se laisse faire.
- « On boit un dernier verre, ajoute René qui a compris ce qui se passait ». Il nous sert trois whisky bien tassés puis s’affale sur un grand canapé et regarde. Le géant s’est approché doucement derrière Chantal, à la toucher. Comme dans l’ascenseur il lui caresse tendrement les cheveux. Il a deux têtes de plus que ma fragile bonne femme qui paraît bien fluette.
- « Je ne veux pas qu’il me touche. Il me dégoute tout en sueur, il sent mauvais ».
- « Mais il ne fait que regarder, te mater. Allons, laisse toi faire encore un petit peu ». Elle résiste un petit peu quand elle me sent lui dégrafer sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle me laisse maintenant dégager son chemisier de ses épaules. Elle est nue, vêtue simplement de ses bas et de ses chaussures. Elle a accepté de jouer.
Quand le japonais, approche ses mains pour lui saisir les seins, je la pousse vers lui et je lui dis en anglais :
- « Tiens, prends là, tu peux la caresser, la peloter, elle est d’accord. Même plus si tu en as envie. Elle est à toi ».
Je vois alors ses grosses mains passer sur le devant et se saisir de seins qu’il s’amuse à faire ballotter entre ses doigts. Chantal se laisse faire, les yeux fermés. Puis une main descend sur le ventre puis le triangle noir et s’empare du sexe. Chantal se raidit, puis je la vois qui se détend acceptant la caresse. Il se met à la doigter sans plus aucune tendresse maintenant. Il est tout rouge et des gouttes de sueur perlent sur son front. Il est vraiment répugnant !
Sur son canapé, René a sorti sa bite et se contente de se caresser lentement. Quand il en a assez de la caresser, le géant la retourne vers lui, la prend dans ses bras et la porte sur le canapé. René lui laisse la place. Il l’allonge sur le dos et avec cérémonie, commence à lui caresser tout le corps : le ventre, les cuisses, les mollets, les chevilles. Il remonte vers la poitrine, le cou, les lèvres le front, les cheveux. On dirait qu’il veut la toucher de partout.
Puis il la retourne et lui caresse le dos et tout le reste du corps en s’attardant sur les fesses. Chantal sa laisse aller à la caresse et commence respirer un peu plus vite, montrant des signes évidents de plaisir. Je bande.
Abandonnant quelques instants sa proie, il se déshabille. Il a un bide énorme et un sexe très long mais pas très large. Chantal reste allongée, immobile attendant la suite. Elle s’est laissé caresser nous offrant des petits gémissements de plaisir. Je sens qu’elle a accepté de se livrer sans retenue.
L’homme nu se caresse lentement. Son sexe très long se dresse contre son ventre. Quand il découvre son gland rouge foncé, des sécrétions apparaissent par son méat. Il prend Chantal aux hanches, la soulève comme une plume, s’assoit sur le canapé et la dépose sur ses genoux en lui écartant les jambes, face à lui. Ecartelée, son sexe s’ouvre et il n’a qu’à la laisser descendre sur ses genoux pour qu’elle vienne s’empaler sur sa tige dressée. En un seul coup il s’enfonce en elle. Le visage de Chantal se crispe. J’imagine que le sexe très long vient la frapper très profond. Il commence alors de rapides va et vient ; Chantal apprécie car très vite elle se met à pousser des petits cris. Elle s’accroche à la nuque du sumo et l’attire à elle. Et c’est elle qui s’empare de ses lèvres pour lui rouler une pelle d’enfer. La salope qui, il y a cinq minutes ne voulait pas qu’il la touche… Et je vois ma femme remuer son cul pour bien profiter de cette queue qui la ramone et lui donne du plaisir.
Soudain, le géant pousse des râles pour indiquer qu’il va jouir et Chantal accélère son mouvement des hanches et alors qu’il déverse en elle sa semence elle se met à crier comme jamais je ne l’ai entendue. Il la remplit de plusieurs jets de sperme, en restant bloqué au fond du ventre offert. Sans me toucher, je jouis à mon tour devant cette image de ma femme souillée par le sperme d’un autre homme. Repus, ils s’affalent dans le canapé. René n’a rien manqué du spectacle. Il est au bord de la jouissance. La bite du sumo débande et sort du sexe encore béant de mon épouse. Une coulée de sperme s’échappe des petites lèvres et coulent le long des cuisses encore écartées. L’homme qui vient de baiser ma femme se lève, récolte le sperme qui coule sur les cuisses avec deux doigts et les introduit dans le ventre comme pour la baiser une autre fois avec ses doigts. Une autre fois, il s’enduit de sperme, mais cette fois il les donne à sucer à Chantal qui sans hésiter lèche les doigts et avale la semence mêlée à sa propre sécrétion sortie de son ventre.
René se lève et s’approche du couple. A son tour il veut profiter de la femelle. Il la retourne sur le ventre, lui replie les jambes pour faire ressortir ses fesses. Ainsi cambrée, Chantal offre son cul et son sexe à notre vue. René se place derrière elle et lui écarte les fesses pour exposer son petit trou.
Il s’enduit un doigt de salive et le place sur la rondelle. Chantal n’a pas été enculée ; elle est encore, à ma connaissance, vierge du cul. Il présente son majeur à l’entrée de l’orifice et lentement le fait pénétrer. Chantal se crispe.
- « Détend-toi ma jolie. Tu vas m’offrir ton petit cul. Je vais te sodomiser et te dépuceler en même temps. Tu m’as bien dit que ton mari ne t’avait jamais prise par là ! Et bien c’est pour ce soir ».
A ces mots je comprends qu’elle ne m’a pas tout dit de leur première rencontre. La jalousie me submerge. Mais l’image de ce doigt qui la branle maintenant au cul est plus forte. En même temps qu’il la doigte, René se met à donner des petites claques sur les fesses rebondies devant lui. Il appuie de plus en plus ses coups et bientôt les fesses deviennent rouges sous les coups répétés. Maintenant il lui branle le cul de deux doigts. De son autre main, entre deux claques, il se masturbe et très vite sa queue prend une dimension impressionnante. Quand elle est bien bandée, il la présente entre les deux fesses et doucement il appuie pour la faire pénétrer. Chantal fait la grimace, elle a mal et lui demande d’arrêter. Il insiste et doucement le gland pénètre entre les fesses écartelées. Elle crie et lui demande encore d’arrêter. Il pousse et bientôt toute la bite disparaît d’un seul coup dans le ventre de ma bien aimée. Il reste un instant planté en elle pour finir de la dilater. Chantal ne se plaint plus et comme il commence à la baiser dans le cul, elle montre des signes de plaisirs qui font suite à la douleur. Bientôt, la bite a fait son passage et l’homme accélère ses va et vient et maintenant elle se met à pousser des cris de jouissance en remuant ses fesses pour augmenter son plaisir. Soudain, René se met à crier, et il déverse à son tour son jus dans le ventre de mon épouse. Chantal jouit aussi.
Quand il se relève, un jet de sperme s’échappe du petit trou dilaté. A son tour il le recueille avec ses doigts pour l’introduire dans le sexe encore tout tâché du sperme de l’autre homme. Une autre manière de la baiser.
Cette fois Chantal en a assez. Elle se lève pour aller dans la salle de bain d’où bientôt nous parvient le bruit de la douche. Entre hommes on boit le dernier verre. Quand elle nous rejoint, elle est souriante, comme contente de ce qui vient de lui arriver.
Elle se rhabille lentement devant nous, satisfaite de l’effet qu’elle dégage. Elle enfile son manteau et me demande de rentrer. On part.
Un taxi nous ramène chez nous. Je l’embrasse comme un fou tant je l’aime pour le plaisir qu’elle m’a donné ce soir.
Mon japonais m’a apporté les finances attendues, avec la demande expresse que cet investissement s’accompagnait d’intérêts autres que financiers dont Chantal était le centre et l’aboutissement. En un mot il viendrait la baiser à la moindre occasion de son passage à Paris. Il me restait à connaître la vérité sur les véritables relations entre mon épouse et mon pote René. Mais c’est une autre histoire.
Si vous avez aimé, n’hésitez pas à le dire pour en savoir et voir plus.
Dans l’ascenseur, Chantal se love contre moi la tête sur mon épaule. Le gros, collé dans son dos lui caresse les cheveux, tendrement. Son regard est ambigu. Il la couve comme son objet fragile avec lequel il se prépare à jouer, en se ménageant et se préparant pour le meilleur.
Rêne habite un grand appartement. A peine entrés, il s’occupe à nous servir à boire. Encore. Son manteau encore sur elle, Chantal soudain se jette dans mes bras et me souffle :
- « Je veux rentrer. Je n’en peux plus. Tu as eu ce que tu voulais, mais maintenant rentrons ». Je ne peux me résoudre à arrêter là cette soirée. J’en veux encore plus.
- « Sois sympa. On est bien ici. On ne va pas te faire n’importe quoi. Laisse-le encore te mater et j’arrête quand tu le demandes. Tu avais l’air contente quand René t’embrassait dans la rue. C’est super ». Et je continue de la convaincre, en lui enlevant son manteau. Elle se laisse faire.
- « On boit un dernier verre, ajoute René qui a compris ce qui se passait ». Il nous sert trois whisky bien tassés puis s’affale sur un grand canapé et regarde. Le géant s’est approché doucement derrière Chantal, à la toucher. Comme dans l’ascenseur il lui caresse tendrement les cheveux. Il a deux têtes de plus que ma fragile bonne femme qui paraît bien fluette.
- « Je ne veux pas qu’il me touche. Il me dégoute tout en sueur, il sent mauvais ».
- « Mais il ne fait que regarder, te mater. Allons, laisse toi faire encore un petit peu ». Elle résiste un petit peu quand elle me sent lui dégrafer sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle me laisse maintenant dégager son chemisier de ses épaules. Elle est nue, vêtue simplement de ses bas et de ses chaussures. Elle a accepté de jouer.
Quand le japonais, approche ses mains pour lui saisir les seins, je la pousse vers lui et je lui dis en anglais :
- « Tiens, prends là, tu peux la caresser, la peloter, elle est d’accord. Même plus si tu en as envie. Elle est à toi ».
Je vois alors ses grosses mains passer sur le devant et se saisir de seins qu’il s’amuse à faire ballotter entre ses doigts. Chantal se laisse faire, les yeux fermés. Puis une main descend sur le ventre puis le triangle noir et s’empare du sexe. Chantal se raidit, puis je la vois qui se détend acceptant la caresse. Il se met à la doigter sans plus aucune tendresse maintenant. Il est tout rouge et des gouttes de sueur perlent sur son front. Il est vraiment répugnant !
Sur son canapé, René a sorti sa bite et se contente de se caresser lentement. Quand il en a assez de la caresser, le géant la retourne vers lui, la prend dans ses bras et la porte sur le canapé. René lui laisse la place. Il l’allonge sur le dos et avec cérémonie, commence à lui caresser tout le corps : le ventre, les cuisses, les mollets, les chevilles. Il remonte vers la poitrine, le cou, les lèvres le front, les cheveux. On dirait qu’il veut la toucher de partout.
Puis il la retourne et lui caresse le dos et tout le reste du corps en s’attardant sur les fesses. Chantal sa laisse aller à la caresse et commence respirer un peu plus vite, montrant des signes évidents de plaisir. Je bande.
Abandonnant quelques instants sa proie, il se déshabille. Il a un bide énorme et un sexe très long mais pas très large. Chantal reste allongée, immobile attendant la suite. Elle s’est laissé caresser nous offrant des petits gémissements de plaisir. Je sens qu’elle a accepté de se livrer sans retenue.
L’homme nu se caresse lentement. Son sexe très long se dresse contre son ventre. Quand il découvre son gland rouge foncé, des sécrétions apparaissent par son méat. Il prend Chantal aux hanches, la soulève comme une plume, s’assoit sur le canapé et la dépose sur ses genoux en lui écartant les jambes, face à lui. Ecartelée, son sexe s’ouvre et il n’a qu’à la laisser descendre sur ses genoux pour qu’elle vienne s’empaler sur sa tige dressée. En un seul coup il s’enfonce en elle. Le visage de Chantal se crispe. J’imagine que le sexe très long vient la frapper très profond. Il commence alors de rapides va et vient ; Chantal apprécie car très vite elle se met à pousser des petits cris. Elle s’accroche à la nuque du sumo et l’attire à elle. Et c’est elle qui s’empare de ses lèvres pour lui rouler une pelle d’enfer. La salope qui, il y a cinq minutes ne voulait pas qu’il la touche… Et je vois ma femme remuer son cul pour bien profiter de cette queue qui la ramone et lui donne du plaisir.
Soudain, le géant pousse des râles pour indiquer qu’il va jouir et Chantal accélère son mouvement des hanches et alors qu’il déverse en elle sa semence elle se met à crier comme jamais je ne l’ai entendue. Il la remplit de plusieurs jets de sperme, en restant bloqué au fond du ventre offert. Sans me toucher, je jouis à mon tour devant cette image de ma femme souillée par le sperme d’un autre homme. Repus, ils s’affalent dans le canapé. René n’a rien manqué du spectacle. Il est au bord de la jouissance. La bite du sumo débande et sort du sexe encore béant de mon épouse. Une coulée de sperme s’échappe des petites lèvres et coulent le long des cuisses encore écartées. L’homme qui vient de baiser ma femme se lève, récolte le sperme qui coule sur les cuisses avec deux doigts et les introduit dans le ventre comme pour la baiser une autre fois avec ses doigts. Une autre fois, il s’enduit de sperme, mais cette fois il les donne à sucer à Chantal qui sans hésiter lèche les doigts et avale la semence mêlée à sa propre sécrétion sortie de son ventre.
René se lève et s’approche du couple. A son tour il veut profiter de la femelle. Il la retourne sur le ventre, lui replie les jambes pour faire ressortir ses fesses. Ainsi cambrée, Chantal offre son cul et son sexe à notre vue. René se place derrière elle et lui écarte les fesses pour exposer son petit trou.
Il s’enduit un doigt de salive et le place sur la rondelle. Chantal n’a pas été enculée ; elle est encore, à ma connaissance, vierge du cul. Il présente son majeur à l’entrée de l’orifice et lentement le fait pénétrer. Chantal se crispe.
- « Détend-toi ma jolie. Tu vas m’offrir ton petit cul. Je vais te sodomiser et te dépuceler en même temps. Tu m’as bien dit que ton mari ne t’avait jamais prise par là ! Et bien c’est pour ce soir ».
A ces mots je comprends qu’elle ne m’a pas tout dit de leur première rencontre. La jalousie me submerge. Mais l’image de ce doigt qui la branle maintenant au cul est plus forte. En même temps qu’il la doigte, René se met à donner des petites claques sur les fesses rebondies devant lui. Il appuie de plus en plus ses coups et bientôt les fesses deviennent rouges sous les coups répétés. Maintenant il lui branle le cul de deux doigts. De son autre main, entre deux claques, il se masturbe et très vite sa queue prend une dimension impressionnante. Quand elle est bien bandée, il la présente entre les deux fesses et doucement il appuie pour la faire pénétrer. Chantal fait la grimace, elle a mal et lui demande d’arrêter. Il insiste et doucement le gland pénètre entre les fesses écartelées. Elle crie et lui demande encore d’arrêter. Il pousse et bientôt toute la bite disparaît d’un seul coup dans le ventre de ma bien aimée. Il reste un instant planté en elle pour finir de la dilater. Chantal ne se plaint plus et comme il commence à la baiser dans le cul, elle montre des signes de plaisirs qui font suite à la douleur. Bientôt, la bite a fait son passage et l’homme accélère ses va et vient et maintenant elle se met à pousser des cris de jouissance en remuant ses fesses pour augmenter son plaisir. Soudain, René se met à crier, et il déverse à son tour son jus dans le ventre de mon épouse. Chantal jouit aussi.
Quand il se relève, un jet de sperme s’échappe du petit trou dilaté. A son tour il le recueille avec ses doigts pour l’introduire dans le sexe encore tout tâché du sperme de l’autre homme. Une autre manière de la baiser.
Cette fois Chantal en a assez. Elle se lève pour aller dans la salle de bain d’où bientôt nous parvient le bruit de la douche. Entre hommes on boit le dernier verre. Quand elle nous rejoint, elle est souriante, comme contente de ce qui vient de lui arriver.
Elle se rhabille lentement devant nous, satisfaite de l’effet qu’elle dégage. Elle enfile son manteau et me demande de rentrer. On part.
Un taxi nous ramène chez nous. Je l’embrasse comme un fou tant je l’aime pour le plaisir qu’elle m’a donné ce soir.
Mon japonais m’a apporté les finances attendues, avec la demande expresse que cet investissement s’accompagnait d’intérêts autres que financiers dont Chantal était le centre et l’aboutissement. En un mot il viendrait la baiser à la moindre occasion de son passage à Paris. Il me restait à connaître la vérité sur les véritables relations entre mon épouse et mon pote René. Mais c’est une autre histoire.
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