Ma nuit au château (1) (suite d'une plage naturiste sous la canicule) - histoire érotique

Me voici de retour après environ une année de découverte de l'europe centrale et orientale et bien sur des aventures assez pimentées que je ne manquerais pas de vous conter.
Pour l'instant je souhaite poursuivre la narration de mes aventures telles que j'avais commencé de le faire avant cette longue interruption.

Après nous être bien éclatés tous ensembles nous sommes sortis du bosquet pour contempler la plage depuis le sommet des dunes.
Sandrine était entourée par ses deux amants noirs et elle prenait plaisir a caresser leurs fesses puissantes et musclées.
Puis nous avons accéléré le pas car il commençait à se faire tard. La plage s'était quasiment vidée .

Au loin sous le pin le groupe de la doctoresse Clarisse s'était réduit . Seules étaient restées Hélène la belle-mère de Clarisse en discussion avec sa petite-fille Coralie, la fille ainée de Sandrine.
La température étant plus fraiche, Hélène avait revêtu un petit haut rose. Ses seins lourds tendaient le tissu et ses pointes émergeaient derrière le vêtement .
Elle s'adressa a Sandrine sa fille.
- Vous avez fait une longue ballade, vous êtes partis depuis 1h30 . Clarisse ne vous a pas attendu, elle est repartie avec toutes les filles. Seule Coralie est restée avec moi pour rentrer avec toi.

Sandrine lui répondit .
- En fait, nous n'étions pas si loin, j'ai juste voulu montrer à Florian et Paola le joli point de vue du haut des dunes.

J'étais un peu chagriné de n'avoir pu continuer mon entreprise de séduction de la doctoresse mais ce n'était que partie remise.
Hélène rétorqua sur un air complice et en m'adressant un regard coquin.
- Je vois de quel point de vue tu veux parler. Alors Florian et Paola ont du apprécier la promenade.
Helene me demanda si je n'étais pas trop fatigué et je lui répondis que j'étais en pleine forme.

Hellène dit- Tu es jeune Florian, tu es plein de vigueur, je suis sur que même après tout ce temps dans les dunes tu as encore plein d'énergie, tu es si fort. Tu sais jeune homme, moi aussi je connais ce qui s'y passe dans les dunes. Je ne pensais pas que Sandrine vous y conduirait, décidément elle me surprendra toujours.
Sandrine répondit a sa mère .
- A vrai dire Maman je me rends dans les dunes que depuis peu de temps et il n'y a pas toujours la même fréquentation. En cet fin de journée, il y a moins de monde, la clientèle de nuit comme toi vient plus tard. Ça m'a permis de présenter en toute tranquillité les lieux a Florian et Paola .

Hélène paru vexée quand sa fille la catalogua dans la clientèle de nuit dévoilant au reste du groupe une partie de sa vie sexuelle libérée .
- Tu vois Maman, on y a fait des rencontres précisa Sandrine en désignant Bernard , Shirley , Olivier et Toumani.
Hélène souriait car elles avaient un tel carnet d'adresses et une telle curiosité qu'elle les connaissait déjà tous.

- Mmmm je connais Bernard , c'est le boucher-charcutier de la rue Saint-Martin. Je l'ai parfois rencontré le soir dans les dunes, je savais qu'il fréquentait les lieux comme ceux-la . J'ai vu votre femme l'autre Samedi chez le coiffeur, elle m'a dit que vous aviez embauché une employée pour la saison.
- Tout a fait Madame la comtesse, d'ailleurs c'est la jeune fille a mes cotés dit Bernard en désignant Shirley. Elle me donne totale satisfaction.
Hélène lui répondit avec un brin de jalousie.
- Totale satisfaction j'imagine. Bernard, vous les prenez au berceau, cette fille parait bien jeune.
Shirley répondit fièrement, la poitrine gonflée pour mettre en valeur ses grosses loches lourdes.
- Madame je viens d'avoir 18 ans et je suis très satisfaite de travailler avec Bernard . Il ne m'a jamais forcée a faire des choses que je refuse.


Face au caractère affirmé de la jeune fille, Hélène était un peu décontenancée .
- Je ne dis pas le contraire mais je pense à Patricia la femme de Bernard, elle est si belle et douce.
- Ne vous inquiétez pas pour ma femme rétorqua Bernard, elle mène aussi sa barque et sait tenir le ou plutôt les gouvernails qui passent entre ses mains , si vous voyez l'image.
- D' accord vous me rassurez vous avez un accord avec votre femme, chacun a son espace de liberté. Désormais, je regarderais Patricia différemment indiqua malicieusement Hélène.

- Quant a ces deux hommes magnifiques, il s'agit de tes collègues Olivier et Toumani, les vigiles du supermarché où tu travailles. J'ai déjà parlé avec eux lorsque je passais te voir a ton bureau.
Hélène était éblouie par les deux noirs et surtout c'était la première fois qu'elle pouvait apprécier de si près le calibre des sexes de l'Anaconda et du Python. En effet, elle connaissait leur réputation auprès de la gente féminine qui fréquentait la plage.

- Messieurs ajouta Hélène je suis très heureuse de vous voir ici et charmée de savoir que vous fréquentez comme moi les bosquets dans les dunes. Je ne sais pas ce qui s'est passé exactement tout a l'heure dans les dunes mais je suis sure que j'ai ratée un grand moment.
Sandrine se glissa dans la conversation.
- Maman comme tu es curieuse tu sais bien ce qui s'est passé la-haut dans les bosquets. Tu vas gêner mes deux collègues de travail qui ont été si gentils et tellement disponibles pour nous toutes.
Hélène s'excusa mais les sexes ébènes hors-normes qui balançaient entre les cuisses des deux blacks la troublait tellement que des fantasmes parcouraient son esprit.

Bernard et Shirley prirent congés de notre groupe car Bernard devait conduire Shirley chez ses parents. Ensuite Bernard retournerait a son domicile ou sa femme devait s'inquiéter connaissant le caractère volage du boucher-charcutier.
Hélène prit la parole.
- Il commence a faire frisquet, il est presque 21 heures, je propose de rejoindre les véhicules sur le parking.

Hélène enfila une simple robe légère aà fleurs fermée par une ceinture de cuir. Elle était totalement nue sous sa robe. Ses seins lourds balançaient librement, elle dégageait une sensualité affolante.
Sandrine n'était pas en reste et quitta la plage avec ses sous-vêtements blancs a la main nue sous son jogging et sa tunique.

Arrivés sur le parking, nous nous apprêtions à souhaiter une bonne fin de soirée a Olivier et Toumani lorsque Hélène fit une proposition surprenante.
- Que diriez vous de venir tous souper au château ce soir ? Je vais contacter ma gouvernante pour la prévenir que nous serons nombreux à table car mon mari est absent, il se trouve en déplacement pour un séminaire de philatélie . J'appellerais aussi Clarisse pour l'avertir que Paola sera des nôtres . Personne n'a d'objections ?
Connaissant sa fille et avec le peu que je connaissais de la comtesse, j'imaginais qu'elle avait une idée derrière la tête .
Je m'installais a l'arrière de la voiture d’Hélène avec Coralie et Paola. Sandrine s'installa a l'avant aux cotés de sa mère qui démarra le véhicule. Hélène régla les détails du repas avec Clara sa gouvernante.
Olivier et Toumani nous suivait de près afin de ne pas se perdre pour se rendre au château.


Paola s'était parfumée avant de quitter la plage et elle exhalait une odeur fruitée des plus attirantes. Je tentais une approche pour voir si la jeune noire était réceptive.
Elle tressaillit un peu quand ma main se posa sur son genou mais elle me regarda en souriant me suppliant du regard de m'aventurer plus loin. Cette adolescente sous son air sage abritait un volcan.
Je remontais sous sa robe blanche en caressant ses cuisses musclées . J'atteins sa petite culotte rouge en soie a liseré de dentelle. Je caressais son sexe au travers du tissu. La jeune fille se figea et commença a se tortiller sous l'effet de mes attouchements.
Je décidais d' écarter la culotte pour accéder a l'intimité de Paola . Je glissais un doigt humide le long de la fente en accélérant le mouvement. Paola écarta les cuisses en relevant sa jupe . Elle glissa la main dans son entrecuisse pour m'assister dans mon activité . Elle caressait le capuchon de son clitoris en écartant les lèvres épaisses de sa jeune chatte.
Je glissais mes doigts dans la fente m'introduisant de plus en plus profondément. La jeune noire respirait de plus en plus vite et son corps se tendait tandis que mes doigts la fouillait.
Coralie qui malgré ses 16 ans n'était pas un modèle d'innocence avait remarqué ce qui se passait a ses cotés.

Je fus surpris quand je sentis une main se poser sur mon entrejambe, c'était bien Coralie qui de sa petite main caressait mon bermuda cherchant a flatter mon membre qui commençait a se réveiller sous l'excitation provoquée par Paola.
Tout en branlant avec ardeur Paola , je glissais une main dans l'opulent corsage de la jeune black. Je massais les seins au travers du soutien-gorge en soie . Je fis tomber les bretelles de la robe blanche glissant ma main dans son dos je défis les attaches du soutien-gorge. La poitrine noire aux aréoles larges et aux tétons érigés s'effondra devant moi . Je la soupesait en faisant rouler les mamelons entre mes doigts. N'y tenant plus j'amenais le sein a ma bouche pour l'avaler et titiller les tétons de ma langue. La jeune noire avait la tête rejetée en arrière sur la banquette tout son corps était contracté.

Coralie avait ouvert mon bermuda et mon sexe déjà bien gonflé émergeait tel un obélisque. Elle glissa mon pieu de 20 cms dans sa bouche si douce. Elle s'arrêtait sur mon gland pour le flatter de sa petite langue pointue.
Je me tournais vers Coralie tout en m'occupant de la chatte de Paola.
De ma main libre, je saisis la tête de Coralie pour caresser ses longs cheveux soyeux et pour guider ses mouvements . A 16 ans Coralie se débrouillait pas mal en matière de pipe. Parfois, je descendais sur sa poitrine et je malaxais ses seins ronds et fermes au travers de son t-shirt.
Coralie prenait des initiatives et glissa sa tête sous mes couilles pour les avaler avec avidité .
Cette jeune fille me donnait beaucoup de plaisir. J'étais comme un roi dans son carrosse tout en cheminant vers le château.
Coralie avait la bouche pleine et émettait des petits sons étouffés. Paola elle poussait des râles de plaisir. Pour ma part, ma respiration était saccadée .

Tous ces bruits a l'arrière du véhicule éveillèrent l'attention de Hélène et Sandrine. Hélène jeta un œil dans son rétroviseur et vit la scène érotique qui se déroulait dans son dos.
Sandrine se tourna et observait avec intérêt l'activité de sa fille autour de ma verge.
- Tu es bien ma fille, quand tu as une belle queue a portée de la main tu ne peux pas te retenir. Tu vois Maman comme elle suce bien ta petite-fille, une vraie aristocrate de la pipe comme sa Mamie dit Sandrine .
La jeune Coralie leva la tête pour répondre a sa mère mais Sandrine l'interrompit immédiatement.
- Je t'ai toujours dit qu'on ne parle pas la bouche pleine ma fille. Continue a t'occuper de Florian, je crois qu'il apprécie . Un petit conseil, crache un peu sur son gland ça t'aidera a lui astiquer le chibre, ça coulissera mieux. Puis ta main est trop petite pour faire le tour de son sexe, utilise les deux mains comme quand tu jouais de la flute étant petite.

Coralie suivait les conseils de sa mère avec attention, désormais j'étais en pleine érection et le prépuce rétracté au maximum.
Je descendis ma bouche sur la vulve de Paola . Son clitoris avait désormais émergé du capuchon et durcissait de volupté sous mes coups de langue vigoureux . Sa fente était totalement moite et un filet de mouille se faufilait entre les plis des lèvres et s'écoulait sur la banquette de la voiture.
Sandrine intervint en tendant une serviette de plage a Paola.
- Glisse ça sous tes fesses sinon Madame la comtesse va hurler si tu laisses des traces de ta jute dans sa voiture. Comme ça tu vas pouvoir mouiller comme une fontaine ma belle.


Hélène remercia sa fille car elle était maniaque avec la propreté de son véhicule 4x4 Mercedes flambant neuf.
Mes doigts s'activaient dans le con de Paola et ils étaient enduits de cyprine . Âpres une quinzaine de minutes de ce traitement Paola se cabra en arrière et donna trois ou quatre violents coups de reins qui soulevaient son bassin . Elle geignait et retomba épuisée par un orgasme.
Coralie continuait de me pomper, elle me conservait de plus en plus longtemps au fond de sa bouche en agaçant mon gland avec sa langue. J'étais au nirvana, la jeunette savait s'y prendre.
Nous progressions vers le château et j’étais loin d' être au bout de mes surprises.