Une plage naturiste sous la canicule (3)
Récit érotique écrit par Tycoo217 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Une plage naturiste sous la canicule (3)
La température de l'eau était parfaite, nous nous amusions et nagions tous les trois, je me sentais vraiment bien totalement nu, les sensations étaient agréables. De temps a autres, je jetais un œil sur nos affaires posées sur la plage même si nous en avions confié la garde a nos voisines (les trois commerçantes d' âge mur).
Je me retournais et a ma grande surprise j'aperçus mes anciennes professeurs de physique-chimie et d'anglais au lycée qui longeaient la plage en compagnie de deux jeunes filles.
Mme Carole M. (physique-chimie) était vêtue d'une longue robe blanche ample, je la reconnus immédiatement avec son visage d'habitude un peu sévère avec ses fines lunettes et ses cheveux blonds, elle était âgée de 42 ans et ne faisait pas son âge, cette fois son visage était auréolé d'un large sourire. A ses cotés se trouvait sa collègue Fabienne D (professeur d'anglais) toute aussi blonde que Carole M mais avec des cheveux longs et bien lisses. Fabienne D avait la peau particulièrement mate et portait un haut jaune a fines bretelles ainsi qu'un short en jean très moulant, les bretelles roses de son soutien-gorge étaient visibles. Elle était âgée de 46 ans.
La première jeune fille était brune avec des cheveux longs et boucles, elle était légèrement enrobée tout en paraissant sportive, elle portait une jupe brésilienne très courte et un t-shirt blanc léger sur lequel était inscrit un slogan ambigu "I m a beach (bitch) girl " ( en francais "je suis une fille de la plage" entre parenthèses le mot salope transformant la phrase en "je suis une salope") , d'ailleurs la phrase était déformée par sa volumineuse poitrine dont les tétons émergeaient sous le tissu du fragile vêtement .
La deuxième jeune fille avait des cheveux châtains clairs mi-longs, elle avait la peau claire et portait une salopette en jean pour femme enceinte, son ventre rebondi laissait penser qu'elle devait être dans son septième mois environ, elle n'avait qu'un soutien-gorge microscopique sous sa salopette, ce qui me permis d'apprécier sa poitrine alourdie par son état de grossesse.
J'hésitais quant a l'attitude a adopter, piquer une tête sous l'eau pour me soustraire a cette situation délicate ou attendre et affronter un risque de raideur involontaire de mon kiki.
Je n'eu pas le temps de choisir car le petit groupe arriva a mon niveau et mes deux professeurs me reconnurent. Elles me firent un signe de la main tout en souriant, ce qui changeait de leur attitude a mon égard lorsque j'étais leur élève pas toujours attentif certes.
Heureusement pour moi j'étais dans l'eau jusqu'au nombril ce qui me permettrait en cas d'élévation brusque de mon obélisque de faire bonne contenance.
- Bonjour Florian comme je suis surprise de te trouver ici, tu es bien la dernière personne que je pensais trouver en ce lieu, tu paraissais un peu pudique au lycée me dit Mme Carole M.
- Je vois qu'il est nettement moins pudique maintenant, d'ailleurs ça n'est pas désagréable. Tu as bien grandi et forci, un vrai homme ajouta Mme Fabienne D.
Ses mots m'émoustillèrent car Fabienne D avec son regard de braise fini ces paroles en passant sa langue sur ses lèvres pulpeuses rose clair pour me témoigner son intérêt .
- Vous savez mesdames c'est la première fois que je viens ici et j'avoue que je suis agréablement surpris de l'ambiance qui y règne répondis je.
- En effet, j'aime également cet endroit pour le sentiment de liberté qui s'en dégage indiqua Mme Carole M.
- Tu es le bienvenu parmi nous, personnellement je pratique le naturisme depuis 30 ans quand j'étais adolescente. D' ailleurs, c'est un peu une tradition familiale, je viens souvent accompagnée de mes nièces.
Joignant le geste a la parole elle désigna les deux jeunes filles. La brune a gros nichons se prénommait Vanessa, elle avait 17 ans et la fille enceinte était Pauline âgée de 19 ans .
Je les saluais d'un sourire car je sentais monter en moi l'excitation accompagnée d'une raideur irrépressible. Je crois bien que Carole M remarqua mon état en femme expérimentée car elle mît fin a notre conversation et me dit qu'elles allaient s'installer un peu plus haut face a l'endroit ou je me baignais.
Je les vis parcourir une vingtaine de mètres et poser leurs affaires. Elles entreprirent de se déshabiller . Je les observais attentivement.
Vanessa fut la première a retirer son t-shirt libérant deux lobes lourds avec des mamelons larges puis retira sa jupe brésilienne, elle retira ensuite son petit string rose révélant sa vulve bien fournie de poils bruns, elle s'assit pour se passer de la crème protectrice sur le corps .
Mme Carole M poussa sur les bretelles de sa robe qui tomba a ses pieds, elle fut immédiatement totalement nue et je pus remarquer ce que je a quoi je n'avais pas prête attention quand nous avions discute auparavant, elle était également enceinte, vu la courbure de son ventre environ de 4 ou 5 mois, elle était très attirante avec ses seins petits mais qui gonflaient avec de petits mamelons et des tétons très saillants. Elle s'adressait a Mme Fabienne D tout en regardant dans ma direction.
J'étais démasqué mais je décidais de continuer a profiter de ce tableau si excitant.
Surtout que Mme Fabienne D enleva son haut et son short, elle portait un soutien-gorge en dentelle ainsi qu'une culotte assortie originale et très suggestive puisque cette culotte était ouverte sur la chatte, ce qui renforça ma conviction concernant la nymphomanie de mon ancienne professeur, elle était aussi ouverte que pouvait l'être sa culotte. Elle fit sauter son soutien-gorge dévoilant deux obus lourds et bronzés bien fermes et surmontés d'aréoles brunes aux pointes dures.
Pauline fut la dernière a se déshabiller en retirant sa salopette puis son soutien-gorge apparurent deux belles miches laiteuses avec des mamelons rose clair. Sa chatte était entièrement rasée et laissait apparaitre ses grandes lèvres fines lorsqu'elle s'assit jambes grandes ouvertes près de Vanessa .
J'étais fasciné lorsque les filles s'enduirent mutuellement de crème solaire en massant leurs seins lourds qui glissaient, tressautaient, valsaient dans tous les sens.
J'admirais également d'un œil connaisseur les fesses des unes et des autres. Mme Carole M avait de petites fesses blanches et fermes au contraire de celles de Mme Fabienne D avec ses fesses bronzées et charnues tout en restant fermes sûrement une sportive, Vanessa compte tenu de son léger surpoids avait un cul large et moelleux un régal, Pauline quant a elle possédait un joli fessier rebondi et encore de bonne tenue malgré sa maternité .
Tout ceci contribuait a maintenir mon érection et a mon grand désarroi Céline et Joëlle proposèrent de sortir de l'eau.
J'avais une barre d'acier au creux du ventre lorsque je me mis a courir vers notre serviette de plage. Toute la plage remarqua mon gourdin malgré mes efforts, en particulier Mme Fabienne D qui prit un malin plaisir a interrompre ma course lorsque je passais a la hauteur du groupe de femmes.
- Tu pourrais nous présenter tes deux amies Florian me demanda Mme Fabienne D l'air agacée .
- Et bien je m'apprêtais a le faire Madame répondis je gêné comme je lui aurais répondu lorsqu'elle était ma professeur d'anglais.
- Tu crois que je n'ai jamais vu de sexes d'hommes dans ma vie me dit elle d' un air satisfait en fixant mon pénis au garde-a-vous. Ce n'est pas parce que tu bandes dur que je vais être déstabilisée .
- Je vois seulement avec délice qu'on a réussi a te faire de l'effet. Vous voyez les filles qu'on est pas trop mal foutues. On peut plaire a un jeune étalon ajouta Fabienne D a l'adresse de ses trois compagnes qui se sentirent tout de même un peu surprises et gênées a la fois par les propos de Fabienne ainsi que par le sexe en érection que je leur présentais sous les yeux.
- Tu y vas fort Fabienne rétorqua Mme Carole M c'est la première fois que Florian vient sur une plage naturiste et sa nature d'homme l'a simplement rattrapé . Allons Florian ne prête pas trop attention aux propos de Fabienne, elle aime tester les jeunes hommes sûrement une déformation professionnelle me rassura Carole M.
- Je vous remercie Mme M, je vous présente mes amies, voici Céline et Joëlle. Céline est une collègue de travail dans une clinique ou j'effectue un stage d'aide-soignant depuis le mois de Juin. Joëlle est sa voisine de palier.
Céline pris la parole en marquant son territoire- C'est moi qui ai propose a Florian de venir faire du naturisme ici et je suis satisfaite de son comportement jusque la, il est très naturel et a mon avis il va se sentir de mieux en mieux parmi nous. Ces petites érections s'estomperont mais enfin il reste un homme et franchement ses raideurs inopinées ne me déplaisent pas.
- J'étais flatte et heureux que Céline ai pris ma défense face a cette cougar de Mme Fabienne D qui du coup se trouvait un peu bête .
Apres avoir salué le groupe de femmes, nous avons rejoint nos serviettes pour nous sécher.
Au passage nous avons remercié nos voisines de plage qui avaient surveillées nos affaires en notre absence. Elles ne purent s'empêcher de fixer mon sexe qui débandait progressivement mais dont la raideur semblait suffisante pour leur susciter des pulsions irrépressibles . Elles auraient sans doute souhaité un remerciement plus conséquent de ma part mais l'occasion se présentera sûrement . Je sais me montrer généreux quand il le faut.
Je m'assis et en profitais pour jeter un coup d'œil en direction du pin ou devait s'installer Clarisse la doctoresse. Il était 16h20 et je m'inquiétais.
Pendant notre baignade une femme d'environ 60 ans (1m75) avec une taille fine s'était installée sous ce pin, elle était superbe pour son âge. Totalement nue et sans la moindre marque de maillot, on sentait la femme adepte du naturisme. Sa peau était extrêmement mate, ses seins étaient fermes et volumineux ( un bon 95 E) et des mamelons très bruns et larges.
Elle portait une chaîne autour de la taille et des ornements floraux imitation or au bout des tétons . Elle paraissait épanouie et parfaitement a l'aise. Elle était en conversation au téléphone et regardait sa montre.
Je me tournais vers Céline en l'interrogeant - Tu connais cette femme ?
- Tout a fait Florian, ça sent bon pour notre petit plan, cette femme c'est la belle-mère de Clarisse la doctoresse, elle vient tous les jours ici quand il fait beau. Elle doit attendre sa belle-fille.
Céline me précisa- C'est pas trop mon style elle est un peu fière a cause de son nom a particule mais il y a des bruits comme quoi ce serait quand même une sacrée chaudasse et quand Monsieur le comte n'est pas au château le petit personnel s'en donne a cœur joie avec la patronne. Je suis sur que t'aurais ta chance avec elle.
Ainsi donc je n'allais pas tarder a voir la doctoresse Clarisse et ma conquête allait débuter .
Joëlle et Céline s'étaient endormies sous l'effet de la chaleur écrasante qui accablait la plage. J'étais si excité que je ne pouvais dormir, des fantasmes parcouraient mon esprit.
Une des commerçantes installée a nos cotés se leva , il s'agissait de la femme rousse au sourire si rayonnant. Elle enfila une robe a fleurs légère sans prendre soin de mettre de dessous. J'imaginais qu'elle allait revenir.
Elle indiqua a ses amies qu'elle allait prendre son paquet de cigarettes qu'elle avait laissé a l'intérieur de son véhicule. Je la vis partir et discrètement je décidais de la suivre sans réveiller Céline et Joëlle. Je pris mon bermuda que j'enfilais en sortant de la plage .
A bonne distance je la pistais, nous avons parcouru ainsi un bon kilomètres jusqu' a ce qu'elle se dirige vers une camionnette utilitaire blanche du type de celle qu'on trouve sur les marchés. La camionnette était garée derrière un bosquet et je pus l'observer a loisir chercher ses cigarettes dans sa camionnette. Penchée en avant dans sa camionnette, elle dévoilait son cul bien large et charnu ainsi que son entrecuisse quand sa jupe courte remontait sur ses cuisses. Elle ferma son véhicule et s'apprêtait a retourner vers la plage cigarettes a la main.
A ce moment-la, je sortis du bosquet et lui barra la route. J'avais le bermuda baisse et je tenais ma bite bien raide a la main, je me masturbais devant elle.
- Tu me fais trop bander ma cochonne, j'ai envie de te baiser comme une salope, je suis sur que a ton âge t'as aucuns tabous .
Elle eu un mouvement de recul puis me regarda fixement sans se laisser impressionnée .
- Dis donc mon garçon tu m'as suivi jusqu'ici, je vois que tu recules devant rien, tu as envie de t'éclater aujourd'hui et bien moi aussi ça tombe bien dit elle fièrement en posant ses mains sur ses hanches.
Elle ajouta :- On va faire les présentations moi c'est Monique j'ai 55 ans et je suis du genre a prendre les choses en main si tu vois ce que je veux dire. Et toi tu t'appelles comment tu me parais bien jeune, ça t'attires les vieilles peaux ?
- Je suis Florian et j'ai 19 ans bientôt 20. J'aime toutes les femmes du moment que je les trouve attirantes et toi je te trouve plutôt a mon goût, je t'ai longuement contemplé sur le sable tout a l'heure lui répondis je.
Elle me saisit par ma queue dure comme de l'acier et me guida avec sa main prés de sa camionnette et a l'abri des regards.
- Tu pourrais presque être mon petit fils mais j'adore les jeunes bites, mon mari lui il tient plus la distance.
Monique ouvrit la porte coulissante de sa camionnette découvrant un fatras incroyable de lingerie féminine.
- Te voilà dans la boutique de lingerie de Monique et il y a du stock me glissa t'elle.
En effet, des centaines de sachets étaient entassés avec toutes sortes de modèles des plus sages aux plus affriolants. Une pile de catalogues vantaient ces modèles portés par des mannequins posant lascivement.
Monique s'était assise sur un carton a l'intérieur de la camionnette. Elle releva sa robe et commença a se caresser la chatte en faisant coulisser ses doigts le long de sa fente qui s'ouvrait de plus en plus. Elle glissa un doigt dans son vagin puis un second. Sa respiration s'accélérait et ses cuisses s'ouvraient et se fermaient en cadence avec le mouvement de sa main qui fouillait sa craquette qui s'humidifiait.
- Viens Florian viens me rejoindre me dit t'elle en geignant .
Elle écarta les cuisses au maximum et dirigea ma tête vers sa chatte qui luisait déjà je lui écartais les lèvres pour mieux glisser mes doigts dans son intimité et de ma langue je titillais son bouton rose qui était de bonne taille . J'accélérais mes mouvements de doigts et de langue, son bassin se contractait et elle me plaquait le visage contre sa vulve pour que la fouille au plus profond.
- Vas y mon chéri bouffe moi la moule, je suis trempée .
En effet, du jus coulait le long de sa chatte en direction de ses fesses. Profitant de cette lubrification naturelle je me risquais a lui glisser un doigt dans sa rosette. Elle ne broncha pas au contraire elle se souleva pour me faciliter le travail.
J'entrepris de glisser 2 doigts dans sa rondelle, il n'y eu aucune résistance preuve que cette entrée était fréquentée régulièrement.
- Tu vois Florian par la aussi tu vas pouvoir entrer dit elle en désignant sa rosette.
Terriblement excitée elle retira sa robe exposant ses seins lourds et bruns, elle les caressa en les laissant tomber devant moi pour m'inviter a m'en occuper aussi.
Je m'emparais a pleines mains de ses miches magnifiques en titillant les mamelons et les tétons par de rapides coups de langue puis je tirais légèrement sur ces tétons par de brefs et tendres mouvements de succion qui déclenchaient en elle une excitation qui se lisait sur son visage cramoisi.
Je lui malaxais les seins de plus en plus vigoureusement tant cette poitrine généreuse et moelleuse me procurait du plaisir.
- Maintenant je vais m'occuper de ton braquemart, tu vas pouvoir admirer la technique a Monique m'affirma t'elle mais avant je prends quelque chose dans la boite a gants .
Elle se glissa a l'avant du véhicule et revint vers moi en brandissant un préservatif, j'en conclus qu'elle souhaitait aller jusqu'au bout.
- On n'est jamais assez prudents commenta t'elle, j'espère qu'il résistera a tes ardeurs.
Je me mis debout a l'arrière de la camionnette pour que ma verge soit a la hauteur du visage de Monique qui d'une main s'occupait de mon bel engin et de l'autre continuait a astiquer son con tout humide.
Elle savait y faire la diablesse, avalant ma queue a fond dans sa bouche, léchant selon mes consignes mon gland ou mes couilles , faisant coulisser sa main autour de ma hampe ou bien encore la branlant plus ou moins vite pour que je ne gicle pas trop tôt .
Je devais conserver de la réserve pour honorer Monique .
C'est alors qu'elle retira le préservatif de son paquet et l'enfila avec dextérité sur mon membre bien raide.
Elle étala une couverture sur les sachets de dessous féminins puis s'installa sur le dos cuisses écartées et genoux ramenés vers elle.
Elle me dit tendrement - Maintenant, c'est a toi de jouer
Je m'approchais d'elle et frotta mon gland contre sa vulve pour l'exciter puis je glissais vers l'entrée de son vagin brulant . D' un coup je plongeais ma bite au fond de son vagin et je me sentis enserré entre les parois de son vagin qui se contractaient puis je sortis mon pieu de son fourreau pour mieux y revenir et entamer des va et vient plus ou moins rapides et profonds.
A chacune de mes entrées je pesais de tout mon poids pour projeter mon sexe tel une tige de fer au plus profond de ma partenaire qui s'accrochait a mon cou en me faisant des bisous et en m'encourageant par des mots crus.
- Vas y défonce moi la chatte je veux te sentir en moi m'ordonna t'elle.
J'accélérais le rythme, elle soulevait le bassin pour venir vers moi.
- Ahhhhh t'es trop bonne, t'es une vieille bourgeoise qui aime la bite, ta chatte est vraiment confortable.
Je ralentis ma cadence pour m'attarder au fond de son vagin chaud comme un four.
Elle changea de position et se mît sur le coté, je me glissais parallèlement a elle collé contre ses fesses charnues. Je massais ses seins et ses fesses et elle guida mon pénis vers sa moule baveuse. Je frottais ma queue contre sa fente puis je la glissais entre ses lèvres qu'elle écartait de sa main tout en se masturbant le clitoris frénétiquement.
- Tu me bourres comme un prince, tu es un vrai étalon, je sens bien ta grosse bite c'est extra me dit elle pour me flatter.
Je sortais mon chibre de sa caverne, il était couvert de ses sécrétions .
J'approchais mon gland de sa rondelle, elle sursauta.
- Attends Florian je vais prendre quelque chose.
Elle saisi un tube dans son sac a main, elle enduit ses mains de lubrifiant et glissa sa main vers son petit trou pour l'assouplir même si elle n'en était pas a sa première visite anale.
Puis, elle se mît a quatre pattes sur la couverture.
- Tu vas me prendre en levrette pour la sodomie je préfère cette position. Mais avant tu vas me préparer la rondelle.
En effet, Monique vendait de la lingerie fine sur les marchés et complétait son activité en assurant de la vente a domicile pour une marque de produits coquins du genre sex-toys. Elle choisi une boite dans le carton sur lequel elle était assise au début et me montra l'objet de son choix.
- C'est un plug anal, je ne sais pas si tu connais, tu vas me le mettre dans le cul ça va me détendre la rondelle avant que je te laisse entrer détailla t'elle.
Elle me tendit l'objet de forme conique, il était de bonne dimension, je m'inquiétais.
- T'en fait pas mon chou j'ai l'habitude en tant que vendeuse j'ai déjà testé la plupart de mes sex-toys me rassura Monique .
J'approchais le bout du plug contre son renflement anal et j'enfonçais centimètre par centimètre l'objet dans son conduit. Elle me guidait en m'indiquant comment procéder . Je n'avais jamais utiliser ce genre d'objet.
Je lui massais les fesses en lui donnant parfois de petites tapes . Le plug de couleur rose avait quasiment disparu dans son anus quand elle me demanda de le faire tourner dans son cul pour dilater encore plus sa rondelle et l'exciter encore plus.
Puis j'entrepris de petits va et vient avec le plug, ce qui provoqua en elle des spasmes .
- Je crois bien que tu vas pouvoir venir par la m'indiqua t'elle.
Je redonnais de la vigueur a mon sexe en m'astiquant un peu puis je retirais le plug et dirigeais mon gland contre sa rondelle. Son cul ruisselait de lubrifiant mêlé de la mouille qu'elle appliquait sur sa rosette.
Mon gland força aisément la petite résistance du sphincter et le reste fut divin tant cette femme agissait en habituée de la sodomie et y prenait visiblement plaisir.
- Tu vas bien me fouiller les boyaux j'ai envie que tu me ramones le trou de balle dit elle vulgairement.
Au départ j'entrais avec précaution puis de plus en plus vite et profondément. Je tenais ses hanches en lui pilonnant le cul .
- Vas y salope bouge ton cul je vais t'exploser le derrière criais je.
Je donnais de grandes claques sur ses fesses lourdes qui tressautaient sous mes coups de boutoir. Monique était projetée en avant a chacun de mes coups de bassin. J'étais aux anges mes couilles battaient contre ses fesses.
Elle se masturbait avec vigueur en me donnant des encouragements.
- Plus fort plus vite je vais jouir c'est booooooonnnnn ! hurla t'elle
J'étais en nage, cette femme de comportait comme une vraie chiennasse.
Je sentis d'un coup le jus monter de mes couilles et exploser dans son conduit anal.
- Ohhhhhhhh Ouiiiiiiiii salope prends ça tu m'as vidé les couilles comme une reine.
Elle s'effondra sur le ventre secouée de spasmes après un violent orgasme.
J'attendis un instant que mon sexe diminue de volume pour le sortir de son fion grand ouvert. Le préservatif était empli de sperme.
- Sers moi ton jus me pria t'elle.
J'ôtais l'étui de mon sexe et le lui donnait. Elle se releva et a genoux se versa le contenu du préservatif sur la poitrine.
- Hummmm que c'est bon du jus d'homme, je vais en faire une crème de beauté dit elle en étalant ma sève sur ses mamelons et en massant ses seins lourds.
- Tu as bien travaillé Florian, je vais te laisser mes coordonnées je crois que tu viens d'entrer dans ma golden list des meilleurs partenaires.
Je fus satisfait de cette appréciation .
- Tu as été si sublime et je crois que tu as bien des choses a m'apprendre encore lui dis je en lui retournant son compliment.
Monique proposa que l'on prenne la direction de la plage car ses copines allaient s'inquiéter de son absence si longue pour un simple paquet de cigarettes.
Je lui glissais un baiser tendre avant de prendre une certaine distance pour que personne ne puisse soupçonner que nous venions de passer un bon moment ensemble.
Je l'observais de dos marcher en dandinant du cul et je me disais que décidément j'avais eu raison de suivre sa trace.
Je rejoignis la plage et pour me reposer un instant je m'assis sur la dalle en béton qui surplombait la plage en observant les allers et venues sur la plage.
J'observais en particulier le groupe de jeunes filles que nous avions rencontre en arrivant a la plage, Marina, Laura et les trois autres. Elles jouaient au volley sur le sable et j'admirais moins leur technique que leurs poitrines lourdes qui balançaient au gré de leurs actions de jeu.
J'avais entre mes mains la carte de visite que Monique m'avait laissé . Il était écrit "Monique G, ambassadrice de la société S.... (sex-toys, lubrifiants, lingerie , accessoires, ...) dans votre région est a votre disposition pour des réunions a domicile.
Veuillez me contacter au (suivi d'un numéro de portable)" . Au dos, Monique avait griffonné son adresse et signé "Ta salope qui t'aime".
Je glissais la carte de visite dans ma poche de bermuda satisfait d'avoir pu combler cette femme d'expérience.
Il était presque 17 heures 30 et je me demandais si la doctoresse était arrivée, j'avais hâte de le savoir.
Je me retournais et a ma grande surprise j'aperçus mes anciennes professeurs de physique-chimie et d'anglais au lycée qui longeaient la plage en compagnie de deux jeunes filles.
Mme Carole M. (physique-chimie) était vêtue d'une longue robe blanche ample, je la reconnus immédiatement avec son visage d'habitude un peu sévère avec ses fines lunettes et ses cheveux blonds, elle était âgée de 42 ans et ne faisait pas son âge, cette fois son visage était auréolé d'un large sourire. A ses cotés se trouvait sa collègue Fabienne D (professeur d'anglais) toute aussi blonde que Carole M mais avec des cheveux longs et bien lisses. Fabienne D avait la peau particulièrement mate et portait un haut jaune a fines bretelles ainsi qu'un short en jean très moulant, les bretelles roses de son soutien-gorge étaient visibles. Elle était âgée de 46 ans.
La première jeune fille était brune avec des cheveux longs et boucles, elle était légèrement enrobée tout en paraissant sportive, elle portait une jupe brésilienne très courte et un t-shirt blanc léger sur lequel était inscrit un slogan ambigu "I m a beach (bitch) girl " ( en francais "je suis une fille de la plage" entre parenthèses le mot salope transformant la phrase en "je suis une salope") , d'ailleurs la phrase était déformée par sa volumineuse poitrine dont les tétons émergeaient sous le tissu du fragile vêtement .
La deuxième jeune fille avait des cheveux châtains clairs mi-longs, elle avait la peau claire et portait une salopette en jean pour femme enceinte, son ventre rebondi laissait penser qu'elle devait être dans son septième mois environ, elle n'avait qu'un soutien-gorge microscopique sous sa salopette, ce qui me permis d'apprécier sa poitrine alourdie par son état de grossesse.
J'hésitais quant a l'attitude a adopter, piquer une tête sous l'eau pour me soustraire a cette situation délicate ou attendre et affronter un risque de raideur involontaire de mon kiki.
Je n'eu pas le temps de choisir car le petit groupe arriva a mon niveau et mes deux professeurs me reconnurent. Elles me firent un signe de la main tout en souriant, ce qui changeait de leur attitude a mon égard lorsque j'étais leur élève pas toujours attentif certes.
Heureusement pour moi j'étais dans l'eau jusqu'au nombril ce qui me permettrait en cas d'élévation brusque de mon obélisque de faire bonne contenance.
- Bonjour Florian comme je suis surprise de te trouver ici, tu es bien la dernière personne que je pensais trouver en ce lieu, tu paraissais un peu pudique au lycée me dit Mme Carole M.
- Je vois qu'il est nettement moins pudique maintenant, d'ailleurs ça n'est pas désagréable. Tu as bien grandi et forci, un vrai homme ajouta Mme Fabienne D.
Ses mots m'émoustillèrent car Fabienne D avec son regard de braise fini ces paroles en passant sa langue sur ses lèvres pulpeuses rose clair pour me témoigner son intérêt .
- Vous savez mesdames c'est la première fois que je viens ici et j'avoue que je suis agréablement surpris de l'ambiance qui y règne répondis je.
- En effet, j'aime également cet endroit pour le sentiment de liberté qui s'en dégage indiqua Mme Carole M.
- Tu es le bienvenu parmi nous, personnellement je pratique le naturisme depuis 30 ans quand j'étais adolescente. D' ailleurs, c'est un peu une tradition familiale, je viens souvent accompagnée de mes nièces.
Joignant le geste a la parole elle désigna les deux jeunes filles. La brune a gros nichons se prénommait Vanessa, elle avait 17 ans et la fille enceinte était Pauline âgée de 19 ans .
Je les saluais d'un sourire car je sentais monter en moi l'excitation accompagnée d'une raideur irrépressible. Je crois bien que Carole M remarqua mon état en femme expérimentée car elle mît fin a notre conversation et me dit qu'elles allaient s'installer un peu plus haut face a l'endroit ou je me baignais.
Je les vis parcourir une vingtaine de mètres et poser leurs affaires. Elles entreprirent de se déshabiller . Je les observais attentivement.
Vanessa fut la première a retirer son t-shirt libérant deux lobes lourds avec des mamelons larges puis retira sa jupe brésilienne, elle retira ensuite son petit string rose révélant sa vulve bien fournie de poils bruns, elle s'assit pour se passer de la crème protectrice sur le corps .
Mme Carole M poussa sur les bretelles de sa robe qui tomba a ses pieds, elle fut immédiatement totalement nue et je pus remarquer ce que je a quoi je n'avais pas prête attention quand nous avions discute auparavant, elle était également enceinte, vu la courbure de son ventre environ de 4 ou 5 mois, elle était très attirante avec ses seins petits mais qui gonflaient avec de petits mamelons et des tétons très saillants. Elle s'adressait a Mme Fabienne D tout en regardant dans ma direction.
J'étais démasqué mais je décidais de continuer a profiter de ce tableau si excitant.
Surtout que Mme Fabienne D enleva son haut et son short, elle portait un soutien-gorge en dentelle ainsi qu'une culotte assortie originale et très suggestive puisque cette culotte était ouverte sur la chatte, ce qui renforça ma conviction concernant la nymphomanie de mon ancienne professeur, elle était aussi ouverte que pouvait l'être sa culotte. Elle fit sauter son soutien-gorge dévoilant deux obus lourds et bronzés bien fermes et surmontés d'aréoles brunes aux pointes dures.
Pauline fut la dernière a se déshabiller en retirant sa salopette puis son soutien-gorge apparurent deux belles miches laiteuses avec des mamelons rose clair. Sa chatte était entièrement rasée et laissait apparaitre ses grandes lèvres fines lorsqu'elle s'assit jambes grandes ouvertes près de Vanessa .
J'étais fasciné lorsque les filles s'enduirent mutuellement de crème solaire en massant leurs seins lourds qui glissaient, tressautaient, valsaient dans tous les sens.
J'admirais également d'un œil connaisseur les fesses des unes et des autres. Mme Carole M avait de petites fesses blanches et fermes au contraire de celles de Mme Fabienne D avec ses fesses bronzées et charnues tout en restant fermes sûrement une sportive, Vanessa compte tenu de son léger surpoids avait un cul large et moelleux un régal, Pauline quant a elle possédait un joli fessier rebondi et encore de bonne tenue malgré sa maternité .
Tout ceci contribuait a maintenir mon érection et a mon grand désarroi Céline et Joëlle proposèrent de sortir de l'eau.
J'avais une barre d'acier au creux du ventre lorsque je me mis a courir vers notre serviette de plage. Toute la plage remarqua mon gourdin malgré mes efforts, en particulier Mme Fabienne D qui prit un malin plaisir a interrompre ma course lorsque je passais a la hauteur du groupe de femmes.
- Tu pourrais nous présenter tes deux amies Florian me demanda Mme Fabienne D l'air agacée .
- Et bien je m'apprêtais a le faire Madame répondis je gêné comme je lui aurais répondu lorsqu'elle était ma professeur d'anglais.
- Tu crois que je n'ai jamais vu de sexes d'hommes dans ma vie me dit elle d' un air satisfait en fixant mon pénis au garde-a-vous. Ce n'est pas parce que tu bandes dur que je vais être déstabilisée .
- Je vois seulement avec délice qu'on a réussi a te faire de l'effet. Vous voyez les filles qu'on est pas trop mal foutues. On peut plaire a un jeune étalon ajouta Fabienne D a l'adresse de ses trois compagnes qui se sentirent tout de même un peu surprises et gênées a la fois par les propos de Fabienne ainsi que par le sexe en érection que je leur présentais sous les yeux.
- Tu y vas fort Fabienne rétorqua Mme Carole M c'est la première fois que Florian vient sur une plage naturiste et sa nature d'homme l'a simplement rattrapé . Allons Florian ne prête pas trop attention aux propos de Fabienne, elle aime tester les jeunes hommes sûrement une déformation professionnelle me rassura Carole M.
- Je vous remercie Mme M, je vous présente mes amies, voici Céline et Joëlle. Céline est une collègue de travail dans une clinique ou j'effectue un stage d'aide-soignant depuis le mois de Juin. Joëlle est sa voisine de palier.
Céline pris la parole en marquant son territoire- C'est moi qui ai propose a Florian de venir faire du naturisme ici et je suis satisfaite de son comportement jusque la, il est très naturel et a mon avis il va se sentir de mieux en mieux parmi nous. Ces petites érections s'estomperont mais enfin il reste un homme et franchement ses raideurs inopinées ne me déplaisent pas.
- J'étais flatte et heureux que Céline ai pris ma défense face a cette cougar de Mme Fabienne D qui du coup se trouvait un peu bête .
Apres avoir salué le groupe de femmes, nous avons rejoint nos serviettes pour nous sécher.
Au passage nous avons remercié nos voisines de plage qui avaient surveillées nos affaires en notre absence. Elles ne purent s'empêcher de fixer mon sexe qui débandait progressivement mais dont la raideur semblait suffisante pour leur susciter des pulsions irrépressibles . Elles auraient sans doute souhaité un remerciement plus conséquent de ma part mais l'occasion se présentera sûrement . Je sais me montrer généreux quand il le faut.
Je m'assis et en profitais pour jeter un coup d'œil en direction du pin ou devait s'installer Clarisse la doctoresse. Il était 16h20 et je m'inquiétais.
Pendant notre baignade une femme d'environ 60 ans (1m75) avec une taille fine s'était installée sous ce pin, elle était superbe pour son âge. Totalement nue et sans la moindre marque de maillot, on sentait la femme adepte du naturisme. Sa peau était extrêmement mate, ses seins étaient fermes et volumineux ( un bon 95 E) et des mamelons très bruns et larges.
Elle portait une chaîne autour de la taille et des ornements floraux imitation or au bout des tétons . Elle paraissait épanouie et parfaitement a l'aise. Elle était en conversation au téléphone et regardait sa montre.
Je me tournais vers Céline en l'interrogeant - Tu connais cette femme ?
- Tout a fait Florian, ça sent bon pour notre petit plan, cette femme c'est la belle-mère de Clarisse la doctoresse, elle vient tous les jours ici quand il fait beau. Elle doit attendre sa belle-fille.
Céline me précisa- C'est pas trop mon style elle est un peu fière a cause de son nom a particule mais il y a des bruits comme quoi ce serait quand même une sacrée chaudasse et quand Monsieur le comte n'est pas au château le petit personnel s'en donne a cœur joie avec la patronne. Je suis sur que t'aurais ta chance avec elle.
Ainsi donc je n'allais pas tarder a voir la doctoresse Clarisse et ma conquête allait débuter .
Joëlle et Céline s'étaient endormies sous l'effet de la chaleur écrasante qui accablait la plage. J'étais si excité que je ne pouvais dormir, des fantasmes parcouraient mon esprit.
Une des commerçantes installée a nos cotés se leva , il s'agissait de la femme rousse au sourire si rayonnant. Elle enfila une robe a fleurs légère sans prendre soin de mettre de dessous. J'imaginais qu'elle allait revenir.
Elle indiqua a ses amies qu'elle allait prendre son paquet de cigarettes qu'elle avait laissé a l'intérieur de son véhicule. Je la vis partir et discrètement je décidais de la suivre sans réveiller Céline et Joëlle. Je pris mon bermuda que j'enfilais en sortant de la plage .
A bonne distance je la pistais, nous avons parcouru ainsi un bon kilomètres jusqu' a ce qu'elle se dirige vers une camionnette utilitaire blanche du type de celle qu'on trouve sur les marchés. La camionnette était garée derrière un bosquet et je pus l'observer a loisir chercher ses cigarettes dans sa camionnette. Penchée en avant dans sa camionnette, elle dévoilait son cul bien large et charnu ainsi que son entrecuisse quand sa jupe courte remontait sur ses cuisses. Elle ferma son véhicule et s'apprêtait a retourner vers la plage cigarettes a la main.
A ce moment-la, je sortis du bosquet et lui barra la route. J'avais le bermuda baisse et je tenais ma bite bien raide a la main, je me masturbais devant elle.
- Tu me fais trop bander ma cochonne, j'ai envie de te baiser comme une salope, je suis sur que a ton âge t'as aucuns tabous .
Elle eu un mouvement de recul puis me regarda fixement sans se laisser impressionnée .
- Dis donc mon garçon tu m'as suivi jusqu'ici, je vois que tu recules devant rien, tu as envie de t'éclater aujourd'hui et bien moi aussi ça tombe bien dit elle fièrement en posant ses mains sur ses hanches.
Elle ajouta :- On va faire les présentations moi c'est Monique j'ai 55 ans et je suis du genre a prendre les choses en main si tu vois ce que je veux dire. Et toi tu t'appelles comment tu me parais bien jeune, ça t'attires les vieilles peaux ?
- Je suis Florian et j'ai 19 ans bientôt 20. J'aime toutes les femmes du moment que je les trouve attirantes et toi je te trouve plutôt a mon goût, je t'ai longuement contemplé sur le sable tout a l'heure lui répondis je.
Elle me saisit par ma queue dure comme de l'acier et me guida avec sa main prés de sa camionnette et a l'abri des regards.
- Tu pourrais presque être mon petit fils mais j'adore les jeunes bites, mon mari lui il tient plus la distance.
Monique ouvrit la porte coulissante de sa camionnette découvrant un fatras incroyable de lingerie féminine.
- Te voilà dans la boutique de lingerie de Monique et il y a du stock me glissa t'elle.
En effet, des centaines de sachets étaient entassés avec toutes sortes de modèles des plus sages aux plus affriolants. Une pile de catalogues vantaient ces modèles portés par des mannequins posant lascivement.
Monique s'était assise sur un carton a l'intérieur de la camionnette. Elle releva sa robe et commença a se caresser la chatte en faisant coulisser ses doigts le long de sa fente qui s'ouvrait de plus en plus. Elle glissa un doigt dans son vagin puis un second. Sa respiration s'accélérait et ses cuisses s'ouvraient et se fermaient en cadence avec le mouvement de sa main qui fouillait sa craquette qui s'humidifiait.
- Viens Florian viens me rejoindre me dit t'elle en geignant .
Elle écarta les cuisses au maximum et dirigea ma tête vers sa chatte qui luisait déjà je lui écartais les lèvres pour mieux glisser mes doigts dans son intimité et de ma langue je titillais son bouton rose qui était de bonne taille . J'accélérais mes mouvements de doigts et de langue, son bassin se contractait et elle me plaquait le visage contre sa vulve pour que la fouille au plus profond.
- Vas y mon chéri bouffe moi la moule, je suis trempée .
En effet, du jus coulait le long de sa chatte en direction de ses fesses. Profitant de cette lubrification naturelle je me risquais a lui glisser un doigt dans sa rosette. Elle ne broncha pas au contraire elle se souleva pour me faciliter le travail.
J'entrepris de glisser 2 doigts dans sa rondelle, il n'y eu aucune résistance preuve que cette entrée était fréquentée régulièrement.
- Tu vois Florian par la aussi tu vas pouvoir entrer dit elle en désignant sa rosette.
Terriblement excitée elle retira sa robe exposant ses seins lourds et bruns, elle les caressa en les laissant tomber devant moi pour m'inviter a m'en occuper aussi.
Je m'emparais a pleines mains de ses miches magnifiques en titillant les mamelons et les tétons par de rapides coups de langue puis je tirais légèrement sur ces tétons par de brefs et tendres mouvements de succion qui déclenchaient en elle une excitation qui se lisait sur son visage cramoisi.
Je lui malaxais les seins de plus en plus vigoureusement tant cette poitrine généreuse et moelleuse me procurait du plaisir.
- Maintenant je vais m'occuper de ton braquemart, tu vas pouvoir admirer la technique a Monique m'affirma t'elle mais avant je prends quelque chose dans la boite a gants .
Elle se glissa a l'avant du véhicule et revint vers moi en brandissant un préservatif, j'en conclus qu'elle souhaitait aller jusqu'au bout.
- On n'est jamais assez prudents commenta t'elle, j'espère qu'il résistera a tes ardeurs.
Je me mis debout a l'arrière de la camionnette pour que ma verge soit a la hauteur du visage de Monique qui d'une main s'occupait de mon bel engin et de l'autre continuait a astiquer son con tout humide.
Elle savait y faire la diablesse, avalant ma queue a fond dans sa bouche, léchant selon mes consignes mon gland ou mes couilles , faisant coulisser sa main autour de ma hampe ou bien encore la branlant plus ou moins vite pour que je ne gicle pas trop tôt .
Je devais conserver de la réserve pour honorer Monique .
C'est alors qu'elle retira le préservatif de son paquet et l'enfila avec dextérité sur mon membre bien raide.
Elle étala une couverture sur les sachets de dessous féminins puis s'installa sur le dos cuisses écartées et genoux ramenés vers elle.
Elle me dit tendrement - Maintenant, c'est a toi de jouer
Je m'approchais d'elle et frotta mon gland contre sa vulve pour l'exciter puis je glissais vers l'entrée de son vagin brulant . D' un coup je plongeais ma bite au fond de son vagin et je me sentis enserré entre les parois de son vagin qui se contractaient puis je sortis mon pieu de son fourreau pour mieux y revenir et entamer des va et vient plus ou moins rapides et profonds.
A chacune de mes entrées je pesais de tout mon poids pour projeter mon sexe tel une tige de fer au plus profond de ma partenaire qui s'accrochait a mon cou en me faisant des bisous et en m'encourageant par des mots crus.
- Vas y défonce moi la chatte je veux te sentir en moi m'ordonna t'elle.
J'accélérais le rythme, elle soulevait le bassin pour venir vers moi.
- Ahhhhh t'es trop bonne, t'es une vieille bourgeoise qui aime la bite, ta chatte est vraiment confortable.
Je ralentis ma cadence pour m'attarder au fond de son vagin chaud comme un four.
Elle changea de position et se mît sur le coté, je me glissais parallèlement a elle collé contre ses fesses charnues. Je massais ses seins et ses fesses et elle guida mon pénis vers sa moule baveuse. Je frottais ma queue contre sa fente puis je la glissais entre ses lèvres qu'elle écartait de sa main tout en se masturbant le clitoris frénétiquement.
- Tu me bourres comme un prince, tu es un vrai étalon, je sens bien ta grosse bite c'est extra me dit elle pour me flatter.
Je sortais mon chibre de sa caverne, il était couvert de ses sécrétions .
J'approchais mon gland de sa rondelle, elle sursauta.
- Attends Florian je vais prendre quelque chose.
Elle saisi un tube dans son sac a main, elle enduit ses mains de lubrifiant et glissa sa main vers son petit trou pour l'assouplir même si elle n'en était pas a sa première visite anale.
Puis, elle se mît a quatre pattes sur la couverture.
- Tu vas me prendre en levrette pour la sodomie je préfère cette position. Mais avant tu vas me préparer la rondelle.
En effet, Monique vendait de la lingerie fine sur les marchés et complétait son activité en assurant de la vente a domicile pour une marque de produits coquins du genre sex-toys. Elle choisi une boite dans le carton sur lequel elle était assise au début et me montra l'objet de son choix.
- C'est un plug anal, je ne sais pas si tu connais, tu vas me le mettre dans le cul ça va me détendre la rondelle avant que je te laisse entrer détailla t'elle.
Elle me tendit l'objet de forme conique, il était de bonne dimension, je m'inquiétais.
- T'en fait pas mon chou j'ai l'habitude en tant que vendeuse j'ai déjà testé la plupart de mes sex-toys me rassura Monique .
J'approchais le bout du plug contre son renflement anal et j'enfonçais centimètre par centimètre l'objet dans son conduit. Elle me guidait en m'indiquant comment procéder . Je n'avais jamais utiliser ce genre d'objet.
Je lui massais les fesses en lui donnant parfois de petites tapes . Le plug de couleur rose avait quasiment disparu dans son anus quand elle me demanda de le faire tourner dans son cul pour dilater encore plus sa rondelle et l'exciter encore plus.
Puis j'entrepris de petits va et vient avec le plug, ce qui provoqua en elle des spasmes .
- Je crois bien que tu vas pouvoir venir par la m'indiqua t'elle.
Je redonnais de la vigueur a mon sexe en m'astiquant un peu puis je retirais le plug et dirigeais mon gland contre sa rondelle. Son cul ruisselait de lubrifiant mêlé de la mouille qu'elle appliquait sur sa rosette.
Mon gland força aisément la petite résistance du sphincter et le reste fut divin tant cette femme agissait en habituée de la sodomie et y prenait visiblement plaisir.
- Tu vas bien me fouiller les boyaux j'ai envie que tu me ramones le trou de balle dit elle vulgairement.
Au départ j'entrais avec précaution puis de plus en plus vite et profondément. Je tenais ses hanches en lui pilonnant le cul .
- Vas y salope bouge ton cul je vais t'exploser le derrière criais je.
Je donnais de grandes claques sur ses fesses lourdes qui tressautaient sous mes coups de boutoir. Monique était projetée en avant a chacun de mes coups de bassin. J'étais aux anges mes couilles battaient contre ses fesses.
Elle se masturbait avec vigueur en me donnant des encouragements.
- Plus fort plus vite je vais jouir c'est booooooonnnnn ! hurla t'elle
J'étais en nage, cette femme de comportait comme une vraie chiennasse.
Je sentis d'un coup le jus monter de mes couilles et exploser dans son conduit anal.
- Ohhhhhhhh Ouiiiiiiiii salope prends ça tu m'as vidé les couilles comme une reine.
Elle s'effondra sur le ventre secouée de spasmes après un violent orgasme.
J'attendis un instant que mon sexe diminue de volume pour le sortir de son fion grand ouvert. Le préservatif était empli de sperme.
- Sers moi ton jus me pria t'elle.
J'ôtais l'étui de mon sexe et le lui donnait. Elle se releva et a genoux se versa le contenu du préservatif sur la poitrine.
- Hummmm que c'est bon du jus d'homme, je vais en faire une crème de beauté dit elle en étalant ma sève sur ses mamelons et en massant ses seins lourds.
- Tu as bien travaillé Florian, je vais te laisser mes coordonnées je crois que tu viens d'entrer dans ma golden list des meilleurs partenaires.
Je fus satisfait de cette appréciation .
- Tu as été si sublime et je crois que tu as bien des choses a m'apprendre encore lui dis je en lui retournant son compliment.
Monique proposa que l'on prenne la direction de la plage car ses copines allaient s'inquiéter de son absence si longue pour un simple paquet de cigarettes.
Je lui glissais un baiser tendre avant de prendre une certaine distance pour que personne ne puisse soupçonner que nous venions de passer un bon moment ensemble.
Je l'observais de dos marcher en dandinant du cul et je me disais que décidément j'avais eu raison de suivre sa trace.
Je rejoignis la plage et pour me reposer un instant je m'assis sur la dalle en béton qui surplombait la plage en observant les allers et venues sur la plage.
J'observais en particulier le groupe de jeunes filles que nous avions rencontre en arrivant a la plage, Marina, Laura et les trois autres. Elles jouaient au volley sur le sable et j'admirais moins leur technique que leurs poitrines lourdes qui balançaient au gré de leurs actions de jeu.
J'avais entre mes mains la carte de visite que Monique m'avait laissé . Il était écrit "Monique G, ambassadrice de la société S.... (sex-toys, lubrifiants, lingerie , accessoires, ...) dans votre région est a votre disposition pour des réunions a domicile.
Veuillez me contacter au (suivi d'un numéro de portable)" . Au dos, Monique avait griffonné son adresse et signé "Ta salope qui t'aime".
Je glissais la carte de visite dans ma poche de bermuda satisfait d'avoir pu combler cette femme d'expérience.
Il était presque 17 heures 30 et je me demandais si la doctoresse était arrivée, j'avais hâte de le savoir.
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