Ma première fois

- Par l'auteur HDS Wilson -
Récit érotique écrit par Wilson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma première fois Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première fois
Ma première fois.
Je vous ai ici raconté ma première pipe dans les WC de la fac, j’aimerai vous raconter comment s’est passée ma première fois.
Quelques mois après cette première pipe, je suis toujours à la fac et je fréquente assidument les toilettes du 2ème étage, mais je n’ai pas encore osé franchir le pas. C’est peut être idiot mais j’ai pas envie de me faire dépuceler dans des chiottes même si dans un sens c’est déjà un peu le cas, mais ça me semble moins dommage pour une première pipe que pour une première sodomie.
Quoiqu’il en soit, je n’ai pas franchi le pas et j’attends la bonne occasion même si je ne sais pas si elle viendra un jour.
La fin de l’année arrive et après les partiels, le club d’étudiants auquel j’appartiens organise un grand week end de fête avec d’autres étudiants venus de toute la France. On se retrouve tous à Bordeaux et pour quelques jours ce ne sera que picole et insouciance. C’est traditionnellement un week end où le sexe est à l’honneur, les rencontre étant facilitées par la promiscuité, notre jeunesse et par l’alcool qui coule à flot, mais n’ayant pas encore révélé mon homosexualité, je n’en attends rien qu’un simple week end de picole.
A l’arrivée du train, nous sommes réceptionnés par le comité d’accueil qui nous transporte jusqu’à la cité universitaire où aura lieu le week end. Vérification des inscriptions, attribution des chambres, installation rapide, il est déjà l’heure de l’apéro d’accueil. Là entre les verres, les rires et les provocations bon enfants sur nos villes respectives, des contacts se nouent.
Je discute avec quelques connaissances venues de Nantes quand un ami venu de Tours se joint à notre groupe avec 2 jeunes garçons. Il nous les présente comme étant les nouveaux de la fac de lettre. On trinque tous ensemble et je ne fais pas immédiatement attention à eux. Pourtant l’un d’eux, Flo, n’est pas en reste, il se mêle à notre conversation et se révèle avoir un esprit vif. Tout le monde se chambre gentiment et les verres se vident et se remplissent à bon rythme, d’autant qu’il fait très chaud.
Au cours de la soirée alors que les groupes se font, se défont au gré des conversations, je me retrouve un instant seul avec Flo, il a tellement chaud qu’il a adopté la tenu de la plus part des garçons de la soirée, le torse nu. Je profite de ce moment de tranquillité relative pour faire mieux connaissance avec lui, et je découvre alors un garçon charmant, légèrement plus jeune que moi, mais dont les goûts sont très similaires aux miens. Au point que je découvre son physique tout à fait avantageux et auquel je n’avais pas prêté attention jusque là, obsédé que j’étais à refouler mes penchants.
Il est beau, châtain clair presque blond (pas mon genre d’habitude mais là je me laisserai bien tenter), yeux clairs et ce petit truc qui me rend dingue, outre un menton volontaire, ses oreilles sont légèrement décollés. Moi ça me rend tout chose les oreilles décollées. Sa poitrine et son torse sont parfaitement sculptés et peu poilus, sans être glabre pour autant, et inversement au mien, ne porte pas trace de la moindre graisse mal placée. Bon il est mignon, il a des goûts très proches des miens et on s’entend assez bien jusque là mais je ne dois pas me faire de film ni prendre le risque de me révéler, cependant mon intérêt pour lui ne se limite plus à la camaraderie estudiantine et dans mon bas ventre une chaleur que je ne connais que trop bien s’est réveillée.
J’oriente discrètement la conversation sur les filles. Il mord à l’hameçon et me confie 2 ou trois de ses aventures mais me confie aussi qu’elles l’ont déçu, que si ce n’était le sexe, il s’entend mieux avec les garçons mais que vraiment coucher avec les mecs c’est pas son truc, il a essayé d’ailleurs (mon cœur fait un bond dans ma poitrine) mais qu’il n’a pas aimé. Ce n’était pas désagréable, il a même joui, mais c’est quand même mieux avec une fille même si elles sont dures à comprendre. Et d’enchaîner en me demandant si moi aussi j’avais déjà essayé les mecs et qu’est ce que je préférai ? D’ordinaire j’aurai joué à l’hétéro irréprochable, mais l’alcool, la chaleur aidant, le fait qu’il se soit confié à moi si spontanément, l’effet qu’il me fait il faut bien l’avouer, font que j’opte pour une semi franchise, j’ai essayé les mecs moi aussi et j’ai aimé mais bien sûr je préfère les filles.
« Toi aussi t’as essayé les mecs ? t’as été jusqu’où ? » La question me désarçonne mais je n’ai pas le temps de réfléchir qu’il enchaîne : « moi j’ai été jusqu’au bout, j’ai sucé, je me suis fait sucé plusieurs fois et une fois j’ai pris un mec. Et toi alors ? » Je lui avoue alors mes quelques plans suce, toujours passives, et dans un élan d’inconscience, que j’ai bien aimé, que j’aime toujours bien ça de sucer une bite. Il me dit alors qu’à l’occasion il réessayera un mec, c’était pas mal du tout avec eux, en fait il aime bien baiser avec des mecs mais c’est pas facile d’en parler, il ne sait pas pourquoi, avec moi, il s’est senti en confiance, mais qu’il n’attends rien de moi, c’était pas pour te draguer (une vague de déception me traverse) il n’est pas venu ici pour baiser mais pour se lâcher après les exams. Il me demande s’il peut compter sur ma discrétion. Je lui réponds par l’affirmative et lui demande de faire de même. Il m’assure qu’il sera discret.
Un ange passe entre nous, pas de la gêne mais quand même on est pas à l’aise. Je change de sujet en brandissant mon verre vide : « j’ai soif, on va au bar ». « t’as raison, le miens aussi est vide ».
Arrivé au bar, on tombe sur les amis de toute à l’heure et ils nous invitent à participer à un de ces innombrables jeux à boire qu’affectionnent les étudiants, on boit pas mal tous ensemble et vers les 3h du matin c’est très avinés que je décide d’aller me coucher. Je me fais invectiver, on se moque de moi, me traite de papi pantoufle. Je réponds plus ou moins vertement que moi au moins, je sais ma tenir, je suis pas un de ces déchets qu’il faut gérer en fin de soirée… une des filles présente fait alors remarquer « ouais pas comme le nouveau là, le gars de Tours, il est déjà par terre » En effet, Flo, s’est affalé sur la pelouse, sans connaissance et cuve sa cuite. « Il est dans le bâtiment E, comme toi non ? tu veux pas le ramener à sa chambre ? » plus par camaraderie que par calcul j’accepte, on s’accroupi près de lui et on essaye de le réveiller, il ouvre les yeux mais n’a aucune envie de bouger, il est bien là. On le relève quand même, il prend appuis sur moi et nous voilà partis pour le bâtiment E, tout proche heureusement.
Il dort au 2ème et moi au 4ème. On attaque les escaliers et arrivés au palier du premier étage, il n’a que le temps de se pencher par la fenêtre pour vomir tout son saoul. Je le fait entrer dans les toilettes de l’étage pour une légère toilette et nous voilà repartis. Arrivés devant sa chambre je lui demande sa clé. « elle est dans ma poche » je suis bon pour le fouiller, poche droite, puis poche gauche et enfin je trouve sa clé dans la poche arrière de son jean. Il rigole « ça te plait hein de me fouiller ?, t’as pu me palper le cul chaudasse !!! » pour toute réponse j’ouvre la porte et le laisse tomber sur son lit. J’ai l’habitude de coucher les gens à la fin des soirées et là je ne pense pas du tout à mal avec lui. Je le déchausse, lui enlève ses chaussettes, puis je défais sa ceinture et enlève tant bien que mal son jean. Il est d’humeur à plaisanter et tout en rigolant me balance « bas les pattes salope, je suis pas un garçon facile ! » « moi non plus, dors maintenant, t’es complètement bourré ».
je m’apprête à partir, éteins la lumière et attrape la poignée de la porte quand il me saisit le bras. « ça tourne… tu veux pas rester un peu avec moi jusqu’à ce que je m’endorme ? S’teuplé ?». Je m’assieds près de lui et il lâche enfin mon bras mais prend ma main dans la sienne, et replie son bras sur sa poitrine de sorte que ma main est posée sur son cœur « merci ». Il semble alors glisser lentement vers le sommeil mais moi je me liquéfie. Ce geste m’a troublé, plus que tout ce qu’il m’a confié jusque là, ce besoin que je lui tienne la main, cette façon de l’avoir posé sur sa poitrine… mes digues sautent unes à unes et je m’enflamme totalement. Je suis bien là, au coté de ce si beau et si gentil garçon, je me rends compte que je suis simplement heureux, malgré la fatigue, l’alcool et la chaleur, je voudrais rester là des heures. Bientôt des pensées plus folles me traverses l’esprit, il est superbe en boxer et l’ayant déshabillé je n’ai rien raté de son anatomie, sauf précisément ce que cache son boxer. Je commence à imaginer ce qu’il y a dessous.
Son souffle s’est fait plus régulier, il semble dormir et j’ai de plus en plus envie de soulever l’élastique de son boxer pour voir si son sexe est aussi beau que ce que j’imagine. Bien sûr j‘ai très peur de le faire même si j’en meurs d’envie. Et s’il se réveillait ? Mais quand même c’est une occasion inespérée et puis il m’a un peu allumé pendant que je le déshabillais. Je fini par céder à mon désir, je libère ma main de son étreinte, à contre cœur mais poussé par un désir violent d’en avoir plus de lui. Il ne réagit pas, j’effleure son entre jambe, toujours aucune réaction, il dort. Je m’enhardi et pose ma main sur son sexe, quel choc ! A travers le tissu de son boxer je devine sa verge, flasque mais tout de même ferme et surtout brulante. Je remonte vers la ceinture élastique, la saisie et délicatement je la soulève puis descends son caleçon. Son sexe m’apparait alors dans la lumière faible des lampadaires de la cour qui filtre à travers les stores qui ne sont pas complètement descendus. Que c’est beau !!! Une fine toison blonde orne son pubis et deviens plus fournie sur ses couilles lourdes. Au milieu sa verge de 13 cm pour un peu plus de 4 cm d’épaisseur repose, flasque encore, et le gland recouvert de son prépuce ourlé de rose sur le méat.
Je repose la ceinture du boxer sur ses cuisses et brulant de désir et de peur, ma main s’approche de sa queue. Plus que 3 cm, pourvu qu’il ne se réveille pas. Plus que 2 cm, mais qu’est ce qu’il m’arrive ? Un cm, j’en ai tellement envie… tant pis s’il se réveille… Ca y est j’ai attrapé son sexe, il est doux comme du satin et brulant, plus encore que quand je l’ai touché à travers le tissu tout à l’heure. Mon poing est refermé sur sa hampe et je saisi son prépuce entre le pouce et l’index pour le ramener en arrière et décalotter son gland, rose lui aussi. Une forte odeur de sueur et d’urine envahie l’espace, il a pas mal évacué toutes les bières qu’il a avalées et l’odeur est tenace dans un boxer synthétique par une telle chaleur.
Je suis aux anges, lentement ma main monte et descend le long de sa queue et mes doigts serrant toujours son prépuce, je le décalotte et le calotte au fil de mes vas et viens qui s’accélèrent. Je n’ai pas réfléchi à la situation je me laisse guider par le désir et alors que sous l’effet de mes caresses il se met à bander, timidement d’abord, puis franchement, je prends conscience que je suis bel et bien entrain de le branler. Cette prise de conscience a un effet immédiat ! Je suis d’un seul coup très à l’étroit dans mon slip. Son sexe est complètement bandé maintenant, je ne peux plus le calotter et il atteints une beau 18 cm. De mon coté, cette barre dans mon slip n’est plus seulement gênante mais douloureuse et je décide de foncer dans ma chambre pour me soulager, mais je n’arrive pas à me résigner à lâcher son sexe. Je me lève en le tenant toujours puis arrête ma branle pour lui remettre son caleçon quand soudain son bras se pose sur le mien, « continue ! ». Je balbutie un « t’es sûr ? » auquel il répond « oui, vas y, c’est trop bon »j’ôte mon t-shirt, mes chaussures et mon short, et seulement vêtu de mon slip déformé de désir, je reprends son sexe en main et il gémit de bien aise. Je n’ai seulement le temps de le branler que quelques secondes qu’il me demande d’aller verrouiller la porte. Je me lève et tandis que je verrouille la porte, sa main s’égare sur mon sexe. « T’es en forme toi aussi ». Je m’assois sur le lit et reprend son sexe, il se redresse et alors que nous nous regardons dans le fond des yeux, nos torses se rapprochent et nos lèvres se fondent dans un baiser.
Je l’étreints fermement et il fait de même tandis que nous échangeons un deuxième baiser, puis un cinquième puis je ne sais plus combien. J’ai toujours son sexe en main même si je le caresse plus que je ne le branle, il me caresse aussi a travers mon slip que je n’ai pas enlevé et de son autre main caresse mon dos, remonte vers ma nuque et soudain, tout en faisant virevolter sa langue dans ma bouche, y exerce une poussée plus forte que les caresses antérieures, une poussée sur la nuque qui n’a qu’une signification, il veut que je le prenne en bouche. Je me redresse, ôte enfin mon slip et m’agenouille sur le lit entre ses jambes.
Je saisis de nouveau son sexe et tandis qu’il se laisse tomber sur l’oreiller je pose mes lèvres sur son gland parfumé. Ivre de désir, je fais fi du goût particulièrement fort que j’apprendrai à aimer avec les années, et laisse mes lèvres et ma langue se déchainer sur son sexe. Il est aux anges et me susurre son bonheur. Il m’encourage aussi et bientôt explose de jouissance dans ma bouche. C’est une première fois pour moi hors des toilettes de la fac et avec quelqu’un que je connais un minimum, aussi je décide d’aller plus loin que d’habitude et au lieu de recracher, j’avale sa semence. Elle est abondante et visqueuse, son goût est fort, légèrement amer. Trois grosses giclées pour commencer puis un filet régulier mais moins abondant qui s’échappe de son méat.
Il m’attire à lui et m’embrasse, me serre fort contre lui et nos sexes se mêlent, le sien qui décroît et le miens toujours dur. Il s’en saisi et me branle doucement d’abord, puis de plus en plus fort, je gémis. Il m’embrasse encore puis me dit « à ton tour », il se penche entre mes jambes et je sens une chaleur humide envelopper mon sexe. Je sens la succion de sa bouche et les vas et viens de ses lèvres. Une chaleur irradie entre mes reins et remonte dans mon ventre. J’ai seulement pénétré vaginalement 2 filles dans ma vie, jamais homme ou femme ne m’a sucé. D’ordinaire c’est moi qui suce. C’est donc ça qu’on ressentit tous ceux que j’ai pris en bouche ? Quelle extase !! Une extase qui arrive bientôt d’ailleurs. La chaleur qui avait atteint mon bas ventre s’accompagne de soubresaut en moi, puis un vague de plaisir remonte à toute vitesse le long de mon sexe et dans un cri de bonheur j’expulse mon sperme dans sa bouche. Il le recueille en entier lui aussi mais n’avale pas. M’ayant nettoyé à coup de langue, il se lève, s’approche du lavabo et recrache mon jus. Il se rince la bouche et en profite pour pisser. D’abord surpris de ce manque de pudeur, je finis par me dire qu’après ce qu’on vient de vivre, la pudeur n’est plus de mise. Ayant besoin moi aussi je le rejoins et pisse de concert avec lui dans le lavabo.
Tandis que je me soulage à ses coté, il me sourit et m’embrasse. Secoue sa dernière goutte, attends que j’ai secoué la mienne et me prend par le sexe pour ramener au lit. Nous nous enlaçons et nous couvrons de baisers, les yeux pleins d’étoiles. Il me murmure à l’oreille « merci, c’était bon tu sais, je suis bien avec toi, reste, on va dormir ensemble ». J’acquiesce. Oui je vais dormir avec lui. Oui le week end ne fait que commencer, j’ai bien l’intention de ne pas quitter ce lit avant lundi matin !! Il rit «je te donnerai du plaisir jusque là alors », à mon tour de rire « prétentieux ! Encore une pipe comme celle que je t’ai fait et tu sera vidé ». Je caresse ses fesses, je n’y avais pas encore touché, mon dieu quel bonheur ! Elles sont douces et fermes, dures comme de l’acier mais au contact aussi doux que du velours, pas poilues, juste légèrement duveteuses, une peau de pêche !! J e les caresse sans m’en lasser et nous nous endormons ainsi enlacés, la tête sur la poitrine l’un de l’autre.
Je n’ai pas l’impression d’avoir dormi beaucoup et c’est un fait en reprenant mes esprits qu’il fait toujours nuit. Je comprends très vite ce qui m’a réveillé, mon beau Florent, pris d’une fringale nocturne, me rend la monnaie de ma pièce en profitant de mon sommeil pour abuser de ma virilité. Je suis, bien sûr, consentant, et puisque réveillé, je lui propose un 69 qui nous permettra de nous régaler tous les 2. Il accepte, se met tête bèche et nous recommençons à nous aimer. Tout au bonheur de sucer et d’être sucé en retour, je ma laisse aller complètement et ne prête pas garde aux caresses des doigts de Flo qui vagabondent tantôt sur mes couilles tantôt le long de ma raie.
Nos ébats se poursuivent ainsi mais les doigts de Flo s’attardent de plus en plus sur ma raie et même sur mon petit trou. D’abord du bout du doigt, puis voyant que je ne le repousse pas, c’est bientôt son doigt entier qui s’aventure en moi, provoquant des soubresauts de plaisir dans mon membre viril. Soubresauts d’autant plus marqués que Flo, tout au plaisir de me doigter en oublie de me sucer, il couvre mon gland de baiser mais ne me suce plus. Il retire son doigt, l’enduit de salive et le replonge en moi. De nouveau une vague de plaisir me traverse. Je comprends alors que ça y est, le moment que j’avais tant attendu est arrivé, je vais me faire dépuceler cette nuit, par ce merveilleux garçon. Ce ne sera pas dans des chiottes glauques par un parfait inconnu qui se rebraguettera à peine il aura juté, non ce sera avec un garçon gentil et sensible, dans un lit où nous nous sommes déjà donnés beaucoup de plaisir, et ce sera suivi d’une nuit enlacés comme de tendres amants.
Cette pensée lève mes dernières appréhension, et tandis que Flo dont le doigt me visite toujours recommence à me sucer goulument, je sors son sexe de ma bouche et lui dit « j’ai envie que tu me prennes» « t’es sûr » « oui, je veux que tu sois le premier ». Il me bascule sur le dos et m’embrasse très tendrement, puis plongeant son regard dans le mien il me dit « ça va être bon, je te promets ». Il se glisse alors entre mes jambes et recommence à me doigter. Il s’enduit régulièrement le majeur de salive et le replonge dans mes entrailles, les écartant toujours un peu plus.
Bientôt, ce sont deux doigts qui me caressent, et je sens en moi monter un appel que je n’avais jamais vraiment ressenti, l’appel de la chair qui vous pénètre et vous remplie, qui vous complète. Et le fait est que je me sens sinon vide, du moins incomplet, il y a un manque en moi qui doit être comblé, et ce manque est d’autant plus fort que les doigts de Flo coulissent en moi. Sentant que mon anus se dilate, il se redresse et me demande de le sucer pour qu’il soit bien raide. Je le reprends en bouche et il ne tarde pas à grossir et à durcir sous mes caresses encore plus enfiévrées qu’avant.
Il me demande alors de me retourner et je me présente alors à lui à quatre pattes sur le lit, le cul tendu vers lui, il se lève fouille dans les poches de son jean et attrape une capote. Il se remet à genoux derrière moi, s’approche entre mes jambes qu’il écarte, me crache sur le petit trou puis enfile la capote, il m’attrape alors par les hanches et me bascule vers lui. Son sexe effleure mon trou il se penche et m’embrasse dans la nuque puis positionne son gland et me dit « respire fort et pousse ». Je m’exécute et je sens alors son sexe entrer en moi. Pas tout en fait en moi en fait, son gland est entré de quelques cm et force sur mon sphincter. Je sens une légère brulure puis une douleur plus vive. Il le comprend et s’arrête « ça va ? » «Oui ». Il se retire, puis repositionne son gland à l’entrée de mon cul, me recommande de souffler fort et de pousser sur sa bite. J’obéis et alors qu’il s’enfonce, la douleur revient mais moins forte. Il s’immobilise, attend quelques secondes, puis pousse à nouveau et alors qu’une troisième fois la douleur reparait, elle est vite éclipsée car je sens mes parois céder et son sexe s’enfoncer en moi bien plus profondément que je ne l’aurais imaginé. Je sens les poils de son pubis sur mes fesses et il arrête de pousser. Ca y est, il est en moi. Il me demande si ça va, je lui réponds oui, alors il s’agrippe fort à mes hanches et commence un va et viens, lentement d’abord puis sentant que je n’offre plus de résistance, il accélère.
Sentant ses couilles qui viennent claquer contre les miennes je suis comme frappé par la foudre : je suis en train de me faire enculer, pour la première fois de ma vie et j’aime ça !
Oui j’aime ça, je le sais maintenant car il n’y a plus de douleurs même si mon anus tire un peu. Il n’y a plus de douleurs mais une sensation étrange à la place. A la fois agaçante et agréable, comme des chatouilles, quelque chose dont on ne veut pas que ça s’arrête même si on est pas à l’aise. Et c’est un fait que je ne veux pas qu’il arrête tant ses allers et retours en moi me font du bien. Ce n’est plus une chaleur mais une vague de plaisir brulant qui irradie tout mon bas ventre depuis le fond de mon cul et remonte jusque dans ma poitrine. J’ai débandé mais mes couilles sont dures et le plaisir est là, comme quand je me branle, comme quand il m’a sucé tout à l’heure. Son souffle s’accélère et alors que lentement, sous ses assauts, nous quittons la position à genoux pour une position allongée, moi sur le ventre et lui sur moi, sa respiration courte et chaude viens caresser ma nuque tandis que sur mon dos, son cœur bât la chamade. Il me besogne toujours et laisse échapper des gémissements étouffés. Je contiens les miens à grand peine et mord l’oreiller pour assourdir mon bonheur. Appuyé sur l’avant bras gauche je lance ma main derrière moi et atteins ses fesses qui vont et viennent au rythme de son sexe en moi. Instantanément, la texture de ces superbes fesses, leur douceur me font rebander.
Mon sexe prit en étau entre mon ventre et le matelas est douloureux mais je n’en ai cure car la bandaison à contracté mes sphincters et je sens désormais non seulement son sexe qui me pénètre mais en plus je le sens palpiter quand il est en moi. Son souffle déjà court devient rauque et ses allers retours moins réguliers mais plus brusques. La chaleur qui irradiait dans mon corps se retire, afflue vers mon bas ventre alors que tout mon corps se tends et tremble. D’un coup il se plante en moi plus profondément et plus brusquement que les autres fois et se raidit. Immobile il laisse échapper un cri moitié grognement moitié gémissement, puis me donne quelques coups de reins désordonnés, par à coup, avant de s’effondrer sur moi à bout de souffle.
Dans le même temps, la chaleur qui avait regagné mon ventre à explosée pour se répandre dans mon corps tout entier au moment ou celui-ci se tendait complètement. Une douleur sourde a traversée mon sexe de bas en haut et pendant quelques instants j’ai lâché la réalité.
Reprenant mes esprits, je m’aperçois que je suis mouillé partout, ma sueur et la sienne, mêlées sur mon dos mes fesse et mes cuisses. Et mon bas ventre humide aussi, cette douleur fugace dans le sexe c’était moi qui éjaculais. Et toujours pris en étau entre mon corps et le matelas souillé, mon sexe baigne dans ma semence. Flo toujours essoufflé et toujours en moi reprend lui aussi ses esprits petit à petit. Il embrasse ma nuque puis bascule sur le flanc en m’agrippant pour que je reste collé à lui.
Il passe sa main sur mon corps et la dirige vers mon bas ventre pour saisir mon sexe qu’il caresse. J’esquive un mouvement de dérobade gêné par la manifestation visible de mon plaisir, mais ma tentative est vaine. Lorsqu’il empoigne mon sexe et découvre que j’ai éjaculé partout sur son lit il s’écrie, visiblement ravi « t’as joui ? Alors t’as aimé comment je t’ai pris, ça a été bon ? Hein ? » Oui ça a été bon, je le rassure tout de suite, ça été merveilleux !!! Jamais je n’aurai pensé vivre un tel moment de plaisir. Il se retire de mon cul, me retourne et m’embrasse fougueusement, et m’étreint, nos corps se mêlent, nos sexes sont collés l’un à l’autre et seulement alors, il pense à enlever la capote. Ainsi il me caresse le sexe sans en avoir l’air, puis la capote abandonnée sur la table de nuit il reprend mon sexe en main mais sa tentative est vaine, le plaisir qu’il m’a procuré a été trop fort. Pour ce soir en tout cas, je suis vaincu. Je le lui dis puis saisi son sexe à mon tour, il est lui aussi flasque et à son tour me dit qu’il n’en peut plus, qu’on a trop bien joui et que ce soir, pour lui aussi c’est fini. On rigole enlacés, on s’embrasse longuement, avant de sombrer dans le sommeil.
Au réveil, nous avons décidé de garder ce bonheur pour nous, de ne pas en faire état, de respecter le besoin de discrétion de chacun vis-à-vis des autres et toute la journée nous avons fait semblant de n’être que de simples camarades. Nous avons refait l’amour la nuit suivante puis chacun est rentré chez lui. On s’est revus quelques fois à l’occasion de séminaires ou de week end de notre club d’étudiants. On a recouchés ensemble lors de certaines de ces rencontres mais la vie à fait son œuvre et nous nous sommes perdus de vue. Mais à jamais gravés dans ma mémoire il y aura la beauté et la franche gentillesse qui émanait de son sourire et le bonheur qu’il a été le premier à me donner. Pour tout cela, je lui dit merci.

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