Sur un banc

- Par l'auteur HDS Wilson -
Récit érotique écrit par Wilson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sur un banc Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Sur un banc
Cette histoire est vraie, elle m’est arrivée cet été. Il faisait chaud, cette nuit là, une nuit de moiteur où je ne trouve pas le sommeil, je tourne et retourne en nage dans mon lit sans parvenir à m’endormir et cette démangeaison dans mon bas ventre, ce désir qui augmente et qui s’insinue au creux de mes reins et tourne à l’obsession…. Mais il est tard. Il n’y plus ni bus ni métro et je n’ai pas envie d’aller draguer à pied. Tous les lieux que je connais sont loin.
Je me décide pourtant à me lever et à sortir faire un tour dans le quartier, je ne m’attends pas à trouver un plan cul, vu l’heure, mais au moins l’air me paraît plus frais dans la rue et marcher me calmera un peu. J’emporte néanmoins une capote à tout hasard. J’enfile juste un short et un t-shirt, pas besoin de boxer ou de chaussettes, et me voilà dans la rue. L’air est effectivement un peu plus respirable que dans mon studio surchauffé, il y a un bref filet de vent qui renouvelle un peu l’air et me fait du bien.
Je erre sans but dans mon quartier, quasi désert en ce mois d’août. D’ordinaire, même à 2h30 du matin il est plus vivant. Il y a de nombreux bars tout près et ils attirent une jeunesse étudiante toujours prompte à faire la fête, moi-même il n’y a pas si longtemps… Voilà bien une demi heure que je traîne mon ennui, ne croisant que quelques fantômes éméchés, titubant pour regagner leurs lits. Les bars sont en train de fermer et chacun rentre chez soi. Je n’ai toujours pas sommeil mais je fatigue un peu et avisant un banc dans un petit espace vert en bordure du boulevard sur le quel je marche, je décide de m’y asseoir. La chaleur au creux de mes reins s’est apaisée mais l’envie tenaille toujours mon bas ventre et assis là sur ce banc, j’entre en semi érection en repensant aux quelques beaux garçons que je viens de croiser. J’en aurai volontiers accosté plus d’uns s’il avaient été seuls, mais soit ils étaient avec un groupe d’amis, soit avec de jeunes filles, et ce n’est pas un lieu de drague ici. Je n’ai donc accosté personne et j’en suis à penser renter me satisfaire en solo à la maison, ce qui m’aidera à dormir, quand un bonhomme s’approche en titubant. Il ne semble pas m’avoir remarqué, il titube sans se soucier de ce qui l’entoure et après un bref coup d’œil je m’apprête à faire de même. Mais il s’approche, viens se positionner face à un des arbres qui entourent mon banc, défait sa braguette et se met à pisser, visiblement trop saoul pour s’apercevoir qu’il est en train de pisser sous mes yeux sans que je ne puisse rien rater du spectacle, ou pour seulement s’en soucier. C’est un maghrébin, plus âgé que moi, je dirai milieu ou fin de quarantaine. Il est mince, les cheveux ras, grisonnant, et un air vaguement gamin sur le visage, en dépit de la fatigue et de l’alcool. Son sexe est de bonne proportion, circoncis bien sûr, et il relâche un jet d’urine dru et odorant dont le fumet me parvient aux narines. Ce n’est vraiment pas mon genre de mec et je n’ai pas envie de lui. Cependant je ne suis qu’à 2 mètres de lui et, par correction, tandis qu’il soupire d’aise en se soulageant, je décide de me racler la gorge pour signaler ma présence. Il lève la tête et me jette un regard avant de baisser la tête vers son sexe qu’il secoue alors pour évacuer les dernières gouttes et se rajuste. Il vient s’affaler sur le banc et me tend la main en articulant péniblement « salut ». J’ai gagné, je vais me taper la discussion avinée du poivrot en manque d’amis et dont j’aurai toutes les peines du monde à me défaire. Je serre néanmoins sa main (en faisant abstraction de ce quelle tenait il y a quelques secondes encore) et répond à son salut. Il me demande avec un fort accent, si je vais bien, comment je m’appelle et ce que je fais là tout seul si tard. Gagné, il veut discuter ! Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Je lui donne mon prénom, répond que je vais bien merci, et que je prends le frais car chez moi il fait trop chaud et je n’arrive pas à dormir. Il me demande alors si j’étais dans un bar avec des amis, je lui réponds que non. Il s’en étonne et me dit qu’à mon âge je dois m’amuser (super le couplet sur la façon de je dois mener ma vie, j’attendais que ça !!!) et que lui il en profite, sa femme l’a mis dehors alors tout les soirs il sort boire un verre (un seul ? vraiment ?) et s’amuser avec les jolies femmes (mouais). Je lui réponds que je sors souvent boire avec des potes mais que ce soir je n’en avais pas envie et que maintenant je vais rentrer dormir. Il acquiesce et me dit qu’il va rentrer aussi et me tend la main pour me dire au revoir (ouf !!). Et tout en me serrant la main, il me dit que ça lui a fait plaisir de me rencontrer et de discuter avec moi, que je suis gentil etc.… Je souris poliment en lui disant au revoir pour la 5 ou 6ème fois mais il n’en finit pas de me dire au revoir tandis que sa main gauche réajuste ostensiblement son entre jambe, et me propose de faire un bout de chemin ensemble parce qu’il habite le quartier. Je refuse un peu plus fermement. Il me dit alors que j’ai raison, qu’il est tard et que lui aussi est fatigué et il finit quand même par me libérer. Je tourne les talons pour repartir chez moi. Visiblement je lui ai tapé dans l’œil... bah il a juste envie de baiser et la première personne qu’il lui tombe sous la main fera l’affaire… et puis il a quand même beaucoup insisté sur le fait qu’il draguait des femmes… mais enfin je vais pas imaginer quoique ce soit avec lui, voyons !!! J’ai beau être en manque je me respecte suffisamment pour pas me taper le premier poivrot venu !!! Il n’empêche que cette démangeaison dans le bas ventre est toujours là… Oui mais, mais il est saoul et puis circoncis, et je n’aime pas tellement les mecs circoncis… circoncis c’est vrai mais jolie queue…voilà que je recommence à bander… et puis après tout pourquoi pas ? Je fait demi tour et retourne hésitant vers le banc. Il n’y est plus bien sûr et je suis presque soulagé quand je l’aperçois au loin marchant en direction du canal. Je décide alors de le suivre et dans ma tête les idées se bousculent : je le rattrape et lui propose de le raccompagner chez lui ? Je l’invite chez moi ? Nous longeons à présent le canal et je le vois alors s’approcher d’un abris bus où patiente une femme black un peu forte et dont la tenue et l’attitude ne laissent pas de place à l’interprétation : une pute ! Il a envie de baiser et son choix est fait visiblement !! Je n’ai plus qu’à rentrer chez moi. Je le regarde pourtant encore alors qu’il palabre avec elle, mi soulagé mi rageur de ne pas avoir saisi cette occasion et mon bas ventre qui me travaille de plus belle, je bande presque totalement maintenant et heureusement qu’il est tard car je suis nu sous mon short en lin et il ne dissimule rien de mon état. Je vais repartir quand je le vois faire de même, seul. Il a laissé la pute là et recommence à marcher, je le suis donc à nouveau et accélère la cadence, bien décidé à le rattraper et à ne plus laisser fuir une chance de m’envoyer en l’air, quitte à me faire jeter ! Au passage et devant mon état décidément bien visible, la pute m’interpelle à mon tour à grand coup de bonsoir chéri, tu as besoin on dirait… je lui fait non de la tête et continue ma poursuite. Trois cent mètre encore et il s’approche de la porte d’un immeuble, il tape un code sur le clavier alors je m’élance pour le rattraper avant que la porte ne se referme. Trop tard la porte claque à quelques centimètres de mes doigts mais par chance elle est vitrée, je le vois agripper la rampe d’un escalier et il est déjà à mi hauteur… Alors je frappe au carreau pour lui signaler que je suis là. Après une deuxième série de coups, il s’arrête et se retourne vers la porte. Il m’aperçois et redescend. Il ouvre et tout surpris me demande comment je l’ai trouvé, comment je suis arrivé là ? Je lui souris et lui dit que j’ai encore envie de parler avec lui, il se caresse l’entre jambe et me dit « tu veux parler ? » « oui parler… ou autre chose… » Il me chuchote alors « viens ! Et ne fait pas de bruit… mes voisins… je veux pas qu’ils sachent… » J’acquiesce et lui emboîte le pas dans l’escalier. Parvenu au 2ème étage, il me renouvelle ses consignes sur le silence et ouvre la porte d’un petit studio, très sommairement meublé d’une kitchenette, d’une table et d’une chaise, et d’un matelas à même le sol dont les draps mériteraient bien un tour de machine à laver. Il m’embrasse alors et malgré son haleine chargée au whisky, j’y prends plaisir, il a une grosse langue un peu molle qui doit faire des merveilles sur un gland. Tout en m’embrassant il glisse une main sous mon t-shirt et me tripote les tétons, je ne suis pas en reste et ma main s’évertue à déboucler sa ceinture, je sent sous son jean un jolie bite bien gonflée, il en veut le salaud ! D’un coup il se recule, va s’appuyer contre la kitchenette et déboutonne son pantalon, le message est clair je m’agenouille, baisse son jean et découvre un slip style papy, gris et d’une propreté douteuse, cependant, je suis trop excité désormais pour faire marche arrière. Je le branle un peu à travers le slip, puis je le baisse et il s’enroule autour des cuisses libérant la jolie bite que j’avais aperçu tout à l’heure. Désormais en forme, elle mesure plus ou moins une 20 aine de cm, circoncise donc, avec un gland brun, et totalement glabre. Seule une petite touffe de poils bruns et courts orne le haut du pubis. Les couilles sont grosses et pendantes, dépourvues de poils elles aussi ce qui traduit les habitudes du monsieur en matières de rasage intime. Je me saisi du morceau et après quelques coups de langue sur le gland, j’enfourne ce bel engin, désormais insensible aux odeurs ou même au goût, je ne suis plus qu’une bête assoiffée de sexe et peu importe l’hygiène sommaire de mon partenaire. Ses mais se posent de part et d’autre de ma tête et il m’imprime alors le mouvement et la vitesse qui lui plaisent, me baisant littéralement la bouche au point de me provoquer plusieurs haut-le-corps quand il s’enfonce trop brusquement. Sucer une bite circoncise n’est pas ce que je préfère, je les trouve moins réactives aux stimulations, je fait cependant virevolter ma langue autour de sa queue tout en aspirant autant que je peux et lui prodigue une bonne pipe. Tandis que je m’applique à le sucer, ma main droit s’active sur ma propre bite et ma main gauche, glissée entre ses cuisses, lui soupèse les couilles alors que mon majeur titille son fondement. Je sens que la chaleur dans mes reins s’est muée en appel irrésistible, mon trou commence à se contracter et se relâcher, réclamant sa pitance. Recrachant son chibre, je lui murmure « prends moi » il me demande de le sucer encore, je le reprends alors en bouche et augmente l’aspiration de son membre ainsi que la pression sur son petit trou, mon doigt s’y enfonce. Il gémit faiblement murmurant des paroles tantôt en français, tantôt en arabe (du moins je suppose) dont la teneur m’échappe mais qui sont incontestablement crues, voire insultantes. Je saisis plus ou moins « …bonne salope… », « …aime la bite... » et « prends la bien sale pute » dans la litanie de murmures qu’il éructe. Je n’en ai cure, je suis effectivement à genoux à bouffer de la bite et je n’ai qu’une envie, me faire mettre profond ! Prendre de bons coups de bite et me faire ramoner le cul comme jamais on ne me la ramoné. Mon cul palpite comme jamais et ma raie est toute humide, je n’en peux plus tellement j’ai faim de me faire prendre. Je recrache à nouveau sa queue et me relève pour ôter mon short que je n’avais que baissé pour me branler, et mon t-shirt. Il comprend et m’imite, envoyant voler ses baskets à l’autre bout de la pièce, bientôt suivies de son polo. Je lui tends la capote que j’ai récupérée dans ma poche et m’allonge sur son matelas, cuisses écartées et bassin relevé, dans une position totalement impudique qui lui permet d’un seul coup d’œil de voir mon ma bite tendue, mes couilles et jusqu’à mon orifice intime qu’il ne va pas trader à visiter. Il s’approche alors en se masturbant, son jean et son slip toujours enroulés sur ses cuisses, il s’en débarrasse au pied du matelas et enfile la capote avant de me rejoindre. Il s’agenouille devant moi et s’empare de ma bite qu’il branle d’une main alors que de l’autre il me fouille la raie, puis enfonce 2 doigt dans mon anus affamé, je réprime un gémissement d’extase. Il se couche alors sur moi, repoussant mes jambes avec ses épaules et présente sa bite à mon orifice il pèse un peu dessus et pousse pour entrer mais dérape. Il reprend la position et guide son intromission avec sa main droite. Ca y est il entre en moi, mes chairs s’écartent. Même si j’en meurs d’envie et que j’en ai déjà pris d’un gabarit semblable, sa pénétration, sans douceur excessive, me provoque une légère douleur, heureusement elle n’est pas insurmontable et se dissipe bien vite. Il me lime de plus en plus vite au fur et à mesure que l’excitation de ses va et viens me détend. Je resserre mes jambes autour de lui, l’emprisonnant entre mes reins et caresse ses fesses pour accompagner sa besogne, j’ai très envie de me branler mais la position n’est pas favorable. Il coulisse a présent en moi sans problèmes et je contracte mon anus pour ne rien perdre des sensations que me procure sa magistrale sodomie, je ne sais s’il préfère les hommes ou les femmes mais il connaît son affaire !! Ses couilles battent la mesure et il me besogne ainsi durant un laps de temps que j’évalue, sans certitude, à une dizaine de minutes, avant de se retirer. Un vide m’envahit alors tandis qu’il s’agenouille, hors de moi. « Tourne toi ». Soulagé qu’il n’ait pas fini de me baiser, je me retourne sur le matelas, me redresse à quatre pattes et lui tend ma croupe. Agenouillé derrière moi, il se saisit de mes reins et m’encule à nouveau sans autre forme de procès. La lime reprend, plus rapide et plus forte, je n’arrive plus à contenir mes gémissements malgré ses rappels incessant à la discrétion vis-à-vis de ses voisins. Il s’arrête un instant et se penche en arrière avant de reprendre sa baise, et me plaque alors sur la figure un tissu que je n‘identifie pas tout de suite et dont il essaie de me bâillonner. La forte odeur de pisse et de sueur ma fait comprendre qu’il essaye de me faire taire avec son slip, mais je ne suis plus maître de moi, je ne suis qu’un cul qui se fait superbement tringler. Ma résistance ne dure que quelques secondes et il enfonce son slip dans ma bouche, accélérant alors ma sodomie. Le tissu s’imprègne de ma salive qui elle même se charge des effluves du sous vêtement et que je suis contraint d’avaler à chaque déglutitions mais sa queue est la plus forte, elle me fait oublier cette humiliation par le bonheur qu’elle me procure d’autant que je peux désormais me branler. Toujours en rut il continue de me pilonner le fion, redressant sa jambe droite pour la poser contre ma hanche, il s’agrippe à mes épaules et se couche sur mon dos. Son souffle court, saccadé, brûle ma nuque et tandis qu’il me dose le cul, ma main coulisse de plus en plus vite sur ma bite, mon bas ventre se contracte dangereusement. Le slip ne suffit plus à contenir mon extase, je le recrache et mord l’oreiller devant moi. Il ahane désormais et des gémissements qu’il contient à grand peine s’échappent de sa bouche. Il se redresse d’un coup agrippant mes fesses pour mieux les baiser et j’explose alors, dans un cri étouffé, répandant mon foutre sur ses draps tandis que mes sphincters se contractent violemment. Cette brusque contraction autour de son membre l’achève et il explose à son tour, expulsant son foutre par de violents coups de bite saccadés au fond de mon cul endolori, avant de s’effondrer sur moi, vaincu. Nous restons ainsi un moment étendu sur le lit, mon pubis baignant dans la flaque de sperme qui petit à petit imprègne les draps, lui sur et en moi, reprenant lentement conscience et notre respiration. Je me tourne vers lui et l’embrasse. Il me rend mon baiser puis décule et ôte la capote qui est bien remplie. Le vide m’envahi et bien que douloureux, mon cul me semble amputé d’une partie de lui-même. Je souris tandis que nos bites redeviennent flasque, soulagées de cette tension qui nous avait pris, de cette rage de baiser à laquelle nous avons sacrifié. Je me rhabille très vite et la sueur fait que mon t-shirt me colle à la peau tandis que mon short devient poisseux sous l’effet de la mouille de ma raie et du sperme étalé sur mon bas ventre. Après quelques échanges de compliments et de remerciements je me sauve, ma conscience me rattrape et même si je suis comblé de cette baise splendide, je ne peux m’empêcher de me sentir souillé. Le bien être se mélange à la honte d’avoir été ainsi baisé, sans retenue, par un parfait inconnu saoul et sale rencontré sur un banc.

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