Ma professeur de Latin, Christine T. : Episode 1
Récit érotique écrit par Cartouche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma professeur de Latin, Christine T. : Episode 1
L'histoire que je vais vous raconter, je l'ai longtemps gardé pour moi. Aujourd'hui,
je pense qu'il est grand temps de la partager. Il s'agit de ma première fois et quelle
première fois ! Une femme de 50 ans, ma professeur de latin.
Ce récit s’est déroulé dans les années 90’s. A cette époque, j'étais en terminal. Je
préparai un BAC S.
Il y avait une matière que je détestai, le latin. Et il y avait de quoi ! Ma
professeur, Christine T., femme divorcée, je ne pouvais pas la supporter, elle avait
l'art d'abaisser ses élèves et était très élitiste, bref une vraie peau de vache.
Ses atouts :
- une énorme paire de nichons, on la surnommait la vache laitière
- un cul rebondi magnifique, réclamant une belle fessée !
Elle n'était pas très grande et s’habillait très souvent en tailleur.
Elle portait des chemisiers, qui mettaient son énorme poitrine en valeur. Les boutons
avaient du mal à retenir ses énormes seins qui ne demandaient qu'à s'étaler sur le
bureau. Très souvent, un bouton de son chemisier n’était pas fermé et on devinait le
galbe d’un sein. Bien sûr, cette mise en scène avait pour effet d’exalter les hormones
des males de la salle de cours.
Certaines histoires, un peu salace, circulaient sur Christine. Elle aurait trouvé
quelques réconforts charnels, auprès du prêtre de l’église, suite à son difficile
divorce. A l’époque, ces histoires ne m’intéressaient pas, mais cadraient bien avec le
personnage que j’ai découvert plus tard.
Justement, rentrons dans le vif du sujet.
Tout a commencé lors de notre voyage de fin d'année en Italie à Florence. C'était un
voyage qui se voulait culturel. Autant vous dire que les journées paraissaient longues
et ennuyeuses.
Nous logions dans une grande villa florentine divisée en plusieurs ailes : une aile
pour les filles, une aile pour les garçons et une aile pour les professeurs.
Le grand jeu était d’essayer de rejoindre les filles sans se faire « choper » par les
professeurs. Nous étions plutôt bien organisés. Un guetteur était tiré au sort pour
surveiller les professeurs
Et ce soir-là, Je fus tiré au sort. Sur le coup, j’étais bien dégouté.
Je me dirigeai donc vers le dortoir des professeurs et restais en planque pendant un
petit moment.
Tous les professeurs étaient dans une salle, ils y regardaient la télé et n'avaient
pas l'air de vouloir bouger.
Je décida alors de me balader dans les étages. Je monta dans les étages et j'entendis
un bruit de douche et des petits gémissements. Je regarda dans la salle de bain et là
je fus pétrifié ! Ma professeur de latin, Christine, était en train de prendre une
douche et s'enfilait un gode énorme dans la chatte.
Elle ne m'avait pas encore vue. Je fus, dans un premier temps, choqué. Mais très vite,
la vision de ma professeur se donnant du plaisir m’excitait. Je sortis ma bite déjà
bien dure et commença à me branler vigoureusement. Je n’y croyais pas. Je me masturbai
devant ma professeur de latin. La scène était des plus cocasses.
Sa mouille glissait le long de ses cuisses. Elle gémissait à chaque convulsion. Tout
d'un coup, elle se retourna, me vit et attrapa son peignoir :
- "Que fais-tu là ? Tu n'as rien à faire dans cette aile du manoir !"
- "Excusez-moi madame, heu, je me suis perdu". Réponse idiote mais j’étais pris au
dépourvu.
- "Et en plus, tu te branles. Range-moi ta bite, petit pervers"
Mon cœur battait très fort.
Je ne me démontais pas et lui répondis
- "Et vous, vous vous godez comme une grosse salope dans les douches"
Un long silence s'en suivit ... D'un coup, elle lâcha son peignoir, se jeta sur moi,
et me mit une gifle magistrale.
Elle me dit avec véhémence : "Petit con, tu as intérêt à fermer ta gueule sur ce que
tu viens de voir... "
Je ne perdis pas mon sang froid, et lui fit des menaces.
Son regard devint alors pervers ... "Tu veux jouer à ça ? Si on passe un peu de bon
temps ensemble, promets-moi de ne rien dire. Tu ne le regretteras pas"
Je devins livide, ma bite dressée trahit mon irrésistible envie de la baiser.
"Allez petit puceau" dit-elle "Fais toi plaisir, profites en. Venges toi des sales
notes que je te mets en me défonçant pas tous les trous ... humilie moi ! Je te
laisserai faire tout ce que tu veux."
Je rêve !! Ma professeur me demande de la baiser !! Moi, un jeune puceau de sa classe.
Elle attrapa ma queue et commença à me branler en me regardant droit dans les yeux.
"T'aimes ça vicieux, c'est mieux que mes cours de latin, hein ?"
"Oh oui Madame ! Sucez-moi s'il vous plait"
Ni une ni deux, elle se mit à genou et commença à me sucer la bite vigoureusement.
Je commençai à me prendre au jeu. "Bien au fond des amidales, salope ..."
Elle s'empressa d'enfoncer mon gland au fond de sa gorge ce qui eut pour effet de la
faire énormément bavé. Elle avait un coup de langue magistral et visiblement, prenait
beaucoup de plaisir.
Je n'en pouvais plus ... je lui lâchai une bonne giclée de sperme au fond de sa gorge.
Elle s'étouffait et recracha mon sperme sur le carrelage de la douche.
"Mon salaud, t'aurais pu me prévenir" me dit-elle.
Un peu gêné, je m’excusai : "excusez-moi, madame, c'est ma première fois je n'ai pas
pu me retenir".
Elle étalait mon sperme sur ces énormes nichons. Elle était agenouillée devant moi, la
tête basse. Je jubilai. Elle m’excitait tellement que je ne débandai pas.
Je lui attrapai les cheveux pour lui redresser la tête.
"Tu vois, poufiasse, je bande encore" lui dis-je.
Christine ne réagit pas, je pouvais en faire ce que je voulais.
Je la plaquai sauvagement contre le carrelage de la douche et lui écarta les jambes.
Je mis le gland au bord de sa petite rondelle et emmancha violement mon sexe dans son
anus.
"Dis donc ma salope, tu t'es godée le trou du cul aussi !! Il est très accueillant"
Elle me répondit "Ta gueule, défonce moi l’anus, fais-moi mal".
J'accélérai mes va et vient dans son rectum, elle jouissait très fort.
Son sphincter était en sang. Malgré cela, elle jouissait de plus belle.
"Ca fait si longtemps !», répétait elle "merci mon petit puceau"
Dans un râle magistral, j’éjaculai une seconde fois au fond de ses entrailles.
Je me retirai de son petit trou. Son anus se vida de mon sperme ensanglanté.
Elle se releva et me dit :
- La prochaine fois, commence par me défoncer la chatte, avant de m’enculer !"
- Parce qu'il aura une prochaine fois ? lui dis-je.
- Tu crois peut être que je vous emmène en Italie pour votre culture ! Vous êtes tous
des ânes. Je viens ici que dans le but de me faire sauter par des jeunes étalons
italiens ... Maintenant que je tiens une belle bite, je ne vais pas la lâcher.
Elle rajouta, "Je te veux à mon entière disposition. En échange, tu n'auras pas à
t'inquiéter pour ton Bac. Je connais une ou deux queues bien placées qui ne peuvent
rien me refuser pour une petite pipe."
Elle prit son peignoir et quitta les douches.
Ce fut le début pour moi d'expériences sexuelles très étranges avec Christine, ma
salope de professeur de latin.
L'expérience suivante se déroula peu de temps après dans le train de nuit nous
ramenant sur Paris. Cela fera l'objet d'une prochaine histoire.
Cartouche.
je pense qu'il est grand temps de la partager. Il s'agit de ma première fois et quelle
première fois ! Une femme de 50 ans, ma professeur de latin.
Ce récit s’est déroulé dans les années 90’s. A cette époque, j'étais en terminal. Je
préparai un BAC S.
Il y avait une matière que je détestai, le latin. Et il y avait de quoi ! Ma
professeur, Christine T., femme divorcée, je ne pouvais pas la supporter, elle avait
l'art d'abaisser ses élèves et était très élitiste, bref une vraie peau de vache.
Ses atouts :
- une énorme paire de nichons, on la surnommait la vache laitière
- un cul rebondi magnifique, réclamant une belle fessée !
Elle n'était pas très grande et s’habillait très souvent en tailleur.
Elle portait des chemisiers, qui mettaient son énorme poitrine en valeur. Les boutons
avaient du mal à retenir ses énormes seins qui ne demandaient qu'à s'étaler sur le
bureau. Très souvent, un bouton de son chemisier n’était pas fermé et on devinait le
galbe d’un sein. Bien sûr, cette mise en scène avait pour effet d’exalter les hormones
des males de la salle de cours.
Certaines histoires, un peu salace, circulaient sur Christine. Elle aurait trouvé
quelques réconforts charnels, auprès du prêtre de l’église, suite à son difficile
divorce. A l’époque, ces histoires ne m’intéressaient pas, mais cadraient bien avec le
personnage que j’ai découvert plus tard.
Justement, rentrons dans le vif du sujet.
Tout a commencé lors de notre voyage de fin d'année en Italie à Florence. C'était un
voyage qui se voulait culturel. Autant vous dire que les journées paraissaient longues
et ennuyeuses.
Nous logions dans une grande villa florentine divisée en plusieurs ailes : une aile
pour les filles, une aile pour les garçons et une aile pour les professeurs.
Le grand jeu était d’essayer de rejoindre les filles sans se faire « choper » par les
professeurs. Nous étions plutôt bien organisés. Un guetteur était tiré au sort pour
surveiller les professeurs
Et ce soir-là, Je fus tiré au sort. Sur le coup, j’étais bien dégouté.
Je me dirigeai donc vers le dortoir des professeurs et restais en planque pendant un
petit moment.
Tous les professeurs étaient dans une salle, ils y regardaient la télé et n'avaient
pas l'air de vouloir bouger.
Je décida alors de me balader dans les étages. Je monta dans les étages et j'entendis
un bruit de douche et des petits gémissements. Je regarda dans la salle de bain et là
je fus pétrifié ! Ma professeur de latin, Christine, était en train de prendre une
douche et s'enfilait un gode énorme dans la chatte.
Elle ne m'avait pas encore vue. Je fus, dans un premier temps, choqué. Mais très vite,
la vision de ma professeur se donnant du plaisir m’excitait. Je sortis ma bite déjà
bien dure et commença à me branler vigoureusement. Je n’y croyais pas. Je me masturbai
devant ma professeur de latin. La scène était des plus cocasses.
Sa mouille glissait le long de ses cuisses. Elle gémissait à chaque convulsion. Tout
d'un coup, elle se retourna, me vit et attrapa son peignoir :
- "Que fais-tu là ? Tu n'as rien à faire dans cette aile du manoir !"
- "Excusez-moi madame, heu, je me suis perdu". Réponse idiote mais j’étais pris au
dépourvu.
- "Et en plus, tu te branles. Range-moi ta bite, petit pervers"
Mon cœur battait très fort.
Je ne me démontais pas et lui répondis
- "Et vous, vous vous godez comme une grosse salope dans les douches"
Un long silence s'en suivit ... D'un coup, elle lâcha son peignoir, se jeta sur moi,
et me mit une gifle magistrale.
Elle me dit avec véhémence : "Petit con, tu as intérêt à fermer ta gueule sur ce que
tu viens de voir... "
Je ne perdis pas mon sang froid, et lui fit des menaces.
Son regard devint alors pervers ... "Tu veux jouer à ça ? Si on passe un peu de bon
temps ensemble, promets-moi de ne rien dire. Tu ne le regretteras pas"
Je devins livide, ma bite dressée trahit mon irrésistible envie de la baiser.
"Allez petit puceau" dit-elle "Fais toi plaisir, profites en. Venges toi des sales
notes que je te mets en me défonçant pas tous les trous ... humilie moi ! Je te
laisserai faire tout ce que tu veux."
Je rêve !! Ma professeur me demande de la baiser !! Moi, un jeune puceau de sa classe.
Elle attrapa ma queue et commença à me branler en me regardant droit dans les yeux.
"T'aimes ça vicieux, c'est mieux que mes cours de latin, hein ?"
"Oh oui Madame ! Sucez-moi s'il vous plait"
Ni une ni deux, elle se mit à genou et commença à me sucer la bite vigoureusement.
Je commençai à me prendre au jeu. "Bien au fond des amidales, salope ..."
Elle s'empressa d'enfoncer mon gland au fond de sa gorge ce qui eut pour effet de la
faire énormément bavé. Elle avait un coup de langue magistral et visiblement, prenait
beaucoup de plaisir.
Je n'en pouvais plus ... je lui lâchai une bonne giclée de sperme au fond de sa gorge.
Elle s'étouffait et recracha mon sperme sur le carrelage de la douche.
"Mon salaud, t'aurais pu me prévenir" me dit-elle.
Un peu gêné, je m’excusai : "excusez-moi, madame, c'est ma première fois je n'ai pas
pu me retenir".
Elle étalait mon sperme sur ces énormes nichons. Elle était agenouillée devant moi, la
tête basse. Je jubilai. Elle m’excitait tellement que je ne débandai pas.
Je lui attrapai les cheveux pour lui redresser la tête.
"Tu vois, poufiasse, je bande encore" lui dis-je.
Christine ne réagit pas, je pouvais en faire ce que je voulais.
Je la plaquai sauvagement contre le carrelage de la douche et lui écarta les jambes.
Je mis le gland au bord de sa petite rondelle et emmancha violement mon sexe dans son
anus.
"Dis donc ma salope, tu t'es godée le trou du cul aussi !! Il est très accueillant"
Elle me répondit "Ta gueule, défonce moi l’anus, fais-moi mal".
J'accélérai mes va et vient dans son rectum, elle jouissait très fort.
Son sphincter était en sang. Malgré cela, elle jouissait de plus belle.
"Ca fait si longtemps !», répétait elle "merci mon petit puceau"
Dans un râle magistral, j’éjaculai une seconde fois au fond de ses entrailles.
Je me retirai de son petit trou. Son anus se vida de mon sperme ensanglanté.
Elle se releva et me dit :
- La prochaine fois, commence par me défoncer la chatte, avant de m’enculer !"
- Parce qu'il aura une prochaine fois ? lui dis-je.
- Tu crois peut être que je vous emmène en Italie pour votre culture ! Vous êtes tous
des ânes. Je viens ici que dans le but de me faire sauter par des jeunes étalons
italiens ... Maintenant que je tiens une belle bite, je ne vais pas la lâcher.
Elle rajouta, "Je te veux à mon entière disposition. En échange, tu n'auras pas à
t'inquiéter pour ton Bac. Je connais une ou deux queues bien placées qui ne peuvent
rien me refuser pour une petite pipe."
Elle prit son peignoir et quitta les douches.
Ce fut le début pour moi d'expériences sexuelles très étranges avec Christine, ma
salope de professeur de latin.
L'expérience suivante se déroula peu de temps après dans le train de nuit nous
ramenant sur Paris. Cela fera l'objet d'une prochaine histoire.
Cartouche.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire une suite stp
retiens toi pas cartouche donnes nous la suite
super. continue.