Ma professeur de Latin, Christine T. : Episode 2
Récit érotique écrit par Cartouche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma professeur de Latin, Christine T. : Episode 2
Retour de Florence : Le train de la perversion
Voici la suite de mes aventures sexuelles avec ma professeur de français Christine T. L’histoire que je vais vous raconter se déroule le lendemain de ma première relation sexuelle avec Christine et prend place dans le train de retour de notre « voyage culturel ».
Depuis les évènements de la nuit dernière, je faisais tout pour éviter Christine. Je ne pourrai jamais oublier cette nuit avec ma professeur. J'ai réalisé mon plus grand fantasme : "Baiser ma prof". Ce que je venais de vivre confirmait les rumeurs sur les pratiques sexuelles de Christine. Elle aurait eu des relations avec des collègues, un curé, le maire de la ville, le directeur du lycée ... mais jamais je n'ai entendu parler d'un lycéen. Etais-je le premier ?
Le matin au petit déjeuné, je ne pus éviter un regard fugace mais bien pervers de la part de Christine. Elle ne semblait pas déranger par ce qui s’était passé la veille et je sentais même un brin d’excitation dans son regard.
Pour tout dire, ses yeux sentaient le cul.
Notre train était dans la soirée, il s’agissait du train de nuit « Florence – Paris ».
Bien sûr, je ne pus éviter Christine toute la journée. Elle réussit à me coincer dans une ruelle de Florence. Elle me serra contre le mur et commença à me malaxer les couilles.
« Alors mon petit chérie, on cherche à éviter sa prof, ce n’est pas bien » dit-elle.
Elle ajouta : « J’ai une petite surprise pour toi cette nuit dans le train ;RDV à 1h00 voiture N°21 et vient sans tes puceaux de copains. »
Elle me lâcha et partit. J’étais complètement médusé…
D’un côté, j’étais excité par l’invitation et de l’autre complétement terrifié. Mais qu’est ce qui pouvait m’attendre dans cette voiture N°21 ?
Dans la soirée nous arrivâmes à la gare de Florence. Le train était à quai. Notre voiture se situait en tête de train, nous avons donc remonté tout le quai. Nous sommes passés devant la fameuse voiture n°21. Quelle surprise, la voiture était occupée par un régiment de militaires italiens. Je me retournai pour regarder Christine, elle me regarda fixement avec un sourire salasse et se léchait les babines. Ma professeur de latin est belle et bien une perverse.
Nous nous sommes installés dans nos compartiments couchette et le train se mit à rouler. Nous quittions Florence pour un voyage s’annonçant inoubliable.
A minuit, les professeurs nous ordonnèrent de nous coucher. Pas de trace de Christine depuis le départ du train, j’étais tout excité !
Il est presque 1h du matin, ça ronfle sévère dans le compartiment. Je quitte ma couchette et je sors dans le couloir. Pas un chat. Je remonte tout le train jusqu’à la fameuse voiture 21, la dernière du train.
Je me lance et rentre dans la voiture. L’ambiance est particulière. La porte est verrouillée par un militaire après mon passage. Je m’avance et m’installe en face de Christine. Ce n’est plus la même femme. Elle est habillée comme une prostituée de banlieue :
- Un débardeur noir avec un décolleté jusqu’au nombril.
- Une jupette noir « Ras la touffe ». Plus court n’est pas possible.
Ses seins sont libres, elle n’a pas de soutien-gorge. Elle écarte ses jambes. J’entraperçois un mini string semble-t-il ?
Je suis excité, je bande sévère et j’ai du mal à respirer.
Tous les males du wagon la matent, la viole du regard.
Christine me regarde et me dit fixement : « Profite bien du spectacle mon chérie. Tu peux te branler si tu veux mais garde ton sperme pour moi ».
Un militaire en face de Christine vient de sortir sa grosse queue et commence à se branler vigoureusement. Deux autres s’approchent d’elle et commence à la ploter.
Très vite ses deux énormes seins se retrouvent à l’air libre. Elle se fait mordiller les tétons.
Christine commence à émettre quelques petits cris de jouissance. Elle écarte violement ses jambes et un troisième militaire engouffre sa tête entre ses cuisses. Très rapidement son string est retiré. Le jeune homme peut ainsi à loisir faire glisser sa langue entre les lèvres de sa chatte en feu.
Des grossièretés italiennes commencent à fuser :
- Troia, succhia il mio cazzo (Salope, suce moi la bite)
- Sei una bella femmina, troia (Tu es une belle chienne, salope)
- Amate, lo distruggeremo la vostra vagina ed il vostro ano., puttana (On va te défoncer le vagin et l’anus, poufiasse)
- inghiottirai tutto il nostro sperma.( tu vas avaler tout notre sperme).
Christine n’était pas en reste et leur répondait :
- Oh sì, le mie piccole stallone, fatte io male!( Oh oui, mes petits étalons, faites-moi mal !)
- Voglio essere coperto del vostro sperma (Je veux être recouverte de votre sperme)
Christine est rapidement entourée par 5 grands gaillards.
Un militaire lui mange la bouche, deux autres lui mordent les tétons, un quatrième lui bouffe la chatte et un dernier, plus vicieux lui enfonce un doigt dans le trou du cul.
Ma professeur est en extase et mouille énormément.
Le militaire qui se branlait lui présenta sa bite énorme. Elle la goba d'un coup. On devinait son gland tapé le long de sa gorge, elle salivait énormément.
Ma queue était bien bandée. Je me branlai vigoureusement.
Cette scène dura un moment. Ils ont même réussi à lui mettre les 2 plus grosses bites dans la bouche !
Christine était à 4 pattes, la position idéale ... une bite arriva et s'enficha comme dans du beurre dans sa chatte. Le "rital" la bourinnait sévère. Tellement fort, qu'elle semblait avoir très mal ... Rapidement, elle se retrouva la tête au sol, ses orifices en l'air, offerte à une double pénétration qui ne tarda pas. Elle se faisait défoncer la chatte et le trou du cul brutalement. Maintenant, j'en suis sûr, elle pleure, crie de plaisir. Son trou du cul est dilaté et elle en demande encore. Les militaires lui crachent dessus en la traitant de salope. Elle est heureuse ! Elle sourit
Je crois bien que le régiment entier lui est passé dessus.
Après ces pénétrations "mitraillettes", ils se sont tous mis autour d'elle. Elle s'est pris des giclés de spermes sur la figure et dans la bouche. Ce fut un bukake inoubliable. Elle a avalé tout ce qu'elle a pu.
Aussitôt les couilles vidées, les militaires partirent. Christine était là, en face de moi, pleine de sperme. Elle se leva et me prit la main.
- Viens mon petit chéri, je vais te finir.
Nous quittons donc le compartiment et entrons dans les premières toilettes. Toutes ces affaires de rechange étaient là.
Je me suis assis sur la cuvette. Christine se mit accroupie devant moi et prit ma bite à pleine bouche. Elle me suça en alternant des va et vient rapide et lent. Elle était encore fraiche pour une femme s’étant faite défoncée par un régiment entier.
Sentant que j’étais sur le point de jouir, elle s’arrêta.
- Non pas tout de suite jeune homme …
Elle se retourna et empala brutalement son trou du cul, sur ma bite.
Elle émit un cri provenant du plus profond de ses entrailles.
Elle s’excita sauvagement sur mon pénis, elle se remit à saigner de l’anus comme la nuit dernière.
- Tu es une vraie salope. Lui dis-je
- Oui j’espère bien. Vas-y pète moi le cul.
Elle sorti ma bite de son cul comme une épée de son fourreau.
Elle se remit à me sucer. Ma bite était recouverte d’un mélange de sang et d’excréments.
Je ne mis pas longtemps à lui éjaculer dans la bouche
Elle resta comme cela un moment à me lécher le sexe.
Ensuite, elle se leva et me dit :
- C’était très bien mon chérie, j’espère que tu as apprécié le spectacle. La prochaine fois, tu pourras gouter à ma chatte.
Mon cul appartient à tout le monde, ma chatte, je la réserve à ceux qui me donnent vraiment du plaisir comme toi et ces militaires.
Je sortis des toilettes encore sous le choc de cette déclaration.
Je pense que je n’ai pas fini d’enculer ma professeur.
Que me réserve donc Christine ? J’appréhende, un peu, le retour au lycée.
Mais cela fera l’objet de la suite de mes aventures sexuelles avec Christine T. Ma professeur de Français / Latin.
Voici la suite de mes aventures sexuelles avec ma professeur de français Christine T. L’histoire que je vais vous raconter se déroule le lendemain de ma première relation sexuelle avec Christine et prend place dans le train de retour de notre « voyage culturel ».
Depuis les évènements de la nuit dernière, je faisais tout pour éviter Christine. Je ne pourrai jamais oublier cette nuit avec ma professeur. J'ai réalisé mon plus grand fantasme : "Baiser ma prof". Ce que je venais de vivre confirmait les rumeurs sur les pratiques sexuelles de Christine. Elle aurait eu des relations avec des collègues, un curé, le maire de la ville, le directeur du lycée ... mais jamais je n'ai entendu parler d'un lycéen. Etais-je le premier ?
Le matin au petit déjeuné, je ne pus éviter un regard fugace mais bien pervers de la part de Christine. Elle ne semblait pas déranger par ce qui s’était passé la veille et je sentais même un brin d’excitation dans son regard.
Pour tout dire, ses yeux sentaient le cul.
Notre train était dans la soirée, il s’agissait du train de nuit « Florence – Paris ».
Bien sûr, je ne pus éviter Christine toute la journée. Elle réussit à me coincer dans une ruelle de Florence. Elle me serra contre le mur et commença à me malaxer les couilles.
« Alors mon petit chérie, on cherche à éviter sa prof, ce n’est pas bien » dit-elle.
Elle ajouta : « J’ai une petite surprise pour toi cette nuit dans le train ;RDV à 1h00 voiture N°21 et vient sans tes puceaux de copains. »
Elle me lâcha et partit. J’étais complètement médusé…
D’un côté, j’étais excité par l’invitation et de l’autre complétement terrifié. Mais qu’est ce qui pouvait m’attendre dans cette voiture N°21 ?
Dans la soirée nous arrivâmes à la gare de Florence. Le train était à quai. Notre voiture se situait en tête de train, nous avons donc remonté tout le quai. Nous sommes passés devant la fameuse voiture n°21. Quelle surprise, la voiture était occupée par un régiment de militaires italiens. Je me retournai pour regarder Christine, elle me regarda fixement avec un sourire salasse et se léchait les babines. Ma professeur de latin est belle et bien une perverse.
Nous nous sommes installés dans nos compartiments couchette et le train se mit à rouler. Nous quittions Florence pour un voyage s’annonçant inoubliable.
A minuit, les professeurs nous ordonnèrent de nous coucher. Pas de trace de Christine depuis le départ du train, j’étais tout excité !
Il est presque 1h du matin, ça ronfle sévère dans le compartiment. Je quitte ma couchette et je sors dans le couloir. Pas un chat. Je remonte tout le train jusqu’à la fameuse voiture 21, la dernière du train.
Je me lance et rentre dans la voiture. L’ambiance est particulière. La porte est verrouillée par un militaire après mon passage. Je m’avance et m’installe en face de Christine. Ce n’est plus la même femme. Elle est habillée comme une prostituée de banlieue :
- Un débardeur noir avec un décolleté jusqu’au nombril.
- Une jupette noir « Ras la touffe ». Plus court n’est pas possible.
Ses seins sont libres, elle n’a pas de soutien-gorge. Elle écarte ses jambes. J’entraperçois un mini string semble-t-il ?
Je suis excité, je bande sévère et j’ai du mal à respirer.
Tous les males du wagon la matent, la viole du regard.
Christine me regarde et me dit fixement : « Profite bien du spectacle mon chérie. Tu peux te branler si tu veux mais garde ton sperme pour moi ».
Un militaire en face de Christine vient de sortir sa grosse queue et commence à se branler vigoureusement. Deux autres s’approchent d’elle et commence à la ploter.
Très vite ses deux énormes seins se retrouvent à l’air libre. Elle se fait mordiller les tétons.
Christine commence à émettre quelques petits cris de jouissance. Elle écarte violement ses jambes et un troisième militaire engouffre sa tête entre ses cuisses. Très rapidement son string est retiré. Le jeune homme peut ainsi à loisir faire glisser sa langue entre les lèvres de sa chatte en feu.
Des grossièretés italiennes commencent à fuser :
- Troia, succhia il mio cazzo (Salope, suce moi la bite)
- Sei una bella femmina, troia (Tu es une belle chienne, salope)
- Amate, lo distruggeremo la vostra vagina ed il vostro ano., puttana (On va te défoncer le vagin et l’anus, poufiasse)
- inghiottirai tutto il nostro sperma.( tu vas avaler tout notre sperme).
Christine n’était pas en reste et leur répondait :
- Oh sì, le mie piccole stallone, fatte io male!( Oh oui, mes petits étalons, faites-moi mal !)
- Voglio essere coperto del vostro sperma (Je veux être recouverte de votre sperme)
Christine est rapidement entourée par 5 grands gaillards.
Un militaire lui mange la bouche, deux autres lui mordent les tétons, un quatrième lui bouffe la chatte et un dernier, plus vicieux lui enfonce un doigt dans le trou du cul.
Ma professeur est en extase et mouille énormément.
Le militaire qui se branlait lui présenta sa bite énorme. Elle la goba d'un coup. On devinait son gland tapé le long de sa gorge, elle salivait énormément.
Ma queue était bien bandée. Je me branlai vigoureusement.
Cette scène dura un moment. Ils ont même réussi à lui mettre les 2 plus grosses bites dans la bouche !
Christine était à 4 pattes, la position idéale ... une bite arriva et s'enficha comme dans du beurre dans sa chatte. Le "rital" la bourinnait sévère. Tellement fort, qu'elle semblait avoir très mal ... Rapidement, elle se retrouva la tête au sol, ses orifices en l'air, offerte à une double pénétration qui ne tarda pas. Elle se faisait défoncer la chatte et le trou du cul brutalement. Maintenant, j'en suis sûr, elle pleure, crie de plaisir. Son trou du cul est dilaté et elle en demande encore. Les militaires lui crachent dessus en la traitant de salope. Elle est heureuse ! Elle sourit
Je crois bien que le régiment entier lui est passé dessus.
Après ces pénétrations "mitraillettes", ils se sont tous mis autour d'elle. Elle s'est pris des giclés de spermes sur la figure et dans la bouche. Ce fut un bukake inoubliable. Elle a avalé tout ce qu'elle a pu.
Aussitôt les couilles vidées, les militaires partirent. Christine était là, en face de moi, pleine de sperme. Elle se leva et me prit la main.
- Viens mon petit chéri, je vais te finir.
Nous quittons donc le compartiment et entrons dans les premières toilettes. Toutes ces affaires de rechange étaient là.
Je me suis assis sur la cuvette. Christine se mit accroupie devant moi et prit ma bite à pleine bouche. Elle me suça en alternant des va et vient rapide et lent. Elle était encore fraiche pour une femme s’étant faite défoncée par un régiment entier.
Sentant que j’étais sur le point de jouir, elle s’arrêta.
- Non pas tout de suite jeune homme …
Elle se retourna et empala brutalement son trou du cul, sur ma bite.
Elle émit un cri provenant du plus profond de ses entrailles.
Elle s’excita sauvagement sur mon pénis, elle se remit à saigner de l’anus comme la nuit dernière.
- Tu es une vraie salope. Lui dis-je
- Oui j’espère bien. Vas-y pète moi le cul.
Elle sorti ma bite de son cul comme une épée de son fourreau.
Elle se remit à me sucer. Ma bite était recouverte d’un mélange de sang et d’excréments.
Je ne mis pas longtemps à lui éjaculer dans la bouche
Elle resta comme cela un moment à me lécher le sexe.
Ensuite, elle se leva et me dit :
- C’était très bien mon chérie, j’espère que tu as apprécié le spectacle. La prochaine fois, tu pourras gouter à ma chatte.
Mon cul appartient à tout le monde, ma chatte, je la réserve à ceux qui me donnent vraiment du plaisir comme toi et ces militaires.
Je sortis des toilettes encore sous le choc de cette déclaration.
Je pense que je n’ai pas fini d’enculer ma professeur.
Que me réserve donc Christine ? J’appréhende, un peu, le retour au lycée.
Mais cela fera l’objet de la suite de mes aventures sexuelles avec Christine T. Ma professeur de Français / Latin.
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