Ma vraie première fois (suite de ma fausse première fois)
Récit érotique écrit par Anpi73 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2009 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma vraie première fois (suite de ma fausse première fois)
Je vous avais auparavant raconté mon aventure d’un soir avec Angélique, la belle blonde de ma classe. Je vais maintenant vous raconter ma véritable première fois.
La semaine qui suivit le fameux soir avec Angélique, j’essayai de lui parler, de prolonger l’expérience que nous avions eu tous les deux. J’étais frustré du fait qu’elle ne se souvienne plus de ce qui s’était passé. Je la désirais encore tellement… J’essayai de lui faire comprendre implicitement qu’elle m’avait sucé, tout de même ! Mais non, rien n’y fit, et je dû me résoudre à abandonner l’idée de coucher avec elle. Je me mis alors à la recherche d’une autre fille qui pourrait « faire l’affaire ».
Je sus que je l’avais trouvé après une petite discussion dans les couloirs du lycée avec Louisa, une fille du même âge que moi, et qui avait été dans ma classe les années précédentes. Elle m’a toujours beaucoup plu. Ce qui me plaisait surtout chez cette fille, c’est le fait qu’en public, elle soit toujours timide, un peu gênée, mais qu’en privé, elle se lâche, raconte sa vie, rigole, dit des conneries. Elle est très drôle au final. Elle venait alors de me dire qu’elle n’avait plus de petit ami. J’ai toujours su qu’elle m’aimait depuis que l’on se connaissait : elle semblait gênée quand j’étais près d’elle, et rougissait quand je lui faisais un sourire. Elle me demanda donc si je ne voulais pas sortir avec elle. Je lui répondis oui, bien sûr, et elle m’invita chez elle le prochain vendredi soir. Je savais à quoi m’attendre avec elle : elle n’était plus vierge, et avait la réputation d’être une vraie coquine au lit. Et je peux vous dire qu’on ne dirait pas en la voyant. Physiquement, elle était plutôt banale, mais tout de même très jolie. Elle avait un visage tout en longueur, avec de bonnes joues et des lèvres pulpeuses, et des cheveux châtains qui prenaient une teinte dorée au soleil et qui lui faisaient une frange. Ses beaux yeux bleus formaient légèrement un V à l’envers, ce qui lui donnait en permanence un air timide, gênée très mignon. Je ne pouvais vraiment pas l’imaginer être une vraie cochonne au lit qui adore baiser avec tout le monde. J’avais hâte de voir ça… Louisa était un peu plus petite que moi, avec un tour de taille moyen. Elle avait un joli petit cul, et surtout une superbe poitrine : ses seins étaient très gros et bien réguliers, juste magnifiques. C’était exceptionnel d’avoir d’aussi gros seins pour son tour de taille, sa corpulence. Ils pointaient vers l’avant, majestueux. Ils étaient tellement beaux à regarder. Sur ce point là au moins, Louisa surpassait Angélique. Angélique…Il fallait vraiment que j’arrête de penser à elle.
Vendredi soir, je me rendis donc chez elle. Je sonnai et Louisa m’ouvrit la porte, avec son petit sourire timide que j’aimais tant. Je la regardai : elle portait un jean et un petit débardeur rouge qui permettait d’admirer les courbes de sa poitrine. J’entrai dans la maison.
« Tes parents ne sont pas là ?
-Non, ils nous ont laissé la maison pour la nuit, répondit-elle, son sourire me faisant fondre sur place »
Je l’attrapai alors par la taille, et l’embrassai passionnément. Elle fut un peu surprise au début, puis elle s’abandonna à moi, sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. « Elle embrasse vraiment bien, pensais-je, ça commence bien. »
Elle mit fin à notre baiser, et m’entraîna au salon. Nous nous posâmes sur le canapé, et discutâmes pendant une bonne demi-heure. Elle me racontait ses mésaventures au lycée, sa vie en générale. Elle me fit beaucoup rire et je ne pouvais pas m’empêcher de temps en temps de l’embrasser délicatement. Puis nous restâmes enlacés sur le canapé pendant quelques minutes, sa tête reposant sur mon torse et moi lui caressant doucement les cheveux. Nous étions ensemble, nous étions heureux.
Ce fut elle qui m’invita à aller dans sa chambre, les yeux pétillants. Sa chambre n’était pas très grande, avec des posters et des photos pleins les murs et un grand lit deux places. Elle me poussa avec tendresse sur le lit, s’allongea sur moi et commença à m’embrasser. Je sentais qu’elle restait un peu réservée, un peu timide. Je décidai de détendre l’atmosphère. Tout en l’embrassant, je lui caressai le cul avec insistance. Nos respirations s’accélérèrent. Notre baiser était passionné, fougueux. Je sentais mon sexe grossir dans mon caleçon. Louisa se redressa alors et retira rapidement son haut. Ses gros seins magnifiques rebondirent dans un soutien-gorge noir très coquin. Je bandais encore un peu plus, l’admirant avec des yeux émerveillés. Elle me sourit, l’air toujours timide bien qu’elle soit en sous-vêtement sur son lit devant moi. Et c’est là qu’elle retira son soutien-gorge. Et je restai alors bouche bée devant ses superbes seins qui tombaient à peine sur son ventre plat. « Elle va directement à l’essentiel, pensais-je, stupéfait. » Ne me retenant plus, je plongeai la tête en avant pour lécher et peloter ses seins, mordiller ses tétons tout durs. Ma langue allait et venait sur le bout de ses seins, et Louisa gémissait, cambrée en avant. J’étais aux anges. Mais ce n’était rien comparé à ce qui allait arriver après.
Louisa, ses beaux yeux bleus me fixant intensément, me repoussa sur le dos, et me déshabilla. Je me laissais faire, trop heureux de ce qui était en train d’arriver. Elle enleva mon caleçon d’un coup sec, et se retrouva nez à nez avec ma bite tendue par le désir.
« Oh oui vas-y ma belle, vas-y … » murmurai-je.
Elle enfourna timidement ma bite dans sa bouche, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis la retira et s’approcha un peu plus de moi. Je me demandais ce qu’elle allait faire, quand je compris. Elle prit ses seins à deux mains, les écarta et plaça ma queue au milieu. Elle commença alors de lents va-et-vient avec ses seins, ma bite au milieu gonflant encore plus. Je laissai échapper un soupir : cela valait au moins la pipe qu’Angélique m’avait taillé il y avait une semaine. Louisa me faisait une branlette espagnole ! Je n’en croyais pas mes yeux : la petite Louisa, toujours timide, propre sur elle, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Les rumeurs étaient en effet justifiées ! Et elle avait l’air d’adorer ça en plus : elle regardait avec passion ma bite, maintenant trempée de liquide séminale, qu’elle branlait entre sa poitrine. Elle me regarda alors et, voyant mon expression de bonheur, me sourit. Mais ce n’était pas le même sourire que d’habitude : celui-ci était le sourire d’une vraie cochonne qui prenait son pied à me donner du plaisir. Cela m’excita énormément, venant de cette fille d’habitude toujours réservée et gênée. Louisa accéléra alors le mouvement. Ses superbes seins frottaient de plus en plus rapidement contre mon gros gland pourpre gonflé à son maximum, et je sentis que j’allais éjaculer. Je ne voulais pas que ça finisse comme la dernière fois, avec Angélique. Je retirai donc ma bite, essoufflé et étourdi par le plaisir que je ressentais, pour la laisser se reposer quelques instants. Louisa, qui avait compris, s’approcha de moi et m’embrassa longuement.
« Tu as apprécié ? me demanda-t-elle, son sourire de cochonne toujours sur le visage.
-Oui, c’était incroyable… »murmurai-je
Elle retira alors son jean, révélant son string noir, qu’elle retira précipitamment. Son sexe était trempé de mouille. Elle s’allongea sur le dos, écarta les jambes et me murmura d’une voix sulfureuse, ses yeux brûlant me regardant :
« Alors baise moi maintenant. »
Ce n’était vraiment plus la même Louisa que je connaissais auparavant. Je n’arrivais pas à y croire. Même Angélique, qui était pourtant une vraie bombe sexuelle et qui avait plus d’expérience, n’avait pas été aussi chaude que ça durant nos ébats précédents. Louisa me regardait avec ses yeux de braise, écartant les jambes l’air de dire : « Vas-y baise moi, je t’attends. » Ce qu’elle venait de dire d’ailleurs. Et ce n’était pas la peine de me le dire deux fois. Je me redressai et positionnai ma bite à l’entrée de son sexe, mon gland touchant sa vulve. Je poussai alors doucement avec ma queue, la faisant entrer lentement dans son vagin. Louisa gémit de plaisir, fermant les yeux. Lorsque ma bite fut rentrée à fond dans sa chatte, je commençai à faire des va-et-vient, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Louisa, elle, se caressait les seins en se cambrant. J’y allais à présent à fond, mes couilles frappant contre le bas de sa vulve. Louisa gémissait de plus en plus fort et ses gros seins remuaient et tressautaient violemment avec mes coups de bite. Ce fut extraordinaire comme sensation de pénétrer Louisa. Ses gémissements qui devenaient à présent des cris de plaisir m’excitaient encore plus. Je la baisais comme un fou, donnant de violents coups de hanche. Le plaisir montait rapidement, je sentais que j’approchais de l’orgasme. Louisa eut un tremblement et hurla de plaisir en jouissant. Je retirais alors rapidement ma bite de son sexe et la pointait vers les seins de Louisa, encore tremblante, tout en me branlant rapidement. Ma jouissance fut incroyable : le plaisir explosa en moi et je déchargeai ma semence sur Louisa en cinq longues giclées. Le sperme encore chaud alla éclabousser ses seins de rêve, laissant de longues traînées. Louisa, encore sonnée par son orgasme prodigieux, ramassa le sperme sur ses doigts et le lécha avidement, me regardant fixement. Elle n’en laissa pas une goutte, et se fit ensuite le devoir d’astiquer ma bite pour la nettoyer de toute trace de semence. Je la regardais faire, le souffle court, épuisé par notre baise. Je m’allongeais ensuite, la bite encore toute chaude, et Louisa vint m’embrasser passionnément. Je dormit chez elle, cette nuit là, d’un sommeil paisible et heureux. Je n’étais plus puceau, et venait de coucher avec une fille que j’avais toujours aimé, et qui s’était révélée tout simplement incroyable au lit : je ne pouvais qu’être heureux. Je passai ensuite la journée suivante avec elle. Nous baisâmes encore plusieurs fois par la suite, mais cette belle histoire d’amour ne pouvait continuer indéfiniment… To be continued.
La semaine qui suivit le fameux soir avec Angélique, j’essayai de lui parler, de prolonger l’expérience que nous avions eu tous les deux. J’étais frustré du fait qu’elle ne se souvienne plus de ce qui s’était passé. Je la désirais encore tellement… J’essayai de lui faire comprendre implicitement qu’elle m’avait sucé, tout de même ! Mais non, rien n’y fit, et je dû me résoudre à abandonner l’idée de coucher avec elle. Je me mis alors à la recherche d’une autre fille qui pourrait « faire l’affaire ».
Je sus que je l’avais trouvé après une petite discussion dans les couloirs du lycée avec Louisa, une fille du même âge que moi, et qui avait été dans ma classe les années précédentes. Elle m’a toujours beaucoup plu. Ce qui me plaisait surtout chez cette fille, c’est le fait qu’en public, elle soit toujours timide, un peu gênée, mais qu’en privé, elle se lâche, raconte sa vie, rigole, dit des conneries. Elle est très drôle au final. Elle venait alors de me dire qu’elle n’avait plus de petit ami. J’ai toujours su qu’elle m’aimait depuis que l’on se connaissait : elle semblait gênée quand j’étais près d’elle, et rougissait quand je lui faisais un sourire. Elle me demanda donc si je ne voulais pas sortir avec elle. Je lui répondis oui, bien sûr, et elle m’invita chez elle le prochain vendredi soir. Je savais à quoi m’attendre avec elle : elle n’était plus vierge, et avait la réputation d’être une vraie coquine au lit. Et je peux vous dire qu’on ne dirait pas en la voyant. Physiquement, elle était plutôt banale, mais tout de même très jolie. Elle avait un visage tout en longueur, avec de bonnes joues et des lèvres pulpeuses, et des cheveux châtains qui prenaient une teinte dorée au soleil et qui lui faisaient une frange. Ses beaux yeux bleus formaient légèrement un V à l’envers, ce qui lui donnait en permanence un air timide, gênée très mignon. Je ne pouvais vraiment pas l’imaginer être une vraie cochonne au lit qui adore baiser avec tout le monde. J’avais hâte de voir ça… Louisa était un peu plus petite que moi, avec un tour de taille moyen. Elle avait un joli petit cul, et surtout une superbe poitrine : ses seins étaient très gros et bien réguliers, juste magnifiques. C’était exceptionnel d’avoir d’aussi gros seins pour son tour de taille, sa corpulence. Ils pointaient vers l’avant, majestueux. Ils étaient tellement beaux à regarder. Sur ce point là au moins, Louisa surpassait Angélique. Angélique…Il fallait vraiment que j’arrête de penser à elle.
Vendredi soir, je me rendis donc chez elle. Je sonnai et Louisa m’ouvrit la porte, avec son petit sourire timide que j’aimais tant. Je la regardai : elle portait un jean et un petit débardeur rouge qui permettait d’admirer les courbes de sa poitrine. J’entrai dans la maison.
« Tes parents ne sont pas là ?
-Non, ils nous ont laissé la maison pour la nuit, répondit-elle, son sourire me faisant fondre sur place »
Je l’attrapai alors par la taille, et l’embrassai passionnément. Elle fut un peu surprise au début, puis elle s’abandonna à moi, sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. « Elle embrasse vraiment bien, pensais-je, ça commence bien. »
Elle mit fin à notre baiser, et m’entraîna au salon. Nous nous posâmes sur le canapé, et discutâmes pendant une bonne demi-heure. Elle me racontait ses mésaventures au lycée, sa vie en générale. Elle me fit beaucoup rire et je ne pouvais pas m’empêcher de temps en temps de l’embrasser délicatement. Puis nous restâmes enlacés sur le canapé pendant quelques minutes, sa tête reposant sur mon torse et moi lui caressant doucement les cheveux. Nous étions ensemble, nous étions heureux.
Ce fut elle qui m’invita à aller dans sa chambre, les yeux pétillants. Sa chambre n’était pas très grande, avec des posters et des photos pleins les murs et un grand lit deux places. Elle me poussa avec tendresse sur le lit, s’allongea sur moi et commença à m’embrasser. Je sentais qu’elle restait un peu réservée, un peu timide. Je décidai de détendre l’atmosphère. Tout en l’embrassant, je lui caressai le cul avec insistance. Nos respirations s’accélérèrent. Notre baiser était passionné, fougueux. Je sentais mon sexe grossir dans mon caleçon. Louisa se redressa alors et retira rapidement son haut. Ses gros seins magnifiques rebondirent dans un soutien-gorge noir très coquin. Je bandais encore un peu plus, l’admirant avec des yeux émerveillés. Elle me sourit, l’air toujours timide bien qu’elle soit en sous-vêtement sur son lit devant moi. Et c’est là qu’elle retira son soutien-gorge. Et je restai alors bouche bée devant ses superbes seins qui tombaient à peine sur son ventre plat. « Elle va directement à l’essentiel, pensais-je, stupéfait. » Ne me retenant plus, je plongeai la tête en avant pour lécher et peloter ses seins, mordiller ses tétons tout durs. Ma langue allait et venait sur le bout de ses seins, et Louisa gémissait, cambrée en avant. J’étais aux anges. Mais ce n’était rien comparé à ce qui allait arriver après.
Louisa, ses beaux yeux bleus me fixant intensément, me repoussa sur le dos, et me déshabilla. Je me laissais faire, trop heureux de ce qui était en train d’arriver. Elle enleva mon caleçon d’un coup sec, et se retrouva nez à nez avec ma bite tendue par le désir.
« Oh oui vas-y ma belle, vas-y … » murmurai-je.
Elle enfourna timidement ma bite dans sa bouche, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis la retira et s’approcha un peu plus de moi. Je me demandais ce qu’elle allait faire, quand je compris. Elle prit ses seins à deux mains, les écarta et plaça ma queue au milieu. Elle commença alors de lents va-et-vient avec ses seins, ma bite au milieu gonflant encore plus. Je laissai échapper un soupir : cela valait au moins la pipe qu’Angélique m’avait taillé il y avait une semaine. Louisa me faisait une branlette espagnole ! Je n’en croyais pas mes yeux : la petite Louisa, toujours timide, propre sur elle, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Les rumeurs étaient en effet justifiées ! Et elle avait l’air d’adorer ça en plus : elle regardait avec passion ma bite, maintenant trempée de liquide séminale, qu’elle branlait entre sa poitrine. Elle me regarda alors et, voyant mon expression de bonheur, me sourit. Mais ce n’était pas le même sourire que d’habitude : celui-ci était le sourire d’une vraie cochonne qui prenait son pied à me donner du plaisir. Cela m’excita énormément, venant de cette fille d’habitude toujours réservée et gênée. Louisa accéléra alors le mouvement. Ses superbes seins frottaient de plus en plus rapidement contre mon gros gland pourpre gonflé à son maximum, et je sentis que j’allais éjaculer. Je ne voulais pas que ça finisse comme la dernière fois, avec Angélique. Je retirai donc ma bite, essoufflé et étourdi par le plaisir que je ressentais, pour la laisser se reposer quelques instants. Louisa, qui avait compris, s’approcha de moi et m’embrassa longuement.
« Tu as apprécié ? me demanda-t-elle, son sourire de cochonne toujours sur le visage.
-Oui, c’était incroyable… »murmurai-je
Elle retira alors son jean, révélant son string noir, qu’elle retira précipitamment. Son sexe était trempé de mouille. Elle s’allongea sur le dos, écarta les jambes et me murmura d’une voix sulfureuse, ses yeux brûlant me regardant :
« Alors baise moi maintenant. »
Ce n’était vraiment plus la même Louisa que je connaissais auparavant. Je n’arrivais pas à y croire. Même Angélique, qui était pourtant une vraie bombe sexuelle et qui avait plus d’expérience, n’avait pas été aussi chaude que ça durant nos ébats précédents. Louisa me regardait avec ses yeux de braise, écartant les jambes l’air de dire : « Vas-y baise moi, je t’attends. » Ce qu’elle venait de dire d’ailleurs. Et ce n’était pas la peine de me le dire deux fois. Je me redressai et positionnai ma bite à l’entrée de son sexe, mon gland touchant sa vulve. Je poussai alors doucement avec ma queue, la faisant entrer lentement dans son vagin. Louisa gémit de plaisir, fermant les yeux. Lorsque ma bite fut rentrée à fond dans sa chatte, je commençai à faire des va-et-vient, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Louisa, elle, se caressait les seins en se cambrant. J’y allais à présent à fond, mes couilles frappant contre le bas de sa vulve. Louisa gémissait de plus en plus fort et ses gros seins remuaient et tressautaient violemment avec mes coups de bite. Ce fut extraordinaire comme sensation de pénétrer Louisa. Ses gémissements qui devenaient à présent des cris de plaisir m’excitaient encore plus. Je la baisais comme un fou, donnant de violents coups de hanche. Le plaisir montait rapidement, je sentais que j’approchais de l’orgasme. Louisa eut un tremblement et hurla de plaisir en jouissant. Je retirais alors rapidement ma bite de son sexe et la pointait vers les seins de Louisa, encore tremblante, tout en me branlant rapidement. Ma jouissance fut incroyable : le plaisir explosa en moi et je déchargeai ma semence sur Louisa en cinq longues giclées. Le sperme encore chaud alla éclabousser ses seins de rêve, laissant de longues traînées. Louisa, encore sonnée par son orgasme prodigieux, ramassa le sperme sur ses doigts et le lécha avidement, me regardant fixement. Elle n’en laissa pas une goutte, et se fit ensuite le devoir d’astiquer ma bite pour la nettoyer de toute trace de semence. Je la regardais faire, le souffle court, épuisé par notre baise. Je m’allongeais ensuite, la bite encore toute chaude, et Louisa vint m’embrasser passionnément. Je dormit chez elle, cette nuit là, d’un sommeil paisible et heureux. Je n’étais plus puceau, et venait de coucher avec une fille que j’avais toujours aimé, et qui s’était révélée tout simplement incroyable au lit : je ne pouvais qu’être heureux. Je passai ensuite la journée suivante avec elle. Nous baisâmes encore plusieurs fois par la suite, mais cette belle histoire d’amour ne pouvait continuer indéfiniment… To be continued.
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