Un rendez-vous à l'hopital très chaud (6)

- Par l'auteur HDS Anpi73 -
Récit érotique écrit par Anpi73 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un rendez-vous à l'hopital très chaud (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un rendez-vous à l'hopital très chaud (6)
Je vous avais précédemment raconté ma baise avec Mylène, une shemale sulfureuse et chaude comme la braise, qui m’avait fait jouir comme personne ne l’avait fait auparavant. Je vais maintenant vous parler d’une expérience un peu particulière elle aussi. J’étais donc à Paris pour mes études, et je m’étais blessé à la jambe droite lors d’une chute en roller dans un skatepark. J’avais eu une élongation musculaire à la cuisse, et j’ai donc pris des séances de rééducation à l’hôpital, étant resté avec une attelle pendant plusieurs semaines. Je suis donc allé à l’hôpital le samedi, m’aidant encore pour marcher d’une béquille. Je me présentai donc à l’accueil, et on me dirigea dans une petite salle juste dotée d’une chaise longue médicale en position horizontale, me disant que mon kiné n’allait pas tarder. J’attendais alors quelques minutes, puis ce dernier arriva. Et là, vision de rêve.
Mon kiné n’était pas un homme, comme je le pensais au début, mais une femme qui approchait la quarantaine, mais qui s’était très bien conservée. Elle avait des cheveux blond mi-longs relâchés, un très beau visage mature mais sans une ride, de jolis yeux bleus aux longs cils et de belles lèvres pulpeuses. Sa taille fine était enserrée dans une blouse d’infirmière une-pièce très serrée, qui descendait jusqu’au milieu des cuisses et formait une jupe, laissant voir ses longues jambes parfaitement épilées, et dont les premiers boutons étaient défaits, ce qui me permettais d’admirer sa magnifique poitrine, toute à l’étroite dans ce décolleté. Ses seins étaient vraiment très gros, plus encore que ceux de Louisa, formaient des courbes de rêve dans sa blouse blanche et paraissaient bien fermes. Sûrement des siliconés, pensais-je. J’essayais de cacher ma gêne manifeste d’être en présence d’une bombe pareille dans un endroit pareil, mais je ne pus m’empêcher de rougir en l’admirant. Elle entra dans la pièce, ferma la porte derrière elle et me lança un sourire poli :
« Bonjour, je m’appelle Jenny, c’est moi qui m’occuperait de toi pour ta rééducation.
-Bonjour, réussis-je à bégayer, essayant de baisser les yeux, ne sachant plus où regarder.
-Bon alors on va commencer. Tu vas d’abord te déshabiller et te mettre en caleçon. »
J’accusais le coup en silence, mais intérieurement je paniquais : j’étais en train de bander ! Devant cette beauté et ses gros seins de rêve, je ne pouvais pas m’en empêcher, c’était plus fort que moi. Pour empirer la situation, ma kiné se retourna pour regarder des documents, et me présenta alors son cul : il était parfait, bien bombé et rebondi, admirablement bien moulé dans sa blouse. Ma kiné se tenait bien droite, légèrement cambrée comme il se devait pour une femme de son âge, et cela accentuait encore plus la beauté de son cul. Il formait de telles courbes que ma bite gonfla de plus belle. Devant mon inaction et mon silence, tétanisé que j’étais, elle se retourna et me regarda d’un air interrogateur, ses yeux bleu profonds me dévisageant. Je réussis à articuler :
« Je suis désolé mais j’ai besoin d’aller au toilettes. J’en ai pour deux minutes, merci. »

Je sortis donc précipitamment, et m’enfermais dans les toilettes les plus proches. Je sortis ma bite déjà toute dure de mon caleçon, et songeais tout d’abord à me branler ; j’en mourrais d’envie. Mais je me renonçais en me disant que sa mettrait du temps, et pour le faire et pour débander après. Je me concentrais donc pour mettre fin à mon érection. Tout de même, c’était impressionnant pour une femme de son âge d’être aussi sexy et désirable que ça, d’être encore aussi bien conservée. Je luttais pour ne pas repenser à sa superbe poitrine, probablement la plus bandante qui m’ait été donnée de voir, et retournai dans la salle, respirant profondément et me concentrant pour ne pas rebander. Elle m’attendait et me demanda, un sourcil levé :
« On y va ? »
J’acquiesçai timidement et me retrouvai alors en caleçon devant elle. Je ne bandais plus, et je faisais tout pour ne pas regarder ma kiné. Elle me fit signe de m’allonger, et je me mis donc sur le dos sur la chaise longue. Elle s’avança alors et commença à me masser la cuisse droite de ses deux mains ; elles étaient si douces… Je me crispai un peu et regardai cette magnifique femme mature, penchée en avant, ses superbes gros seins formant deux belles boules dont je voyais la belle couleur ambrée à travers son décolleté, ses mains douces et sensuelles me caressant, ou plutôt me massant la cuisse, si près de mon entrejambe… Et bien sûr, comme il fallait s’y attendre, je ne pus m’empêcher de bander.

Ma bite commença à gonfler dans mon caleçon, formant une bosse de plus en plus grosse. Je rougis furieusement, espérant naïvement que ma kiné ne s’en apercevrait pas. Mais celle-ci y jeta un coup d’œil, et cependant continua son massage comme si de rien n’était. Mais ma bite continuait toujours de durcir, tandis que je ne pouvais détacher mon regard de Jenny, ses beaux cheveux blond tombant sur ses épaules, ses lèvres pulpeuses luisantes presque rouges, sa taille délicate penchée en avant, moulé dans sa blouse blanche… Elle incarnait à la perfection le fantasme de l’infirmière sexy. Mon sexe formait maintenant une grosse bosse dans mon caleçon et commençait à se lever, me faisant mal, à l’étroit qu’il était. La belle Jenny continua de me masser la cuisse en ignorant mon érection grandissante quelques temps, puis soudain elle s’arrêta et me fixa longuement de ses beaux yeux bleus, après avoir jeté un coup d’œil à mon entrejambe.
« Je suis désolé, bégayais-je, je…c’est plus fort que moi, c’est à cause de vous, enfin c’est vous qui… »
Ma kiné posa son index sur ses lèvres, et sa main droite, toujours posée sur ma cuisse, remonta pour finir sur la bosse dans mon caleçon. Elle la laissa là, ses doigts épousant la forme de ma queue et de mes couilles, me dévisageant avec intensité. Je frémis de plaisir, sentant la douce chaleur de sa main à travers le tissu, et ma bite se tendit rapidement tel un piquet. En me fixant toujours, Jenny enleva doucement mon caleçon et libéra enfin mon sexe gonflé par le désir. Je fermais les yeux, retenant mon souffle et ne croyant pas ce qui m’arrivait. Jenny attrapa alors ma bite tendue et commença à la branler délicatement, décalottant mon gland trempé de liquide séminal, ne disant toujours pas un mot. Sa main douce glissait le long de mon tronc et caressait avec sensualité mon gland pourpre, tandis que son autre main déboutonnait les boutons supérieurs de sa blouse. Je pus alors admirer ses gros seins parfaits dans un soutien-gorge noir glamour, dessinant des courbes affolantes dans son haut. Ma kiné continuait de me branler avec expertise et expérience. Je soupirais de plaisir : c’est sur, elle connaissait son affaire. Elle continua de me masturber pendant plusieurs minutes avec passion, tout en me regardant avec amusement : je rougissais de plaisir, haletant et gémissant régulièrement tandis que cette superbe femme de plus de 20 ans mon ainée me prenait en main, au sens propre. J’avais vraiment de la chance au niveau du sexe : d’abord Mylène il y avait quelques temps, puis maintenant cette bombe sexuelle blonde à la poitrine de rêve qui me branlait à l’hôpital ! Tout en faisant de lents va-et-vient de sa main droite sur ma bite toute dure, ma kiné se caressait ses gros seins toujours enveloppés dans ses sous-vêtements et faisait aller et venir sa main sur sa taille et son beau cul bombé moulé dans sa blouse sexy d’infirmière, maintenant à moitié déboutonnée. Le plaisir était intense et étourdissant, le bonheur parfait.

C’est alors que Jenny parla pour la première fois depuis qu’elle avait commencé sa branlette torride :
« Alors tu aimes ça mon beau ? me demanda-t-elle d’un ton sulfureux, un petit sourire aguicheur sur ses lèvres luisantes, ses yeux bleu pétillants me fixant. J’ai toujours aimé les belles bites de jeunes… Elles sont vigoureuses, appétissantes… Maintenant je vais m’empaler sur ton manche pour te montrer comment baise une femme d’expérience, chéri. »
Sur ce, elle grimpa sur la chaise longue et se mit à genou devant moi, m’encadrant au niveau des hanches. Elle écarta les jambes, sa blouse se tendant et moulant ses belles hanches, et amena une main à son entrejambe. Je ne vis pas ce qu’elle fit, mais devinait qu’elle décalait son string et préparait sa chatte pour la pénétration. J’allais la baiser toute habillée, voilà qui était excitant… Elle se cambra alors en avant et commença à descendre, de sorte que ma bite disparaisse sous la blouse jusqu’à entrer en contact avec sa chatte trempée et chaude. Se tenant avec une main en arrière sur la chaise, Jenny se cambrait tout en se massant et se léchant sa poitrine gonflée au delà de tout les fantasmes, et me dit avec agressivité :
« Vas-y baise moi chéri ! Enfonce ta belle et jeune bite dans ma chatte de salope ! »
Et elle se baissa alors pour s’empaler complètement sur ma queue tendue. Je gémis de plaisir en sentant mon sexe la pénétrer profondément, bien au chaud dans sa chatte. Ma kiné commença ensuite à monter et descendre ses hanches de sorte que je puisse la baiser sans faire le moindre mouvement. Elle accéléra rapidement le rythme, ses gros seins tressautant dans son soutien-gorge au fil de ses mouvements, tout en poussant de petits cris quand ma bite arrivait au fond de sa chatte ; elle ne hurlait pas, on était dans un hôpital tout de même. Le plaisir était immense, mon gros gland frottant contre les parois humides de son sexe, tandis que j’admirai ma partenaire : fortement cambrée ses seins parfaits en avant, les courbes de rêve de sa taille et de ses hanches moulées par sa blouse d’infirmière tendue, son beau visage mature rougi sous l’effort et le désir. Notre baise intense continua durant plusieurs minutes, durant lesquelles ma bite était terriblement excitée par la chatte de Jenny, que je n’avais même pas vue d’ailleurs, et durant lesquelles je m’agrippais à ses belles hanches, caressant par la même occasion son superbe cul bien ferme. Le plaisir approchait maintenant de l’orgasme, et je me crispais un peu, sentant que ça allait venir. Jenny, les yeux mi-clos, se massant les seins, le sentis, et elle se leva avec un petit sourire charmeur et amusé pour enlever ma queue de sa chatte. Je respirais bruyamment, mon sexe gonflé et durci à son maximum, au bord de l’explosion. Ma kiné sulfureuse s’allongea au bout de la chaise longue et, se passant la langue sur ses lèvres, prit ma bite à pleine main et commença à la branler à toute vitesse pour finir le travail. Je ne tenu pas 10 secondes, et dans un long soupir, j’éjaculais puissamment. Le plaisir me submergea, tandis que ma bite, tenue bien droite par Jenny, lâchait de longues trainées de foutre qui montaient à la verticale bien haut, à plus d’un mètre. Les cinq ou six giclées retombèrent ensuite sur ma queue et mon bas-ventre, formant de grosses taches blanchâtres. Jenny émit un long gémissement et, tout en continuant à me branler doucement, lécha le sperme sur mon ventre. Je lâchai un autre soupir de plaisir : sentir cette belle langue humide passer sur mon corps pour y récolter ma semence était incroyablement bon. Ma kiné avala le tout avec bonheur et me laissa me rhabiller. J’étais encore tout étourdi par ce qui venait de se passer. En sortant, Jenny me fit un clin d’œil provocateur tout en écartant sa blouse d’infirmière pour laisser admirer ses seins aux proportions sublimes. C’était probablement l’une des filles, ou plutôt l’une des femmes les plus chaudes que je n’avais jamais connu. Je sortis dans le couloir, ma bite commençant à dégonfler, pendant que la sulfureuse et mature Jenny reboutonnait sa blouse. Ce qui était sûr, c’est que j’allais adorer les séances de rééducations ! To be continued.

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