Madame Besson - Chapitre 7
Récit érotique écrit par Tayyip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Madame Besson - Chapitre 7
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Chapitre 7 Mme Besson« Il est important de savoir que j’appartiens aujourd'hui, comme un animal docile, à Mlle Fournier. C'est elle qui m'a dressée, soumise... et, elle est devenue ma maitresse, ma propriétaire… et ma « patronne »... puisqu'elle me fait maintenant travailler comme pute.
Il y a longtemps déjà, j'ai quitté l'enseignement et ma famille. Bien que ma vie d'avant et mon mari me manquent parfois, j’assume avec plaisir, au quotidien, ma soumission envers Mlle Fournier. Pour elle, je me charge des envies et besoins des hommes... boire leur foutre, offrir mon cul, ma bouche, mon sexe et les hommes ne se privent pas ! Je suis sa CHOSE, sa prise en main est totale, ferme, sans aucune concession. Je lui suis d'une obéissance absolue. En cas de manquement de ma part, les punitions sont très sévères. Mais au fil des jours, je me suis habituée à lui obéir. Elle est d’une habileté infernale à faire vivre et vibrer mon sexe, mes seins, à faire vivre tout mon corps. La découverte de ses sensations, la découverte de ces bonheurs est divine et pour, je lui suis devenue définitivement dévouée. J'accepte que ma maitresse, me prête à d'autres pour des stages de dressage, de soumission, d’humiliations qui font de moi une véritable salope apprivoisée. Mlle Fournier m'exhibe toujours en femme soumise, tenue en laisse, je suis une pute offerte par Mlle Fournier à qui me veut. Souvent nue, sur les parkings de routiers d’autoroute, en voiture, dans les toilettes pour hommes, dans les restaurants, dans les boutiques, sur les trottoirs, je reçois la fessée au bord des routes ou le fouet en public ! Mais ces exhibitions, où je dois mettre en avant, sagement, au claquement de doigt de ma maitresse, j’accours comme une véritable chienne servile, mes fesses et mon sexe nu épilé, ne sont en fait, que les préludes à l'acte de dévotion ultime, m'offrir, pour elle, sans discussion, à des inconnus ! Me faire prendre. Une longue et jouissive déchéance, dans laquelle je me vautre maintenant chaque jour. Je lui suis d’une obéissante totale, sans condition, Mlle fournier, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité d’accepter ma propre dépravation. J’étais désormais capable de m’assumer, d’assumer ce que je suis. Une salope, une pute, ce qu’on voudra, peu importe, les insultes ne me touchent plus, puisque je les mérite toutes… » Comme chaque matin, le rituel de l'inspection, avant de partir travailler, Mme Besson se présente à Mlle Fournier, maquillée, fond de teint, avec des yeux au mascara très noir et un rouge à lèvres écarlate qui sert l'animal qu’elle est à se sentir encore plus salope, encore plus pute, comme Mlle Fournier aime qu’elle soit !
Face à elle, nue, à genoux, Mme Besson écarte largement les lèvres de son sexe pour bien lui montrer son obéissance et sa volonté d'être disponible.
— Alors, petite pute, tu m’as obéi ?
— Oui Mlle Fournier, je me suis habillée comme vous me l’avez ordonnée, — Dis-le-moi. Je veux être sûr que tu as bien compris.
— Oui Mlle Fournier, j’ai mis le collier de chien pour que vous puissiez m’attacher.
— Alors fais-le.
Mme Besson prit la laisse et l’attache au mousqueton du collier et présente la poignée à Léa.
— Continue animal.
— J’ai mis un chemisier transparent, avec mes nichons à l’air. Ma chatte est immédiatement disponible. Et j’ai mis mes talons.
— J’ai aussi le cul à l’air Mlle Fournier, — Montre !
Et Mme Besson soulève sa jupe si courte, tellement courte qu’en un seul regard on peut furtivement voir sa chatte lisse. Elle montre son sexe nu bien rasé et ses fesses immédiatement accessibles. La robe encore remontée, on pouvait maintenant découvrir sa chatte luisante, bien bombé, un bel abricot prêt à être cueilli, croqué et pénétré. Les lèvres avaient tendance à rentrer vers l’intérieur et donnaient du volume à sa petite chatte juteuse.
Nous sommes au début de l’automne. En cette fin de matinée la chaleur est agréable, sans être écrasante. Vitres ouvertes Léa emmène Mme Besson, jupe relevée, cuisses écartées, dépoitraillée vers un nouveau lieu de travail. Le trajet dont elle ignorait la destination les mena en bordure de ville dans une zone industrielle. La seule chose que Mme Besson imagine bien, c’est que le but du trajet... la faire baiser.
Depuis longtemps, Mme Besson sait que Léa veut et va la mettre dans un hôtel de passe pour une quinzaine, une sorte d’initiation avant sa mise en abattage pour être baisée à la chaine.
En arrivant Léa crochète le mousqueton de la laisse et sort Mme Besson de la voiture. Elle découvre une sorte de bâtiment où tout le monde va et vient librement. Un endroit glauque, pratiquement à l'abandon. Le sol et les murs sont sales. Le gérant, un gros type, la cinquantaine mal rasé la dévisage puis l’examine sous toutes les coutures. Léa semble bien le connaître.
— Alors comment trouves-tu ma pétasse, tu verras, c’est une bonne mangeuse de couilles !
Lui demande Léa, — Elle est pas mal... répond le gérant. Elle a une belle gueule et des bons seins, j’aime bien ! Elle est bien roulée, ça va, elle va faire bander ! Elle devrait faire l'affaire… — Tourne toi salope ! Fait voir la marchandise que je mate ton cul, ordonne-t-il !
— Oui monsieur, répond doucement Mme Besson en se tournant, — Relève ta jupe pouffiasse ! C’est ton cul que je veux voir !
— Elle remonte le bas de sa jupe à hauteur de sa taille dévoilant ses fesses nues encadrées par le porte-jarretelle, il reluque les fesses rebondies .
— Quel cul elle a, il va y avoir des amateurs !
— Tu as un superbe cul, de belles fesses rebondies, certainement très agréables à faire rougir… J’espère que t'es une bonne et que tu sais t’en servir !
— Montre ta chatte aussi petite salope, s'exclame le gérant.
— Mme Besson se retourne pour laisser voir son sexe luisant.
— Tes nibards maintenant, montre tes seins de salope, Debout devant le gérant, elle baisse son haut, découvrant ses seins joliment incurvés, les aréoles bien dessinées, les bouts dressés. Ils se soulèvent au rythme de sa respiration.
Léa qui aime voir sa soumise aussi docile, s’approche d’elle et lui caresse doucement les fesses, elle sent sa pute frémir sous sa main, la main remonte sur les seins, les caresse de la paume, Mme Besson halète.
Le gérant en profite aussi, pour glisser le bout de son doigt entre ses lèvres déjà gonflées d’envie et rencontre le clitoris frémissant… la chatte tout entière appelle la caresse.
— Et elle travaille sans faire d'histoires ? Demande-t-il à Léa.
— Oui pas de problème... de toute façon, elle sait ce qui l'attend si elle n'est pas obéissante, lui répond Léa sur un ton menaçant en regardant Mme Besson.
— N'est-ce pas Besson, — Oui Mlle Fournier, Pour l'instant. Elle n'a qu'à attendre dans le hall d'entrée... comme cela tout le monde pourra la voir et prendre son tour,— Remets ta jupe correctement et reste debout près de l'entrée cuisses écartées, croise tes mains derrière la nuque pour mettre en valeur tes miches et montrer que tu es disponible.
Mme Besson va se placer à l'endroit indiqué, la croupe tendue vers l'arrière, en ondulant des hanches.
—Écarte davantage les jambes !
—Léa lui retire la laisse, lui cingle violemment le cul et lui ordonne fermement de faire son aguicheuse, sa belle salope !
— Au même instant elle entend le gérant murmurer, — Elle va se faire démonter... ils vont baver pour son cul, — J’espère bien, elle est là pour ça lui répond Léa.
Puis Mlle Fournier et le gérant passent dans une pièce voisine pour définir du tarif. Mme Besson est seule dans le hall d'entrée, l’oie blanche devine ce qui l'attend. Mme Besson ne verrait jamais l’argent, c’est Léa qui l’empocherait. Elle reste ainsi pendant une dizaine de minutes. Des hommes passent en la regardant. Elle leur souris gentiment. Ils savent qu’elle est une pute à disposition, on ne pouvait se tromper sur sa condition.
Léa revient et lui dit de monter s'installer dans la chambre 50 au cinquième étage… à poil, en talons avec laisse et collier et de garder la porte ouverte.
Je reviens avec tes clients,
Chapitre 7 Mme Besson« Il est important de savoir que j’appartiens aujourd'hui, comme un animal docile, à Mlle Fournier. C'est elle qui m'a dressée, soumise... et, elle est devenue ma maitresse, ma propriétaire… et ma « patronne »... puisqu'elle me fait maintenant travailler comme pute.
Il y a longtemps déjà, j'ai quitté l'enseignement et ma famille. Bien que ma vie d'avant et mon mari me manquent parfois, j’assume avec plaisir, au quotidien, ma soumission envers Mlle Fournier. Pour elle, je me charge des envies et besoins des hommes... boire leur foutre, offrir mon cul, ma bouche, mon sexe et les hommes ne se privent pas ! Je suis sa CHOSE, sa prise en main est totale, ferme, sans aucune concession. Je lui suis d'une obéissance absolue. En cas de manquement de ma part, les punitions sont très sévères. Mais au fil des jours, je me suis habituée à lui obéir. Elle est d’une habileté infernale à faire vivre et vibrer mon sexe, mes seins, à faire vivre tout mon corps. La découverte de ses sensations, la découverte de ces bonheurs est divine et pour, je lui suis devenue définitivement dévouée. J'accepte que ma maitresse, me prête à d'autres pour des stages de dressage, de soumission, d’humiliations qui font de moi une véritable salope apprivoisée. Mlle Fournier m'exhibe toujours en femme soumise, tenue en laisse, je suis une pute offerte par Mlle Fournier à qui me veut. Souvent nue, sur les parkings de routiers d’autoroute, en voiture, dans les toilettes pour hommes, dans les restaurants, dans les boutiques, sur les trottoirs, je reçois la fessée au bord des routes ou le fouet en public ! Mais ces exhibitions, où je dois mettre en avant, sagement, au claquement de doigt de ma maitresse, j’accours comme une véritable chienne servile, mes fesses et mon sexe nu épilé, ne sont en fait, que les préludes à l'acte de dévotion ultime, m'offrir, pour elle, sans discussion, à des inconnus ! Me faire prendre. Une longue et jouissive déchéance, dans laquelle je me vautre maintenant chaque jour. Je lui suis d’une obéissante totale, sans condition, Mlle fournier, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité d’accepter ma propre dépravation. J’étais désormais capable de m’assumer, d’assumer ce que je suis. Une salope, une pute, ce qu’on voudra, peu importe, les insultes ne me touchent plus, puisque je les mérite toutes… » Comme chaque matin, le rituel de l'inspection, avant de partir travailler, Mme Besson se présente à Mlle Fournier, maquillée, fond de teint, avec des yeux au mascara très noir et un rouge à lèvres écarlate qui sert l'animal qu’elle est à se sentir encore plus salope, encore plus pute, comme Mlle Fournier aime qu’elle soit !
Face à elle, nue, à genoux, Mme Besson écarte largement les lèvres de son sexe pour bien lui montrer son obéissance et sa volonté d'être disponible.
— Alors, petite pute, tu m’as obéi ?
— Oui Mlle Fournier, je me suis habillée comme vous me l’avez ordonnée, — Dis-le-moi. Je veux être sûr que tu as bien compris.
— Oui Mlle Fournier, j’ai mis le collier de chien pour que vous puissiez m’attacher.
— Alors fais-le.
Mme Besson prit la laisse et l’attache au mousqueton du collier et présente la poignée à Léa.
— Continue animal.
— J’ai mis un chemisier transparent, avec mes nichons à l’air. Ma chatte est immédiatement disponible. Et j’ai mis mes talons.
— J’ai aussi le cul à l’air Mlle Fournier, — Montre !
Et Mme Besson soulève sa jupe si courte, tellement courte qu’en un seul regard on peut furtivement voir sa chatte lisse. Elle montre son sexe nu bien rasé et ses fesses immédiatement accessibles. La robe encore remontée, on pouvait maintenant découvrir sa chatte luisante, bien bombé, un bel abricot prêt à être cueilli, croqué et pénétré. Les lèvres avaient tendance à rentrer vers l’intérieur et donnaient du volume à sa petite chatte juteuse.
Nous sommes au début de l’automne. En cette fin de matinée la chaleur est agréable, sans être écrasante. Vitres ouvertes Léa emmène Mme Besson, jupe relevée, cuisses écartées, dépoitraillée vers un nouveau lieu de travail. Le trajet dont elle ignorait la destination les mena en bordure de ville dans une zone industrielle. La seule chose que Mme Besson imagine bien, c’est que le but du trajet... la faire baiser.
Depuis longtemps, Mme Besson sait que Léa veut et va la mettre dans un hôtel de passe pour une quinzaine, une sorte d’initiation avant sa mise en abattage pour être baisée à la chaine.
En arrivant Léa crochète le mousqueton de la laisse et sort Mme Besson de la voiture. Elle découvre une sorte de bâtiment où tout le monde va et vient librement. Un endroit glauque, pratiquement à l'abandon. Le sol et les murs sont sales. Le gérant, un gros type, la cinquantaine mal rasé la dévisage puis l’examine sous toutes les coutures. Léa semble bien le connaître.
— Alors comment trouves-tu ma pétasse, tu verras, c’est une bonne mangeuse de couilles !
Lui demande Léa, — Elle est pas mal... répond le gérant. Elle a une belle gueule et des bons seins, j’aime bien ! Elle est bien roulée, ça va, elle va faire bander ! Elle devrait faire l'affaire… — Tourne toi salope ! Fait voir la marchandise que je mate ton cul, ordonne-t-il !
— Oui monsieur, répond doucement Mme Besson en se tournant, — Relève ta jupe pouffiasse ! C’est ton cul que je veux voir !
— Elle remonte le bas de sa jupe à hauteur de sa taille dévoilant ses fesses nues encadrées par le porte-jarretelle, il reluque les fesses rebondies .
— Quel cul elle a, il va y avoir des amateurs !
— Tu as un superbe cul, de belles fesses rebondies, certainement très agréables à faire rougir… J’espère que t'es une bonne et que tu sais t’en servir !
— Montre ta chatte aussi petite salope, s'exclame le gérant.
— Mme Besson se retourne pour laisser voir son sexe luisant.
— Tes nibards maintenant, montre tes seins de salope, Debout devant le gérant, elle baisse son haut, découvrant ses seins joliment incurvés, les aréoles bien dessinées, les bouts dressés. Ils se soulèvent au rythme de sa respiration.
Léa qui aime voir sa soumise aussi docile, s’approche d’elle et lui caresse doucement les fesses, elle sent sa pute frémir sous sa main, la main remonte sur les seins, les caresse de la paume, Mme Besson halète.
Le gérant en profite aussi, pour glisser le bout de son doigt entre ses lèvres déjà gonflées d’envie et rencontre le clitoris frémissant… la chatte tout entière appelle la caresse.
— Et elle travaille sans faire d'histoires ? Demande-t-il à Léa.
— Oui pas de problème... de toute façon, elle sait ce qui l'attend si elle n'est pas obéissante, lui répond Léa sur un ton menaçant en regardant Mme Besson.
— N'est-ce pas Besson, — Oui Mlle Fournier, Pour l'instant. Elle n'a qu'à attendre dans le hall d'entrée... comme cela tout le monde pourra la voir et prendre son tour,— Remets ta jupe correctement et reste debout près de l'entrée cuisses écartées, croise tes mains derrière la nuque pour mettre en valeur tes miches et montrer que tu es disponible.
Mme Besson va se placer à l'endroit indiqué, la croupe tendue vers l'arrière, en ondulant des hanches.
—Écarte davantage les jambes !
—Léa lui retire la laisse, lui cingle violemment le cul et lui ordonne fermement de faire son aguicheuse, sa belle salope !
— Au même instant elle entend le gérant murmurer, — Elle va se faire démonter... ils vont baver pour son cul, — J’espère bien, elle est là pour ça lui répond Léa.
Puis Mlle Fournier et le gérant passent dans une pièce voisine pour définir du tarif. Mme Besson est seule dans le hall d'entrée, l’oie blanche devine ce qui l'attend. Mme Besson ne verrait jamais l’argent, c’est Léa qui l’empocherait. Elle reste ainsi pendant une dizaine de minutes. Des hommes passent en la regardant. Elle leur souris gentiment. Ils savent qu’elle est une pute à disposition, on ne pouvait se tromper sur sa condition.
Léa revient et lui dit de monter s'installer dans la chambre 50 au cinquième étage… à poil, en talons avec laisse et collier et de garder la porte ouverte.
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