Titre de l'histoire érotique : Besson femme cavale Chapitre 6 - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Chapitre 6
Chez le vétérinaire, percée et annelée et le marquage

- Vincent ! Quelles sont les réjouissances ?
Demande monsieur de Sablé,
- Eh bien monsieur, je la conduis chez le vétérinaire pour la faire percer et anneler, aux seins et au nez, vacciner et ensuite elle sera marquée au fer avec votre blason... mais je vous attends, c'est vous qui allez poser le fer !
- Très bien Vincent, lorsque vous êtes prêt prévenez-moi.
Avant que le lad ne la conduise chez le vétérinaire pour la pose des anneaux, il ne se prive pas de lui claquer les fesses, de lui pincer cruellement les tétons et de la faire râler… la femelle en laisse est ouverte docile et bonne à prendre ! ... maintenant après avoir été bien sucé, il va la fourrer, il lui enfonce sa bite au fond du cul, la défoncer sans précaution. Elle sait qu'elle n’a pas le droit de jouir sans autorisation, cette interdiction, cette frustration ne fait qu'accroître, amplifier son envie de plaisir alors elle se donne, s'offre de son mieux au lad... Il prend possession de « sa » pouliche pour la dresser et en la fessant durement, il lâche son foutre !
Comme le vétérinaire habite à l´écart du manoir, Vincent prend la bétaillère, il fait monter Besson tenue en laisse, attache son collier aux ridelles, lui lie les mains dans le dos et lui claque les fesses en lui disant,
- Nous n'en aurons pas pour longtemps ma pouliche,
Arrivée, elle est conduite dans une salle où l'assistant du vétérinaire l'attache très court le nez au mur. Elle sent l'odeur de la peinture. Dans la salle, plusieurs chiens sont aussi en attente certains dans leurs cages, un autre gros chien est paisiblement assis et attaché près de Besson, il se lève, attiré par l’odeur de la chatte de la cavale, vient mettre sa large truffe entre ses cuisses. Elle est immobile, d'un coup de langue l'animal lui lèche le sexe... elle a envie de te faire lécher par le Pitbull. Le chien essaye de laper de plus belle en allongeant sa langue, elle ouvre ses cuisses s’abandonne totalement sous les coups de langues épaisses du Pit ! elle gémit,elle à envie de se faire monter…
Debout, nue pour la visite médicale, elle mouille... Vincent cravache sèchement le Pit qui retourne s'assoir en glapissant...
Attrapant besson par la laisse, il la fouette violemment en lui disant qu'elle n'est pas là pour jouir même avec un autre animal. La marque du fouet des seins aux fesses lui fait mal, elle pleure...
Il la détache et la place devant un fond de papier blanc pour que l'assistant prenne des photos.
- Attends les ordres sans bouger !
Les ordres de l'assistant sont brefs, impératifs, le flash grésille, elle est obéissance,
-Regarde-moi ! Tourne-toi ! Éclate tes cuisses ! Ouvre ton cul ! ...
Le vétérinaire apparaît, considère la femelle nue qu'on lui amène, Vincent la tenant en laisse, la présente au vétérinaire, un homme d'une soixantaine, grand et corpulent.
- Ici l'animal et fait vite,
Vincent l'approche, le vétérinaire se lève et vient examiner la nouvelle bête. Il observe les tatouages au-dessus des fesses « Salope à enculer » et au-dessus des seins « suceuse » en français, mais aussi en arabe,
- c'est une très belle écriture, s'est joliment fait, tant de qualités, tu promets ma pouliche,
dit-il, en tâtant les seins, les mollets et surtout le cul nerveux et musculeux. Il apprécie la taille fine, les hanches larges... du bonheur en perspective, Besson est palpée jaugée, puis mesurée et pesée...
- Baisse la tête, lève tes fesses et écartes les cuisses et cambre-toi bien, creuse le dos ! Il ordonne et oblige sévèrement la femelle à baisser la tête, écarte, montre tes trous, elle obtempère sans réticence, ces ordres lui sont si familiers... puis enfilant un doigtier le vétérinaire explore le sexe, un baromètre pour connaître son état... humide, très humide, dégoulinant... Elle est très humide après l'épisode du Pitbull... Le cul de Besson est aussi visité...
- Tu es détrempée la pouliche, c'est bien, ce doit être ton état permanent, c'est ce qu'il faut pour bien courir, maintenant, ouvre ta gueule que je regarde tes dents. La main explore la bouche, la fouille, abaisse la lèvre pour vérifier les dents, il lui pince cruellement la langue, la tire, elle bave, dégluti, s’étrangle... sa salive coule sur son menton, sur ses seins, elle tressaille de douleur, martèle le sol de ses pieds nus. Alors il attrape sa cravache et avec force cingle la croupe de la femelle rétive… lui arrachant un cri. Une nouvelle et profonde strie rouge marque son cul.
- Vincent rattache lui les mains dans le dos, elle est trop rétive !
Et maintenant tu me suces la jument !
Immédiatement, Besson se met à genoux, n'était-elle pas une grande artiste et bonne suceuse, une bonne videuse de couilles ? Avec bonheur elle embouche la tige du toubib, elle pompe généreusement, la langue tourbillonne, ses seins ballotent et après quelques minutes, sans annonce, il se retire vite fait et lui largue la sauce au visage.
- En guise de bienvenue, ton lad va te fouetter, je t'examinerai après.
- Oh non monsieur, s'il vous plait ! Pitié monsieur… pas le fouet, je viens d'être fouettée deux fois !
- Silence, tu ne parles que lorsque je le dis ! Ici tu n'as plus de droit, uniquement celui d'obéir aux ordres et surtout pas le droit de parler sans permission. Tu seras doublement punie pour cette faute !
À toi Vincent, tu la dérouilles bien ! Elle doit apprendre la leçon !
Alors le lad, impassible, corrige la femelle. Il fouette furieusement les fesses et rajoute quelques coups pour son plaisir personnel... Les coups sont durs et pleuvent, elle pleure, Vincent la cingle sans répit, puis il la retourne pour s'occuper de ses nibards et de sa chatte... larmoyante elle bêle...
- Écarte tes cuisses la cavale,
...et la danse continue maintenant pour le seul plaisir du lad qui aime voir sa pouliche remuer le cul, se rouler sur le sol à chaque coup. Elle retient ses cris, mais pas ses larmes, elle sait que les marques seront le plaisir de Lucas.
Si dans une vie antérieure, Besson a été tatouée à la demande de Mlle Léa Fournier, son ancienne maitresse, avant d'être vendue à Lucas son frère, Besson n'est ni percée, ni annelée.
Chez le vétérinaire, Vincent lui annonce qu'à la demande de son maitre et pour le plaisir de monsieur de Sablé, elle sera percée afin de porter des anneaux ornés du blason du manoir, aux seins et au nez, ce seront de petits anneaux, juste suffisant pour cliquer la laisse et la guider... Sa chatte et son clito, pour le moment sont épargnés...
- Ne t'inquiète pas ton cul reste toujours disponible,
- Docteur, monsieur de Sablé a donné des instructions précises, pour l'anneau du nez, il veut qu´on puisse la guider et l'attacher avec la laisse.
Quant aux bouts de seins, il s´agit de pouvoir y fixer les attaches pour les rênes, donc il faut que ce soit solide.
- Regardez,
Vincent saisit un sein de Besson, le pinça fortement pour faire durcir le téton, elle s'égosille...
Le toubib la gifle et décide,
- C'est bien, on va commencer tout de suite.
Il demande à son assistant d'aller chercher les anneaux, puis il met de l'alcool sur un coton torsadé et lui enfonce dans le nez, ça coule dans sa gorge, elle tousse et s'agite.
Il engueule Vincent,
- Tiens-lui la tête, sangle la serrée, entrave lui les jambes et le torse sur le fauteuil,
et à Besson,
- Si tu bouges encore la trotteuse, c'est une correction à la cravache,
Vincent serre fortement une sangle sur le front de Besson pour l'immobiliser, puis de l'autre main, lui prend le sexe, le cajole et le branle, Besson tortille son cul, bourdonne, elle veut jouir, Vincent le sait et entretient son désir, pendant que le vétérinaire fouille dans ses ustensiles et se saisit d'une pince emporte-pièce. Il s'approche de Besson qui se met à glapir en voyant l'outil,
Il écarte les narines, tâte la cloison intérieure, puis introduit les mâchoires de la pince dans chacune des narines. Besson ne cesse de hurler à perdre haleine, de hoqueter et de pleurer à chaudes larmes... Elle est terrorisée à l'idée de la douleur.
- C´est normal qu´elle ait peur d´être percée...
Le nez est bien développé, on va passer un anneau de 5 mm sans problème.
Vincent met lui une muselière pour lui fermer la gueule, je ne veux pas l'entendre !
Le vétérinaire regarde Besson pour vérifier que tout est bien en place, puis serre brusquement de toutes ses forces sur la pince. Le craquement résonne dans la tête de Besson, qui pousse un hurlement ! L'emporte-pièce vient de percer le cartilage. Le vétérinaire n'en a cure et est visiblement habitué à travailler avec des bêtes beuglantes malgré le bâillon... un trou bien rond apparaissait entre les deux narines. Un peu de sang coule...
La Besson est percée.
Le toubib, sans s'émouvoir, triture le nez de Besson avec un coton pour nettoyer, puis ouvre un anneau dont l'une des parties est plus fine, repère le bon endroit et l'enfonce dans le trou qu'il vient de créer...
- Vincent, détache-la,
Puis lui tirant les cheveux, il l'emmène devant une enclume, elle est renversée la tête en avant et avec un marteau le toubib scelle l'anneau... Besson braille,
Elle se relève larmoyante.
L'anneau du nez pend sur la lèvre...
- l'oreille maintenant.
Il l'amène près d'un établit, avec dessus, en vrac, des plaques en plastique jaune de forme triangulaire, identique à celles qui se trouvent fixées aux oreilles du bétail dans les fermes !
Sur la plaque, le dessin d'une ponygirl tirant un sulky.
- On ne risque pas de te perdre ma cavale !
Il prend le lobe de l'oreille et y enfonce une pointe qui est très large, heureusement, qu'elle a les oreilles percées. Elle gueule quand même, mais ce n'a rien à voir avec la pose de l'anneau du nez. Le toubib visse une petite contre plaque, voilà, Besson est marquée, identifiée...
- C'est assez lourd et ça va branler quand elle trottera...
dit Vincent,
Le vétérinaire observe son travail...
- pas mal ! Les mamelles maintenant,
Besson prit alors conscience que son calvaire venait à peine de commencer.
- Vincent, vérifie le bâillon, car le bout des mamelles est une partie sensible chez ces femelles. Elle va beugler !
Vincent enfile sous la muselière un gros tampon de tissus dans la bouche de Besson et attrape le téton entre les doigts et le tire vivement, Besson rugit sous le bâillon.
- Les bouts sont gros, si vous percez un peu en retrait, vous aurez une bonne prise...
Le toubib prend un gros poinçon très pointu s´élargissant de la tête à la pointe, avec un coton imbibé d´alcool, il frotte vivement le bout du sein de Besson pour le darder, puis, le tirant brutalement entre deux doigts, il approche la pointe du poinçon, la pose sur le téton et l'enfonce lentement en le faisant tourner pour faciliter la pénétration jusqu´à ce que l'extrémité jaillisse. Un cri de bête emplit la pièce.
Il élargit le passage, pour l'anneau qu'il fait passer dans le trou.
L´anneau orne le sein de Besson.
Il tire dessus pour s´assurer de sa bonne fixation. Besson hurle de plus belle, le bâillon fait son office, le toubib, l´air satisfait, ignore la souffrance qu'il provoque. Besson est en sueur, son visage d'une pâleur extrême, elle tremble...
Il désinfecte le tout à l´alcool, ce qui eut pour effet de relancer les hurlements. Besson se tord de douleur, Vincent ouvre la fenêtre pour que l'air frais la calme.
- Il faut la laisser se reposer un peu avant de faire l´autre mamelle. Rattache là en salle d'attente, je te fais signe pour le prochain anneau.
Vincent lui dit,
- nous allons te marquer au fer rouge, le blason du haras de monsieur Hubert de Sablé, sur la fesse,
C'est monsieur Hubert de Sablé qui va te marquer, ton propriétaire sera présent. Fais-leur honneur.
Dès qu´elle fut amenée dans la pièce qui jouxte le cabinet du vétérinaire, elle comprend ce qui l'attend. Rétive, Besson se mit à glapir, sans toutefois chercher vraiment à se débattre, elle se bloque paralysée de frayeur, Vincent exerce alors une douce pression sur sa laisse de naseaux pour la faire entrer et la rassure en lui flattant la fesse, elle tremble, couine...
La chaleur envahit la pièce. Au centre, un brasero avec des fers plongés dans les braises.
Vincent la courbe sur le chevalet cuisses ouvertes et en quelques instants, elle est entravée étroitement, ses fesses sont dégagées. Besson comprit immédiatement où elle allait être marquée. Ses seins sont écrasés, les anneaux lui font mal...
Pour la calmer, Hubert de Sablé laisse son doigt parcourir la fente de sa pouliche, de bas en haut, il est doux, caressant, elle ne sait plus, elle frétille, est agitée de soubresauts nerveux, le visage est en larmes, son regard supplie... épouvantée Besson tremble de tous ses membres, les fesses bien exposées, elle est prête...
Hubert de Sablé lui titille toujours le sexe, le caresse et de son autre main appuie sur la fesse de Besson pour la figer. Il avance le fer rougeoyant... elle sent la chaleur approcher de sa peau, elle glapit, pousse un cri douloureux au contact, mais sans se laisser troubler, Hubert de Sablé dit en souriant,
- ça va faire un peu mal...
Le fer rouge est en plein sur la fesse, un hurlement traverse l'espace, Besson braille, elle tente de se débattre, de secouer ses fesses et ses seins pour se détacher, pour essayer de soustraire son cul au feu insoutenable du fer sur la peau. Hubert de Sablé compte lentement de un à quatre, Besson gueule, s'époumone, une fumée s'échappe du corps meurtri et une odeur de brûlé se dégage... À quatre, Hubert retire le fer, évente la brûlure, lui masse la croupe, enlève quelques déchets carbonisés et la désinfecte à l'alcool. Pleine de spasmes, elle ne sait plus que sangloter...
Il admire son travail.
En noir sur la peau blanche, bien visible la marque de son blason est nette...
- à toi Vincent,
dit Hubert de Sablé,
Vincent met une crème sur la brûlure, puis un pansement, elle sanglote nerveusement. La douleur est extrême.
- Interdiction de toucher à ce pansement, compris ?
Et dans un sanglot,
- Oui monsieur,
Lucas qui a suivi toute l'opération est satisfait et pour consoler son animal, se rapproche pour lui caresser la croupe, jouer avec sa bouche et son sexe qu'il bichonne, les larmes et les plaintes, s'estompent... Il lui dit,
- sur ton autre fesse, nous allons te faire tatouer un code-barres, car tu es maintenant une vraie cavale inscrite sur le registre international des ponygirls. Tu dois être fière !
Le lad appelle le palefrenier,
- Prends la bétaillère et ramène-la à l'écurie qu'elle se repose. Tu l'attaches serrée, les mains au collier.
- Oui Vincent,
Attachée serrée dans son box, elle s'endort immédiatement sur le lit de paille.