Titre de l'histoire érotique : Besson la femme cavale - CHAPITRE 12 La course et la victoire - histoire érotique

CHAPITRE 12
La course et la victoire

Hubert de Sablé accueille les invités et les accompagne au buffet sous les tentes dressées pour l'occasion, puis s'adressant aux spectateurs il les invite à prendre place dans les gradins.
L'assistance est des plus pourvues... hommes en costume, chapeaux, femme en capelines, foulards de marque... Toute la bonne société de la région est réunie pour assister aux brillantes, délicieuses et réputées démonstrations équestres dont Hubert est régulièrement le promoteur. Le cocktail est magnifique, le champagne coule à flots et des serveurs circulent parmi les convives au son d´un orchestre qui anime la réception.Les paris vont bon train... Lucas et Hubert sont ravis...
Besson toujours attelée et attachée à un piquet près de gradins. Les amateurs se presse autour d´elle. Curieuse une femme accompagnée de son mari lui tourne autour.
- Mais ce n´est pas une femme ! Regarde cet anneau à son mufle, c'est une bête ! Regarde ces rênes ! Elle les tire vivement, les rênes accrochées aux anneaux qui transpercent les bouts de seins... Besson gémit de douleur, mais ne se rebelle pas.
Le mari souriant, d´un air rêveur, ne dit rien, il caresse le cul de la femme-pouliche...
- Mes amis, je voulais aujourd'hui vous associer à mon plaisir, celui de partager avec vous cette course... je vais conduire un bel animal... une délicieuse femme cavale,
à ce moment, l´assistance voit apparaître du fond du paddock, le lad qui marche à côté de Besson la guide à partir des rênes accrochées aux seins, elle avance au pas, buste bien droit, seins pointant sous les anneaux, reins cambrés faisant jaillir la queue de la couleur de sa houpe... elle est attelée au sulky, consciente de l'étendue de l'évènement.
Besson progressait vers les gradins, ondulant de la croupe comme on lui avait appris à le faire, secouant sa crinière à mesure qu'elle progresse, face au public, Vincent effleure sa croupe de son fouet et Besson plie un genou et baisse la tête, elle salue l'assistance.
Hubert de Sablé s'adressant à Lucas,
- C´est, cher ami, à vous le plaisir de lui faire faire le premier tour de piste,
Lucas descendit lentement les gradins, s´approcha de Besson et en fait le tour, admirant son allure et le degré de perfection de son équipement. Il ne résiste pas, il caresse les fesses de Besson,
- Beau travail Hubert,
Puis lentement, il grimpe dans le sulky, rassemble les rênes de seins, saisit le fouet accroché au siège et dans un claquement sec, cingle la croupe de Besson. Elle gueule, surprise par la vigueur de l'ordre et démarre au galop droit devant elle. Il s'accroche au rênes pour la maîtriser, les tétons souffrent. Il la ramène au trot pendant un tour de piste jusqu'au pied des gradins, sous les applaudissements d'une foule joyeuse. Vincent, modestement retiré à l´ombre des gradins est fier de Besson qui donne le meilleur... Elle souffre dans ses chairs de la brutalité de Lucas, mais exulte de pouvoir ainsi montrer son talent.
Venu vérifier son pari, un homme la jauge. Son regard, en connaisseur, s'attarde sur le corps de Besson. Il s'approche d´elle, lui ouvre la gueule, examine sa denture, lui enfonce un doigt, elle manque de s'étouffer. Il tâte ses seins, les soupèse, tire sur les tétons entraînant un gémissement de Besson. Sa main descendit le long de son ventre et du doigt, vérifie son sexe. Il fait jouer le petit médaillon de certification qui orne son oreille et émet un grognement satisfait. Il tâte les fesses, jauge son anus et d´une tape sur la croupe conclut son examen.
À la fin de ce tour de présentation, très rapidement, les équipages sont alignés, le départ donné,
les pouliches démarrent.
Pour ces femmes qui, des heures durant, sont en position de soumission, seins, fesses et sexe en parade, orifices prisonniers et disponibles, la moindre pression sur les rênes circulant à travers le réseau de cuir du savant harnachement, transforme aussi chaque mouvement en aiguillon de désir.
Les attelages ont vraiment fière allure, les trois sulkys font un autre tour de présentation au pas devant la foule, celle-ci applaudi.
Hubert de Sablé tire alors un ou deux coups secs sur les rênes pour que Besson dresse son torse et salue, ce qu'elle fait de bonne grâce en dépit de la douleur, fière qu'elle est d'être aussi belle devant son maître.
Besson démarra comme à son habitude en ménageant ses forces. Ses deux rivales par contre partirent instantanément au galop. Hubert de Sablé était un homme grand et lourd, il est pénible à tracter, mais après un bon coup de fouet sur les fesses et quelques coups secs des rênes sur les seins, il emballe sa monture.
Une autre ponygirl, une belle rousse, avec un cul musclé, de superbes pis, bien bâtis... reçoit un lot de coups fouet et de cravache de son jockey... elle court là son maximum, ses seins se balancent au rythme de la course, elle souffre...
Besson perdit quelques longueurs, Hubert de Sablé confortablement assis dans le sulky la dirige à l’aide des rênes et la cravacher pour lui faire entendre les ordres. Désappointé de perdre du terrain, Hubert réagit énergiquement et tire sèchement sur les rênes, martyrisant ainsi les seins et les tétons dont les anneaux sont solidement ancrés dans la chair, Hubert aiguillonne et Besson ne peut retenir des cris de douleur. Le dos, les fesses s'ensanglantent. Ces tractions, associées aux violents coups de fouet qui lui lacèrent les fesses bien exposées font accélérer le rythme de la cavale... pour prendre l'avantage. Besson beugle mais galope de plus belle, se cabre, Hubert qui ne veut pas être hors course... quelle honte ce serait. Il la fouette furieusement, dans une série de coup fouet brutaux...
La course prend un tour passionné, les cavales sont frénétiquement battues, les jockeys debout sur le sulky, se cramponnent aux rênes et martyrisent terriblement leur monture. Ceux de -Pet du vent- se trouvent tirés en arrière par leurs anneaux, les bouts affreusement distendus à la limite de la rupture.
Au dernier tour elles sont côte à côte, cravachées en permanence. Besson sort la langue pour reprendre haleine, ne hurlant même plus lorsque les rênes tiraillent les seins à la limite de les arracher. Seins branlants, muscles des jarrets tendus, Hubert stimule avec hardeur la croupe et le dos de la fille jusqu'à ce qu'elle prenne une bonne allure de trot. La grande noire se déhanche pour allonger sa foulée. Le public enthousiaste encourage les jockeys, le claquement des fouets se mêle aux cris de joie des spectateurs aux douleur des pouliches. Dans les derniers mètres ces dernières firent des efforts surhumains pour gagner, avançant le torse en avant pour gagner quelques centimètres, laissant leurs dernières forces dans cet affrontement.
Chacun s'acharne sur les montures, les cavales tendent tous les muscles dans un formidable élan, elles transpirent, soufflent et bavent… d’effort... mais aussi d’excitation.
Hubert de Sablé est en sueur, Besson a les seins en sang, il la frappe sans arrêt pour ne pas se laisser rattraper... son sulky est en tête, les coups de fouet lacèrent les fesses exposées de Besson qui passe la ligne d'arrivée avec une poitrine d'avance...

Pour faire monter les enchères, Hubert de Sablé a institué une prime pour celui qui parie sur la pouliche remportant la course... le droit de la baiser, de l’enculer... mais devant le nombre de parieurs ayant misé sur Besson, le comité de courses dut renoncer... la faire enculer par tant n’est pas possible...
Hubert de Sablé est enchanté de Besson, il descend du sulky, lui caresse chaleureusement la croupe, lui agace le sexe, ses hanches ondulent de plaisir malgré la douleur qui tourmente ses tétons en sang.
Le palefrenier l'essuie pour la rendre plus présentable, lui peigne sa queue et sa houpe avant de la conduire sur le podium.
Pour la remise des prix, nue, tenue en laisse et présentée à la foule, accompagnée de Lucas et d'Hubert de Sablé, la cavale se voit récompensée par une médaille épinglée à l'anneaux du sein, sous l'œil fier de son maître. Lucas lui caresse les fesses, la félicitant... il est heureux de cette victoire, elle ronronne. Elle est heureuse de cette première victoire acquise au prix de la souffrance, devant son maître et devant tant de monde. Elle est fière de son corps, de sa nudité exposée, de son cul luxuriant de ses cuisses trempé de sueur et de jouissance, de ses seins pointus qu'elle affiche avec défi... les regards se fixent... elle est symbole de beauté et d'indépendance et de soumission...
Tandis que la troisième concurrente franchit la ligne d'arrivée à son tour, dans le Paddock, mécontent d'avoir perdu, le maître de -Pet du Vent- se laisse aller à la fouetter sauvagement... un prétexte, pour la punir de sa deuxième place... elle jappe en sentant le cuir lui mordre la chair. La douleur est brutale, elle hurle de douleur.
La pouliche est marquée, zébrée de larges stries écarlates. Elle comprend qu'elle va devoir s'entrainer encore plus intensément pour ne plus être fouettée... et battre Besson.
Après la cérémonie, Besson est amenée dans le paddock pour boire, Vincent s'approche, sèche son sexe luisant de sueur et de mouille, lui masse le bout des seins meurtris avec des glaçons et la fit boire... et lui enlève son harnachement avant le retour dans son box.
Dans les jardins, à quelques mètres de Besson et du reste des invités, on a parqué les autres pouliches, nues, lavées et bouchonnées, elles se remettent de leur fatigue dans l'indifférence des parieurs qui les considèrent de loin, en sablant leur champagne.
Le jour suivant fut une journée de repos. 
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