Madame Weber 1

- Par l'auteur HDS Ninilolo -
Récit érotique écrit par Ninilolo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Madame Weber 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Madame Weber 1
Quand madame Weber s’ennuyait, et c’était très souvent le cas depuis le début de sont veuvage, elle ne pouvait plus s’empêcher de penser au sexe. C’était une cinquantenaire un peu enveloppée mais très désirable encore à en juger sur les regards jaloux de ses contemporaines.

Après une vie professionnelle passée dans le prêt-à-porter elle s’avouait un penchant marqué pour les vêtements de prix que jusqu’à lors elle ne pouvait pas vraiment s’offrir. Mais depuis la mort de son mari elle commençait à être plutôt à l’aise financièrement, il faut dire que celui-ci ancien banquier, lui fît hériter d’une petite fortune qu’il occultait à sa femme depuis leur triste mariage (il y avait déjà de cela vingt ans. Aussi put-elle s’acheter un pavillon à Clichy en banlieue parisienne qui fut ma foi pas trop modeste.

C’était une jolie maison de brique à colombages composée d’un vestibule donnant sur un grand living de cinquante mètres carrés jouxtant une cuisine, un petit bureau, un cabinet de curiosités et une vaste véranda très agréable les beaux jours il faut l’avouer.

A l’étage, deux grandes chambre à coucher flanquée au milieu d’une grande salle de bain en marbre rose. Enfin une bibliothèque et un bureau se trouvaient derrière un couloir lambrissé de chêne noir.
Depuis un mois environ Julia de son prénom passait de longues heures dans sa bibliothèque à relire ses classiques et, c’était nouveau, pris goût à des œuvres pornographiques prêtés par son amie Lydia ainsi qu’à d’autres ouvrages licencieux qu’elle dénicha un beau matin dans une malle poussiéreuse au grenier oubliée sans doute à dessein par un ancien propriétaire...

Son amie Lydia avec qui elle partageait quelques confidences sexuelles l’initia ainsi à la lecture très hard de ces textes provoquant toujours en elle une excitation sans pareille. Elle découvrit avec surprise que la souffrance des jeunes femmes en particulier la mettait presque en transe.

D’ailleurs, elle l’attendait par ce bel après-midi de septembre, se réjouissant par avance de ses propos toujours assez osés. Elle n’était pourtant pas pressée, car Julia réellement excitée par sa lecture ( elle relisait un passage particulièrement osé) entreprit alors une masturbation consciencieuse à l’aide d’un long godemiché vibrant appuyé sur son clitoris lubrifié de salive. Son plaisir commençait à monter quand il fut décuplé, elle découvrit en effet que d’une maison en face un jeune homme l’observait à la jumelle. Elle sut immédiatement de qui il s’agissait, c’était le fils de sa voisine un jeune homme de 18 ans qu’elle avait croisé plusieurs fois et elle avait bien vu à ses regards indiscrets le petit vicieux que ce devait être. Ce qui l’excita le plus, c’est qu’il ne sache pas être observé en retour.

Quand madame Weber vis qu’il se branlait, elle écartât un peu plus ses jambes dodues pour qu’il vît mieux. Un sacré petit cochon, se dit-elle sentant le plaisir monter de ses entrailles; un jeune de son âge se branler à la vue d’une femme comme moi...

L’orgasme survint sans crier gare quand elle vit un filet de sperme sortir de sa jeune queue qu’il branlait frénétiquement. Elle reprit lentement ses esprits, il faudra que je le fasse venir me voir un jour sous un prétexte quelconque songea-elle sans le vouloir.
Déjà quinze heures se dit-elle entendant tinter la pendule d’argent. Julia fit un peu de l’ordre dans ses cheveux blonds, remit un peu de fard à paupière et descendit l’escalier de bois. On sonna à la porte et elle alla ouvrir à son amie.

- Coucou ma belle! Lui lança familièrement Lydia comment me trouves-tu?
Lydia portait une toilette de soie couleur champagne de plus bel effet.
- Tu est juste magnifique ma chérie! Que t’arrives-il? ( Lydia étant d’ordinaire plutôt partisane de tenues sombres ). - C’est l’amour! Dit-elle d’un air malicieux.
Madame Gindraux ( Lydia ) était une femme d’une soixantaine d’année assez imposante avec une belle chevelure brune et des yeux noisettes. Passablement riche, ne s’étant jamais mariée elle habitait un appartement bourgeois rue de la Pompe dans le16ème arrondissement de Paris. Elle était aussi propriétaire d’un petit pavillon à St Cloud.
- Je t’en prie ma chère Lydia, pas de cachotteries entre nous, entre vite pour m’expliquer tout ça... Elles entrèrent dans le salon où une bouteille de Champagne reposant sur un plateau d’argent les attendait.
- Ma chère Lydia peux-tu m’aider à déboucher cette chose? La dernière fois je me suis cassé un ongle. Cela amusa beaucoup Lydia qui se mit à l’œuvre.

Alors, ta lecture libidineuse te plaît toujours autant?
- Si tu savait! Mais ne noie pas le poisson veut-tu? Et explique-moi plutôt de qui est-tu tombée amoureuse, je commence à en être un peu jalouse tu sais!
Ah ah, de personne, mais en effet, vois-tu, j’ai croisé tantôt un jeune homme dans les 20 ans qui, je dois le dire m’a fait beaucoup d’effet.
- Il était mignon?
- Très!
- La chose s’est produite mardi, j’était dans ma voiture près de chez toi, il me reluquait, tu te rends-compte ma chère, une femme de mon âge, j’en était toute retournée.
Et qu’as-tu fais?
Hi hi, pas grand chose en vérité, je l’ai juste invité à monter...
Quoi? Tu te fiche de moi?
- Du tout, ma chère du tout... Il est entré dans ma voiture et je l’ai tout de suite chauffé en remontant ma robe et en voyant ma culotte j’ai vu une bosse se former dans son pantalon. Et quand j’ai posé ma main sur ce renflement, il devint aussi rouge que ceci... (elle désignait un vase écarlate sur la commode).
Et?
(Julia nullement convaincue en la véracité du récit de Lydia; mais néanmoins for excitée, l’encouragea à continuer).
Oh ma chère! Comme il m’amusait sur le siège de cuir essayant de défaire sa ceinture, naturellement j’ai aidé...
Mais encore?
Alors je l’ai un peu branlé heureusement que je suis droitière, mais j’eu assez vite crainte qu’il éjaculat dans mon habitacle, ils sont si rapides parfois ces jeunes, je me suis donc rapidement penchée sur son bas ventre tu vois...
Et tu as sucé ce garçon?
Oh oui j’en mourrait d’envie, moi de son jus d’amour... Il était bien monté, il l’avait longue et fine, il n’a pas tardé à jouir dans ma bouche mh c’était délicieux j’ai encore son goût en tête. D’ailleurs sais-tu que la semence masculine est pleine de bons éléments? C’est entre-autre excellent pour la peau, un vrai élixir!

- Oui j’en ai entendu parler... ou plutôt lu ça quelque part, oui.
C’est la vérité! Mon amie Anne tu connait Anne d’Harcourt?
Oui je l’ai rencontrée au garden party, c’était en juin je crois.
Et bien Anne est si sûre des vertus anti-vieillissement du sperme qu’elle en applique quotidiennement sur le visage et même le corps.
- Mais elle vit seule elle fait comment?
- Seule avec un fils, fils de vingt ans qu’elle a convaincu.
- Convaincu de pratiquer l’inceste? Elle si coincée?
- Non elle est contre cette pratique, mais elle a convaincu son fils Colin après l’avoir surpris en train de se masturber sur une de ses culottes de ne pas jeter sa semence mais de la récolter et de la lui donner, et en échange, à chaque petit pot qu’elle stocke au réfrigérateur elle lui donne une petite rallonge d’argent de poche.
- Quelle imagination!
- Non pas du tout, beaucoup de femmes le font, et quand elles n’ont personne, il y a un marché, ça coûte mais cela en vaut la peine, car je te signale que plus le liquide est pur, plus c’est efficace. Et au fond tout le monde y trouve son compte, cela permet à des jeunes en difficulté financière de se faire des petits sous et c’est bon pour notre beauté.
- Je voulais te dire chère Julia que je ne t’ai point oubliée pour ton anniversaire, je te propose de passer la soirée du 12 chez moi, j’ai une surprise pour toi!
- Jeudi oui je suis libre, j’y serai c’est très gentil de ta part merci!

Passons-nous à l’étage très chère? Demanda madame Weber.
En général, Avant de prendre congé les deux femmes s’installaient dans une chambre du premier étage et donnaient libre cours à leurs pulsions sexuelles.
Mais aujourd’hui madame Gindraux ayant à faire en ville, elle dut décliner l’invite. - Je suis désolée chère Julia mais je dois me sauver, un rendez-vous de dernière minute, dit-elle d’un air mystérieux.
Après le départ de son amie, madame Weber remonta à l’étage, elle se trouvait dans un état d’excitation sexuelle maximale.

Elle connaissait sa voisine d’en face et voulut lui téléphoner mais tomba sur son fils qu’elle avait vu se branler.
Il avait une voix jeune, et il avait l’air gentil.
Elle en profita :  -Comment t’appelles-tu Jeune homme, je suis la voisine d’en face,
Justin.
- Madame, ma mère n’est pas encore rentrée , vous vouliez-lui parler?
Non pas d’importance, j’ai un problème et il faudrait que tu viennes m’aider...
- Quel problème madame?
-Oh rien de grave mais j’ai besoin que l’on me monte un carton de la cave, il est lourd et je n’y arrives pas avec mon dos, je te donnerai de l’argent pour ça rassure-toi.
Le jeune alléché par la proposition s’empressa d’accepter.
- Madame Weber en face? je viens tout de suite!
- Bien je t’attends.
Cinq minutes passèrent et on sonna à la porte. Madame Weber ouvrit tout de suite la porte toute excitée.
- Merci d’être venu si vite jeune homme, viens avec moi...
Elle l’emmena à l’étage dans son bureau, un peu étonné il demanda :  mais, ce n’était pas à la cave? - Viens, on doit causer.

Arrivés au bureau, elle le fit asseoir et lui dit : Je t’ai vu me regarder cette après-midi depuis ta fenêtre, et tu t’est branlé petit cochon en me regardant de surcroit...
Le jeune homme était devenu tout rouge...
- Ne le dites pas, pardon, pardon!
-Pas le dire? tu plaisante! Je le dirai à ta mère.
Le jeune homme supplia car il songea que sa mère l’avait déjà menacé de lui couper les vivres : « Je vous en prie madame, pardon, pardon ».
Madame Weber en profita :  - je dirai tout à ta mère dans les moindres détails, à moins que...
- A moins que quoi, madame?
Un sourire sadique naissait sur la bouche de Julia, elle savoura l’instant.
-A moins que tu fasse ce que je te dirai sans discussion.
- D’une faible voix Justin lui dit: je pense que je n’ai pas le choix madame...
-Comme tu dit!
Alors lèves-toi et viens ici!
Justin s’exécuta.
Une fois près du bureau, elle lui dit :  baisse ton pantalon et ton caleçon avec!
Il obéis. Elle vit alors le sexe de Justin surmontant des jolies boules le tout entourées de rares poils.
- Joli!
Justin était devenu rouge cramoisi.
Madame Weber passa alors sa main droite par derrière le jeune homme et après quelques caresses sur ses fesses, brusquement lui pénétra l’anus de deux doigts suivi d’un troisième qui fit pousser un cri strident au jeune homme.
-Tais-toi petit cochon, tu vas aimer salop!
Elle faisait déjà des vas-et-viens avec ses doigts de plus en plus rapides.
Les cris du jeune homme se transformèrent bientôt en cris de plaisir, il sentait une chaleur monter de son ventre, une sensation jusqu’alors inconnue.
-Ho madame, madaame!!
-Petit porc, tu vas voir...
De son autre main, madame Weber saisi le membre déjà roide entre ses doigts boudinés qui ne tarda pas à grossir dans sa main moite.
Elle continuait à pénétrer ce petit cul et masturber sa queue de plus en plus vite.
Justin se sentait défaillir, et au bord de l’évanouissement, il jouit comme jamais il avait joui de sa courte vie.
Il éjaculat des mains de cette femme qui se masturbait maintenant d’un air lubrique.
Justin reprit lentement ses esprits, de longues trainées de sperme à travers le bureau avaient même mouillé l’agenda de madame Weber.

Clara se réveilla ce jour là vers 10 heures, elle tira les rideaux et une lumière dorée pénétra dans la vaste pièce rangée avec soin. C’était une belle fille blonde d’une trentaine d’années vivant seule avec son chat.
Elle alla dans la cuisine se faire couler un café et mit en marche le toaster tout en se remémorant la journée d’hier. Mauvaise journée pour elle, femme de ménage de son état, elle était alors au service de madame Gindraux depuis deux ans. Ce jour là, un vol avait été commis: deux cents euros avaient disparus du bureau de sa patronne.
La voix de sa patronne résonnait encore dans la tête de Clara : 
- Clara veuillez venir immédiatement dans mon bureau... asseyez-vous Clara lui dit-elle dès sa présence. Elle s’exécuta.
- Petite voleuse!
- Pardon madame?
- Vous avez très bien entendu Clara! De l’argent à disparu de mon bureau, vous êtes la seule a y avoir accès avouez le!
- Mais madame...
- Il n’y a pas de MAIS! (madame Gindraux criait à présent, rouge de colère). De deux choses l’une, ou vous rendez l’argent, ou je me verrai forcée de vous renvoyer petite péronnelle!
Ce que ne savait pas Clara, c’était que madame Gindraux la manipulait, elle avait imaginé un plan machiavélique et pour ce qui est de plans tordus, madame savait y faire...
Un quart d’heure plus tard Clara était sur le chemin du retour humiliée et licenciée. Tout en prenant son petit déjeuner elle réfléchissait, à part faire le ménages des riches, je ne sais rien faire se disait-elle et elle se mit à pleurer.


Madame Weber tournait les pages de son agenda taché, elle était ennuyée sa femme de ménage en vacances revenait le mois suivant et elle n’était pas vraiment satisfaite de la qualité de ses services, de loin pas. C’est alors que le téléphone sonna, c’était Lydia.

- Coucou ma chère, j’ai quelque chose à te dire, tu te souviens de Clara ma bonne?
- Oui enfin je crois, une blonde patine la trentaine?
- C’est ça, je viens de la licencier sans indemnités.
-Ho mais pourquoi une telle chose?
- Elle m’as volé...
- Ha bon, elle m’avait pourtant l’air honnête.
- Mais oui très honnête tu as mille fois raison...
- Je ne comprends pas.
- Je vais t’expliquer, c’est très simple,

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bon récit ! Bravo et merci pour le partage !

Histoire Erotique
Excellent récit. Un peu décousu.
Mais cela fait son charme.
J'espère qu'il y aura une ou plusieurs suites.
Quelle imagination.
Bravo.

M.



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