Madame Weber 2

- Par l'auteur HDS Ninilolo -
Récit érotique écrit par Ninilolo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Madame Weber 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Madame Weber 2
- Je vais te l’expliquer, c’est for simple, j’ai accusé cette fille certes injustement mais seulement pour te rendre service, sachant ton besoin de femme de ménage fiable et corvéable à merci, car après son licenciement, je sais qu’elle aura vraiment besoin d’une embauche, imagine ce que tu pourrais demander à cette fille comme servitudes, tu pourra en faire à peu près ce que tu veux, j’en suis sûre: ton objet, ta putain, enfin, si elle l’accepte... Comme bon te semblera mais sache que cette fille est certes femme de ménage mais est loin d’être une inculte, elle est issue de bonne famille, une famille noble qui a mal fini, la malchance voilà tout.

- Je vais par ailleurs te confier que cela m’excita sexuellement de la voir pleurer sur son sort, elle n’a rien vu mais je me suis masturbée sous mon bureau en signant son congé ce fut un moment comment dirais-je? Puissant!

- Mais c’est immonde Lydia, je t’aime beaucoup mais là, tu franchis les limites!

- Pense à tout ce que tu pourrais faire d’elle...

- Quand même Lydia tu me choque, cette pauvre fille...

- Délurée mais une petite vicieuse de première, ça je te le garantis sur facture!

- Alors donnes-moi son numéro je l’appellerai, mais comment fera-tu si tu la vois ici alors que tu l’a licenciée? Je ne la pense pas sotte, elle comprendra la manigance tu ne crois pas?

-Ça, c’est mon affaire, je m’en fiche mais alors complètement, tu as beaucoup à apprendre Julia, elle va t’être servile et c’est cela l’important tu veux un dessin?

-Non, je crois que j’ai compris.

-Bien appelle-la donc vite!

- Ok, d’accord je le ferai.

Ce soir là, Julia se coucha de bonne heure, la journée ayant été éprouvante elle s’endormit comme une masse.
Le lendemain, le téléphone de Clara retentit alors qu’elle prenait sa douche elle s’habilla et vit le numéro inconnu affiché, elle rappela donc un peu intriguée.

- Bonjour quelqu’un m’a appelée sur ce numéro, je suis Clara de Salis
puis-je savoir...

- Oui bonjour, madame Weber à l’appareil. Oui c’est moi qui ai tenté de vous joindre je suis à la recherche d’une femme de ménage et je me suis laissée dire que vous étiez libre, peux être pourrions-nous en discuter?

- Mais tout à fait madame avec plaisir! Les nouvelles vont vite pensa Clara.

- Pouvons-nous convenir quatorze heures? Je suis à Saint Cloud avenue des mimosas, mais prenez votre temps, je suis chez moi tout l’après-midi.

- J’y serai madame, à tout à l’heure et merci.

Julia passa sa matinée dans sa comptabilité et ne sentit pas le temps passer quand la sonnerie de l’entrée retentit, c’était Clara.

Elle descendit alors lui ouvrir et fut agréablement surprise par la vue d’une jeune femme plutôt sexy et désirable, Clara avait en effet fait un effort dans sa tenue vestimentaire: elle arborait maintenant une jupe noire mettant en valeur ses jambes galbées de bas résille et un bustier de satin carmin ou ses seins généreux semblaient jaillir d’un soutif de dentelle blanche.

- Bonsoir mademoiselle, Clara je suppose?

- Oui madame vous supposez bien...

- Alors entrez Clara, ne restez pas là, nous allons faire connaissance et discuter.

- Bien volontiers madame, merci de me recevoir...

- C’est tout naturel Clara, vous êtes très en beauté!

- Merci madame!

Madame Weber s’effaça la pour la faire enter et, subrepticement ne pût s’empêcher de lui effleurer les fesses.
Bien sûr, Clara s’en rendit compte mais se retint de toute réaction dans un éclair de lucidité, elle avait besoin de travailler et, de plus elle avait ressentit une excitation étrange de se sentir attirée par cette bourgeoise nantie.

- Venez Clara.

Madame Weber l’emmena dans le living ou elle désigna un fauteuil à Clara, elle s’assit non loin d’elle.

- Alors Clara, je veux savoir tout de vous, et surtout, avez-vous un C.V.?

- Voici madame.

- Bien...

Julia parcourant le document demanda: est-il à jour?

Clara avait rougi.

- Madame, il manque juste il manque juste les références de ma dernière employeuse, je n’en ai guère eu le temps.

- Madame Lydia Gindraux c’est bien ça?

- Heu oui madame, comment savez-vous?

- Il se trouve que c’est mon amie et si vous vous trouvez ici en ce moment c’est grâce à elle car elle vous a recommandée à moi malgré le vol que vous avez commis chez elle, je n’aime pas les voleuses Clara, mais je vous donne une occasion de vous racheter, j’ai vraiment besoin d’une bonne femme de ménage et il semblerais d’après mon amie que vous feriez bien l’affaire.

- Mais madame, je vous assure que je n’ai rien volé, c’est madame Gindraux qui le prétends, moi je vous jure que non!

- Imaginons que je vous croies, seriez-vous prête à commencer de suite?

- Oui bien sûr madame.

- Alors pour commencer vous allez nettoyer mon bureau à l’étage, je vais vous montrer où sont les produits de nettoyage, venez!

Elles montèrent à l’étage et Julia lui montra un placard de produits ménagers.

- Mon bureau est à côté, quand vous aurez fini, venez me rejoindre au living.

- Bien madame.

Clara se mit au travail, la pièce était propre mis à part le bureau ou des trainées blanchâtres le parcourait, elles dégageants une odeur qui rappela vaguement des choses étranges à Clara, elle devina la semence masculine.

Cette chose excita tout ses sens, comment est-ce arrivé là? qui avait éjaculé sur ce bureau? Elle commençait à comprendre que sa nouvelle patronne devait être une sacrée cochonne...

Sa corvée finie, Clara redescendit de l’étage et reparut dans le living comme sa nouvelle patronne le lui avait ordonné.

- Assied-toi Clara lui dit madame Weber désignant un fauteuil lui faisant face.

Clara releva le soudain tutoiement mais ne s’en formalisa point.

- Bien madame, Clara s’exécuta.

- As-tu donc fini ta tâche?

- Comme madame me l’avait demandé, oui madame.

- Bien, je te propose un salaire fixe de disons 3000 euros auquel l’on pourra ajouter diverses primes, par contre j’exige une obéissance aveugle sommes nous d’accord?

-Oh oui madame, merci madame! Le salaire promis tombait du ciel, jamais Clara eût-pu oser rêver d’un traitement aussi favorable.

- J’espère mon bureau propre, as-tu bien nettoyé ces traces blanches sur mon bureau? As-tu idée de ce que ce pouvait bien être?

- Peut-être de la gélatine madame, je ne sais à vrai dire...

- De la gélatine! Madame Weber émit un rire sardonique, de la gélatine... Le fait-tu exprès? C’était du sperme et tu le sais très bien petite hypocrite, peut-être l’as-tu même léché?

-Oh non madame!

- En est-tu sûre? Viens-ici, (madame tapotait une place à côté d’elle sur le canapé de satin noir).

Clara vint près de Julia qui posa alors une main sur sa cuisse gainée.

- Ferme les yeux, je dois vérifier quelque chose, madame Weber prit alors la tête de Clara dans ses mains et l’embrassa, Clara fut saisie par la surprise mais eu la présence d’esprit de ne pas ouvrir les yeux, elle sentit alors la grosse langue de madame s’immiscer fougueusement dans sa bouche, puis après avoir visité toute sa cavité buccale de sa langue se retira et dit: « tu peut ouvrir les yeux à présent, effectivement, tu n’as pas de goût de foutre en bouche, tu n’as pas menti »

Pas pour longtemps pensa secrètement Julia, (elle avait imaginé un scénario qu’elle avait envie de concrétiser avec Justin et Clara, adorant le triolisme). Elle remit sa main sur la cuisse de Clara et la remonta d’une manière très inquisitrice en direction de sa vulve, elle senti alors que Clara commençait à mouiller, et une auréole commença à se former sur sa culotte de dentelle blanche. Madame Weber de plus en plus entreprenante glissa alors sa main sous la culotte de son employée se mit à branler la jeune femme, elle se rendit agréablement compte que Clara s’était rasé le sexe assez récemment, en la masturbant, madame Weber se mit elle aussi à mouiller comme une vraie chienne, Clara poussait de petits gémissements qui se firent bientôt plus sonores, elle se sentait défaillir excitée maintenant d’être le jouet de cette femme qui put être sa mère.

Clara était au bord de l’orgasme quand madame Weber arrêta brusquement de la masturber.

- Viens me lécher Clara, j’ai besoin d’une langue dans ma chatte, montre-moi ce que tu sais faire...

Sans se faire prier, Clara vint se placer entre les cuisse de madame Weber et découvrît le sexe mature de sa patronne qu’elle se mit à lécher avidement, sa langue agile passant alternativement du clitoris déjà gonflé par l’excitation à l’entrée du vagin de madame, Julia mettant sa main sur la tête de Clara s’en servit comme un objet de masturbation pendant que Julia continuait à lécher.

- Mmh ç’est bon ce que tu me fait petite cochonne, continue comme ça, surtout ne t’arrête pas... si tu me fais bien jouir, tu aura une prime de 100 euros, donnes-toi de la peine! Tout en léchant ce sexe béant, Clara vit deux doigts de madame venir se caresser, deux doigts boudinés ornés de bagues de diamant, qui s’agitèrent de plus en plus vite et tandis que les cris de la dame s’amplifiaient les mots crus fusèrent de plus en plus obscènes, continue salope! Lèche plus vite sale petite pute, allez, petite truie lèche bien ta maman.

Sous les caresses de Clara, madame Weber se sentais partir dans un autre monde, un monde de couleurs, un monde chargé de 100.000 volts où la bouche de Clara était partout, comme si Clara avait des centaines de bouches qui la suçaient de mille façons.

Elles étaient à la fois sur ses seins ses cuisses, sa chatte, son cou, son anus et même sur la chute de ses reins. Julia sentais l’orgasme imminent quant la langue de Clara força l’entrée de son petit trou pour pénétrer son rectum, c’est à cet instant que Clara dû faire un effort pour me pas crier, car l’orgasme de madame Weber prenant le dessus ses longs ongles vinrent labourer le dos de la jeune femme y laissant de vilaines et douloureuses griffures.

Après avoir joui, madame Weber reprenant peu à peu ses esprits se rendit compte que Clara continuait à la lécher presque tendrement en effet, même si madame dans son transport orgasmique ne l’avait point remarqué, la soudaine douleur de ses griffes avait prodigué à Clara une forte et vive jouissance et comme une petite garce léchait maintenant sa patronne en reconnaissance.

Après avoir pris une bonne douche, Julia retrouva Clara au living où elle l’avait laissée, elle lui dit alors: « c’était magnifique ma petite, tu est vraiment très douée... je te propose maintenant de rentrer chez toi, tu est bien sûr engagée et questions financières j’imagine que tu ne roule pas sur l’or?

- Non madame je vous l’avoue, mais ce n’est pas de me faute je,

- Ne te justifie pas veux-tu une avance? Cela pourrais-il t’aider?

- Oui madame j’apprécierais beaucoup!

- Pas de problème Clara ma conseillère financière vas t’appeler demain, il lui faudra tes références bancaires et te fera aussi parvenir ton contrat je vais lui dire de te verser, combien veux-tu?

- Comme il vous plaira madame 1000 euros m’aideraient beaucoup...

- Alors nous dirons 1000 euros et ta prime de 100 euros que je t’ai promise et que tu a largement méritée, tu aura le solde de ton salaire à la fin du mois ainsi que les primes futures, a toi de les mériter...

- Merci beaucoup madame!

Je suis contente de t’avoir à mon service, et toi est-tu contente Clara?

Très contente madame, vous ne savez à pas que point.

- Julia (regardant sa montre) bien comme il est déjà dix-sept heures, tu peux disposer, sois là demain à 9 heures tu trouvera des directives à la cuisine pour me servir le petit déjeuner que j’aime prendre au lit, maintenant tu peut disposer.

- Bien madame bonne soirée madame.

Clara partie, elle appelle son amie Lydia qui répondit au bout de trois sonneries.

Julia ma chérie quelles nouvelles?

- Alors chère Lydia je peux déjà t’annoncer que la petite Clara est d’or et déjà embauchée, tu as eus raison, cette fille est merveilleuse, il faudra que l’on en parles.

- Je le savais, je savais que tu l’aimerais beaucoup, autre chose je pensais t’inviter à dîner ce soir tu pourrais?

- Oui mais...

- Pas de discussion, je t’envoie la voiture tantôt, à toute à l’heure ma chérie.

Elle raccrocha, Julia en déduisit que Lydia se trouvais dans son appartement du 16ème, sinon elle n’aurais pas envoyé son chauffeur, car son pavillon n’était pas si loin.

Une petite heure plus tard, Julia de son bureau classait différents papiers quand elle entendit les pneus de la Bentley de Lydia crisser sur l’allée de gravier.

Un coup de sonnette léger et madame Weber vis Georges le chauffeur de Lydia sur le perron, il était en livrée
casquette à la main.

- Si Madame se donne la peine de me suivre, je serai heureux de la conduire chez Madame...

Julia entra dans la fraîcheur de la voiture par la porte que Georges lui tint ouverte, elle aimais beaucoup cet univers de cuir brun ornementé de loupe d’orme. Dans une cavité prévue à cet effet, une bouteille de champagne l’attendait et une coupe versée par Georges sur la tablette brillait de reflets mordorés dans la lumière de ce début d’automne.

Georges démarra doucement il avait une manière de conduire à la fois douce et sûre, l’on aurais dit qu’il prenais soin de cette voiture comme on devrais le faire d’une femme chargé de respect et d’admiration, à tel point que l’on ne savait guère si il se préoccupait plus de la voiture ou du confort de sa passagère.

Tout en buvant son champagne, Lydia baissa un peu la vitre fumée et l’air du soir caressa sa peau d’un frisson délicieux, ils traversaient en effet maintenant le Bois de Boulogne et des odeurs de pin et de terre humide parfumèrent l’habitacle.

Sous le bercement langoureux de la conduite de Georges la Bentley filait dans un murmure, comme un doux ronflement féminin.

Ils furent enfin à destination et Georges déposa Julia au pied d’un immeuble haussmannien, Julia entra dans l’ascenseur métallique et pressa le bouton du deuxième étage ou une plaque de laiton était gravée Lydia Gindraux. Elle actionna la sonnette en tirant sur une sorte de chainette et un tintement lointain résonna.

Lydia ouvrit.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe histoire, j'espère qu'il y aura rapidement une ou des suites....
La bourgeoise mature et domina...

Je viens de lire avec délectation les deux épisodes...
Bravo et vivement la suite.

Mr_Nay



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