Magali (2)

- Par l'auteur HDS Clar -
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Magali (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.7 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Magali (2)
Magali (2)
Quinze jours s’étaient écoulés depuis l’aventure sexuelle avec le plombier qui avait révélé à Magali une facette d’elle même qu’elle ne se connaissait pas. Après le départ de l’ouvrier, Magali avait repris ses cours particuliers, mais elle n’arrivait pas à se concentrer, revivant sans cesse la folle étreinte. Elle avait du mal à réaliser qu’elle s’était donnée à cet homme, et que surtout, elle en avait tiré un plaisir insoupçonné. Le soir, elle s’était masturbée en revivant intensément la scène, et n’avait trouvé le sommeil qu’avec difficulté.
Elle regardait désormais les hommes différemment, et n’avait qu’une envie, celle de revivre ces moments de folie. Elle décida de s’habiller de façon un peu plus sexy, et troqua ses collants contre des bas, choisit des jupes et des robes un peu plus courtes, des chemisiers plus légers. Son fantasme, elle le ressentait comme tel, était de faire des rencontres sans lendemain, avec des inconnus de condition sociale moindre, qui la domineraient dans l’acte sexuel. Elle ne voulait pas d’amour, pas de sentiment. Juste du sexe. Ce dont elle s’était privé jusqu’à présent.
Le mercredi soir, elle décida de sortir, sans but précis. Vêtue d’un chemisier blanc léger sous lequel on distinguait nettement son soutien-gorge noir et d’une jupe tombant dix centimètres au-dessus des genoux, les jambes habillées de bas noirs, le tout réhaussé par des escarpins à talon, elle s’installa au volant de sa voiture. Elle décida de rouler au hasard. Ce hasard qui déciderait du reste. Au feu, elle s’arrêta. Un scooter stoppa sur sa gauche. Elle tourna la tête. Le conducteur du scooter, un jeune homme, regardait dans sa direction et avec le pouce, lui fit un signe amical. Sa jupe était légèrement remontée à mi-cuisse, le spectacle semblait plaire au jeune. Le feu passa au vert. Les deux démarrèrent, mais le scooter prit de l’avance. Cinq cents mètres plus loin, un nouveau feu les força à s’arrêter. Sans réfléchir, Magali remonta légèrement sa jupe. Le liseré des bas se distinguait nettement. Elle stoppa à hauteur du scooter. Le jeune la regarda à nouveau. La situation l’excitait. Le feu passa au vert. Magali démarra, le scooter démarra plus lentement et resta derrière la voiture. Trois cents mètres plus loin, elle tourna à droite. Le scooter suivait. Elle mit son clignotant à droite et s’engagea dans la contre-allée. Toujours imitée par le scooter. Deux solutions s’offraient à elle : rejoindre l’autoroute et le semer, ou s’arrêter. Elle mit son clignotant, s’arrêta et coupa le contact. Le scooter ne s’arrêta pas, accéléra et disparut sur le boulevard. Déçue, elle redémarra et prit la direction de l’autoroute. Elle doublait un poids-lourd et du ralentir à sa hauteur, gênée par un véhicule plus lent. Le poids lourd fit un appel de phare puis plusieurs. Elle réalisa que sa jupe était restée retroussée sur le haut de ses cuisses, dévoilant une bande de peau nue. Cela donna une idée à la jeune femme. Elle savait qu’il y avait une aire de repos une vingtaine de kilomètres plus loin. Une dizaine de minutes plus tard, elle quittait l’autoroute. Elle arrêta sa voiture à l’écart des autres véhicules. A une centaine de mètres, les poids-lourds étaient stationnés sur un parking à part. Il y en avait une vingtaine. Elle sortit de sa voiture et se dirigea vers eux.
Dans la pénombre, elle avançait, sentant poindre une sourde excitation. Elle avait maintenant une envie de sexe. De sexe sauvage. Elle se remémorait le plaisir trouble ressenti avec le plombier. Elle atteignit le parking. Elle longeait un semi-remorque quand la porte du camion s’ouvrit sur un routier qui sauta à terre. Il n’était pas grand, les cheveux sombres, courts, peut-être une petite cinquantaine d’années, vêtu d’un short et d’un teeshirt. Il parut surpris par la présence de la femme, mais voyant sa tenue vestimentaire, il comprit rapidement la bonne fortune qui se présentait à lui. Elle n’était pourtant pas habillée comme une prostituée, elle ne lui demanderait donc pas d’argent. Il avança vers elle. Elle s’était arrêtée. Il lui sourit. Il porta sa main droite à hauteur de son short, massant son pubis. Sa main tira sur le short, offrant sans vergogne son sexe à demi érigé au regard de la jeune femme. Il la fixait du regard. Sa main montait et descendait le long de la colonne de chair. Sans un mot, il se mit nu, posant ses vêtements sur le réservoir du poids-lourd. Son sexe était court, au gland violacé déjà décalotté. Il achevait de se redresser. Magali sentait le désir monter en elle. Elle ne pouvait quitter des yeux le sexe à présent bandé et pointé vers elle. Il s’approcha. Fébrilement, il ouvrit son chemisier, dégrafa le soutien-gorge pour malaxer les seins de ce cadeau tombé du ciel. Il retroussa la jupe sur ses reins, tira sur le string et plongea sa main vers le sexe déjà ruisselant. Sans un mot, il appuya fermement sur la nuque de la jeune femme, l’obligeant à s’agenouiller. Excitée, elle obéit et ouvrit grand la bouche pour happer la hampe dressée. Elle le suça avec gourmandise, agaçant le gland avec la pointe de sa langue. Le routier avait empaumé les seins, les caressant, pinçant les pointes dressées, lui arrachant des gémissements étouffés par le mandrin qu’elle avait en bouche. Il se retira, la releva et l’emmena vers la cabine. Il la fit passer devant, se délectant du spectacle de ces fesses à moitié dénudées tandis qu’elle grimpait devant lui. Il la poussa sans ménagement sur la couchette, la délestant de ses habits, ne lui conservant que ses bas. Il enfila un préservatif, lui releva les jambes et s’enfonça d’un coup en elle. Elle gémit. Il la limait tel un métronome, se retirant d’elle pour mieux replonger. Il la retourna, et la prit en levrette. Pour elle, c’était la première fois. Il la tenait aux hanches, faisant claquer son ventre contre ses fesses. Il semblait pouvoir tenir longtemps. Il tint longtemps, la besognant sans fioriture. De temps en temps, il lâchait ses hanches pour caresser les seins ballotant au rythme du va et vient. Il sentait que le plaisir montait. Il se retira du sexe gluant et dirigea la pointe de son sexe vers l’anus, mais la jeune femme lui signifia qu’elle ne voulait pas. Retirant son préservatif, il se plaça alors devant sa bouche. Peu de temps après, il s’exonéra en elle en grognant, inondant sa bouche de longs jets crémeux. Toujours raide, après s’être coiffé d’un nouveau préservatif, il s’allongea sur elle et la pistonna à nouveau, de plus en plus vite, jusqu’à ce que dans un long cri strident, elle hurle sa jouissance. Ivre de plaisir elle attira son amant d’un soir au plus profond d’elle, le maintenant fermement aux épaules, imprimant d’elle-même le rythme de la chevauchée, prenant appui sur ses talons. En grognant, il se déversa une dernière fois dans le vagin accueillant. Elle se rhabilla sommairement, descendit du camion après avoir déposé un baiser sur ses lèvres et regagna sa voiture. Ils n’avaient pas échangé un seul mot. Elle ne garderait de lui que ce souvenir fugace et brûlant. Et cette incroyable jouissance offerte par un parfait inconnu qu’elle ne reverrait jamais.

Les avis des lecteurs

La tentation du camionneur, un grand classique bien interprété mais pourquoi donc ce jeune scooter s'est-il dérobé? J'imagine ce qui aurait pu se produire avec le talent de l'auteur

Le classique du camionneur, mais bien fait. Une suggestion : poser davantage d'alinéas pour faciliter la lecture.

Un texte qui décrit parfaitement l'irrésistible envie du plaisir



Texte coquin : Magali (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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