Magali 4/6 Une grossesse sereine
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Magali 4/6 Une grossesse sereine
Magali était donc enceinte de moi. Au village, nous ne nous cachions pas et beaucoup étaient étonnés de nous voir ensemble. Les méchantes langues ont pu s’en donner à coeur joie. Quand la grossesse de Magali est devenue visible, les commentaires ont encore pris de l’ampleur. Mes amis proches étaient partagés. Certains ont pensé que je m’étais fait “piéger” mais je leur ai expliqué que certes, nous n’avions pas pris de précautions, mais que dans tous les cas, ce n’était pas la grossesse de Magali qui nous avait réunis et que si cela n’avait pas été le cas, j’aurais quand même vivre avec elle et elle avec moi. Nous étions amoureux et voulions que cela se sache.
La mère de Magali, bien que choquée que sa fille ne veuille pas se marier avant d’accoucher, a fini par l’accepter. Nous lui avions promis que cela se ferait après. Ce que nous n’avions pas prévu, c’est que cela se ferait après… notre quatrième enfant !
Les formes de Magali s’arrondissent et je dois dire que cela m’enchante et m’excite. Son ventre commence à se voir et lorsque nous nous promenons main dans la main,que ce soit au village ou en ville, je remarque des regards soit attendris, soit jaloux. Il est sûr, qu’après notre passage, des langues se délient, mais nous n’en avons que faire.
Les semaines passent vite.Magali se trouve grosse et j’ai beau lui dire que je la trouve encore plus belle, ce qui est vrai, elle persiste :“Je deviens une grosse vache !
Mais non mon amour ! Je t’assure que tu es superbe comme ça et je ne lasse pas de t’admirer. La preuve, il ne se passe pas un jour où nous soyons ensemble, sans que je ne te fasse l’amour et te voir comme ça, m’excite terriblement.
Tout de même ! J’ai déjà pris quinze kilos et ce n’est pas fini ! Comment puis encore te plaire ?
Tu me plais parce que tu sera bientôt la mère de notre enfant et que ce soit ton gros ventre, tes hanches larges et tes seins dont les bouts noircissent et grossissent, tout ça me rend heureux et fier de t’avoir dans me bras. Je te signale aussi que je ne suis pas le seul à qui tu plais comme ça !
Comment ça ?
Béatrice aime aussi venir te gouiner et m’a aussi dit qu’elle adorait tes rondeurs.
Je…Voyons ! Je sais bien que vous vous voyez et que vous faites l’amour toutes les deux.
Oh ! J’ai honte !
Tu n’a pas à avoir honte. Béatrice m’a aussi dit que maintenant, tu lui rendais la pareille et que ta langue dans sa chatte faisait des ravages.
Oh !!!
Je t’adore mon amour. elle m’a également permis de vous regarder toutes les deux, à la condition que je ne la touche pas.
Je…Il me tarde de vous regarder faire l’amour.
Je ne pourrais pas…Quoi ? Te montrer à moi ? Mais je te connais et je serai le plus heureux des hommes si je peux vous voir. Surtout quand elle te fiste !
Qu’elle quoi ?
Qu’elle te mette sa main dans ta chatte. Ca s’appelle fister. Elle prépare le passage de notre enfant et il paraît que tu jouis comme une folle dans ces cas là!
Oh ! Je …Ne dis rien mon amour. J’adore ! Je t’aime et je t’aime encore plus en sachant que tu deviens une petite salope de gouine.
Bon. D’accord ! Tu es un pervers ! Je t’aime tu sais ! Je… je n’osais pas te le dire.
Tu peux tout me dire, ma chérie et même le jour où tu le feras avec un autre homme.
Je ne le ferai jamais voyons !
On ne dit jamais jamais. D’ailleurs, je t’emmènerai dans des endroits où des hommes te baiseront.
Tu es fou !
Oui. Fou de toi mon amour ! Viens ici que je te baise ma salope adorée ! Viens que je tète tes gros nibards, que je lèche ta chatte gluante, que je t’encules en regardant ton gros derrière !
Oh oui mon amour ! Viens baiser ta femme ! Tu me rends folle ! Et j’adore ça !”
La mère de Magali, bien que choquée que sa fille ne veuille pas se marier avant d’accoucher, a fini par l’accepter. Nous lui avions promis que cela se ferait après. Ce que nous n’avions pas prévu, c’est que cela se ferait après… notre quatrième enfant !
Les formes de Magali s’arrondissent et je dois dire que cela m’enchante et m’excite. Son ventre commence à se voir et lorsque nous nous promenons main dans la main,que ce soit au village ou en ville, je remarque des regards soit attendris, soit jaloux. Il est sûr, qu’après notre passage, des langues se délient, mais nous n’en avons que faire.
Les semaines passent vite.Magali se trouve grosse et j’ai beau lui dire que je la trouve encore plus belle, ce qui est vrai, elle persiste :“Je deviens une grosse vache !
Mais non mon amour ! Je t’assure que tu es superbe comme ça et je ne lasse pas de t’admirer. La preuve, il ne se passe pas un jour où nous soyons ensemble, sans que je ne te fasse l’amour et te voir comme ça, m’excite terriblement.
Tout de même ! J’ai déjà pris quinze kilos et ce n’est pas fini ! Comment puis encore te plaire ?
Tu me plais parce que tu sera bientôt la mère de notre enfant et que ce soit ton gros ventre, tes hanches larges et tes seins dont les bouts noircissent et grossissent, tout ça me rend heureux et fier de t’avoir dans me bras. Je te signale aussi que je ne suis pas le seul à qui tu plais comme ça !
Comment ça ?
Béatrice aime aussi venir te gouiner et m’a aussi dit qu’elle adorait tes rondeurs.
Je…Voyons ! Je sais bien que vous vous voyez et que vous faites l’amour toutes les deux.
Oh ! J’ai honte !
Tu n’a pas à avoir honte. Béatrice m’a aussi dit que maintenant, tu lui rendais la pareille et que ta langue dans sa chatte faisait des ravages.
Oh !!!
Je t’adore mon amour. elle m’a également permis de vous regarder toutes les deux, à la condition que je ne la touche pas.
Je…Il me tarde de vous regarder faire l’amour.
Je ne pourrais pas…Quoi ? Te montrer à moi ? Mais je te connais et je serai le plus heureux des hommes si je peux vous voir. Surtout quand elle te fiste !
Qu’elle quoi ?
Qu’elle te mette sa main dans ta chatte. Ca s’appelle fister. Elle prépare le passage de notre enfant et il paraît que tu jouis comme une folle dans ces cas là!
Oh ! Je …Ne dis rien mon amour. J’adore ! Je t’aime et je t’aime encore plus en sachant que tu deviens une petite salope de gouine.
Bon. D’accord ! Tu es un pervers ! Je t’aime tu sais ! Je… je n’osais pas te le dire.
Tu peux tout me dire, ma chérie et même le jour où tu le feras avec un autre homme.
Je ne le ferai jamais voyons !
On ne dit jamais jamais. D’ailleurs, je t’emmènerai dans des endroits où des hommes te baiseront.
Tu es fou !
Oui. Fou de toi mon amour ! Viens ici que je te baise ma salope adorée ! Viens que je tète tes gros nibards, que je lèche ta chatte gluante, que je t’encules en regardant ton gros derrière !
Oh oui mon amour ! Viens baiser ta femme ! Tu me rends folle ! Et j’adore ça !”
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