Mais oui, c'est elle - 8 : je l'ai dans la peau ça devait arriver

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Mais oui, c'est elle - 8 :  je l'ai dans la peau ça devait arriver Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mais oui, c'est elle - 8 : je l'ai dans la peau ça devait arriver
- Parle enfin. Contre la vérité je t'offre le pardon. Contre un nouveau mensonge ce sera la porte.

Elvire accueille cette déclaration avec soulagement visible
- Tu es homme de parole, mon amour. Je te fais confiance, puisque tu m'accorderas le pardon. Si je n'ai pas répondu plus tôt, c'est parce que je redoutais de te faire de la peine. Ce que je vais te dire te causera un gros chagrin; par avance, je te supplie de croire que l'accident dont je vais parler ne se reproduira plus jamais.

- Ce n'est qu'un accident, tu aurais été victime d'un grave accident. Je n'en vois aucune trace en dehors de tes larmes. Je suis prêt à t'entendre. Comme promis je n'engagerai pas de procédure de divorce si tu ne me caches rien.
,- Cela ne sera pas facile. Avant de parler de mon emploi du temps d'aujourd'hui, je dois remonter à l'origine de mes soucis. Cela a commencé par une histoire idiote, dont je n'ai pas voulu te parler pour ne pas te troubler inutilement. A l'époque je n'ai pas su évaluer le danger Quand nous nous sommes rencontrés, j'étais déjà une jeune femme courtisée. Je ne t'ai pas caché que je n'étais plus vierge, que j'avais eu une première aventure avec un jeune homme, collègue de travail.

- C'est vrai, tu as eu cette franchise. De toute façon, dès notre premier rapport sexuel, je me serais rendu compte de l'absence de ton hymen. Mais c'est toi que j'admirais pour ta beauté et pour ta personalité et non la petite peau qui défend l'entrée du vagin des vierges. A partir du moment où tu m'as déclaré ton amour, où tu m'as accordé la préférence, j'ai accepté ton passé, tes premiers tâtonnements amoureux. Je comprends mal que tu aies voulu me taire "une histoire idiote" alors que tu avais eu le courage de narrer ta première expérience avec un homme.

- Oui, j'ai eu tort de me taire. Quelqu'un en a profité pour se livrer contre moi à un chantage aux suites malheureuses. On m'a tendu un vilain piège. Mon premier amour avait obtenu une mutation au loin. J'ai assisté à son pot de départ. Avant la séparation, il a voulu m'embrasser. Je ne m'attendais pas au baiser sur la bouche qu'il m' a imposé sur le seuil de la salle. On nous a photographiés dans cette attitude. L'auteur malveillant a voulu faire passer la photo pour la preuve d'une liaison entretenue en cachette de toi. Aurais-tu écouté ma version ? Sous la menace d-une dénonciation, j'ai acheté le silence du maître chanteur en acceptant de faire des ménages dans ce que tu appelles à raison une maison de passes. Mon silence te semble-t-il vraisemblable ?

- Vraisemblable, oui. Mais comme c'est décevant. Pourquoi as-tu eu si peu confiance en moi ? Donc tu disparaissais pour aller faire le ménage à cause de ce chantage. Quel rapport cette histoire a-t-elle avec ton occupation de ce jour ? Tu t'égares, au fait...

- Il y a peu, je terminais mon service quand un homme s'est présenté en avance sur sa partenaire. Il était bel homme quoique âgé. Il m'a fait des offres bizarres et amusantes à la fois. Il a voulu voir mes seins et m'a tendu un billet de cinquante euros pour que je déballe ma poitrine. Moi qui pratique les seins nu gratuitement sur les plages j'ai été plus amusée que choquée et il a vu ce qu'il voulait voir mais sans toucher autrement qu'avec les yeux. Pour cinquante euros supplémentaires il a vu ma culotte. La situation a pris un autre tour quand il a sorti de son pantalon sa verge et m'a proposé de la prendre en main. J"ai été sauvée par l'arrivée de la personnequ'il avait convoquée. Il m'a remis une carte de visite et m'a invitée à lui rendre visite aujourd'hui. Il devait me donner 200 euros et je devrais me montrer davantage.

- Tu n'as pas compris qu'il t'attirait dans un endroit où personne ne viendrait te sauver de tentatives plus hardies de cet audacieux ? Tu n'es pas une gourde, alors tu n'as pas pu répondre à ce genre d'invitation. Parle-moi plutôt de ce que tu as fait aujourd'hui.

- Ce type m'intriguait, je n'ai pas résisté à l'envie de savoir ce qu'il attendait de moi. Gagner deux cents euros pour m'exhiber et revoir son sexe de forme étrange, ça m'a poussé à réaliser un fantasme dont je n'ai parlé à personne : voir un homme nu autre que mon premier amour et différent de mon mari.

- Tu es donc lasse de moi et il te faut rencontrer d'autres hommes. Pourtant les intentions de cet individu ne pouvaient pas se limiter à une simple exhibition. Assurément il comptait faire l'amour avec une femme assez délurée pour étaler ses nichons ou sa culotte. Il ne doublait pas la prime pour simplement te regarder au fond des yeux ou pour voir ton string entre tes fesses . Et toi tu savais ce qu'il attendait de ta visite. Tu as passé ton après-midi chez lui ? A faire quoi que tu ne pouvais pas faire avec moi. Tu ne m'aimes plus ?

- Oh, non, ne dis pas ça. Je t'aime. Je n'ai pas agi contre toi, je n'ai pas voulu te faire du mal. Je suis ma propre victime. Ma curiosité m'a entraînée à m'exposer. Je me croyais forte, capable de résister à un bonhomme de cinquante ans. J'avais repéré sa maison, j'avais vu une grosse berline dans sa cour
- Sans compter une grosse bite : tout ce qui est gros te fascine ma parole !

- Il y avait quelque chose d'étrange, j'ai voulu savoir ce que cachait la façade, j'y suis allée avec des sentiments mélangés de curiosité et de crainte. Je me suis dit que tu ne saurais rien de cet écart et que tu n'en souffrirais donc pas. Depuis nos débuts, c'était mon premier et seul faux pas. Après mon fantasme s'évanouirait, je continuerais à t'aimer et tu m'aimerais toujours autant. L'erreur éait double, je le constate maintenant. Tu sais et tu me méprises.

- "Monpremier faux pas" dis-tu. La facilité de ta démarche permet d'en douter. Admettons. Quant à croire que ce sera "le seul" c'est ignorer qu'il n'y a que le premier pas qui coûte. Mettre le doigt dans l'engrenage, c'est s'exposer à y voir engloutir le bras et le reste du corps. Tu as commis un premier adultère avec un homme de trente ans plus âgé que toi, un jour tu voudras connaître un quadragénaire ou un garçon de vingt ans
- Alors dis-moi, comment s'est déroulé ce rendez-vous.? Vous avez baisé, ça t'a plu, tu as joui, un peu, beaucoup. Sa queue valait le déplacement, son argent suffit à faire oublier ta trahison ?

- Je ne savais plus ce que je voulais. J'étais là, il m'a étreinte, embrassée, palpée, déshabillée, touchée, chatouillée. Ses doigts ont fouillé mon sexe, y ont semé des sensations fortes: j'ai perdu toute volonté de résister, j'ai cédé, je me suis mise à répondre à ses baisers de veuf expérimenté.

- Tu dis "expérimenté" au lieu de "meilleur que toi"pour ne pas me vexer.

- Ne déforme pas mes paroles. Il n'est pas meilleur que toi, il est différent.

- Dans ce cas tu n'as pas fini de t'envoyer en l'air avec des types qui seront "différents". Au nom de la différence, tu auras de nombreux fantasmes à réaliser. Il serait naturel de rechercher toutes les différences, de tuer tes fantasmes au fur et à mesure de leur apparition. N'est-ce pas une excellente raison de me quitter pour chasser librement et ouvertement des sexes masculins d'aspect différent, des petits gros, des longs minces. des moyens. Il te faudra des amants plus doués, plus raffinés, plus riches, mieux logés etc...

- Tu m'as promis de ne pas demander le divorce. Je t'aime, je veux oublier cette faute et continuer à vivre avec toi. Je te jure d'être fidèle "jusqu'à ce que la mort nous sépare".

- J'ai entendu cette chanson le jour de notre mariage. Tu m'as démontré aujourd'hui que ce n'est qu'une formule creuse. Je suis plus blessé que tu ne sembles l'avoir calculé quand tu es allée clamer ta jouissance avec ce quinquagénaire merveilleux, assez séduisant pour te faire oublier, pendant un après-midi, tes engagements du mariage que tu crois renouveler bien naïvement en citant cette phrase.

- Je te demande pardon. Tiens compte de tout le passé sans erreur.Je n'ai plus qu'un fantasme, c'est de vivre avec toi.

- Pas de divorce, ne signifie pas impunité. Pour continuer à vivre à mon côté il te suffira d'être soumise. Tu devras obéir sans discussion à chacun de mes ordres. La première désobéissance me déliera de mon engagement et je pourrai divorcer sans être parjure. Cela te convient-il ?- Je serai la femme la plus soumise. Tu pourras me mettre à l'épreuve et tu seras étonné de l'ardeur que je mettrai à te satisfaire, dans la vie quotidienne comme au lit.

- Commençons par le lit. Pendant un an nous ferons chambre à part. Je ne me sens pas capable de te faire l'amour après tes accouplements libidineux. Comment succéder à ton ami dans ton vagin déformé par une grosse queue. J'aurais trop peur de te décevoir.

- Tu ne m'as jamais déçu. Faire chambre à part.

- J'ai dit :"sans discussion", la règle s'applique immédiatement.
De plus je ne tiens pas à mélanger mon sperme au sien, à la fois par dégoût et par crainte de brouiller les pistes si tu es enceinte des oeuvres de ce cochon aujourd'hui : tu n'as pas mentionné l'utilisation de préservatifs, j'en conclus que votre passion vous a fait négliger ce type de protection.


Ce soir je couche seul. J'élabore un plan. Elvire doit payer sa tromperie. Pour mo elle a mûri l'adultère. Elle n'a pas été surprise, ou prise par accident. Elle a eu une semaine avant de se rendre chez ce Greg de façon délibérée. Elle a cru pouvoir me cacher la faute, elle pensait pouvoir vivre ensuite comme une épouse innocente, sans remords. Sans remords n'exclut pas les regrets de ne pas recommencer. La tentation survivra, après la première fois, rien n'écartera une deuxième fois et d'autres. Je ne demanderai pas le divorce, mais...

Le mercredi matin, au lieu de me rendre sur mon chantier, je traîne à la maison. Elvire toujours dans l'attente d'un mot tendre, me demande pourquoi je ne suis pas au travail.

- J'attends un possible client. Un homme m'a interpellé dans la rue. Il recherche une entreprise qui puisse, dans les meilleurs délais, refaire sa toiture et installer des panneaux solaires. Nous sommes capables de réaliser tous travaux de cette nature. Mon carnet de commande pourrait gonfler. Il ne devrait pas tarder..

Greg arrive. Je le reçois et je le fais entrer dans mon bureau. J'appelle Elvire, elle pousse la porte et se retrouve face à mon client.

- Cher monsieur, je vous présente Elvire, mon épouse. Elle exerce comme institutrice et assure la comptabilité de l'entreprise les mercredis, samedis et dimanches. Ma chérie je te présente monsieur... pardon voudriez-vous me rappeler votre nom.
Ce trou de mémoire volontaire me permet de scruter les visages embarrassés des deux amants. Greg joue le jeu, Elvire est la plus surprise et n'a pas la présence d'esprit de désigner ce client comme son séducteur. Ils se saluent en parfaits étrangers, sont nécessairement "enchantés de faire votre connaissance". Je pourrais ne rien remarquer deu plaisir de Greg de se retrouver en face de sa récente conquête ou du rouge qui monte aux joues de mon épouse. Je savoure.

Ma chérie, je te prie d'assister à notre entretien. Tiens-toi à coté de moi, pendant que je prends notes des souhaits de monsieur Latour. J'écris. Greg et Elvire sont debout à ma droite. Elvire s'agite, d'un coup d'oeil je vérifie discrètement que l'amant se permet de la peloter. Ma femme peut essayer d'échapper à ses doigts, elle ne peut pas me faire perdre une commande importante en protestant. Greg l'a baisée, Greg est certain qu'elle n'osera pas le dénoncer Greg ne renoncera pas à cette proie
Elvire pose ses mains sur mon bureau, ses pieds reculent, ses fesses aussi. Elle est penchée, proche de moi. Son souffle devient irrégulier, contrarié. Elle ne peut pas le maîtriser. Je fais semblant de ne pas remarquer que Greg a posé une main sur sa croupe. Je détourne la tête quand il devient clair qu'il a passé une main sous la jupe et introduit un doigt dans l'un des orifices de ma salope. Je laisse faire, cela fait partie de mon plan.Je me redresse, il retire ses doigts indiscrets. J'ai les premiers éléments nécessaires, je propose d'aller sur place, prendre les mesures pour établir un devis.

- C'est parfait, allons-y tout de suite, je suis libre ce matin. Ah: J'ai entendu que votre charmante épouse s'occupe de votre comptabilité. Mon comptable part à la retraite dans trois mois. Je gère une importante concession automobile. Le salaire de mon comptable est très convenable. Si madame le voulait, je pourrais l'embaucher pour le remplacer. Elle pourrait dès à présent se mettre au courant des particularités du poste en travaillant avec le futur retraité.Il sera ravi d"apprendre qu'il sera remplacé.

Je ne laisse pas à Elvire le temps d'objecter qu'elle est institutrice.

- Ma chérie, ce serait une reconversion idéale. Souvent tu te plains des difficultés croissantes de ton métier. Je te demande de profiter de tes jours de liberté pour ce type de formation. Accompagne-nous. Monsieur Latour te fera visiter son établissement et te mettra en contact avec ton formateur.

- Mais
Greg fait semblant de se désintéresser de la conversation. Je fixe Elvire et je lui dis gentiment à l'oreille :
- C'est un ordre. Obéis.

Est-ce mon ordre, est-ce le doigt qui lui a tripatouillé le sexe, Elvire ravale ses arguments et déclare qu'elle veut bien étudier l'offre d'emploi.

J'ai pris mes mesures sur le toit. Je rejoins au salon un couple contrarié. Le bonhomme a certainement essayé de pousser son avantage. Je peux partir :
- Je vous ferai parvenir mon devis par Elvire. Je vous souhaite le bonjour, je rejoins mes ouvriers. Ma chérie, je te laisse avec Monsieur profite bien de sa générosité.

Le samedi suivant Elvire est allée à la concession avec un regard de victime. Ell e trouvait ce poste assez morne. Ses élèves lui manqueraient, ses collègues aussi. Je répliquais
- Soumission ou divorce.

Avec le temps elle a démissionné de l'éducation nationale et a pris un temps plein chez Greg. Un jour elle m'a annoncé qu'elle était enceinte. Cela ne pouvait pas être de moi. Elle m'a demandé de réfléchir à une solution digne. Je lui ai conseillé d'épouser le père.

- Tu oublies que la bigamie est interdite dans notre pays. Et bientôt il y aura un an que nous faisons chambre à part. Je t"aime toujours, tu le sais. Que faire ?

- Qui est le père ?

- Tu veux savoir. C'est Greg, tu m'as jetée dans ses pattes. Chaque jour il me fait l'amour, chez lui ou au bureau. C'est devenu une habitude.Que je veuille ou non, il sort sa grosse bite et me la fourre aussi bien sur le capot d'une auto que dans son lit. Le soir je reviens çà la maison, souvent chargée de foutre, plus souvent marquée de bleus à tous les niveaux. Tu n'avais pas deviné que j'avais passé ce fameux après-midi avec lui. Je suis enceinte de lui, mais c'est toi que j'aime. Veux-tu que je demande le divorce. Greg m'épousera, mais
- Attends, j'ai conservé dans mon smartphone des souvenirs. Ce soir, dans ta chambre,tu consulteras ces photos et videos. Demain tu sauras prendre la décision qui s'impose.

Le lendemain matin Elvire m' aborde les yeux rougis:.

- Qui t'a fourni tout ça ? C'est dégoûtant de faire le voyeur comme ça
- Que veux-tu, javais des doutes sur ta fidélité. J'ai voulu être certain que tu me cocufiais. J'ai pris mes dispositions
- Comment t'es-tu procuré ces documents? Qui te les a envoyés . Greg m'a trahie, pour te dégoûter de moi, c'est ça ? Mais comment a-t-il pu filmer et être filmé en même temps ? Tu as tout visionné évidemment? C'est horrible.

-J'ai filmé moi-même ton adultère. Tu as été actrice très active. De réticente tout au début, tu es vite devenue meneuse. Par exemple quand tu le chevauches, on voit tes efforts, on entend ton souffle saccadé. Et quelle ferveur dans la fellation. Tu suces les couilles, tu lèches la tige de la racine au gland, tu ne délaisses pas un centimètre carré et ensuite tu te goinfres de cette grosse queue, tu la cales au fond de ta gorge avant de recracher sa décharge glaireuse. ESt-ce la nouveauté qui te rendait folle, qui te laissait lèvres collées à ses poils pubien jusqu'à l'étouffement ? Ce Greg en a eu pour son argent. Pour un service aussi dévoué il aurait pu se montrer plus généreux. Après ça je ne pouvais plus t'aimer.

- Alors je dois épouser Greg ?

- Ce n'est pas le plus mauvais parti.

- Qui sonne si tard le soir?

- Comme tu vas me quitter, j'ai entrepris d'embaucher un comptable à mi-temps.

- Mais, tu savais que je partirais?

- Greg m'a annoncé ta grossesse. Il est si heureux
- Entrez, la porte est ouverte. Veuillez monter à l'étage.

- Apparaît une rousse admirable aux yeux bleus, à la poitrine somptueuse, belle, avec des hanches dont la largeur est mise en valeur par la minceur de la taille. Belle, si belle. Pourquoi dire à Elvire que cette créature pourrait la remplacer dans mon lit ?

Après les présentations, celle que je viens de nommer "mon ex-femme" me prend à part et m'interroge :
- Cette Carole n'a pas plus de vingt trois ou vingt quatre ans. N'est-elle pas trop jeune pour toi ?

- T'ai-je fait remarquer que Greg a vingt ans de plus que toi?

Jamais je n'aurais cru aussi facile d'obtenir le divorce. Des fois ma si belle Carole m'accorde un soir de sortie avec mes ouvriers. Pourvu qu'elle n'apprenne jamais que je passe cette . soirée dans une chambre d'hôtel avec une jeune mère qui croit toujours m'aimer follement. C'est ma faiblesse. Mais oui, Greg est cocu.; il l'a cherché!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Le style est intéressant et la plume plutôt agile mais la fin trop bizarre … et j’ai toujours pas compris le mari qui pousse sa femme dans le lit de son amant!!!! Dans ce cas il aurait du des le début divorcer et passer a autre chise … c est cette astuce pour la degager que je trouve lourd et ridicule. Alex H

Histoire Erotique
Elle l’aime, accepte ses conditions et pour finir se fait sauter par greg tous les jours sans préservatif???? Allo quoi ? Pas tres logique… accent la prochaine fois dis clairement qu’elle est folle de cul pour ce greg et que son mari elle s’en cogne … ca sera plus clair et ce eviterait de tuer l’histoire … autant de chapitre pour en arriver la ….



Texte coquin : Mais oui, c'est elle - 8 :  je l'ai dans la peau ça devait arriver
Histoire sexe : Une rose rouge
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