Mais oui, c'était moi 6
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mais oui, c'était moi 6
Des amis affirment que j'ai bien mérité que mon mari me trompe, que c'est un juste retour de bâton, que c'est bien fait pour moi. Ma conduite avec ce mari adultère tout à coup va susciter des réactions très diverses. On va m'accuser de faiblesse, de timidité, de lâcheté, de manque de courage, de manque de cran, d'absence du sens de l'honneur, ou au contraire de cupidité, d'avidité, de soumission à l'intérêt matériel, au fric, à la carrière. Qu'on me permette d'exposer mon point de vue en m'appuyant sur mon expérience passée.
J'ai connu, à la suite de ma propre erreur, de l'adultère commis par légèreté devant Jean caché, mon mari à l'époque, le rejet. Etre rejetée, ignorée, poussée au loin, c'est horrible. J'ai tout accepté de Jean, j'ai obéi à ses conseils ou à ses ordres de quitter ma profession, de travailler pour mon séducteur uniquement : je me soumettais avec l'espoir d'obtenir le pardon et un retour en grâce. Jean, hélas, s'est montré intraitable, impitoyable tant ma trahison l'avait traumatisé. Il ne voulait plus de moi, même pas pour apaiser sa libido exigeante auparavant. Pour lui, un an c'était perpétuité sans amour.
Pendant des mois j'en ai cruellement souffert, les remords m'ont rongée, j'ai pensé à mourir en avalant des médicaments, en me jetant à l'eau. Lasse d'attendre en vain, je me suis condamnée à céder à Greg. C'était, au début, une sorte de suicide, contraire à mes valeurs. Je suis tombée enceinte; il ne me restait plus qu'à l'épouser pour que mon enfant ait une famille composée d'un père et d'une mère. Je subissais jusque dans le meilleur ma condamnation rigide par Jean.
Avec le temps, la punition que je m'étais imposée à cause de mon infidélité, cette forme de suicide, a pris l'aspect d'un sauvetage. Greg, en homme d'honneur a respecté sa promesse de m'épouser. Il a ensuite été un mari tendre, attentif et, faut-il l'ajouter, sexuellement parfait et apaisant. De plus c'est un papa poule formidable. Après un mariage de raison, j'ai compris quelle chance il m'avait offerte dans la détresse où il avait contribué à me plonger. Un simple Don Juan aurait fui. Lui s'est chargé de moi, m'a réconfortée, a su attendre l'heure où je guérirais. Il a commencé à me former à un nouveau métier, a encouragé mes efforts pour élargir mes horizons, m'a aidée à compléter mon expertise comptable par une formation à la vente et à l'achat de voitures. Je lui dois le respect.
Comment dans ces conditions me montrer inflexible quand je le surprends dans un moment de faiblesse. Carole est belle fille, encore jeune rousse aux yeux verts. Elle a déployé ses charmes , s"est dénudée pour se baigner dans la piscine en maillot de bain deux pièces, a étalé ses chairs roses débordantes, a fini par créer l'excitation qui met le feu dans les caleçons des hommes normaux. Greg n'a pas échappé à l'appel des sens, a cédé à ses vieux démons. Ils étaient seuls, la femme s'offrait, acceptait les billets, enlevait ses derniers voiles, présentait son sexe. Provoqué il a voulu montrer qu'il en avait, qu'il était un vrai mâle et a recommencé son manège de banquier séduisant. J'ai fait cesser l'acte dès qu'il a été impossible d'en nier la réalité et pour accorder mon pardon je me suis livrée au coupable repentant. Ma seule exigence a été le renvoi immédiat de la complice.
Cette démission obtenue, sa fièvre sexuelle calmée par mes bons soins, Greg a continué à se sentir en faute. De lui-même, pour me montrer combien il regrettait l'événement, il a redoublé de tendresse. Il a cru nécessaire aussi de payer le pardon reçu par une marque de confiance incroyable. Un beau jour, après des démarches menées en secret, il m'a annoncé que j"étais nommée co-gérante de la concession. Cette promotion extraordinaire faisait de moi son égale au travail. Comme quoi, il vaut mieux chercher un arrangement que de se faire la gueule ou la guerre.
Avec ces nouvelles attributions, je devins membre de l'organisation locale des PME. J'y rencontrais Jean. Quand le secrétaire prit sa retraite, on me proposa la place. Ainsi je dus m'asseoir à côté du vice président, mon ex mari. Je remarquai quelques regards curieux chez ceux qui nous avaient connus mari et femme. Jean et moi sommes policés, il n'y eut pas de problème.
Arrive le quatrième anniversaire de Linda. Le papa si fier de sa fille organise une fête. Linda reçoit ses cadeaux, joue. Les adultes discutent, boivent, chantent. La fête finit. Linda est couchée. Ses parents se retrouvent seuls. Greg a bien arrosé l'anniversaire. Ses yeux brillent de bonheur et l'alcool aidant tient absolument à partager son bonheur avec la maman! Au lit, il se montre ardent, parle de l'éventualité de donner un petit frère à notre fille. Dans l'euphorie de la soirée il multiplie les efforts. Il est en moi, me domine, me défonce avec son sexe toujours aussi vaillant. Il me veut championne des orgasmes, pompe, entre, sort, observe sur mon visage les signes de la montée du plaisir. Mais que lui arrive-t-il ? Sa bouche se tord, il essaie de parler, bredouille des mots hachés. Je lis la panique dans son regard, son mouvement du bassin se bloque, Greg est paralysé?
Je suis effrayée, je réussis difficilement à me dégager du poids de son corps plus lourd parce que incapable de bouger. Je cours au téléphone, j'appelle le samu, je donne l'alerte. Je prends le temps de m'habiller et de cacher la nudité de mon mari. On l'emmène à l'hôpital, je suivrai. Greg est victime d'un avc. Par chance il s'en remettra au bout d'une longue convalescence, avec des recommandations de prudence du corps médical.
- Vous pourriez le tuer ... me dit-on.
Je suis censé comprendre que l'âge, le goût de la bonne chère, quelques excès de table passés rendent l'état de santé de mon homme plutôt fragile. A l'avenir Greg devra modérer ses élans amoureux s'il veut voir grandir son enfant. En mots feutrés et en regardant la femme gourmande d'un oeil soupçonneux, on nous laisse entendre que l'alerte a été sérieuse et que de nouveaux excès pourraient avoir des conséquences plus graves.
Comme tout le monde, Greg tient à vivre. Les conseils de modération l'affligent. Un sevrage sexuel supportable quand on doit rester alité par faiblesse devient monstrueux quand on retrouve la possibilité de se lever, quand le kinésithérapeute rétablit l'usage de vos membres. Faute de pouvoir faire Greg m'a réclamé celui de voir. Voir sa femme, la voir nue, lui faire prendre des positions suggestives, la voir se caresser de la tête aux pieds et principalement la voir en train de passer la main sur sa vulve ou un doigt sur la ligne de ses nymphes, assister à une masturbation spectacle improvisée pour lui, par l'épouse qui peut s'offrir sans danger les petits plaisirs refusés au mari.
Vous pensez facile de prendre la pose, d'ouvrir les cuisses, de vous caresser l'intimité, de faire tourner deux ou trois doigts sur les grandes lèvres, de titiller le clitoris avec un index ou de pénétrer le vagin avec les doigts à la recherche du point G ou des frissons qui secoueront votre corps. Vous croyez aisé de pousser la masturbation jusqu'à la perte de contrôle de soi devant l'époux demandeur. Pas facile, même pour une femme de trente cinq ans. La pudeur mais aussi la peur de faire monter encore plus un désir réel et d'échauffer trop la libido du convalescent forment un frein. Il est gênant de faire seule des gestes normaux quand on les fait en couple. Ecarter avec mes doigts les lèvres de mon sexe, montrer ses membranes roses et luisantes à l'homme qui va y introduire sa verge, c'est naturel. Les mêmes gestes paraissent incongrus quand on sait que le partenaire n'aura pas accès à l'orifice.
Voir peut se compléter par toucher. Greg aime caresser mon intimité. On ne lui a pas interdit de glisser un ou deux doigts ici ou là. Il en profite, je me laisse pénétrer, je lui laisse la joie de pétrir les abords, de frotter les parois. Mais pendant qu'il use de ma passivité, je surveille son visage. Une émotion trop forte pourrait lui être fatale. Je veux le garder. Pour la conduite de la concession, j'ai besoin de ses conseils avisés, pour mon bonheur j'ai besoin de sa présence et Linda a besoin de son père.
Greg a manifesté l'envie de faire venir Jean. Il veut lui parler en tête-à-tête. Sent-il approcher le grand départ, malgré les améliorations apparentes de sa santé. Veut-il confier à mon ex mari la charge de me soutenir en cas de décès. Il ne me dit pas ce qui rend importante cette rencontre entre les deux maris de la même femme.
J'ai vu Jean quitter la maison, le front plissé, sourcilleux, grave. Il n'a pas levé la tête vers les fenêtres de l'étage, courbé sous le poids des demandes de Greg ? Pour le moins, pas enchanté du contenu de leur échange. Je me suis inquiétée. Greg me calme:
- Ne sois pas impatiente. J'ai fait une proposition à Jean, il a été étonné et demande à réfléchir. Il devrait me répondre dans une semaine.
- De quoi s'agit-il ? Tu as des secrets pour moi maintenant. Je partage tout avec toi, tu t'amuses à me faire languir pendant une semaine. Ce n'est pas correct.
- Je ne veux pas que la réponse de Jean te déçoive. Je compte te parler du sujet de la conversation si Jean est favorable à ma proposition. A ce moment je devrai nécessairement te consulter. Ma chérie j'aimerais un gros câlin, j'en ai vraiment envie. Veux-tu ...
- Oui, mon cher mari, dès que Jean aura daigné te donner sa réponse. J'ai autre chose à faire. Repose-toi.
- Oh ! Te voilà vexée. Loin de moi l'idée de te cacher ce que je souhaite. Viens, assieds-toi là, je te raconte tout. Merci pour ton sourire. J'avoue que je suis gêné aux entournures. Mon plan initial était plus simple. Je risque de te froisser, bien que cela ne soit pas mon but.
- Ah ! Je suis donc directement concernée par le contenu de votre entretien. Raison de plus pour que tu me mettes au courant. Ne tergiverse plus, allez, va droit au but, je t"écoute.
- Tu devines mes pensées. Avant tout, sache que, quelle que soit la réponse de Jean, c'est toi qui aura le dernier mot. J'aimerais recevoir l'accord de ton ex . J'espère que cet accord te conviendra.
- Greg, c'est vilain de me mettre sur des charbons ardents. En quoi mon ex,comme tu le désignes, peut-il intervenir dans ma vie? Lui et moi nous côtoyons comme des gens civilisés, mais je n'oublie pas qu'il m'a traitée comme une moins que rien. Je refuse d'être un jour sous sa tutelle. Est-ce parce que tu crains de me quitter prochainement ? Tu aurais tort de prévoir ta succession, ta santé s'améliore. Donc jamais je n'accepterai que Jean sois chargé de me contrôler ou de me conseiller. Depuis ton accident je conduis parfaitement l'entreprise. Tes avis me sont utiles. La direction de la marque m'a surveillée et félicité. Je saurai me passer de Jean si tu viens à me manquer.
- Oh! là! Quelle tirade. Remets-toi, je ne prépare pas ma succession, je ne souhaite pas te placer sous tutelle; tu as assez prouvé tes qualités et ta capacité à gérer notre entreprise. Ce que j'aimerais créer est d'un ordre tout différent, a pour but de rendre ma vie plus agréable.
Il fallait le dire tout de suite. Pour rendre ta vie plus agréable, je ne refuserai jamais rien. Je souscris à toutes tes décisions. Demande et tu recevras, j'en fais le serment. Tu sais que je serai toujours là pour toi. Je t'aime.
J'ai connu, à la suite de ma propre erreur, de l'adultère commis par légèreté devant Jean caché, mon mari à l'époque, le rejet. Etre rejetée, ignorée, poussée au loin, c'est horrible. J'ai tout accepté de Jean, j'ai obéi à ses conseils ou à ses ordres de quitter ma profession, de travailler pour mon séducteur uniquement : je me soumettais avec l'espoir d'obtenir le pardon et un retour en grâce. Jean, hélas, s'est montré intraitable, impitoyable tant ma trahison l'avait traumatisé. Il ne voulait plus de moi, même pas pour apaiser sa libido exigeante auparavant. Pour lui, un an c'était perpétuité sans amour.
Pendant des mois j'en ai cruellement souffert, les remords m'ont rongée, j'ai pensé à mourir en avalant des médicaments, en me jetant à l'eau. Lasse d'attendre en vain, je me suis condamnée à céder à Greg. C'était, au début, une sorte de suicide, contraire à mes valeurs. Je suis tombée enceinte; il ne me restait plus qu'à l'épouser pour que mon enfant ait une famille composée d'un père et d'une mère. Je subissais jusque dans le meilleur ma condamnation rigide par Jean.
Avec le temps, la punition que je m'étais imposée à cause de mon infidélité, cette forme de suicide, a pris l'aspect d'un sauvetage. Greg, en homme d'honneur a respecté sa promesse de m'épouser. Il a ensuite été un mari tendre, attentif et, faut-il l'ajouter, sexuellement parfait et apaisant. De plus c'est un papa poule formidable. Après un mariage de raison, j'ai compris quelle chance il m'avait offerte dans la détresse où il avait contribué à me plonger. Un simple Don Juan aurait fui. Lui s'est chargé de moi, m'a réconfortée, a su attendre l'heure où je guérirais. Il a commencé à me former à un nouveau métier, a encouragé mes efforts pour élargir mes horizons, m'a aidée à compléter mon expertise comptable par une formation à la vente et à l'achat de voitures. Je lui dois le respect.
Comment dans ces conditions me montrer inflexible quand je le surprends dans un moment de faiblesse. Carole est belle fille, encore jeune rousse aux yeux verts. Elle a déployé ses charmes , s"est dénudée pour se baigner dans la piscine en maillot de bain deux pièces, a étalé ses chairs roses débordantes, a fini par créer l'excitation qui met le feu dans les caleçons des hommes normaux. Greg n'a pas échappé à l'appel des sens, a cédé à ses vieux démons. Ils étaient seuls, la femme s'offrait, acceptait les billets, enlevait ses derniers voiles, présentait son sexe. Provoqué il a voulu montrer qu'il en avait, qu'il était un vrai mâle et a recommencé son manège de banquier séduisant. J'ai fait cesser l'acte dès qu'il a été impossible d'en nier la réalité et pour accorder mon pardon je me suis livrée au coupable repentant. Ma seule exigence a été le renvoi immédiat de la complice.
Cette démission obtenue, sa fièvre sexuelle calmée par mes bons soins, Greg a continué à se sentir en faute. De lui-même, pour me montrer combien il regrettait l'événement, il a redoublé de tendresse. Il a cru nécessaire aussi de payer le pardon reçu par une marque de confiance incroyable. Un beau jour, après des démarches menées en secret, il m'a annoncé que j"étais nommée co-gérante de la concession. Cette promotion extraordinaire faisait de moi son égale au travail. Comme quoi, il vaut mieux chercher un arrangement que de se faire la gueule ou la guerre.
Avec ces nouvelles attributions, je devins membre de l'organisation locale des PME. J'y rencontrais Jean. Quand le secrétaire prit sa retraite, on me proposa la place. Ainsi je dus m'asseoir à côté du vice président, mon ex mari. Je remarquai quelques regards curieux chez ceux qui nous avaient connus mari et femme. Jean et moi sommes policés, il n'y eut pas de problème.
Arrive le quatrième anniversaire de Linda. Le papa si fier de sa fille organise une fête. Linda reçoit ses cadeaux, joue. Les adultes discutent, boivent, chantent. La fête finit. Linda est couchée. Ses parents se retrouvent seuls. Greg a bien arrosé l'anniversaire. Ses yeux brillent de bonheur et l'alcool aidant tient absolument à partager son bonheur avec la maman! Au lit, il se montre ardent, parle de l'éventualité de donner un petit frère à notre fille. Dans l'euphorie de la soirée il multiplie les efforts. Il est en moi, me domine, me défonce avec son sexe toujours aussi vaillant. Il me veut championne des orgasmes, pompe, entre, sort, observe sur mon visage les signes de la montée du plaisir. Mais que lui arrive-t-il ? Sa bouche se tord, il essaie de parler, bredouille des mots hachés. Je lis la panique dans son regard, son mouvement du bassin se bloque, Greg est paralysé?
Je suis effrayée, je réussis difficilement à me dégager du poids de son corps plus lourd parce que incapable de bouger. Je cours au téléphone, j'appelle le samu, je donne l'alerte. Je prends le temps de m'habiller et de cacher la nudité de mon mari. On l'emmène à l'hôpital, je suivrai. Greg est victime d'un avc. Par chance il s'en remettra au bout d'une longue convalescence, avec des recommandations de prudence du corps médical.
- Vous pourriez le tuer ... me dit-on.
Je suis censé comprendre que l'âge, le goût de la bonne chère, quelques excès de table passés rendent l'état de santé de mon homme plutôt fragile. A l'avenir Greg devra modérer ses élans amoureux s'il veut voir grandir son enfant. En mots feutrés et en regardant la femme gourmande d'un oeil soupçonneux, on nous laisse entendre que l'alerte a été sérieuse et que de nouveaux excès pourraient avoir des conséquences plus graves.
Comme tout le monde, Greg tient à vivre. Les conseils de modération l'affligent. Un sevrage sexuel supportable quand on doit rester alité par faiblesse devient monstrueux quand on retrouve la possibilité de se lever, quand le kinésithérapeute rétablit l'usage de vos membres. Faute de pouvoir faire Greg m'a réclamé celui de voir. Voir sa femme, la voir nue, lui faire prendre des positions suggestives, la voir se caresser de la tête aux pieds et principalement la voir en train de passer la main sur sa vulve ou un doigt sur la ligne de ses nymphes, assister à une masturbation spectacle improvisée pour lui, par l'épouse qui peut s'offrir sans danger les petits plaisirs refusés au mari.
Vous pensez facile de prendre la pose, d'ouvrir les cuisses, de vous caresser l'intimité, de faire tourner deux ou trois doigts sur les grandes lèvres, de titiller le clitoris avec un index ou de pénétrer le vagin avec les doigts à la recherche du point G ou des frissons qui secoueront votre corps. Vous croyez aisé de pousser la masturbation jusqu'à la perte de contrôle de soi devant l'époux demandeur. Pas facile, même pour une femme de trente cinq ans. La pudeur mais aussi la peur de faire monter encore plus un désir réel et d'échauffer trop la libido du convalescent forment un frein. Il est gênant de faire seule des gestes normaux quand on les fait en couple. Ecarter avec mes doigts les lèvres de mon sexe, montrer ses membranes roses et luisantes à l'homme qui va y introduire sa verge, c'est naturel. Les mêmes gestes paraissent incongrus quand on sait que le partenaire n'aura pas accès à l'orifice.
Voir peut se compléter par toucher. Greg aime caresser mon intimité. On ne lui a pas interdit de glisser un ou deux doigts ici ou là. Il en profite, je me laisse pénétrer, je lui laisse la joie de pétrir les abords, de frotter les parois. Mais pendant qu'il use de ma passivité, je surveille son visage. Une émotion trop forte pourrait lui être fatale. Je veux le garder. Pour la conduite de la concession, j'ai besoin de ses conseils avisés, pour mon bonheur j'ai besoin de sa présence et Linda a besoin de son père.
Greg a manifesté l'envie de faire venir Jean. Il veut lui parler en tête-à-tête. Sent-il approcher le grand départ, malgré les améliorations apparentes de sa santé. Veut-il confier à mon ex mari la charge de me soutenir en cas de décès. Il ne me dit pas ce qui rend importante cette rencontre entre les deux maris de la même femme.
J'ai vu Jean quitter la maison, le front plissé, sourcilleux, grave. Il n'a pas levé la tête vers les fenêtres de l'étage, courbé sous le poids des demandes de Greg ? Pour le moins, pas enchanté du contenu de leur échange. Je me suis inquiétée. Greg me calme:
- Ne sois pas impatiente. J'ai fait une proposition à Jean, il a été étonné et demande à réfléchir. Il devrait me répondre dans une semaine.
- De quoi s'agit-il ? Tu as des secrets pour moi maintenant. Je partage tout avec toi, tu t'amuses à me faire languir pendant une semaine. Ce n'est pas correct.
- Je ne veux pas que la réponse de Jean te déçoive. Je compte te parler du sujet de la conversation si Jean est favorable à ma proposition. A ce moment je devrai nécessairement te consulter. Ma chérie j'aimerais un gros câlin, j'en ai vraiment envie. Veux-tu ...
- Oui, mon cher mari, dès que Jean aura daigné te donner sa réponse. J'ai autre chose à faire. Repose-toi.
- Oh ! Te voilà vexée. Loin de moi l'idée de te cacher ce que je souhaite. Viens, assieds-toi là, je te raconte tout. Merci pour ton sourire. J'avoue que je suis gêné aux entournures. Mon plan initial était plus simple. Je risque de te froisser, bien que cela ne soit pas mon but.
- Ah ! Je suis donc directement concernée par le contenu de votre entretien. Raison de plus pour que tu me mettes au courant. Ne tergiverse plus, allez, va droit au but, je t"écoute.
- Tu devines mes pensées. Avant tout, sache que, quelle que soit la réponse de Jean, c'est toi qui aura le dernier mot. J'aimerais recevoir l'accord de ton ex . J'espère que cet accord te conviendra.
- Greg, c'est vilain de me mettre sur des charbons ardents. En quoi mon ex,comme tu le désignes, peut-il intervenir dans ma vie? Lui et moi nous côtoyons comme des gens civilisés, mais je n'oublie pas qu'il m'a traitée comme une moins que rien. Je refuse d'être un jour sous sa tutelle. Est-ce parce que tu crains de me quitter prochainement ? Tu aurais tort de prévoir ta succession, ta santé s'améliore. Donc jamais je n'accepterai que Jean sois chargé de me contrôler ou de me conseiller. Depuis ton accident je conduis parfaitement l'entreprise. Tes avis me sont utiles. La direction de la marque m'a surveillée et félicité. Je saurai me passer de Jean si tu viens à me manquer.
- Oh! là! Quelle tirade. Remets-toi, je ne prépare pas ma succession, je ne souhaite pas te placer sous tutelle; tu as assez prouvé tes qualités et ta capacité à gérer notre entreprise. Ce que j'aimerais créer est d'un ordre tout différent, a pour but de rendre ma vie plus agréable.
Il fallait le dire tout de suite. Pour rendre ta vie plus agréable, je ne refuserai jamais rien. Je souscris à toutes tes décisions. Demande et tu recevras, j'en fais le serment. Tu sais que je serai toujours là pour toi. Je t'aime.
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