Malle à fantasmes Libertinage 1
Récit érotique écrit par Lycra026 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Malle à fantasmes Libertinage 1
Chapitre 1
Pour ce premier récit, je mets en scène une belle-mère de 45 ans, mariée à un chef d'entreprise, très souvent en voyage d'affaires. Et qui fait tout pour séduire le compagnon de sa fille : Anthony, 30 ans, un bel étalon, grand brun, aux yeux verts, qui ne peut laisser indifférent, jeune entrepreneur paysagiste, sportif.
Je vous laisse en compagnie d'Anthony, qui va vous conter en détail, je l'espère, de sa relation.
Bonjour à vous toutes et tous.
Déjà, il est vraie, qu'aux premiers regards de la mère de ma compagne, il y eut, comme, une adhérence visuelle. Que je cherchais à fuir, pour ne pas me mettre à dos avec celle que j'aime.
Pourtant, du haut de ses 45 ans, ce n'est pas une grande beauté. Elle est plutôt, bien en forme, sans être rondelette, Blonde, cheveux mi-longs, yeux verts-eau. Elle privilégie le jean, leggings, tee-shirt, liquettes, réservant la jupe pour leurs soirées entre amis. Elle ne travaille plus, elle était hôtesse de l'air sur des grands courrier. Et depuis, quelques années, elle profite de ses biens, et surtout, de ses amies.
Pour l'identifier, nous dirons Bérengère mais nous aurions pu l'appeler par un tout autre prénom. Je crois que le plus important c'est que nous sachions de qui l'on parle.
Excusez- moi pour cette parenthèse. Je vous laisse, à nouveau en compagnie d'Anthony.
Vous êtes pardonné, Jean-Marie, mais ne recommencez pas !!!
Bérengère me dévorait des yeux, dès notre première rencontre familiale. Et pour compliquer les choses, en toute discrétion, elle profitait d'un moment ou provoquait ce moment, pour être seule en ma compagnie.
En prétextant, me demander des conseils sur le jardin, ou tout ce qui abordait l'entretient de leur maison secondaire, qui se trouve à 20 km de chez eux.
Une chance pour moi, sa fille, qui, je reconnais, n'est pas jalouse pour un sous, n'en tenait pas compte.
Comme je vous l'ai dit précédemment, la première fois, Bérengère se fit sage. S'arrêtant à me croquer des yeux, avec, pour seul souhait, de ne pas en finir là.
Puis, à la fin du repas, avant de partir, elle me demanda, devant sa fille, si elle pouvait avoir mon numéro de tel, afin que je puisse lui donner quelques conseils pour son jardin ?
Je regardais ma compagne, elle me donna son accord.
Dans la foulée, je lui donnais, sans arrière pensée. La mère et la fille s'embrassèrent, pour me retrouver seule avec Bérengère.
Elle attendit que sa fille quitte la pièce, pour venir se coller à moi. Afin que je puisse sentir les mamelons de sa lourde poitrine, encore ferme, pointaient au travers de son tee-shirt blanc.
Je ne pouvais en rester de marbre, surtout quand elle posa son bras droit à mon cou. Cherchant mes lèvres, elle trouva les commissures, d'un baiser furtif et appuyé.
- Je souhaite bientôt te revoir, pour faire nos affaires, me dit-elle... Nous allons faire une bonne équipe, tous les deux... Notre fille a beaucoup de chance... Je prends contacte très vite...
- Je vous remercie, madame, répondis-je...
- Allons, Tony... Je peux t'appeler Tony ? Tu fais parti de la famille... M'interrompit-elle... Pas de Madame, avec moi...
Elle s'approcha et me souffla au creux de l'oreille.
- Je suis une gloutonne et j'ai un grand faible pour les beaux mâles, comme toi... Ce court moment passé ensemble, j'en ai déjà, la culotte mouillée... Hum... Je te laisse le choix de me surnommer en privée, comme tu voudras...
Restant bouche B, un instant, à mon tour de lui glisser à l'oreille.
- Puisque vous voulez jouer à ce jeu... Ce sera à ma convenance... Gloutonne... Lui dis-je.
Sur ces entre-faits, sa fille nous interrompit.
- Eh, vous deux... Vous avez fini de papoter ? Allez mon cœur, on y va... Maman, tu as son numéro de tel, tu pourras l'appeler un autre jour... Dit sa fille.
- Excuses-moi, ma chérie, dit sa mère... Nous parlions affaires... Tu sais comme ça me connaît... Allez, Anthony, je te laisse à ta progéniture...
- Au revoir, Bérengère, lui dis-je...
Nous nous quittâmes dans un profond regard, un clin d’œil, avant de quitter la pièce, la laissant seule. Au passage, une longue poignée de main à son mari.
- J'ai été très heureux de faire votre connaissance, Anthony... Me dit son père... J'espère vous revoir très prochainement... Je pars, demain pour la Russie... Une dizaine de jours... Les affaires n'attendent pas.
- J'ai été très heureux de ce moment ensemble...Prenez soin de vous... A bientôt... Lui dis-je...
- Merci, Anthony... Me dit-il...
- Appelez-moi Tony, lui dis-je.
- Allez, mon cœur... Me dit sa fille. On y va... Je suis de nuit, ce soir, et j'aimerai me reposer...
A peine installés dans la DS 4, nous avons commencé à discuter de ses parents. En prenant soin d'omettre la conversation avec sa mère.
Si ce n'est, les conseils concernant son jardin. Je reconnais que son parfum m'avait tapissé les narines. Et qu'une réaction se faisait rapidement sentir dans mon jean.
La petite main gauche de ma chère et tendre dulcinée, comme d'accoutumée, c'était agrippée à ce qui avait pris forme dans l'entre-jambe du pantalon, ma queue.
- Eh, mon cœur... Aurais-tu, part hasard, une petite envie, pressante, me demanda-t-elle ? Hum... Je suis toute humide, moi aussi, et si ça continue, je vais ruisseler... Comme une envie de faire pipi... Je ne tiendrai pas jusqu'à la maison...
- Montres-moi çà... Lui dis-je... Nous allons faire une halte, en forêt.
Elle savait ce que j'attendais d'elle. Elle lâcha prise, pour s'activer sur son short, jean rose, moulant son petit cul. En le faisant glisser et entraver ses chevilles. Alors que je m'engageais dans un chemin carrossable, au liseré du bois. Pendant qu'elle, retirait son vêtement rose, pour ne garder que sa minuscule culotte, lycra, blanche.
Le temps, pour ma part, de garer la DS4 noire, dans un coin retiré.
Pour l'enlacer longuement, alors que ma main gauche agrippa son petit sein nu sous le caraco blanc, tirant légèrement sur le mamelon rose, qui pointait.
Ses mains ne restant pas inactives, elle avait dégrafé mon jean, me mettant à nu. Elle adorait que je sois nu sous mon pantalon, donc pas de caleçons, en privée.
Libérant mon membre en érection, elle plongea jusqu'à lui, après s'être agenouillée sur son siège, pour une fellation comme elle sait si bien le faire.
Yeux clos, je savourais ses instants.
Ma progéniture, est blonde, cheveux longs, aux yeux clairs, 26 ans, taille moyenne. Vous l'avez compris, elle travaille de nuit, dans un service d'urgence, comme infirmière.
Lorsque nous nous sommes connus, elle n'était plus pucelle. Malgré tout, je lui fis découvrir le plaisir anal, alors qu'elle m'avoua avoir une préférence pour l'exhibition. C'est pour cela, qu'elle est aussi détendue lorsque nous faisons une pose dans ces immenses forêts vosgiennes, avec, l'espoir de tomber sur des voyeurs, occasionnels et passifs.
Je me laissais sucer, gloutonnement.
- Tu as faim, on dirait, mon cœur ?? Lui demandais-je.
En réponse, elle se contentait de me dévorer dans un rythme effréné. Pendant que mes mains, qui l'avaient débarrassé de son caraco. Ma main gauche jouait avec ses petits mamelons roses, lui étirant, pour les sentir durcir. Elle haletait, sans chercher à éviter mes doigts caressants.
Mon autre main, me direz-vous, avait glissé entre ses cuisses bien ouvertes, pour accueillir des doigts bienveillants.
Sans lui retirer le lycra, à l'entre-jambe détrempée, laissant une auréole toute fraîche de sa glaire. J'amplifiais son plaisir, en faisant coulisser au plus profond de sa bèanteur vulvaire, le tissus souillé du lycra.
De façon que son pénis clitoridien, s'associe à mon geste.
Pris par nos caresses, l'un comme l'autre, dans un demi 69, nous nous sommes pas aperçus que, pour la première fois, deux, un troisième voyeurs se faisaient présents autour de la DS.
C'est en levant la tête, que je les surpris. Chacun se masturbant, sans rien manquer de notre exhibition.
- Mon cœur, je crois que tu vas aimer... Nous avons de la visite... Lui dis-je.
Aussitôt, ma princesse se redressa, cessant sa fellation, elle me regarda.
- Nous allons sortir... Tu vas les sucer... Lui ordonnais-je.
- Mais, mon cœur... Je... Je... bafouilla-t-elle.
- Tu, quoi?? Demandais-je.
- Je sais pas, si j'en serai capable... Dit-elle, honteusement. Avec dans ses yeux, un goût d'envie, qui pétillait.
Tu vas les sucer... Et après, je te prendrai sur le capot de la DS... Je veux que tu sois ma chienne... Allez, lèves ton cul... Ne les faisons plus attendre... C'est un ordre... Mon cœur, tu en as trop envie, et moi aussi... Tu restes avec ton lycra et tes tennis.
Elle s’exécutait, se relevant. Je me débarrassais de mon jean, pour me présenter à ces messieurs, nu. Alors que ma princesse, attendit que je sois prêt pour descendre la première. Restant à mes côtés, elle me laissait gérer la situation, dés plus excitante.
- Bonsoir, messieurs... Leurs dis-je. Nous avons décidé de vous faire participer à notre jeu... Je pense que c'est pas pour vous déplaire ? Si je vous propose de vous faire sucer par celle qui est ma compagne ? Ah, un détail important, on ne touche pas, en échange, durant la fellation, si vous le désirez, elle met à votre disposition son lycra... Que je peux vous assurer, être aussi parfumée que sa vulve... N'est-ce-pas mon cœur ? Détends-toi... Je reste à tes côtés... Simplement, tu fais tout ce que je te demande.
Les trois voyeurs, qui restaient sans bouger, sourire, satisfaits de la proposition, regardant la jeune blonde. Qui elle, à la fois envieuse et hésitante, avait baissé la tête, mais son regard ne pouvait se décrocher de ces pénis en pleine érections. Qu'elle allait devoir sucer, par qui va-t-elle commencer ?
Il y avait là, un jeune de 30 ans, un second de 45/50ans et le troisième la soixantaine passée.
- Allez, mon cœur, à toi de jouer... Donnes ton lycra... Et mets toi à quatre pattes... Comme une chienne... Je sais ce que je vais faire... Nous allons mettre un peu plus de piquant à la chose... Je vais te bander les yeux, comme çà, tu ne verra pas lequel tu suces... Ça te va ?
Obéissante, soumise, elle s'exécuta, retirant son lycra, qu'elle me tendit, pour offrir sa vulve parfaitement épilée ( Je l'ai toujours connu ainsi), où l'on devinait ses lèvres reluisantes de glaire, perlantes, même. Et avant qu'elle s'accroupisse, comme je lui avais demandé, je pris un foulard en soie, qu'elle avait toujours accroché à son sac, et m'en servis pour lui bander les yeux.
Elle se mit à quatre pattes, docile, attendant la suite des événements. Totalement consentante, alors que je restais debout, après en avoir fait une minutieuse auscultation, je tendis le lycra à qui voulait commencer.
C'est en fait, le plus vieux, de physique rondouillard, il prit le minuscule tissus, se présentant devant ma belle. La queue encore en berne, il se figea devant son visage.
- Le premier de ces messieurs est à ta disposition... Fais toi plaisir mon cœur... Je sais que tu aimes sucer... Lui dis-je.
Le voyeur jouait avec le lycra, il le sniffa à pleines narines, détaillant chaque auréoles qui s'y dessinaient sur l'entre-jambe souillée. Pour ma belle, la fellation fût de courte durée, le rondouillard jouit très vite dans sa main et sur ses lèvres. Pour vous dire, j'allais proposer aux deux autres voyeurs, après avoir chevauché les reins de ma princesse. Écartelant ses globes fessiers, et lui demandant de creuser sa cambrure, afin d'en offrir une vue de ses deux orifices à fortes dilatations.
- Allez, au suivant de ces messieurs... Dis-je.
C'est le plus jeune des trois, qui prit le lycra, à son tour et vint se placer face au visage de sa suceuse. Le vieux, lui vint rejoindre le troisième, pour profiter de la vue que je leurs offrais.
Je sentais que ma blonde commençait à prendre plaisir. Car, celui-ci, avait un anneau pénien, qui lui permettait, à la fois, d'avoir une aide pour se contenir et lui donner du volume. Et puis, elle laissait échapper quelques timides gémissements, étouffés par la pratique de sa fellation. Ce qui lui valut une fessée sur ses fermes rondeurs, pour y donner un peu plus de piquant.
- Tu aimes çà, mon cœur... Il te plaît celui-ci ? Qu'est-ce-que vous en pensez, vous deux ? En voyant tes deux orifices, derrière, je peux te dire que çà bande... N'est-ce-pas, les garçons... Je vais en devenir impatient de t'enfiler, mon cœur... Faisant mes commentaires.
Des deux voyeurs, personne n'osait répondre.
Concernant le jeune qui se faisait sucer, il s'y plaisait tellement, qu'il n'avait pas envie de jouir. Je me tournais pour voir un peu ce qu'il faisait qu'elle gémissait de plus bel. Effectivement, il avait une véritable trique, à en rendre jaloux un étalon.
Je ne pus m'empêcher de lui poser la question.
- Vous êtes toujours aussi performant ? Lui demandais-je.
- Elle suce si bien, que je n'arrive pas à jouir... C'est trop bon... Désolé pour les autres... Me répondit-il.
- Non, le problème, c'est qu'elle doit prendre son service aux urgences, ce soir... Et si ça dure dans le temps, elle ne pourra pas être à l'heure. Lui dis-je, en souriant. N'est-ce-pas, mon cœur ?? Bon, lâches le monsieur... Au suivant, et dernier... La prochaine fois, vous, vous passerez le dernier...
- Attendez, et moi, qu'est-ce-que je fais avec ma trique ? Me dit-il, un peu énervé.
- Ne vous affolez pas... Vous avez un préservatif ? Lui dis-je.
- Euh, oui ?
- Bon, préparez vous... Ça va mon cœur ?
En fait, elle avait beaucoup de mal à reprendre ses esprits.
- Je... Tu avais dit que... Manifesta-t-elle.
- Je sais, mon cœur... Mais je ne peux pas laisser ce monsieur dans cet état-là... Tu es dilatée côté de ton trou du cul... Comme tu adore çà... l'interrompais-je.
- Non... Il va me déchirer le périnet.. Me dit-elle.
-Tu préfères la vulve ? Lui proposais-je.
- Je... Je... Je sais pas, dit-elle, inquiète.
- Bon, se sera une sodo... Ordonnais-je. Contentes- toi de sucer le troisième... On va te graisser tout çà... Tu vas rien sentir... Allez, mon cœur...
Elle ne répondit pas, se retrouvant à pratiquer une fellation au dernier, qui humait à pleines narines, le tissus blanc, souillé. Et si le rondouillard, se branlait, le plus jeune s'agenouilla face au cul de ma blonde, qui dilatait de plus bel. Me présentant un tube de gel, alors qu'il finissait avec son préservatif, je glissais l’embout du tube dans ce trou béant, pour y garnir un dosage important de gel.
- Voilà, avec un dosage comme çà, tu ne vas même le sentir, mon cœur... lui dis-je.
Je restais à lui chevaucher ses reins, que je bloquais un peu plus, en serrant mes jambes. Laissant la place à cet étalon, qui présenta son pieu à l'orée de la béanteur anale, dû à l'effet du gel chauffant. Et en douceur, il fit son introduction, tout en s'agrippant à ses hanches.
- Parfait comme çà... Tu vas adorer, mon cœur... Lui dis-je.
Effectivement, elle ne mit pas longtemps à savourer son étalon, l'effet du gel ajouté aux dimensions de son pieu. Elle ne pouvait que glousser de plaisirs. Un plaisir qui la fit aller jusqu'à l'orgasme, pouvant même plus sucer, mais ayant qu'une réaction, crier son plaisir à pleine gorge. Pendant qu'elle branlait de la main gauche, celui qui était face à elle, jusqu'à le faire jouir d'un coup de rein. Et peu de temps suivit, lorsque l'étalon qui la sodomisé, jouit à son tour dans son anus, qui suintait de gel.
Les trois voyeurs se rajustèrent, nous remerciant de ce moment de bonheur. Ma petite blonde, elle, était rassasiée côté de son trou du cul. Reprenant à peine son souffle, je la fis relever, après avoir récupérer son lycra.
- Montres à ces messieurs comme tu jouis côté face... Allonges-toi sur le capot... Que je t'enfile, mon cœur... Lui dis-je.
Obéissante et surtout, envieuse de me sentir en elle, elle se pencha, pour s'accouder sur l'avant de la DS. Une jambe repliée sur le capot, pour en accentuer la vue sur cette vulve béante et ruisselante de son bonheur.
Je vins me placer face à ce trou béant, pour y enfiler mon membre bandant, et osciller à une cadence rythmée, jusqu'à l'orgasme partagé. Le temps de reprendre nos esprits, de se dire à nos trois inconnus, à une prochaine fois.
Pour monter en voiture, finir de se rajuster, et de repartir. Durant le trajet, nous avons fait une analyse de cette nouvelle expérience.
- Tu sais mon cœur, je... Je suis comblée... Je ne pensais pas être capable d'aller jusque là... Promets-moi une chose ? Tu peux faire de moi ce qu'il plaira... Quand tu veux... Où tu veux... Je serai ta chose, à une seule condition... Tu ne me laisseras pas tomber ?? Me dit-elle.
- Mon cœur, je t'aime... Et en aucun cas, je te laisserai tomber... Je suis fière de toi... Je veux vivre avec toi... La rassurais-je. Et de plus, si l'occasion se présente à nouveau, nous le ferons ensemble... Je te veux totalement, libertine... Et si cela doit t'arriver de ton côté, je ne serai pas jaloux... Mais surtout, Profites, avec une seule chose pour ma part, que tu m'en racontes dans les moindres détails.
Nous venions d'arriver devant notre portail, alors que je m'engageais dans la cour, je lui demandais de rester dans sa tenue d'Eve, ce qu'il lui va si bien.
Bien, j'espère que pour ce premier récit, dont il y aura une longue suite. Et malgré un début de présentation un peu long, cela vous aura plus.
A très vite, pour la suite...
Pour ce premier récit, je mets en scène une belle-mère de 45 ans, mariée à un chef d'entreprise, très souvent en voyage d'affaires. Et qui fait tout pour séduire le compagnon de sa fille : Anthony, 30 ans, un bel étalon, grand brun, aux yeux verts, qui ne peut laisser indifférent, jeune entrepreneur paysagiste, sportif.
Je vous laisse en compagnie d'Anthony, qui va vous conter en détail, je l'espère, de sa relation.
Bonjour à vous toutes et tous.
Déjà, il est vraie, qu'aux premiers regards de la mère de ma compagne, il y eut, comme, une adhérence visuelle. Que je cherchais à fuir, pour ne pas me mettre à dos avec celle que j'aime.
Pourtant, du haut de ses 45 ans, ce n'est pas une grande beauté. Elle est plutôt, bien en forme, sans être rondelette, Blonde, cheveux mi-longs, yeux verts-eau. Elle privilégie le jean, leggings, tee-shirt, liquettes, réservant la jupe pour leurs soirées entre amis. Elle ne travaille plus, elle était hôtesse de l'air sur des grands courrier. Et depuis, quelques années, elle profite de ses biens, et surtout, de ses amies.
Pour l'identifier, nous dirons Bérengère mais nous aurions pu l'appeler par un tout autre prénom. Je crois que le plus important c'est que nous sachions de qui l'on parle.
Excusez- moi pour cette parenthèse. Je vous laisse, à nouveau en compagnie d'Anthony.
Vous êtes pardonné, Jean-Marie, mais ne recommencez pas !!!
Bérengère me dévorait des yeux, dès notre première rencontre familiale. Et pour compliquer les choses, en toute discrétion, elle profitait d'un moment ou provoquait ce moment, pour être seule en ma compagnie.
En prétextant, me demander des conseils sur le jardin, ou tout ce qui abordait l'entretient de leur maison secondaire, qui se trouve à 20 km de chez eux.
Une chance pour moi, sa fille, qui, je reconnais, n'est pas jalouse pour un sous, n'en tenait pas compte.
Comme je vous l'ai dit précédemment, la première fois, Bérengère se fit sage. S'arrêtant à me croquer des yeux, avec, pour seul souhait, de ne pas en finir là.
Puis, à la fin du repas, avant de partir, elle me demanda, devant sa fille, si elle pouvait avoir mon numéro de tel, afin que je puisse lui donner quelques conseils pour son jardin ?
Je regardais ma compagne, elle me donna son accord.
Dans la foulée, je lui donnais, sans arrière pensée. La mère et la fille s'embrassèrent, pour me retrouver seule avec Bérengère.
Elle attendit que sa fille quitte la pièce, pour venir se coller à moi. Afin que je puisse sentir les mamelons de sa lourde poitrine, encore ferme, pointaient au travers de son tee-shirt blanc.
Je ne pouvais en rester de marbre, surtout quand elle posa son bras droit à mon cou. Cherchant mes lèvres, elle trouva les commissures, d'un baiser furtif et appuyé.
- Je souhaite bientôt te revoir, pour faire nos affaires, me dit-elle... Nous allons faire une bonne équipe, tous les deux... Notre fille a beaucoup de chance... Je prends contacte très vite...
- Je vous remercie, madame, répondis-je...
- Allons, Tony... Je peux t'appeler Tony ? Tu fais parti de la famille... M'interrompit-elle... Pas de Madame, avec moi...
Elle s'approcha et me souffla au creux de l'oreille.
- Je suis une gloutonne et j'ai un grand faible pour les beaux mâles, comme toi... Ce court moment passé ensemble, j'en ai déjà, la culotte mouillée... Hum... Je te laisse le choix de me surnommer en privée, comme tu voudras...
Restant bouche B, un instant, à mon tour de lui glisser à l'oreille.
- Puisque vous voulez jouer à ce jeu... Ce sera à ma convenance... Gloutonne... Lui dis-je.
Sur ces entre-faits, sa fille nous interrompit.
- Eh, vous deux... Vous avez fini de papoter ? Allez mon cœur, on y va... Maman, tu as son numéro de tel, tu pourras l'appeler un autre jour... Dit sa fille.
- Excuses-moi, ma chérie, dit sa mère... Nous parlions affaires... Tu sais comme ça me connaît... Allez, Anthony, je te laisse à ta progéniture...
- Au revoir, Bérengère, lui dis-je...
Nous nous quittâmes dans un profond regard, un clin d’œil, avant de quitter la pièce, la laissant seule. Au passage, une longue poignée de main à son mari.
- J'ai été très heureux de faire votre connaissance, Anthony... Me dit son père... J'espère vous revoir très prochainement... Je pars, demain pour la Russie... Une dizaine de jours... Les affaires n'attendent pas.
- J'ai été très heureux de ce moment ensemble...Prenez soin de vous... A bientôt... Lui dis-je...
- Merci, Anthony... Me dit-il...
- Appelez-moi Tony, lui dis-je.
- Allez, mon cœur... Me dit sa fille. On y va... Je suis de nuit, ce soir, et j'aimerai me reposer...
A peine installés dans la DS 4, nous avons commencé à discuter de ses parents. En prenant soin d'omettre la conversation avec sa mère.
Si ce n'est, les conseils concernant son jardin. Je reconnais que son parfum m'avait tapissé les narines. Et qu'une réaction se faisait rapidement sentir dans mon jean.
La petite main gauche de ma chère et tendre dulcinée, comme d'accoutumée, c'était agrippée à ce qui avait pris forme dans l'entre-jambe du pantalon, ma queue.
- Eh, mon cœur... Aurais-tu, part hasard, une petite envie, pressante, me demanda-t-elle ? Hum... Je suis toute humide, moi aussi, et si ça continue, je vais ruisseler... Comme une envie de faire pipi... Je ne tiendrai pas jusqu'à la maison...
- Montres-moi çà... Lui dis-je... Nous allons faire une halte, en forêt.
Elle savait ce que j'attendais d'elle. Elle lâcha prise, pour s'activer sur son short, jean rose, moulant son petit cul. En le faisant glisser et entraver ses chevilles. Alors que je m'engageais dans un chemin carrossable, au liseré du bois. Pendant qu'elle, retirait son vêtement rose, pour ne garder que sa minuscule culotte, lycra, blanche.
Le temps, pour ma part, de garer la DS4 noire, dans un coin retiré.
Pour l'enlacer longuement, alors que ma main gauche agrippa son petit sein nu sous le caraco blanc, tirant légèrement sur le mamelon rose, qui pointait.
Ses mains ne restant pas inactives, elle avait dégrafé mon jean, me mettant à nu. Elle adorait que je sois nu sous mon pantalon, donc pas de caleçons, en privée.
Libérant mon membre en érection, elle plongea jusqu'à lui, après s'être agenouillée sur son siège, pour une fellation comme elle sait si bien le faire.
Yeux clos, je savourais ses instants.
Ma progéniture, est blonde, cheveux longs, aux yeux clairs, 26 ans, taille moyenne. Vous l'avez compris, elle travaille de nuit, dans un service d'urgence, comme infirmière.
Lorsque nous nous sommes connus, elle n'était plus pucelle. Malgré tout, je lui fis découvrir le plaisir anal, alors qu'elle m'avoua avoir une préférence pour l'exhibition. C'est pour cela, qu'elle est aussi détendue lorsque nous faisons une pose dans ces immenses forêts vosgiennes, avec, l'espoir de tomber sur des voyeurs, occasionnels et passifs.
Je me laissais sucer, gloutonnement.
- Tu as faim, on dirait, mon cœur ?? Lui demandais-je.
En réponse, elle se contentait de me dévorer dans un rythme effréné. Pendant que mes mains, qui l'avaient débarrassé de son caraco. Ma main gauche jouait avec ses petits mamelons roses, lui étirant, pour les sentir durcir. Elle haletait, sans chercher à éviter mes doigts caressants.
Mon autre main, me direz-vous, avait glissé entre ses cuisses bien ouvertes, pour accueillir des doigts bienveillants.
Sans lui retirer le lycra, à l'entre-jambe détrempée, laissant une auréole toute fraîche de sa glaire. J'amplifiais son plaisir, en faisant coulisser au plus profond de sa bèanteur vulvaire, le tissus souillé du lycra.
De façon que son pénis clitoridien, s'associe à mon geste.
Pris par nos caresses, l'un comme l'autre, dans un demi 69, nous nous sommes pas aperçus que, pour la première fois, deux, un troisième voyeurs se faisaient présents autour de la DS.
C'est en levant la tête, que je les surpris. Chacun se masturbant, sans rien manquer de notre exhibition.
- Mon cœur, je crois que tu vas aimer... Nous avons de la visite... Lui dis-je.
Aussitôt, ma princesse se redressa, cessant sa fellation, elle me regarda.
- Nous allons sortir... Tu vas les sucer... Lui ordonnais-je.
- Mais, mon cœur... Je... Je... bafouilla-t-elle.
- Tu, quoi?? Demandais-je.
- Je sais pas, si j'en serai capable... Dit-elle, honteusement. Avec dans ses yeux, un goût d'envie, qui pétillait.
Tu vas les sucer... Et après, je te prendrai sur le capot de la DS... Je veux que tu sois ma chienne... Allez, lèves ton cul... Ne les faisons plus attendre... C'est un ordre... Mon cœur, tu en as trop envie, et moi aussi... Tu restes avec ton lycra et tes tennis.
Elle s’exécutait, se relevant. Je me débarrassais de mon jean, pour me présenter à ces messieurs, nu. Alors que ma princesse, attendit que je sois prêt pour descendre la première. Restant à mes côtés, elle me laissait gérer la situation, dés plus excitante.
- Bonsoir, messieurs... Leurs dis-je. Nous avons décidé de vous faire participer à notre jeu... Je pense que c'est pas pour vous déplaire ? Si je vous propose de vous faire sucer par celle qui est ma compagne ? Ah, un détail important, on ne touche pas, en échange, durant la fellation, si vous le désirez, elle met à votre disposition son lycra... Que je peux vous assurer, être aussi parfumée que sa vulve... N'est-ce-pas mon cœur ? Détends-toi... Je reste à tes côtés... Simplement, tu fais tout ce que je te demande.
Les trois voyeurs, qui restaient sans bouger, sourire, satisfaits de la proposition, regardant la jeune blonde. Qui elle, à la fois envieuse et hésitante, avait baissé la tête, mais son regard ne pouvait se décrocher de ces pénis en pleine érections. Qu'elle allait devoir sucer, par qui va-t-elle commencer ?
Il y avait là, un jeune de 30 ans, un second de 45/50ans et le troisième la soixantaine passée.
- Allez, mon cœur, à toi de jouer... Donnes ton lycra... Et mets toi à quatre pattes... Comme une chienne... Je sais ce que je vais faire... Nous allons mettre un peu plus de piquant à la chose... Je vais te bander les yeux, comme çà, tu ne verra pas lequel tu suces... Ça te va ?
Obéissante, soumise, elle s'exécuta, retirant son lycra, qu'elle me tendit, pour offrir sa vulve parfaitement épilée ( Je l'ai toujours connu ainsi), où l'on devinait ses lèvres reluisantes de glaire, perlantes, même. Et avant qu'elle s'accroupisse, comme je lui avais demandé, je pris un foulard en soie, qu'elle avait toujours accroché à son sac, et m'en servis pour lui bander les yeux.
Elle se mit à quatre pattes, docile, attendant la suite des événements. Totalement consentante, alors que je restais debout, après en avoir fait une minutieuse auscultation, je tendis le lycra à qui voulait commencer.
C'est en fait, le plus vieux, de physique rondouillard, il prit le minuscule tissus, se présentant devant ma belle. La queue encore en berne, il se figea devant son visage.
- Le premier de ces messieurs est à ta disposition... Fais toi plaisir mon cœur... Je sais que tu aimes sucer... Lui dis-je.
Le voyeur jouait avec le lycra, il le sniffa à pleines narines, détaillant chaque auréoles qui s'y dessinaient sur l'entre-jambe souillée. Pour ma belle, la fellation fût de courte durée, le rondouillard jouit très vite dans sa main et sur ses lèvres. Pour vous dire, j'allais proposer aux deux autres voyeurs, après avoir chevauché les reins de ma princesse. Écartelant ses globes fessiers, et lui demandant de creuser sa cambrure, afin d'en offrir une vue de ses deux orifices à fortes dilatations.
- Allez, au suivant de ces messieurs... Dis-je.
C'est le plus jeune des trois, qui prit le lycra, à son tour et vint se placer face au visage de sa suceuse. Le vieux, lui vint rejoindre le troisième, pour profiter de la vue que je leurs offrais.
Je sentais que ma blonde commençait à prendre plaisir. Car, celui-ci, avait un anneau pénien, qui lui permettait, à la fois, d'avoir une aide pour se contenir et lui donner du volume. Et puis, elle laissait échapper quelques timides gémissements, étouffés par la pratique de sa fellation. Ce qui lui valut une fessée sur ses fermes rondeurs, pour y donner un peu plus de piquant.
- Tu aimes çà, mon cœur... Il te plaît celui-ci ? Qu'est-ce-que vous en pensez, vous deux ? En voyant tes deux orifices, derrière, je peux te dire que çà bande... N'est-ce-pas, les garçons... Je vais en devenir impatient de t'enfiler, mon cœur... Faisant mes commentaires.
Des deux voyeurs, personne n'osait répondre.
Concernant le jeune qui se faisait sucer, il s'y plaisait tellement, qu'il n'avait pas envie de jouir. Je me tournais pour voir un peu ce qu'il faisait qu'elle gémissait de plus bel. Effectivement, il avait une véritable trique, à en rendre jaloux un étalon.
Je ne pus m'empêcher de lui poser la question.
- Vous êtes toujours aussi performant ? Lui demandais-je.
- Elle suce si bien, que je n'arrive pas à jouir... C'est trop bon... Désolé pour les autres... Me répondit-il.
- Non, le problème, c'est qu'elle doit prendre son service aux urgences, ce soir... Et si ça dure dans le temps, elle ne pourra pas être à l'heure. Lui dis-je, en souriant. N'est-ce-pas, mon cœur ?? Bon, lâches le monsieur... Au suivant, et dernier... La prochaine fois, vous, vous passerez le dernier...
- Attendez, et moi, qu'est-ce-que je fais avec ma trique ? Me dit-il, un peu énervé.
- Ne vous affolez pas... Vous avez un préservatif ? Lui dis-je.
- Euh, oui ?
- Bon, préparez vous... Ça va mon cœur ?
En fait, elle avait beaucoup de mal à reprendre ses esprits.
- Je... Tu avais dit que... Manifesta-t-elle.
- Je sais, mon cœur... Mais je ne peux pas laisser ce monsieur dans cet état-là... Tu es dilatée côté de ton trou du cul... Comme tu adore çà... l'interrompais-je.
- Non... Il va me déchirer le périnet.. Me dit-elle.
-Tu préfères la vulve ? Lui proposais-je.
- Je... Je... Je sais pas, dit-elle, inquiète.
- Bon, se sera une sodo... Ordonnais-je. Contentes- toi de sucer le troisième... On va te graisser tout çà... Tu vas rien sentir... Allez, mon cœur...
Elle ne répondit pas, se retrouvant à pratiquer une fellation au dernier, qui humait à pleines narines, le tissus blanc, souillé. Et si le rondouillard, se branlait, le plus jeune s'agenouilla face au cul de ma blonde, qui dilatait de plus bel. Me présentant un tube de gel, alors qu'il finissait avec son préservatif, je glissais l’embout du tube dans ce trou béant, pour y garnir un dosage important de gel.
- Voilà, avec un dosage comme çà, tu ne vas même le sentir, mon cœur... lui dis-je.
Je restais à lui chevaucher ses reins, que je bloquais un peu plus, en serrant mes jambes. Laissant la place à cet étalon, qui présenta son pieu à l'orée de la béanteur anale, dû à l'effet du gel chauffant. Et en douceur, il fit son introduction, tout en s'agrippant à ses hanches.
- Parfait comme çà... Tu vas adorer, mon cœur... Lui dis-je.
Effectivement, elle ne mit pas longtemps à savourer son étalon, l'effet du gel ajouté aux dimensions de son pieu. Elle ne pouvait que glousser de plaisirs. Un plaisir qui la fit aller jusqu'à l'orgasme, pouvant même plus sucer, mais ayant qu'une réaction, crier son plaisir à pleine gorge. Pendant qu'elle branlait de la main gauche, celui qui était face à elle, jusqu'à le faire jouir d'un coup de rein. Et peu de temps suivit, lorsque l'étalon qui la sodomisé, jouit à son tour dans son anus, qui suintait de gel.
Les trois voyeurs se rajustèrent, nous remerciant de ce moment de bonheur. Ma petite blonde, elle, était rassasiée côté de son trou du cul. Reprenant à peine son souffle, je la fis relever, après avoir récupérer son lycra.
- Montres à ces messieurs comme tu jouis côté face... Allonges-toi sur le capot... Que je t'enfile, mon cœur... Lui dis-je.
Obéissante et surtout, envieuse de me sentir en elle, elle se pencha, pour s'accouder sur l'avant de la DS. Une jambe repliée sur le capot, pour en accentuer la vue sur cette vulve béante et ruisselante de son bonheur.
Je vins me placer face à ce trou béant, pour y enfiler mon membre bandant, et osciller à une cadence rythmée, jusqu'à l'orgasme partagé. Le temps de reprendre nos esprits, de se dire à nos trois inconnus, à une prochaine fois.
Pour monter en voiture, finir de se rajuster, et de repartir. Durant le trajet, nous avons fait une analyse de cette nouvelle expérience.
- Tu sais mon cœur, je... Je suis comblée... Je ne pensais pas être capable d'aller jusque là... Promets-moi une chose ? Tu peux faire de moi ce qu'il plaira... Quand tu veux... Où tu veux... Je serai ta chose, à une seule condition... Tu ne me laisseras pas tomber ?? Me dit-elle.
- Mon cœur, je t'aime... Et en aucun cas, je te laisserai tomber... Je suis fière de toi... Je veux vivre avec toi... La rassurais-je. Et de plus, si l'occasion se présente à nouveau, nous le ferons ensemble... Je te veux totalement, libertine... Et si cela doit t'arriver de ton côté, je ne serai pas jaloux... Mais surtout, Profites, avec une seule chose pour ma part, que tu m'en racontes dans les moindres détails.
Nous venions d'arriver devant notre portail, alors que je m'engageais dans la cour, je lui demandais de rester dans sa tenue d'Eve, ce qu'il lui va si bien.
Bien, j'espère que pour ce premier récit, dont il y aura une longue suite. Et malgré un début de présentation un peu long, cela vous aura plus.
A très vite, pour la suite...
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