Malle à fantasmes: Libertinage Suite
Récit érotique écrit par Lycra026 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Malle à fantasmes: Libertinage Suite
Chapitre 2
Pour ceux qui n'ont pas lu le premier chapitre. En résumé, Anthony, 30 ans, va manger, pour la première fois, chez ses futures beaux-parents.
Mais de retour chez eux, suite à un arrêt pressant en pleine forêt, alors qu'elle le suce, qu'ils se font surprendre par trois voyeurs. Il s'en suit, soumission, fellations, exhibition, sodo.
Dans ce deuxième chapitre, nous retrouvons, notre jeune couple, que je rappelle. Lui a une entreprise paysagiste, et elle, infirmière de nuit.
Nous les avons quitté dans le premier chapitre, alors qu'ils venaient d'arriver chez eux. Mais, je préfère vous laisser en compagnie d'Anthony. Qui, pourra, mieux que quiconque, vous parler de leurs expériences.
Merci Jean-Marie,
Je venais donc, de me garer devant le garage. Ma dulcinée, docile, après m'avoir embrasser, sortit de la DS, nue, comme je lui avais demandé, ayant dans la main gauche, son micro – short rose et son débardeur blanc, et de l'autre, son sac.
Pour ma part, je me défit de mon jean, me mettant nu, à mon tour, ce dernier que je pris avec moi, mais aussi, le lycra. N'étant plus qu'un morceau de tissus blanc, souillée de glaire, encore toute fraîche.
La laissant s'exhiber, attendant devant la porte d'entrée de notre maison.
Il faut savoir, que nous avons acheté, dans un lotissement, une villa, avec 100 mètres de terrain. Deux villas, qui ont vue sur la notre, une côté entrée, et la deuxième, sur l'arrière, côté terrasse, jardin.
Je pensais donc, l'exhiber pour la première fois, à nos voisins. Surprise !
Lorsque je la rejoins, elle avait le regard tourné vers la fenêtre de notre voisin, qui se trouvait en étage. Celui-ci, un jeune retraité, vivant seul, ne se cachait même pas.
– Eh, mon cœur... Je te surprends... A mater notre voisin... Aurai-tu des choses à me cacher ?? Lui dis – je, face à elle. Tout en donnant un regard sur cette fenêtre, dont le rideau ne cessait de bouger.
– Euh !! Non, mon cœur... Je n'ai rien à te cacher... Me dit-elle, hésitante, dans ses paroles.
– Je vois... Nous avons encore du temps devant nous... Viens... Ordonnais-je.
– Mais... Que veux-tu faire ? Me demanda-t-elle.
– Nous allons rendre visite à ce vieux cochon... Lui-dis-je.
– Non... Je... Je suis vidée... Et puis... Dit-elle, cherchant tous les prétextes, pour me faire changer d'avis.
– Arrêtes... Et ne fais pas ta mijaurée... Ça ne te va pas du tout... Lui-dis-je, agacé.
La tenant par le bras, nus tous les deux, nous nous dirigeons, pour quelques mètres, Jusqu'au portail voisin. Je sonnais, il savait qui c'était. Le portillon électrique s'entre-baillant, Alors que ma petite princesse cherchait toujours à me convaincre. Nous nous sommes dirigés vers la porte d'entrée.
– Trop tard, mon cœur... Tu vas sucer ce monsieur... Lui laisser ton lycra... Et nous rentrons... J'attends de toi que tu mettes en pratique, les bienfaits de ta relation avec nos voyeurs... Et puis, tu m'as dit que je peux faire de toi ce que je veux... Tu es ma chose...
Sur ces entre-faits, la porte d'entrée s'ouvrit, pour nous accueillir.
– Bonjour... Excusez de notre tenue, mais ma chère et tendre meurt d'envie de faire votre connaissance... Auriez- vous un instant à nous accorder ?? Lui-dis-je.
Notre voyeur paraissait embarrassé, mais toutefois, accepta de nous recevoir.
– Entrez... Nous dit-il... Que puis-je pour vous ??
- Eh bien, votre voisine a repéré votre goût pour le voyeurisme... Et, si je ne me trompe, vous ne pouvez pas nous refuser une participation passive... A toi, mon cœur, Fais ta demande au Monsieur... Demandais-je.
Troublé par la situation, et notre tenue déconcertante, nous étions restés dans le hall d'entrée. Mais avant que ma belle lui dise ce qu'il en était, il nous proposa de passer dans le salon pour nous asseoir. Dans un confortable canapé de cuir, noir, alors que lui, s'installa dans un fauteuil du même style, face à nous. En jean et tee-shirt blanc.
– Bien, excusez- moi... Je suis un peu perturbé... Dit-il.
– Pas de mal... Je comprends... C'est pas tous les jours que vous recevez vos voisins dans cette tenue...
– Voulez-vous boire quelque chose ??? Demanda-t-il.
– Si vous avez du café, avec plaisir, lui répondis-je.
– Bien sure... J'en ai du tout prêt... Dit-il, en se levant.
Je regardais ma belle, assise à ma gauche, docile et soumise. Dans un regard échangé, elle ne bronchait pas à ma demande. Alors que notre voisin posa trois tasses sur la table basse, qui nous séparait, servant le café, avant de se rasseoir.
Je vais peut-être me mettre à mon aise, pour ne pas dépareiller ?? Dit – il, en souriant, retirant son jean, étant nu dessous. Bien... Alors que puis- je pour vous, ma petite dame ???
Ma belle s'exécuta, après m'avoir regardé, elle se mit à la droite de notre voyeur, restant debout.
– Je... Je vais vous sucer... A la demande de mon... Bafoua – t- elle...
– A la demande de ton compagnon, c'est çà ??? Demanda-t- il... Je peux te tutoyer ??? Mais dis-moi, Tu ne le fais pas à contre-coeur ???
– Non... Elle est juste gênée... N'est-ce-pas, mon cœur ??? Répondis-je.
– Allez... Viens... Je n'ai pas une grande érection... Mais, j'espère simplement que tu vas m'aider... Dit-il, en voulant la rassurer...
– Tenez... Lui dis-je, en lui présentant le bout de tissus, souillé... Ceci, vous aidera... Je l'espère...
– Merci... J'adore ça ... Sniffer une culotte au doux parfum de glaire fraîche... Avoua-t-il.
Alors que ma belle soumise, venait de s'agenouiller entre ses cuisses. Du bout des doigts, elle agrippa son sexe, équipé d'un anneau pénien, et s'activa à le sucer. Avec une seule idée, en finir rapidement. Malgré tout, elle s'appliqua, pendant que celui-ci, fit une minutieuse auscultation du lycra, humant les souillures de glaire.
Pour ma part, je ne pouvais cacher mon début d'érection, qui commençait à pointer de l'oeil.
Le vieux n'en perdait pas de vue, le fait de la voir sucer un autre, alors qu'il profitait humer à pleines narines, le lycra.
– Eh, çà vous plaît de voir votre chérie sucer un inconnu ? Me demanda-t-il.
– En fait, nous adorons nous exhiber... Jusque-là, cet aprèm, entre-autre... Nous avons eu droit, à la visite de trois voyeurs... Alors que nous étions en forêt... Lui expliquais-je...
– Hum... Et alors ??? demanda-t-il... Je suis friand de ces situations...
Lui racontant notre histoire, mélangé au reste, sniffage, et fellation. Tous les ingrédients y étaient, pour accélérer la chose. Il jouit sur son visage, d'un épais et onctueux jet de sperme.
Puis, ma docile se releva, et vint s'asseoir à mes côtés. Lui laissant le temps de reprendre son souffle, boire son café. Le vieux se leva, encore en érection, pour revenir avec du sopalin, qu'il lui tendit.
– Essuyez-vous... Merci, pour votre prestation... S'adressant à elle... Tenez... Lui tendant le lycra.
– Cadeau... Elle vous l'offre... Lui-dis-je.
– C'est trop... Dit-il, gêné... Je le mettrai dans ma garçonnière...
Je me tournais vers elle. Lui demandant de se lever, rester debout, alors que j'étais toujours assis. A ma demande, prestant, elle ouvrit ses jambes, posant son pied gauche sur le rebord de la table basse. Accentuant l'accès à ma main gauche, pour que mon majeur vienne constater l'état de son entre-cuisse.
– C'est bien, mon cœur... Tu as apprécié la fellation de notre ami... Tu vois dans l'état où je suis ? Et ce qu'il te reste à faire ?? Lui dis-je... Nous allons faire voire au Monsieur...
– Gilbert... M'interrompit- il, après s'être assis, nu.
– Je suis en train de lui parfaire son éducation... Et, je suis fière d'elle... Comme tu jouis... Tournes-toi... Et viens t'enfiler sur mon pieu... Lui-dis-je.
Obéissante, elle me tourna le dos, en étant face à lui. Chevauchant mon pieu bandant, elle vint s'y empaler, tout en douceur. Elle était totalement dilatée, elle commença à osciller, tout en gémissant, haletant, pour accélérer et jouir, sans retenue.
Gilbert, ne pouvait en rester indifférent, il se branla, sans espoir de se faire sucer, à nouveau. Et pourtant, je proposais à Gilbert, de rapprocher la table basse à ses pieds.
Pour que ma promise, y vienne s'accroupir. Ce qu'elle fit, et le sucer. Me plaçant à sa gauche, je lui ouvris ses globes fessiers, pour y trouver son anus dilaté.
Et là, alors qu'elle s'appliquait dans sa fellation, je lui glissais mon majeur droit, après l'avoir imprégné de sa glaire ruisselante. Elle ne broncha pas à ce doigté. Gloussant de plus bel, le temps pour moi, de retrouver une érection suffisante, et venir remplacer mon majeur par mon pieu sodomiseur.
Gémissante, elle jouit, car, elle aime tout autant que le reste.
A la vue de ceci, Gilbert jouit une nouvelle fois, sur son visage.
Il était tant de laisser notre voisin, afin de prendre une bonne douche, et que ma belle petite infirmière, aille prendre son service. Avant de nous laisser, Gilbert nous remercia et surtout, nous rappela que nous serons toujours les bienvenues.
- Je n'en doute pas... De plus, je compte sur vous, Gilbert... Pour vous faire plaisir... Lui dis-je, avec un clin d'oeil.
Arrivés à la maison, et après une bonne douche, en commun. Je lui imposais sa tenue, tee-shirt blanc, seins nus, lycra blanc et leggings, blanc, moulant en détail sa vulve, encore bien dilatée, socquettes, tennis.
– Parfait... Tu as été parfaite... Et Je te veux, en toutes circonstances, et opportunités... Qui se présentera... Je t'aime, Mon coeur... Je te veux offerte... Lui demandais-je.
– Je suis toute à toi et tes envies... Mon cœur... J'aime l'improviste... Tu es ma vie... Je t'aime... Me dit-elle, avant de quitter la maison. Bonne nuit... Et Prépares moi un bon petit dèj....
– Bon courage à toi, mon cœur... Lui dis-je... N'oublies pas... Si l'occasion se présente au boulot... Prends - la... Mais je veux que tu me racontes en détail... Si c'est le cas...
Nous nous enlaçâmes longuement, devant la DS. Puis elle démarra, pour me retrouver seul.
J'étais en train de me rendre compte que nous avions fait un grand pas, dans notre relation. Je devenais son dominateur, alors quelle, se soumettait à mes envies. Tout en restant dans l'acceptable.
Ma soirée s'annonçait, comme d'accoutumée, un long temps sur la partie administrative de mon entreprise. De ce coté, c'était plus compliqué que ma vie de couple. Difficile par la crise financière, que nous vivions, je me demande même, si j'allais pouvoir continuer. Les clients n'étaient pas suffisants pour pouvoir se projeter dans l'avenir.
C'était un dure constat. Mais que peut-on y faire ? La solution, vendre ma société, qui était faite de deux employés et moi-même, ou ?
Alors que je me concentrais, assis au bureau, dans mon peignoir marron. Mon portable retentit, un SMS.
« Bonsoir... Tony... Je te dérange pas... Pourrions-nous discuter ? Bérengère »
– Eh elle traîne pas... me dis-je.
« Bonsoir, ma grande... Non, tu ne me dérange pas... Je suis au bureau... J'en ai très envie, de faire causette avec toi... Je t'attends »
« J'arrive... Me répondit-elle »
« Ok... Quand tu veux... »
Dans un prochain chapitre, nous ferons plus ample connaissance avec sa belle-mère. Je peux vous dire qu'elle n'a pas froid aux yeux.
En espérant que ce nouveau chapitre vous a plu???
A très vite...
Je l'espère...
Votre serviteur.
Pour ceux qui n'ont pas lu le premier chapitre. En résumé, Anthony, 30 ans, va manger, pour la première fois, chez ses futures beaux-parents.
Mais de retour chez eux, suite à un arrêt pressant en pleine forêt, alors qu'elle le suce, qu'ils se font surprendre par trois voyeurs. Il s'en suit, soumission, fellations, exhibition, sodo.
Dans ce deuxième chapitre, nous retrouvons, notre jeune couple, que je rappelle. Lui a une entreprise paysagiste, et elle, infirmière de nuit.
Nous les avons quitté dans le premier chapitre, alors qu'ils venaient d'arriver chez eux. Mais, je préfère vous laisser en compagnie d'Anthony. Qui, pourra, mieux que quiconque, vous parler de leurs expériences.
Merci Jean-Marie,
Je venais donc, de me garer devant le garage. Ma dulcinée, docile, après m'avoir embrasser, sortit de la DS, nue, comme je lui avais demandé, ayant dans la main gauche, son micro – short rose et son débardeur blanc, et de l'autre, son sac.
Pour ma part, je me défit de mon jean, me mettant nu, à mon tour, ce dernier que je pris avec moi, mais aussi, le lycra. N'étant plus qu'un morceau de tissus blanc, souillée de glaire, encore toute fraîche.
La laissant s'exhiber, attendant devant la porte d'entrée de notre maison.
Il faut savoir, que nous avons acheté, dans un lotissement, une villa, avec 100 mètres de terrain. Deux villas, qui ont vue sur la notre, une côté entrée, et la deuxième, sur l'arrière, côté terrasse, jardin.
Je pensais donc, l'exhiber pour la première fois, à nos voisins. Surprise !
Lorsque je la rejoins, elle avait le regard tourné vers la fenêtre de notre voisin, qui se trouvait en étage. Celui-ci, un jeune retraité, vivant seul, ne se cachait même pas.
– Eh, mon cœur... Je te surprends... A mater notre voisin... Aurai-tu des choses à me cacher ?? Lui dis – je, face à elle. Tout en donnant un regard sur cette fenêtre, dont le rideau ne cessait de bouger.
– Euh !! Non, mon cœur... Je n'ai rien à te cacher... Me dit-elle, hésitante, dans ses paroles.
– Je vois... Nous avons encore du temps devant nous... Viens... Ordonnais-je.
– Mais... Que veux-tu faire ? Me demanda-t-elle.
– Nous allons rendre visite à ce vieux cochon... Lui-dis-je.
– Non... Je... Je suis vidée... Et puis... Dit-elle, cherchant tous les prétextes, pour me faire changer d'avis.
– Arrêtes... Et ne fais pas ta mijaurée... Ça ne te va pas du tout... Lui-dis-je, agacé.
La tenant par le bras, nus tous les deux, nous nous dirigeons, pour quelques mètres, Jusqu'au portail voisin. Je sonnais, il savait qui c'était. Le portillon électrique s'entre-baillant, Alors que ma petite princesse cherchait toujours à me convaincre. Nous nous sommes dirigés vers la porte d'entrée.
– Trop tard, mon cœur... Tu vas sucer ce monsieur... Lui laisser ton lycra... Et nous rentrons... J'attends de toi que tu mettes en pratique, les bienfaits de ta relation avec nos voyeurs... Et puis, tu m'as dit que je peux faire de toi ce que je veux... Tu es ma chose...
Sur ces entre-faits, la porte d'entrée s'ouvrit, pour nous accueillir.
– Bonjour... Excusez de notre tenue, mais ma chère et tendre meurt d'envie de faire votre connaissance... Auriez- vous un instant à nous accorder ?? Lui-dis-je.
Notre voyeur paraissait embarrassé, mais toutefois, accepta de nous recevoir.
– Entrez... Nous dit-il... Que puis-je pour vous ??
- Eh bien, votre voisine a repéré votre goût pour le voyeurisme... Et, si je ne me trompe, vous ne pouvez pas nous refuser une participation passive... A toi, mon cœur, Fais ta demande au Monsieur... Demandais-je.
Troublé par la situation, et notre tenue déconcertante, nous étions restés dans le hall d'entrée. Mais avant que ma belle lui dise ce qu'il en était, il nous proposa de passer dans le salon pour nous asseoir. Dans un confortable canapé de cuir, noir, alors que lui, s'installa dans un fauteuil du même style, face à nous. En jean et tee-shirt blanc.
– Bien, excusez- moi... Je suis un peu perturbé... Dit-il.
– Pas de mal... Je comprends... C'est pas tous les jours que vous recevez vos voisins dans cette tenue...
– Voulez-vous boire quelque chose ??? Demanda-t-il.
– Si vous avez du café, avec plaisir, lui répondis-je.
– Bien sure... J'en ai du tout prêt... Dit-il, en se levant.
Je regardais ma belle, assise à ma gauche, docile et soumise. Dans un regard échangé, elle ne bronchait pas à ma demande. Alors que notre voisin posa trois tasses sur la table basse, qui nous séparait, servant le café, avant de se rasseoir.
Je vais peut-être me mettre à mon aise, pour ne pas dépareiller ?? Dit – il, en souriant, retirant son jean, étant nu dessous. Bien... Alors que puis- je pour vous, ma petite dame ???
Ma belle s'exécuta, après m'avoir regardé, elle se mit à la droite de notre voyeur, restant debout.
– Je... Je vais vous sucer... A la demande de mon... Bafoua – t- elle...
– A la demande de ton compagnon, c'est çà ??? Demanda-t- il... Je peux te tutoyer ??? Mais dis-moi, Tu ne le fais pas à contre-coeur ???
– Non... Elle est juste gênée... N'est-ce-pas, mon cœur ??? Répondis-je.
– Allez... Viens... Je n'ai pas une grande érection... Mais, j'espère simplement que tu vas m'aider... Dit-il, en voulant la rassurer...
– Tenez... Lui dis-je, en lui présentant le bout de tissus, souillé... Ceci, vous aidera... Je l'espère...
– Merci... J'adore ça ... Sniffer une culotte au doux parfum de glaire fraîche... Avoua-t-il.
Alors que ma belle soumise, venait de s'agenouiller entre ses cuisses. Du bout des doigts, elle agrippa son sexe, équipé d'un anneau pénien, et s'activa à le sucer. Avec une seule idée, en finir rapidement. Malgré tout, elle s'appliqua, pendant que celui-ci, fit une minutieuse auscultation du lycra, humant les souillures de glaire.
Pour ma part, je ne pouvais cacher mon début d'érection, qui commençait à pointer de l'oeil.
Le vieux n'en perdait pas de vue, le fait de la voir sucer un autre, alors qu'il profitait humer à pleines narines, le lycra.
– Eh, çà vous plaît de voir votre chérie sucer un inconnu ? Me demanda-t-il.
– En fait, nous adorons nous exhiber... Jusque-là, cet aprèm, entre-autre... Nous avons eu droit, à la visite de trois voyeurs... Alors que nous étions en forêt... Lui expliquais-je...
– Hum... Et alors ??? demanda-t-il... Je suis friand de ces situations...
Lui racontant notre histoire, mélangé au reste, sniffage, et fellation. Tous les ingrédients y étaient, pour accélérer la chose. Il jouit sur son visage, d'un épais et onctueux jet de sperme.
Puis, ma docile se releva, et vint s'asseoir à mes côtés. Lui laissant le temps de reprendre son souffle, boire son café. Le vieux se leva, encore en érection, pour revenir avec du sopalin, qu'il lui tendit.
– Essuyez-vous... Merci, pour votre prestation... S'adressant à elle... Tenez... Lui tendant le lycra.
– Cadeau... Elle vous l'offre... Lui-dis-je.
– C'est trop... Dit-il, gêné... Je le mettrai dans ma garçonnière...
Je me tournais vers elle. Lui demandant de se lever, rester debout, alors que j'étais toujours assis. A ma demande, prestant, elle ouvrit ses jambes, posant son pied gauche sur le rebord de la table basse. Accentuant l'accès à ma main gauche, pour que mon majeur vienne constater l'état de son entre-cuisse.
– C'est bien, mon cœur... Tu as apprécié la fellation de notre ami... Tu vois dans l'état où je suis ? Et ce qu'il te reste à faire ?? Lui dis-je... Nous allons faire voire au Monsieur...
– Gilbert... M'interrompit- il, après s'être assis, nu.
– Je suis en train de lui parfaire son éducation... Et, je suis fière d'elle... Comme tu jouis... Tournes-toi... Et viens t'enfiler sur mon pieu... Lui-dis-je.
Obéissante, elle me tourna le dos, en étant face à lui. Chevauchant mon pieu bandant, elle vint s'y empaler, tout en douceur. Elle était totalement dilatée, elle commença à osciller, tout en gémissant, haletant, pour accélérer et jouir, sans retenue.
Gilbert, ne pouvait en rester indifférent, il se branla, sans espoir de se faire sucer, à nouveau. Et pourtant, je proposais à Gilbert, de rapprocher la table basse à ses pieds.
Pour que ma promise, y vienne s'accroupir. Ce qu'elle fit, et le sucer. Me plaçant à sa gauche, je lui ouvris ses globes fessiers, pour y trouver son anus dilaté.
Et là, alors qu'elle s'appliquait dans sa fellation, je lui glissais mon majeur droit, après l'avoir imprégné de sa glaire ruisselante. Elle ne broncha pas à ce doigté. Gloussant de plus bel, le temps pour moi, de retrouver une érection suffisante, et venir remplacer mon majeur par mon pieu sodomiseur.
Gémissante, elle jouit, car, elle aime tout autant que le reste.
A la vue de ceci, Gilbert jouit une nouvelle fois, sur son visage.
Il était tant de laisser notre voisin, afin de prendre une bonne douche, et que ma belle petite infirmière, aille prendre son service. Avant de nous laisser, Gilbert nous remercia et surtout, nous rappela que nous serons toujours les bienvenues.
- Je n'en doute pas... De plus, je compte sur vous, Gilbert... Pour vous faire plaisir... Lui dis-je, avec un clin d'oeil.
Arrivés à la maison, et après une bonne douche, en commun. Je lui imposais sa tenue, tee-shirt blanc, seins nus, lycra blanc et leggings, blanc, moulant en détail sa vulve, encore bien dilatée, socquettes, tennis.
– Parfait... Tu as été parfaite... Et Je te veux, en toutes circonstances, et opportunités... Qui se présentera... Je t'aime, Mon coeur... Je te veux offerte... Lui demandais-je.
– Je suis toute à toi et tes envies... Mon cœur... J'aime l'improviste... Tu es ma vie... Je t'aime... Me dit-elle, avant de quitter la maison. Bonne nuit... Et Prépares moi un bon petit dèj....
– Bon courage à toi, mon cœur... Lui dis-je... N'oublies pas... Si l'occasion se présente au boulot... Prends - la... Mais je veux que tu me racontes en détail... Si c'est le cas...
Nous nous enlaçâmes longuement, devant la DS. Puis elle démarra, pour me retrouver seul.
J'étais en train de me rendre compte que nous avions fait un grand pas, dans notre relation. Je devenais son dominateur, alors quelle, se soumettait à mes envies. Tout en restant dans l'acceptable.
Ma soirée s'annonçait, comme d'accoutumée, un long temps sur la partie administrative de mon entreprise. De ce coté, c'était plus compliqué que ma vie de couple. Difficile par la crise financière, que nous vivions, je me demande même, si j'allais pouvoir continuer. Les clients n'étaient pas suffisants pour pouvoir se projeter dans l'avenir.
C'était un dure constat. Mais que peut-on y faire ? La solution, vendre ma société, qui était faite de deux employés et moi-même, ou ?
Alors que je me concentrais, assis au bureau, dans mon peignoir marron. Mon portable retentit, un SMS.
« Bonsoir... Tony... Je te dérange pas... Pourrions-nous discuter ? Bérengère »
– Eh elle traîne pas... me dis-je.
« Bonsoir, ma grande... Non, tu ne me dérange pas... Je suis au bureau... J'en ai très envie, de faire causette avec toi... Je t'attends »
« J'arrive... Me répondit-elle »
« Ok... Quand tu veux... »
Dans un prochain chapitre, nous ferons plus ample connaissance avec sa belle-mère. Je peux vous dire qu'elle n'a pas froid aux yeux.
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