Maria 6 : Hélène se soumet
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maria 6 : Hélène se soumet
C’est Maria qui raconte ensuite les aventures de son été qui, il faut le dire, sera celui de tous les bonheurs !
***Le soir où Jean m’a ramenée chez moi après ce week-end torride, j’étais sur un petit nuage ! Emmanuel m’a envoyé je ne sais combien de ces petits messages qui sont si discrets ! Il m’a appelée vers 4 heures du matin en sortant de boite, me demandant si je suis nue, à ma réponse négative, il me demande de me dévêtir, ce que je fais, de me caresser, de lui raconter ce que je ressens. Je suis toute mouillée, je me branle le clito comme une folle au son de sa voix, il me dit qu’il faudra que j’achète un gode ou un vibro, je jouis en me masturbant comme une collégienne, à mon âge !
Je m’endors ensuite comme une masse, alors qu’il me parle, je l’entends tout de même me dire que son forfait est fini et qu’il ne pourra plus m’appeler. La fin de la nuit est peuplée de doux rêves érotiques où j’imagine des jeunes mâles qui m’empalent par tous les bouts en même temps, je me réveille en sueur, trempée aussi à l’intérieur ! Je me dis, Décidément ma vieille tu deviens nymphomane!
Je suis en peignoir, en train de prendre le petit déjeuner et il est onze heures lorsque Hélène arrive.
• « Eh bien ! Ma chérie ! Où étais-tu passée depuis deux jours ?
• Je lui raconte, sans trop de détails au début, nos « exploits » Elle me trouve « bizarre » et je suis obligée de lui raconter ma rencontre avec Emmanuel. Ca la rend dingue que je puisse faire l’amour avec un garçon si jeune. Tu trouves que je suis folle, ou perverse ?
• Oui ! Non ! Enfin je ne sais pas ! Je n’aurais jamais pensé qu’un garçon de 19 ans puisse s’intéresser à une femme plus âgée !
• Tu peux dire à une vieille !
• Voyons ma chérie ! Je n’ai pas dis ça !
• Non, mais tu l’as pensé ! Hélène viens derrière moi, m’entoure de ses bras, glisse les mains dans le peignoir et me masse les seins, m’embrasse dans la nuque...
• "Tu sais bien que c’est pas vrai ! Mais je suis jalouse ! Tu m’as manquée !
• Écoute ! J’ai une idée ! Emmanuel me manque déjà ! On va aller à Bayonne faire des courses cet après midi et ensuite on va là bas et je l’appelle. Que penses-tu, si on se trouvait un appartement en location pour quelques jours ?
• Tu es vraiment folle !
• La vie est courte et à mon âge je dois en profiter au maximum et puis, je peux me le permettre !
• Dis donc ! Tu es vraiment « accro » à ce garçon toi ! Mais d’accord, je te suis, et puis, j’ai envie de voir cette merveille ! »
Je m’habille, nous passons par chez Hélène, puis direction Bayonne et ses petits magasins pour quelques achats : lingerie, parfum, produits d’hygiène intime et continuant sur ce sujet, je me rappelle la demande d’Emmanuel, nous entrons dans un sex-shop et choisissons un gode de belle taille, un gode ceinture, le vendeur est persuadé que nous sommes gouines, nous complétons par du gel et un vibro-masseur.
Après ces achats hautement érotiques, nous avons du mal à ne pas les essayer tout de suite dans la voiture. Hélène, qui est une vrai salope, se saisi du vibro lorsque nous sommes sur la route et se caresse avec, pendant que je conduis. Arrivées à destination, j’appelle Emmanuel qui arrive quelques minutes après. Son regard se voile lorsqu’il découvre que je ne suis pas seule, mais très vite je lui explique qu’Hélène est une - tendre- amie qui mourrait d’envie de le connaître et qui ne croyait pas qu’un bel homme, si jeune de surcroît, puisse s’intéresser à une vieille femme comme moi.
• "Mais, Maria chérie ! Tu n’es pas vieille ! Et tu me plais beaucoup !
• Tu es gentil mais je suis une vieille dame indigne !
• Comment cela ?
• Eh bien, je couche avec un garçon qui a cinquante ans de moins que moi, qui pourrait être mon petit fils et j’aime ça, je suis folle de sa bite – comme je parle mal - et il y a trois jours je ne pensais pas que je pouvais encore intéresser un homme, depuis, j’ai fait l’amour avec trois hommes et deux femmes ! Tu ne trouves pas cela indigne, toi Hélène ?
• Mais pas du tout ! Et puis, pourquoi te soucier de ce que peuvent penser les gens ! Profite du bon temps !
• Justement, Emmanuel, connaîtrais-tu un appartement que je pourrais louer par ici ?
• Ma mère en a un, avec petit jardin, dont je fais l’entretien. Cà t’intéresse ?
• Bien sûr ! Je pourrais ainsi rester près de toi… si tu le veux encore !
• Super ! Attends il faut que je l’appelle ! Peux-tu me prêter ton portable ?
• Allo, Maman, Dis, je suis avec une dame, enfin, deux dames, qui sont intéressées par ton appartement de la rue d’Albret, il est libre. ? … Il est occupé ?… à partir du 20 juillet, jusqu’au 15 août ? Attends, je demande – Madame, me dit-il avec un clin d’œil, il serait libre jusqu’au 20 juillet ! …. C’est 150 euros la semaine … Elle est d’accord Maman …. Pourrait-elle le reprendre après le 15 août ? … d’accord … Pour tout ça, elle vous le laisse à 600 euros et si vous voulez septembre le tout pour 1000 ….. Elle est d’accord Maman…Bon, d’accord, je lui fais visiter, … son visage s’assombrit Tu nous rejoins là bas ? Je fais signe que oui. D’accord, on s’y retrouve.
• C’est génial, dommage qu’elle vienne ! Et si elle se rend compte de quelque chose ?
• Au contraire, elle va voir deux dames plutôt mures et vieilles, elle sera rassurée, on va se comporter comme des étrangers ! !
Nous partons vers l’appartement, Emmanuel, en moto devant la voiture, nous guide.
• « Tu es gonflée, tout de même me dit Hélène !
• C’est toi qui m’as dis d’en profiter ! Tu es la bienvenue, tu le sais !
• Tu me prêteras ton … étalon, • Oh ! ! Cochonne ! Je ne sais s’il voudra d’une jeunesse comme toi ! Mais pour moi tu sais bien qu’il n’y a pas de problème ! Mais laisse-le-moi un peu toute seule tout de même ! »
L’appartement est très bien, une grande pièce ouvrant vers le petit jardin à l’arrière, protégé tout le tour par une haie opaque, qui l’isole des voisins, à l’étage, deux chambres et une salle d’eau. Le tout à proximité de la plage et du centre, tout en étant un peu isolé. Discrétion assurée. Nous sommes à la fenêtre qui ouvre sur la mer, lorsque la mère d’Emmanuel nous rejoint. Emmanuel se charge de faire les présentations.
• « Ma mère, Madame... excusez-moi, je ne connais pas votre nom !
• Madame Massé, mais appelez moi Maria et voici Hélène, mon amie. »
La mère d’Emmanuel est une charmante dame à la quarantaine épanouie, qui semble enchantée de voir deux dames plutôt âgées, qui ne ferons donc pas trop la fête et garderont l’appartement sans l’abîmer.
• « Ça vous plaît ? demande la dame • Bien sûr ! pour moi c’est idéal • Et ... pour le prix ?
• Pas de problème, écoutez, je vous paye jusqu’à fin septembre, quand pouvons nous y rentrer ?
• Quand vous le voulez, mais vous savez qu’il est loué fin juillet ?
• Oui, oui pas de problème, je dois aller voir des amis en Espagne, j’irai à ce moment là »
L’affaire est vite faite et c’est autour d’un verre dans un café que nous signons les papiers.
• « Jeune homme, dis-je à Emmanuel, puis-je te tutoyer ? A ton âge on ne se s’offusque pas ?
• Oui, bien sûr dit-il en rougissant un peu.
• Mais bien sûr rajoute sa mère, il pourrait être… • Mon petit fils ! Dis-je en éclatant de rire, seule sa mère ne comprend pas notre joie. Tu pourras venir, si tu veux, faire l’entretien, ça me fera plaisir d’avoir une jeune compagnie … si cela ne t’ennuie pas, bien sûr !
• Non... Non... Répond-t-il troublé malgré tout.
• Oui ! Ajoute, sa mère. Tu pourras t’occuper de Madame, sans la déranger – si elle savait comment ! ! – Il pourra vous faire les courses, un peu d’entretien, çà l’occupera au lieu de traîner à la plage toute la journée, ou dans les bars !
• Maman !
• Ce n’est pas vrai peut-être ? Et puis tu as ton examen à préparer, donc fini toutes ces journées à ne rien faire !
• Un examen de quoi ? dis-je • Pour entrer à l’Ecole Normale, Je veux devenir professeur.
• Je pourrais lui donner des conseils, dis-je, je suis enseignante à la retraite, si je n’ai pas trop perdu... Mon amie est prof d’allemand – tout ceci est complètement faux, mais qui peut le prouver – • Oh Madame, vous êtes gentille mais je ne voudrais pas qu’il vous dérange pendant vos vacances !
• Mais pas du tout, au contraire !
• Si j’avais su, je vous aurais fait une ristourne, je vais vous rembourser !
• N’y pensez pas ! Ça me fais plaisir ! – si elle savait ! – • Je tiens à vous inviter chez nous un de ces jours, n’est-ce pas Emmanuel ?
• Emmanuel, Comme c’est joli ! Dis-je comme si je le découvrais – je me trouve diabolique – Tu permets que je t’appelle Emmanuel ?
• Bien sûr, …. Madame !
• Appelle-moi Maria !
• D’accord ...Maria dit-il avec une certaine jubilation.
• Ça ne vous dérange pas, Madame ? Dis-je en m’adressant à sa mère. Je ne voudrais pas vous paraître trop familière, mais mon pauvre mari – j’en rajoute un peu – aimait supprimer ces frontières entre générations, lui-même acceptait que ses élèves l’appellent Michel, cela n’empêchait pas le respect !
• Vous avez raison, et j’espère que si mon Emmanuel vous manque de respect, vous n’hésiterez pas à le remettre à sa place ! Je l’ai élevée toute seule mais avec le souci du respect des autres.
Je manque de m’étouffer, si elle savait que hier, il m’a baisée, sodomisée, que je l’ai sucé et bu son sperme, ce serait-elle qui s’étranglerait ! Pour continuer le change, alors que Emmanuel est écarlate et Hélène écroulée de rire !
• « Je voudrais bien voir cela ! Je saurais le corriger, vous savez, « Une main de fer dans un gant de velours » telle est ma devise, mais soyez sans crainte, il saura se tenir ! Et il fera des progrès, dans tous les domaines, n’est-ce pas Hélène ?
• La dame semble rassurée pour la suite des événements et alors qu’elle va nous quitter, je demande « innocemment » à Emmanuel, Maintenant nous aimerions profiter de la plage, tu en connais une qui ne soit pas trop fréquentée ? A nos âges nous aimons la tranquillité !
• Bien sûr, vous n’aurez qu’à me suivre! »
Nous allons bien sûr à la plage des casernes, lieu de notre rencontre. Hélène, adepte de longue date, nous dévoile son corps entièrement bronzé et musclé. Emmanuel est sensible à son charme et je remarque ses regards. Au lieu d’être jalouse, j’entrevoie des perspectives pour nous trois et puis, je suis tout de même consciente que Emmanuel ne doit pas s’attacher exclusivement à moi, car notre histoire, qui me remplie !!, de bonheur, n’est pas viable à long terme. Je dois me faire une raison, c’est moi qui doit être raisonnable ! L’intérêt de mon jeune amant pour mon amie, me conforte dans cette décision. Hélène découvre le sexe d’Emmanuel, qui, même au repos, est assez impressionnant, heureusement qu’elle porte des lunettes noires car ses yeux doivent lui sortir de la tête, sa bouche entrouverte manifeste son incrédulité. J’admire, la ligne de ma maîtresse qui sous le soleil, ne trahit pas son âge et je m’aperçois qu’elle a entièrement supprimé sa toison pubienne.
• "Ma chérie ! Mais tu t’es entièrement épilée !
• Oui ! j’ai beaucoup aimé gougnoter ta chatte sans poils et me suis dis que ce serait agréable pour mes partenaires.
• Parce que … vous ! … s’étonne Emmanuel !
• Oui mon chéri, ta vieille maîtresse à aussi découvert les amours saphiques avec Hélène ! Tout ça à cause de Jean ! Ca te dégoûte ?
• Pas du tout ! …Au... contraire !
• Petit vicieux ! Tu as déjà envie d’avoir deux femmes dans ton lit !
• Je…..
• Ne t’en fais pas ! Je suis d’accord pour qu’Hélène se joigne à nous et vu ce que nous avons fait hier, nous ne serons pas trop de deux pour arriver à te calmer… Si nous y arrivons! »
Dès le lendemain, nous avons décidé d’aménager aussitôt, nous nous retrouverons dans la maison de la mère d’Emmanuel qui durant l’été va être notre nid d’amour. En fait, je ne vais pas quitter Emmanuel de toute la saison, l’amenant avec moi en Espagne pendant que l’appartement est loué, mais ceci est une autre histoire.
Ce jour là nous rentrons à la maison toutes les deux après la plage, en promettant à notre jeune ami de revenir dès le lendemain. Il est un peu déçu que nous l’abandonnions, mais je dois prendre mes dispositions avant de quitter ma maison, afin que mes amis ne s’inquiètent pas. Avec Hélène nous mettons en place des alibis croisés prétextant que c’est l’autre qui a trouvé la location, en laissant sur nos répondeurs, un message où nous joindre en cas d’urgence. Seul, Jean, bien sûr, est au courant de notre véritable destination et situation. Il viendra d’ailleurs plusieurs fois nous voir. Nous passons chez Hélène d’abord, pour vider le petit studio qu’elle loue et qui est plutôt insalubre. Elle donne congé au propriétaire, même si le mois n’est pas fini, de toute façon il est payé, et ses affaires, peu nombreuses, chargées dans mon break, nous rentrons chez moi.
Hélène ne veut pas m’obliger à une cohabitation dérangeante, aussi je l’installe dans le petit pavillon à quelques mètres de la maison, nous garons sa vieille voiture dans le garage fermé à clé, puis, je prépare mes bagages pendant qu’elle fini de s’installer. Je passe quelques coups de fil aux amis proches et à la famille, pour leur dire que je pars en vacances. Nous dînons ensuite et après une soirée calme nous allons nous coucher. Hélène me rejoint dans mon lit sans que j’y trouve à redire. Comme l’autre jour, c’est elle qui prend l’initiative et j’adore me laisser faire.
Elle m’enlève la nuisette légère qui tentait de cacher mes rondeurs et m’embrasse sur tout le corps. Un long baiser profond nous unit, alors que ses mains parcourent mon corps, un peu brimée de ne pouvoir la caresser directement, j’entreprends de lui enlever l’affreux pyjama qu’elle a revêtu. Celui-ci la recouvre du cou aux pieds, c’est en fait un pyjama d’homme, Hélène s’est faite jetée par son copain allemand qui ne lui a laissé que le minimum. Comme je la veux nue contre moi, je l’enjambe pour la bloquer et arrache sa veste, je me précipite sur ses petits seins aux pointes bien dures, je mordille les bouts, les lèche, alors que de l’autre main je pince le téton qui est libre, je dessine avec la langue des caresses sur son corps, le nombril fait l’objet de toute mon attention, puis je descends lentement.
La culotte du pyjama fait là aussi obstacle, je la baisse complètement écarte ses jambes et nichant ma tête entre ses cuisses, m’occupe de tout son bas ventre maintenant épilé. J’éprouve la sensation qu’ont maintenant mes partenaires, lorsqu’ils s’occupent de ma chatte, c’est très agréable d’avoir tout dégagé, le nid est accueillant et sa corolle suinte déjà de mouille. Je n’ai pas beaucoup le loisir de flâner ainsi, car Hélène me saisie par les hanches et me retourne sur elle en soixante neuf. Je m’acharne sur son clitoris, elle me rend aussitôt la pareille, j’enfonce deux doigts dans sa moule humide, aussitôt elle m’imite, elle jute bientôt sous mes caresses et je m’abandonne sous les siennes.
Hélène, qui ne perd pas la tête, a amené nos achats « coquins » de l’après midi, elle s’harnache du gode ceinture et me le présente devant les lèvres, j’embouche le gland qui ressemble vraiment à un sexe. Je l’enduis bien de salive, Hélène me chevauche alors, me prenant comme un homme, allant et venant en moi tout en suçant mes tétons. Elle attrape mes jambes pour les relever et me fourre à fond, ma jouissance monte lentement dans mes reins et je gueule mon plaisir. Toujours équipée de son sexe factice, ce qui est assez comique, Hélène prend le vibro masseur, me pénètre avec, fait quelques va et viens, met en route le moteur qui transmet à mon corps des sensations terribles, puis, se présentant devant mon anus bien graissé, elle me sodomise de toute sa longueur avec le gode ceinture qui orne toujours son bas ventre. Je grimpe littéralement aux rideaux ! Les orgasmes s’enchaînent sans arrêt, je devine dans une sorte de brouillard, que Hélène a détaché la ceinture tout en laissant le gode en moi, elle a attrapé l’énorme gode qu’elle s’enfonce elle même, tout en remuant celui qu’elle a laissé dans mes reins. Heureusement après un moment elle arrête le moteur du vibro, car je serais devenue folle. Elle laisse les deux instruments enfouis dans mes orifices, maintenant en elle le sien. C’est comme ça que nous nous endormons comme des masses.
Plus tard je me réveille, la tête dans son compas, et tendrement, je la lèche, avant de m’endormir à nouveau. La nuit sera ponctuée de caresses entrecoupées par le sommeil. Au matin, nous émergeons doucement, nous retrouvons dans les bras l’une de l’autre, chiffonnées mais heureuses de cette nuit lesbienne, nos mains dans le vagin de l’autre, nous jouissons, nos langues emmêlées dans un dernier spasme.
Longtemps nous traînons dans les draps ravagés, c’est la faim et l’envie d’uriner qui nous tire du lit. Sous la douche, que nous prenons ensemble, je fais pipi devant elle sans honte, me rappelant la séance avec Jean. Hélène aussi, urine devant moi, et je frotte ma main sur son clito pendant toute la miction, ce qui lui procure un plaisir pervers. Je suis crevée, mais en même temps j’ai l’impression d’être sur un nuage. Hélène se charge de préparer le « p’ti dej ». Il fait tellement bon, en ce début d’été, que nous restons nues, c’est le bruit de la voiture du facteur qui nous fait fuir. Comme il frappe à la porte, il doit avoir quelque chose de spécial, j’attrape un peignoir et vais ouvrir. C’est un paquet qu’il livre, je dois signer, j’en profite pour lui dire que je m’absente et s’il pourrait m’envoyer le courrier à l’autre adresse. Il me dit que normalement il faut faire une demande mais comme c’est lui qui s’en charge, il n’y aura aucun souci. Je lui propose un verre qu’il accepte. Je ne sais si ce sont ces derniers jours qui agissent sur ma libido, mais j’ai l’impression qu’il me reluque attentivement. Mon peignoir plutôt court s’est entrebâillé sur mes seins, il y a quelques jours, je n’aurais pas prêté attention, mais maintenant, j’ai l’impression que mes sens sont en éveil permanent.
Je ne peux décemment pas chercher l’aventure avec ce garçon qui doit avoir dans les trente cinq ou quarante ans, les langues vont vite dans le coin, mais tout de même ! Faire envie à bientôt soixante neuf ans à un homme de trente ans de moins, qui me connaît depuis longtemps et ne me regardais pas vraiment ! Faire l’amour doit agir comme un rayonnement ! Je le laisse mater, sans chercher à cacher quoi que ce soit, mais sans encourager autre chose. Heureusement que Hélène ne vient pas en rajouter car notre facteur aurait du mal à partir.
A regret, semble-t-il, tout de même, il continue sa tournée après m’avoir saluée, sa poignée de main est un peu plus appuyée que d’ordinaire, mais je ne fais rien pour l’encourager. Après son départ, Hélène hilare revient, toujours nue.
• "Quel succès ! Je crois qu’il n’attendait qu’un geste pour te sauter dessus !
• Oui ! Mais je ne tiens pas à passer pour une vieille salope dans tout le canton !
• Tu crois qu’il s’en vanterait ?
• S’en vanter sûrement pas mais faire courir que je baise avec n’importe qui à mon âge, une fois qu’il m’aurait eue, tu sais bien que le sexe des vieux est encore assez tabou ! Je suis sûre qu’il n’a pas idée de mon âge, ou du moins pas précisément. Il me croit plus jeune, car si jusqu’à 60 ans tu peux faire l’amour, après çà n’est pas pensable, surtout pour les femmes ! Pourtant, ma chérie, je peux te dire que nous avons des envies !
• Surtout depuis trois jours !
• C’est vrai que ce diable de Jean a tout déclenché ! Le pauvre ! Je l’abandonne déjà pour un plus jeune !
• Je ne crois pas qu’il t’en veuille ! Si tu permets, je le consolerais avec plaisir !
• Salope que tu es ! Tu me le piques déjà ?
• Mais … C’est toi qui… • Je plaisante ! J’espère bien qu’il va tout de même me solliciter, malgré Emmanuel !
• Ne t’inquiète pas !
• De toute façon, il y a Valérie et Jeremy dans le coin, ça lui fera un prétexte !
• Il faut que tu me les présente ceux-là !
• Mais tu es intenable !
• Parce que toi, tu te gênes peut-être !
• D’accord ! Un à un ! Bon ! On s’habille et on y va ?
Il fait très chaud quand nous arrivons à notre appartement, notre déménagement en pleine chaleur, ne nous donne pas envie de sortir ensuite. Les volets clos, nous profitons de la fraîcheur relative de la maison pour faire une petite sieste réparatrice. Cette pause de l’après-midi deviendra vite un rituel car nos nuits seront à l’image des précédentes : agitées !
Il est presque dix sept heures, lorsque Emmanuel vient frapper à la porte. Alors que je vais pour l’embrasser tendrement, il me tend la main en fronçant les sourcils. Je comprends vite qu’il faut garder de la distance, car quelqu’un doit regarder. Je lui propose cérémonieusement de rentrer et dès la porte refermée, il change d’attitude en se jetant littéralement sur moi ! Il me dévore les lèvres, retire ma robe et alors que je suis nue, abandonnée déjà à ses caresses, il déclare en me laissant en plan : • "Le voisin était à côté, heureusement que tu as compris ! Je vais ressortir et je reviendrai par derrière, hier soir, après votre départ, j’ai aménagé un passage discret dans la haie. » Il m’entraîne derrière lui dans le jardin où Hélène bronze nue à son habitude. Il pose un baiser sur la pointe d’un sein, puis m’amène contre la haie où après avoir détaché un fil qui relie deux branches, très discrètement, un passage invisible permet de se glisser. « Je passerai par là avec la moto et je la mettrai dans l’appentis, comme ça le voisin ne verra rien même s’il matte à travers la haie, de toute façon, vu votre tenue, je vais rajouter du cannisse serré de son côté. Bon ! Je vous laisse et je reviens dans un quart d’heure! »
Le petit jeune homme timide a pris de l’assurance en quarante huit heures. Autant il reste timide avec sa mère ou son entourage, autant il est déluré et sûr de lui avec nous. Pendant tout l’été, il adoptera ce double comportement, garant de notre tranquillité et de notre bonheur.
Son retour est si discret, que nous ne nous en rendons compte que lorsque il franchi la haie en douceur, cinq secondes plus tard, sa moto est cachée dans la remise. En sortant de celle-ci, Emmanuel se déshabille en déclarant qu’il ne veut pas choquer en restant le seul habillé ! Il faut dire que le bougre bande déjà et que son bermuda le serre bigrement !
Je me jette littéralement sur lui, je dois dire que son contact me manquait ! Contre moi je sens sa bite dure dressée, je l’attrape et je sais déjà que, comme la première fois, il va me prendre debout, là, dans le jardin ! Ses mains empoignent mes fesses et me soulèvent comme un fétu de paille, mes jambes entourent ses hanches, je guide sa verge vers mon antre dans laquelle le sang bat la cadence, je m’accroche à son cou et enfin, sa queue me pénètre au tréfonds du vagin dont il écarte les chairs qui épousent sa forme turgescente ! J’étais tellement en attente de ce pénis sublime que mon corps me trahit et je jouis comme une folle ! Heureusement qu’Emmanuel a pris mes lèvres, avec les siennes, car on m’entendrait à deux cent mètres à la ronde ! Hélène que notre accouplement sauvage a dû mettre dans tous ses états, s’agenouille sous moi et d’une main masse les couilles d’Emmanuel apportant ses caresses à notre coït brutal ! Emmanuel décharge son flot de sperme sous l’effet conjugué de mes contractions et du massage d’Hélène. Vidée, je « descends de l’arbre » et Hélène se précipite pour avaler la bite d’Emmanuel qui dégouline de sperme et de mouille. Ses lèvres doivent vraiment se distendre au vu des dimensions de l’engin, mais Hélène qui en a vu d’autres, se régale, d’autant plus que l’effet de sa fellation, maintien Emmanuel dans une raideur qui lui laisse entrevoir une suite des plus agréable pour elle.
Le résultat ne se fait pas attendre, mais sans doute fatigué par le coït précédent, Emmanuel couche Hélène dans l’herbe et la pénètre dans la position classique du missionnaire ! Le corps tendu sur ses bras, il baise mon amie de toute la longueur de sa verge, admirant le spectacle de la femelle pâmée sous son maître. Je dois dire que le spectacle de mon amie, baisée par mon jeune amant, loin de me rendre jalouse, m’excite plutôt et étendue à leurs côtés, je me caresse le bourgeon, prolongeant de la sorte mon plaisir. Hélène pousse des petits cris comme le ferait un petit chien, Emmanuel ahane comme un bûcheron ou un paysan qui « laboure » sa terre. Hélène est complètement « partie » dans ses orgasmes qui se succèdent lorsque Emmanuel lâche,- pour la deuxième fois en quelques minutes - son jus mais sûrement pour le plaisir, c’est sur le ventre d’Hélène qu’il se laisse aller en longues traînées blanchâtres. Ne voulant rien laisser perdre, je me précipite sur mon amie et lèche la liqueur qui part de la base de son cou jusqu’à son pubis.
Un peu calmés après ce moment de folie, nous pensons tout d’un coup que le voisin a peut-être pu nous surprendre. Emmanuel va voir derrière la haie et nous appelle. Nous-nous approchons pour découvrir que le voisin a bâti un mur de deux mètres de haut pour faire un appentis de son côté et ce mur, court tout au long de la clôture, isolant parfaitement les deux jardins. Au moins de ce côté là, nous sommes tranquilles, d’autant plus que le pavillon voisin n’a pas d’étage contrairement au notre et donc pas de vue plongeante sur notre « jardin d’Eden » comme nous le surnommerons, car nous y serons nus quasi en permanence, tout comme dans la maison d’ailleurs, ce qui nous vaudra quelques fou-rires lorsque il nous arrivera d’ouvrir à des visiteurs inopinés.
Après cette « pendaison de crémaillère » un peu particulière et un rapide passage sous la douche et nous partons à la plage.
Les jours passent vite, trop vite dans notre havre d’amour. Emmanuel a d’abord culpabilisé auprès de moi, d’avoir fait l’amour à Hélène, il faudra toute ma persuasion pour lui faire comprendre que je ne lui en veux pas et qu’au contraire cela renforce notre amour. Il mettra un peu de temps à l’admettre ce qui je dois dire, me soulagera, toujours dans la perspective où je me place, que notre amour ne peut durer. Il est vrai aussi que lorsque nous étions tous les deux seuls, nous avions de vrais moments de complicité. Ceci s’est amplifié après le quatorze juillet.
A cette date, nous nous sommes rendu compte que la fin de la première partie de notre séjour s’approchait et nous n’avions pas envie de nous séparer. Accompagnée d’Hélène, je vais chez la mère d’Emmanuel. Je la félicite d’abord pour le sérieux ! ! de son fils dans ses révisions et lui propose de l’emmener avec moi en Espagne afin qu’il se perfectionne dans cette langue qu’il étudie pour son examen : • « La route est longue et à mon âge, je fatigue vite ! Hélène doit rester chez elle, je suis donc seule Je vais chez ma sœur à côté d’Alicante. Ils ont une grande maison et la venue d’Emmanuel ne pose aucun problème, ils sont d’ailleurs d’accord, je les ai appelés ! »Mise quasiment devant le fait accompli, la mère d’Emmanuel ne peut refuser. Elle n’a jamais laissé partir son fils, mais la présence d’une dame âgée la rassure (la pauvre !). Elle me propose tout de même de participer aux frais, je lui suggère plutôt de donner de l’argent de poche à Emmanuel qui gérera cela à son goût.
En prenant le thé, elle m’interroge pour savoir si Emmanuel ne me dérange pas trop pendant mon séjour, s’il se comporte bien, Il lui paraît parfois un peu fatigué. Elle s’inquiète aussi de ne pas le voir avec des amis ou des amies. Je l’assure que son fils se comporte très bien ! ! Il est assidu et ma foi, lorsqu’il est à la plage avec nous, je le vois s’amuser – je ne dis pas avec qui - Quand au soir je suppose qu’il doit sortir, mais cela ne me regarde pas. Elle me confirme en effet qu’il rentre tard (ce que je sais et pour cause, puisqu’il est dans mon lit). Tout ceci est plein de sous-entendus, qui me font sourire intérieurement, Emmanuel lui est obligé d’aller dans sa chambre sous un faux prétexte, rouge jusqu’aux oreilles. Je me trouve machiavélique !
Elle me remercie encore de mon aide. Afin de faire taire d’éventuelles mauvaises langues je lui raconte en riant, qu’Emmanuel veut m’emmener sur sa moto –vous croyez, à mon âge ! – C’est un plaisir que je lui ai, pour le moment, toujours refusé de peur des commérages des voisins, mais que je compte assouvir. Elle rit avec moi et ajoute : • « Excusez moi d’être si indiscrète, mais entre femmes, on peut poser ce genre de question. Si je puis me permettre, quel âge avez-vous ?
• IL n’y a pas de mal ! J’ai soixante huit ans !
• Oh ! Mais... je… je vous croyez beaucoup plus jeune ! ! Excusez-moi… Vraiment je suis confuse ! Vous ne les faites pas… Mais si mon fils vous dérange, vous savez, il faut me le dire !
• Mais pas du tout, au contraire – sa jeunesse apporte un rayon de soleil dans ma vieillesse ! - si tu savais comme il me baise bien ! – Et puis il me fait penser au petit fils que je n’ai pas eu, mon mari et moi, nous n’avons pas eu d’enfant.
• Quel dommage ! Eh bien, puisque cela ne vous dérange pas, je veux bien qu’il aille avec vous en Espagne, mais n’hésitez pas à le gronder s’il se tient mal, je trouve que votre influence lui fait du bien depuis le début de l’été !
• Je crois que c’est réciproque, sa jeunesse me fait aussi beaucoup de bien. Je crois que je m’encroûtais vraiment! »
Après cette conversation surréaliste avec ma « belle-mère », durant laquelle j’ai failli, ainsi qu’Hélène, éclater plusieurs fois de rire, je suggère qu’Emmanuel amène ses affaires la veille du départ.
- « J’ai l’intention de partir tôt le matin. » Je propose « innocemment » qu’il dorme ainsi dans l’appartement. Hélène sera retournée à la maison et il y a donc une chambre de libre – inutile de dire qu’elle le restera – La dame approuve ce départ matinal et je lui donne rendez-vous au dix neuf, je viendrai chercher Emmanuel et ses affaires. Je prends congé et par habitude, je vais vers mon amant pour l’embrasser. Heureusement, je me reprends, je parviens à me bloquer et fais mine de lui demander : • " Tu permets que je t’embrasse ?
• Emmanuel est rouge de confusion en se rendant compte que nous avons failli nous trahir, en tournant sa joue il ajoute Oh oui Madame, j’en serai très content ! »Sous les yeux de sa mère nous échangeons un baiser chaste, elle s’approche et vient embrasser son fils qui sans réfléchir nous prend chacune dans un bras et déclare, je vous aime toutes les deux ! Je m’écarte assez vivement de peur que sa mère ne soupçonne quelque chose, elle au contraire dit : • "Voyons, Emmanuel tu dis des bêtises ! Tu ne vois pas que tu déranges Madame avec tes façons de faire !
• Pas du tout dis-je, j’ai été surprise, c’est tout. Ça ne me gêne pas que ce grand garçon m’embrasse, il y a bien longtemps que cela ne m’est pas arrivé ! Mais qu’un jeune homme me fasse une déclaration, c’est surprenant. Je ris autant de nervosité que pour cacher mon trouble.
• Si c’est ainsi, d’accord, puisque vous le permettez, j’en suis très heureuse, l’influence d’une autre femme que moi, lui fait du bien, vous êtes un peu comme la grand-mère – excusez-moi – qu’il n’a pas connu ! »
Alors là nous sommes dans un délire total ! Il est temps que je m’échappe ! J’ai mal au ventre de me retenir et de rire et de lui jeter à la figure que son fils est un amant formidable, superbement monté et qui me baise chaque fois qu’il le peut, dans tous les trous et toutes les positions ! D’ailleurs cette conversation m’a totalement excitée que si la mère n’était pas là je violerais le fils ici même !
Le dimanche suivant, deux jours avant notre départ, Jean, passe nous voir. Afin de m’éviter un voyage, il va ramener Hélène. Connaissant les deux compères et les regards échangés, je ne doute pas qu’il « consolera » notre amie de ne pas être du voyage en Espagne ! Je lui laisse la parole pour un petit aparté.
• « J’étais passé un week-end pour voir l’installation de Maria et Hélène et je n’avais pas eu l’occasion de revenir. Lorsqu’après le quatorze juillet je viens leur rendre visite, je trouve les deux femmes qui sont nues dans l’appartement, ce qui semble être leur tenue habituelle. Adepte de cette tenue, je suis néanmoins surpris et au début, ne sais trop quelle attitude adopter. Maria, après trois semaines au grand air et au soleil est entièrement bronzée et je dois dire superbe. Le regard admiratif que je laisse traîner sur ses formes ne lui échappe pas et elle semble flattée de mon attention.
• Mettez vous à l’aise et venez dans le jardin, me dit-elle, nous prenions le petit déjeuner. Vous savez, nous nous levons tard – il est onze heures passée »
Maria m’explique alors le stratagème du voyage en Espagne. Comme elle doit ramener Hélène le lendemain, je propose de lui éviter le voyage et de la ramener moi-même aujourd’hui. Hélène échange avec moi un regard qui en dit long sur ses intentions à mon endroit. Je sais que Maria, fine mouche, a vu son amie et à son sourire amusé, devine les projets de celle-ci.
Nous partons ensuite à la plage, un moment avant la grosse chaleur, puis revenons à l’appartement pour une sieste, qui contrairement à mon attente, se révèle tout à fait chaste. Je me lève lorsque Maria redescend, constatant mon érection, elle passe la main sous mes bourses et mon sexe en disant :« Alors, toujours d’attaque, mon chéri ! C’est moi qui vous fait cet effet, ou bien ce sont vos rêves» Mais ce sera tout ce qu’elle fera, il faut dire qu’elle avait entendu arriver la moto d’Emmanuel et était descendue pour le recevoir et peut-être lui signaler ma présence. Nous repartons à la plage et Maria profitant de ma présence, décide d’y aller en moto avec Emmanuel alors que j’amène Hélène en voiture. Sur la plage, je constate avec plaisir que Maria ne dépare pas au milieu des autres, son corps harmonieusement basané, semble aminci, elle passe son temps entre la baignade où elle joue dans les vagues gaiement et la serviette sur le sable où elle lit un roman. Emmanuel ne la quitte pratiquement pas, dans l’eau avec elle, à ses côtés sur le sable.
Alors que nous sommes encore dans l’eau avec Hélène elle me les désigne « Ils sont mignons, comme un couple, n’est-ce pas ? Lui est comme un petit chien, si elle le laissait faire il ne la lâcherait pas. Tu restes avec moi ce soir ? J’ai envie et besoin d’un homme pour moi seule! » J’avais prévu de passer chez Valérie et Jeremy, mais je me dis que j’aurais l’occasion d’y retourner. Je les appellerai tout à l’heure pour les prévenir, nous irons la semaine prochaine ! Hélène qui ne les connaît pas, mais en a entendu parler, est ravie de la perspective. Nous passons la fin d’après-midi sur la plage qui se vide du monde petit à petit. Nous sommes les derniers sur le sable, dans ce moment agréable où la température est plus clémente et l’eau, qui à marée basse est plus calme. Nous jouons au bord de l’eau, frisbee, ballon, baignade, en riant comme des enfants, Maria n’étant pas la dernière. Quiconque la verrait à ce moment là ne croirait pas que la dame est presque septuagénaire !
Je ne sais si c’est ma présence ou le moment un peu « hors du temps » que nous passons, mais, aucun signe de tendresse excessive ni baiser ou caresse ne sont échangés, nous sommes simplement heureux de nous trouver là, à partager ce moment de calme.
Le soir avançant malgré tout, nous quittons la plage avec regrets. Pour terminer cette journée nous savourons un plateau de fruits de mer dans un petit restaurant sympa. De retour à l’appartement, alors que Emmanuel rentre chez sa mère, pour une fois de bonne heure. Hélène rassemble rapidement ses affaires et nous laissons Maria qui se retrouve seule pour la première fois depuis que je l’ai rencontrée, trois semaines déjà ! Elle déclare, un peu émue malgré tout que cela lui fera du bien de passer une soirée calme.
Pendant le trajet du retour, Hélène sommeille. Elle a revêtu une simple robe de plage sous laquelle elle est nue. Il faut dire qu’elle a un peu forcé sur le vin blanc qui était servi avec les fruits de mer. Hélène allongée sur son siège pour dormir, a sa robe remontée jusqu’en haut des cuisses, d’une main je la caresse et bien vite c’est sa main qui s’infiltre et dans son sommeil, elle se caresse inconsciemment. La nuit est tombée lorsque nous arrivons chez Maria, je réveille ma passagère et nous descendons ses affaires, elle me demande de sortir sa voiture du garage et d’y mettre la mienne à la place afin d’être discrets, je fais donc l’échange des véhicules, à mon retour, Hélène est sous la douche, sûrement pour récupérer un peu. Ayant envie de me rafraîchir je me déshabille et la rejoins dans la petite cabine. Mon intrusion ne semble pas lui déplaire et apparemment revigorée par l’eau fraîche, elle se fait câline et provocante, nous quittons la cabine et pour conserver un peu de fraîcheur nous ne nous séchons pas, c’est avec nos langues que nous recueillons les gouttes sur la peau de l’autre.
Hélène se lève un moment et va dans sa chambre, elle revient avec une boite de laquelle elle sort divers instruments : des menottes, un collier avec une laisse, des pinces reliées par une chaînette un gode vibrant et un Martinet.
• "Je voudrais être ton esclave ce soir ! Tu veux bien ?
• Je ne sais si je saurais, en tous cas arrête-moi lorsque tu le désires.
• D’accord, j’ai envie! »
Je commence à l’équiper des pinces sur les tétons, sur celles-ci on peut régler le serrage aussi, lorsqu’elle grimace, j’arrête, mais elle insiste pour que je serre plus fort, malgré sa demande je ne pince pas trop ses tétons qui me semblent déjà très douloureux. Je pose ensuite le collier et attache la petite laisse, que je prends en main, de l’autre, je saisis le martinet et prenant un air autoritaire, je dis : • "A genoux chienne ! Allez avance ! On va faire la promenade! »Hélène obéit aussitôt, ce qui n’empêche pas qu’elle reçoive un coup de lanières sur les fesses, afin de bien marquer son état, ce dont elle ne se plaint d’ailleurs pas. Nous faisons ainsi le tour de la pièce, puis j’ouvre la porte et la tire vers dehors. Elle a une hésitation qui lui vaut un nouveau coup de martinet sur les cuisses. Dehors, le sol est rugueux et devient même caillouteux lorsque nous quittons la petite terrasse et gagnons l’allée en gravillons. Hélène est inquiète malgré tout que quelqu’un ne nous aperçoive, mais la nuit est tombée et même si son corps nu se détache dans l’ombre, il y a peu de chance que de la route en contrebas, on puisse nous voir. Un véhicule qui passe à ce moment éclaire brièvement la scène dans le pinceau de ses phares, mais c’est si rapide que c’est plutôt un flash, malgré cela Hélène s’est raidie, ce qui bien sûr lui vaut quelques traces supplémentaire sur la peau.
Nous sommes maintenant sur la pelouse et malgré les genoux douloureux la promenade doit lui sembler moins difficile. Afin de maintenir la pression je passe les lanières sur sa peau, la faisant frissonner et sans raison, uniquement par plaisir et pour la maintenir dans son statut d’esclave, j’accompagne la promenade nocturne de quelques coups de martinet, plus symboliques que forts sur le corps d’Hélène.
Notre équipage bizarre fait le tour de la propriété et mon esclave commence à fatiguer, je la sollicite un peu plus en tirant sur la laisse et en fessant sa croupe. Nous arrivons dans un coin sombre du parc, près d’un arbre.
• « Maintenant tu vas pisser, comme la chienne que tu es !
• Oh non !
• Ne discute pas ! Lève la jambe et pisse !
• Je n’y arrive pas ! Dit-elle en pleurnichant • Je vais t’aider ! Aussitôt le martinet tombe sur ses fesses déjà endolories.
• Aïe ! Aïe ! gémit-elle. Puis, tout d’un coup, peut-être sous l’effet du martinet ou du froid de la nuit, elle abdique toute pudeur, se lâche et commence sa miction. La flaque s’élargit sous elle dans un délicieux bruit. Elle avait manifestement la vessie bien pleine, car cela dure un bon moment. Enfin le jet se réduit puis s’interrompt. Je la tire vers moi pour l’éloigner de la zone mouillée, j’ouvre mon pantalon, baisse celui-ci accompagné du slip, je la retourne et m’agenouillant derrière elle, lui dis. Maintenant je vais te prendre comme une chienne que tu es. Je me guide dans son antre ruisselant qui prouve bien l’excitation que notre petit jeu a provoqué. Considérant qu’elle n’est qu’un instrument et que comme esclave elle n’a rien à dire, je la baise rapidement, cherchant mon seul plaisir sans me préoccuper du sien. Mais elle n’a pas besoin de longue préparation car lorsque je me vide en elle, elle se crispe et clame son plaisir.
Je me retire sans attendre, me relève, lui présente ma queue et lui fourre dans la bouche en disant « nettoie bien sale chienne » à la fin, je me rhabille et sans la laisser se reprendre, je l’entraîne vers la maison. Nous rentrons et je me dirige vers la chambre, la tirant toujours par la laisse.
• "Je... voudrais me laver ! Dit-elle • Ah bon ? Une chienne ça se lave maintenant ? Tu n’a qu’à te nettoyer la chatte avec tes doigts et ta langue ! Couche-toi au pied du lit, moi je vais dormir ! »
Je quitte mes vêtements et me couche laissant Hélène sur la moquette. Discrètement je la regarde et je vois qu’elle suit mes conseils et plonge les doigts dans son sexe plein de ma semence léchant ensuite le foutre qu’elle recueille. Je m’endors assez vite abandonnant Hélène à son triste sort.
Dans la nuit je me réveille, Hélène dort tranquillement, afin de prolonger le jeu, je la réveille sans ménagement, la fait monter sur le lit et la baise rapidement. Une fois fini, je la fais redescendre sur le tapis.
Le soleil est haut dans le ciel lorsque je me réveille. Hélène est à genoux, réveillée depuis un moment et guette ma réaction. Tout d’abord je lui demande de monter sur le lit à mes côtés, ce qu’elle fait docilement. Elle se met en position à genoux, pensant qu’une nouvelle fois je vais la saillir par derrière, mais je juge que la plaisanterie a assez duré, aussi, tendrement je détache les pinces de ses seins, la grimace qu’elle fait lorsque le sang afflue à nouveau à ses tétons montre la douleur qu’elle ressent. J’enlève aussi son collier et la couche à mes côtés, très doucement, je l’enlace et la caresse, les cernes sous ses yeux montrent que l’épreuve qu’elle a subit l’a fatiguée. Lentement j’embrasse son corps, multipliant les attouchements, puis je la chevauche, elle guide elle même mon sexe vers le sien et lentement, avec précaution je la pénètre. Sa vulve est trempée, preuve que sa condition d’esclave ou la situation lui ont plu. Je lui fais l’amour tendrement, ses yeux s’embrument d’émotion et elle jouit alors que les larmes inondent ses joues. Elle s’endort épuisée alors que je me finis en aspergeant son ventre et ses seins de ma semence. Je laisse Hélène se reposer et après une bonne douche, je vais faire quelques courses.
Je prépare le repas à base de salades et autres mets à picorer, car je ne sais à quelle heure Hélène va se lever. La nuit a été éprouvante pour elle et il faut qu’elle récupère. C’est vers trois heures de l’après midi que j’entends couler l’eau de la douche et après un bon moment, Hélène apparaît en peignoir, la mine encore défaite mais, malgré les cernes, l’œil est brillant et un sourire égaye ses lèvres. Elle s’approche de moi et vient m’embrasser : • "Merci ! L’expérience était forte mais j’ai beaucoup aimé, j’ai encore les tétons qui me lancent et j’ai l’impression qu’ils ont allongé! »
Elle ouvre son peignoir pour me présenter sa poitrine et effectivement les pointes de ses seins sont dardées, j’en prends une délicatement entre les lèvres et le suce tendrement. Elle soupire et renverse la tête en arrière s’abandonnant à la caresse. Après s’être restaurée et avant de me laisser partir elle me demande de la prendre une dernière fois en levrette, position qu’elle apprécie particulièrementJe la quitte enfin lui promettant de revenir un autre jour. Une heure plus tard, elle m’appelle sur mon portable. D’une petite voix elle me dit avoir remis le collier et les pinces aux tétons. C’est dur mais j’ai envie de les voir s’allonger et ainsi tu pourras les téter plus facilement. Ah, aussi, j’ai enfilé le gode pour la nuit avec une culotte par dessus pour qu’il y reste. Bonne nuit !
***********
***Le soir où Jean m’a ramenée chez moi après ce week-end torride, j’étais sur un petit nuage ! Emmanuel m’a envoyé je ne sais combien de ces petits messages qui sont si discrets ! Il m’a appelée vers 4 heures du matin en sortant de boite, me demandant si je suis nue, à ma réponse négative, il me demande de me dévêtir, ce que je fais, de me caresser, de lui raconter ce que je ressens. Je suis toute mouillée, je me branle le clito comme une folle au son de sa voix, il me dit qu’il faudra que j’achète un gode ou un vibro, je jouis en me masturbant comme une collégienne, à mon âge !
Je m’endors ensuite comme une masse, alors qu’il me parle, je l’entends tout de même me dire que son forfait est fini et qu’il ne pourra plus m’appeler. La fin de la nuit est peuplée de doux rêves érotiques où j’imagine des jeunes mâles qui m’empalent par tous les bouts en même temps, je me réveille en sueur, trempée aussi à l’intérieur ! Je me dis, Décidément ma vieille tu deviens nymphomane!
Je suis en peignoir, en train de prendre le petit déjeuner et il est onze heures lorsque Hélène arrive.
• « Eh bien ! Ma chérie ! Où étais-tu passée depuis deux jours ?
• Je lui raconte, sans trop de détails au début, nos « exploits » Elle me trouve « bizarre » et je suis obligée de lui raconter ma rencontre avec Emmanuel. Ca la rend dingue que je puisse faire l’amour avec un garçon si jeune. Tu trouves que je suis folle, ou perverse ?
• Oui ! Non ! Enfin je ne sais pas ! Je n’aurais jamais pensé qu’un garçon de 19 ans puisse s’intéresser à une femme plus âgée !
• Tu peux dire à une vieille !
• Voyons ma chérie ! Je n’ai pas dis ça !
• Non, mais tu l’as pensé ! Hélène viens derrière moi, m’entoure de ses bras, glisse les mains dans le peignoir et me masse les seins, m’embrasse dans la nuque...
• "Tu sais bien que c’est pas vrai ! Mais je suis jalouse ! Tu m’as manquée !
• Écoute ! J’ai une idée ! Emmanuel me manque déjà ! On va aller à Bayonne faire des courses cet après midi et ensuite on va là bas et je l’appelle. Que penses-tu, si on se trouvait un appartement en location pour quelques jours ?
• Tu es vraiment folle !
• La vie est courte et à mon âge je dois en profiter au maximum et puis, je peux me le permettre !
• Dis donc ! Tu es vraiment « accro » à ce garçon toi ! Mais d’accord, je te suis, et puis, j’ai envie de voir cette merveille ! »
Je m’habille, nous passons par chez Hélène, puis direction Bayonne et ses petits magasins pour quelques achats : lingerie, parfum, produits d’hygiène intime et continuant sur ce sujet, je me rappelle la demande d’Emmanuel, nous entrons dans un sex-shop et choisissons un gode de belle taille, un gode ceinture, le vendeur est persuadé que nous sommes gouines, nous complétons par du gel et un vibro-masseur.
Après ces achats hautement érotiques, nous avons du mal à ne pas les essayer tout de suite dans la voiture. Hélène, qui est une vrai salope, se saisi du vibro lorsque nous sommes sur la route et se caresse avec, pendant que je conduis. Arrivées à destination, j’appelle Emmanuel qui arrive quelques minutes après. Son regard se voile lorsqu’il découvre que je ne suis pas seule, mais très vite je lui explique qu’Hélène est une - tendre- amie qui mourrait d’envie de le connaître et qui ne croyait pas qu’un bel homme, si jeune de surcroît, puisse s’intéresser à une vieille femme comme moi.
• "Mais, Maria chérie ! Tu n’es pas vieille ! Et tu me plais beaucoup !
• Tu es gentil mais je suis une vieille dame indigne !
• Comment cela ?
• Eh bien, je couche avec un garçon qui a cinquante ans de moins que moi, qui pourrait être mon petit fils et j’aime ça, je suis folle de sa bite – comme je parle mal - et il y a trois jours je ne pensais pas que je pouvais encore intéresser un homme, depuis, j’ai fait l’amour avec trois hommes et deux femmes ! Tu ne trouves pas cela indigne, toi Hélène ?
• Mais pas du tout ! Et puis, pourquoi te soucier de ce que peuvent penser les gens ! Profite du bon temps !
• Justement, Emmanuel, connaîtrais-tu un appartement que je pourrais louer par ici ?
• Ma mère en a un, avec petit jardin, dont je fais l’entretien. Cà t’intéresse ?
• Bien sûr ! Je pourrais ainsi rester près de toi… si tu le veux encore !
• Super ! Attends il faut que je l’appelle ! Peux-tu me prêter ton portable ?
• Allo, Maman, Dis, je suis avec une dame, enfin, deux dames, qui sont intéressées par ton appartement de la rue d’Albret, il est libre. ? … Il est occupé ?… à partir du 20 juillet, jusqu’au 15 août ? Attends, je demande – Madame, me dit-il avec un clin d’œil, il serait libre jusqu’au 20 juillet ! …. C’est 150 euros la semaine … Elle est d’accord Maman …. Pourrait-elle le reprendre après le 15 août ? … d’accord … Pour tout ça, elle vous le laisse à 600 euros et si vous voulez septembre le tout pour 1000 ….. Elle est d’accord Maman…Bon, d’accord, je lui fais visiter, … son visage s’assombrit Tu nous rejoins là bas ? Je fais signe que oui. D’accord, on s’y retrouve.
• C’est génial, dommage qu’elle vienne ! Et si elle se rend compte de quelque chose ?
• Au contraire, elle va voir deux dames plutôt mures et vieilles, elle sera rassurée, on va se comporter comme des étrangers ! !
Nous partons vers l’appartement, Emmanuel, en moto devant la voiture, nous guide.
• « Tu es gonflée, tout de même me dit Hélène !
• C’est toi qui m’as dis d’en profiter ! Tu es la bienvenue, tu le sais !
• Tu me prêteras ton … étalon, • Oh ! ! Cochonne ! Je ne sais s’il voudra d’une jeunesse comme toi ! Mais pour moi tu sais bien qu’il n’y a pas de problème ! Mais laisse-le-moi un peu toute seule tout de même ! »
L’appartement est très bien, une grande pièce ouvrant vers le petit jardin à l’arrière, protégé tout le tour par une haie opaque, qui l’isole des voisins, à l’étage, deux chambres et une salle d’eau. Le tout à proximité de la plage et du centre, tout en étant un peu isolé. Discrétion assurée. Nous sommes à la fenêtre qui ouvre sur la mer, lorsque la mère d’Emmanuel nous rejoint. Emmanuel se charge de faire les présentations.
• « Ma mère, Madame... excusez-moi, je ne connais pas votre nom !
• Madame Massé, mais appelez moi Maria et voici Hélène, mon amie. »
La mère d’Emmanuel est une charmante dame à la quarantaine épanouie, qui semble enchantée de voir deux dames plutôt âgées, qui ne ferons donc pas trop la fête et garderont l’appartement sans l’abîmer.
• « Ça vous plaît ? demande la dame • Bien sûr ! pour moi c’est idéal • Et ... pour le prix ?
• Pas de problème, écoutez, je vous paye jusqu’à fin septembre, quand pouvons nous y rentrer ?
• Quand vous le voulez, mais vous savez qu’il est loué fin juillet ?
• Oui, oui pas de problème, je dois aller voir des amis en Espagne, j’irai à ce moment là »
L’affaire est vite faite et c’est autour d’un verre dans un café que nous signons les papiers.
• « Jeune homme, dis-je à Emmanuel, puis-je te tutoyer ? A ton âge on ne se s’offusque pas ?
• Oui, bien sûr dit-il en rougissant un peu.
• Mais bien sûr rajoute sa mère, il pourrait être… • Mon petit fils ! Dis-je en éclatant de rire, seule sa mère ne comprend pas notre joie. Tu pourras venir, si tu veux, faire l’entretien, ça me fera plaisir d’avoir une jeune compagnie … si cela ne t’ennuie pas, bien sûr !
• Non... Non... Répond-t-il troublé malgré tout.
• Oui ! Ajoute, sa mère. Tu pourras t’occuper de Madame, sans la déranger – si elle savait comment ! ! – Il pourra vous faire les courses, un peu d’entretien, çà l’occupera au lieu de traîner à la plage toute la journée, ou dans les bars !
• Maman !
• Ce n’est pas vrai peut-être ? Et puis tu as ton examen à préparer, donc fini toutes ces journées à ne rien faire !
• Un examen de quoi ? dis-je • Pour entrer à l’Ecole Normale, Je veux devenir professeur.
• Je pourrais lui donner des conseils, dis-je, je suis enseignante à la retraite, si je n’ai pas trop perdu... Mon amie est prof d’allemand – tout ceci est complètement faux, mais qui peut le prouver – • Oh Madame, vous êtes gentille mais je ne voudrais pas qu’il vous dérange pendant vos vacances !
• Mais pas du tout, au contraire !
• Si j’avais su, je vous aurais fait une ristourne, je vais vous rembourser !
• N’y pensez pas ! Ça me fais plaisir ! – si elle savait ! – • Je tiens à vous inviter chez nous un de ces jours, n’est-ce pas Emmanuel ?
• Emmanuel, Comme c’est joli ! Dis-je comme si je le découvrais – je me trouve diabolique – Tu permets que je t’appelle Emmanuel ?
• Bien sûr, …. Madame !
• Appelle-moi Maria !
• D’accord ...Maria dit-il avec une certaine jubilation.
• Ça ne vous dérange pas, Madame ? Dis-je en m’adressant à sa mère. Je ne voudrais pas vous paraître trop familière, mais mon pauvre mari – j’en rajoute un peu – aimait supprimer ces frontières entre générations, lui-même acceptait que ses élèves l’appellent Michel, cela n’empêchait pas le respect !
• Vous avez raison, et j’espère que si mon Emmanuel vous manque de respect, vous n’hésiterez pas à le remettre à sa place ! Je l’ai élevée toute seule mais avec le souci du respect des autres.
Je manque de m’étouffer, si elle savait que hier, il m’a baisée, sodomisée, que je l’ai sucé et bu son sperme, ce serait-elle qui s’étranglerait ! Pour continuer le change, alors que Emmanuel est écarlate et Hélène écroulée de rire !
• « Je voudrais bien voir cela ! Je saurais le corriger, vous savez, « Une main de fer dans un gant de velours » telle est ma devise, mais soyez sans crainte, il saura se tenir ! Et il fera des progrès, dans tous les domaines, n’est-ce pas Hélène ?
• La dame semble rassurée pour la suite des événements et alors qu’elle va nous quitter, je demande « innocemment » à Emmanuel, Maintenant nous aimerions profiter de la plage, tu en connais une qui ne soit pas trop fréquentée ? A nos âges nous aimons la tranquillité !
• Bien sûr, vous n’aurez qu’à me suivre! »
Nous allons bien sûr à la plage des casernes, lieu de notre rencontre. Hélène, adepte de longue date, nous dévoile son corps entièrement bronzé et musclé. Emmanuel est sensible à son charme et je remarque ses regards. Au lieu d’être jalouse, j’entrevoie des perspectives pour nous trois et puis, je suis tout de même consciente que Emmanuel ne doit pas s’attacher exclusivement à moi, car notre histoire, qui me remplie !!, de bonheur, n’est pas viable à long terme. Je dois me faire une raison, c’est moi qui doit être raisonnable ! L’intérêt de mon jeune amant pour mon amie, me conforte dans cette décision. Hélène découvre le sexe d’Emmanuel, qui, même au repos, est assez impressionnant, heureusement qu’elle porte des lunettes noires car ses yeux doivent lui sortir de la tête, sa bouche entrouverte manifeste son incrédulité. J’admire, la ligne de ma maîtresse qui sous le soleil, ne trahit pas son âge et je m’aperçois qu’elle a entièrement supprimé sa toison pubienne.
• "Ma chérie ! Mais tu t’es entièrement épilée !
• Oui ! j’ai beaucoup aimé gougnoter ta chatte sans poils et me suis dis que ce serait agréable pour mes partenaires.
• Parce que … vous ! … s’étonne Emmanuel !
• Oui mon chéri, ta vieille maîtresse à aussi découvert les amours saphiques avec Hélène ! Tout ça à cause de Jean ! Ca te dégoûte ?
• Pas du tout ! …Au... contraire !
• Petit vicieux ! Tu as déjà envie d’avoir deux femmes dans ton lit !
• Je…..
• Ne t’en fais pas ! Je suis d’accord pour qu’Hélène se joigne à nous et vu ce que nous avons fait hier, nous ne serons pas trop de deux pour arriver à te calmer… Si nous y arrivons! »
Dès le lendemain, nous avons décidé d’aménager aussitôt, nous nous retrouverons dans la maison de la mère d’Emmanuel qui durant l’été va être notre nid d’amour. En fait, je ne vais pas quitter Emmanuel de toute la saison, l’amenant avec moi en Espagne pendant que l’appartement est loué, mais ceci est une autre histoire.
Ce jour là nous rentrons à la maison toutes les deux après la plage, en promettant à notre jeune ami de revenir dès le lendemain. Il est un peu déçu que nous l’abandonnions, mais je dois prendre mes dispositions avant de quitter ma maison, afin que mes amis ne s’inquiètent pas. Avec Hélène nous mettons en place des alibis croisés prétextant que c’est l’autre qui a trouvé la location, en laissant sur nos répondeurs, un message où nous joindre en cas d’urgence. Seul, Jean, bien sûr, est au courant de notre véritable destination et situation. Il viendra d’ailleurs plusieurs fois nous voir. Nous passons chez Hélène d’abord, pour vider le petit studio qu’elle loue et qui est plutôt insalubre. Elle donne congé au propriétaire, même si le mois n’est pas fini, de toute façon il est payé, et ses affaires, peu nombreuses, chargées dans mon break, nous rentrons chez moi.
Hélène ne veut pas m’obliger à une cohabitation dérangeante, aussi je l’installe dans le petit pavillon à quelques mètres de la maison, nous garons sa vieille voiture dans le garage fermé à clé, puis, je prépare mes bagages pendant qu’elle fini de s’installer. Je passe quelques coups de fil aux amis proches et à la famille, pour leur dire que je pars en vacances. Nous dînons ensuite et après une soirée calme nous allons nous coucher. Hélène me rejoint dans mon lit sans que j’y trouve à redire. Comme l’autre jour, c’est elle qui prend l’initiative et j’adore me laisser faire.
Elle m’enlève la nuisette légère qui tentait de cacher mes rondeurs et m’embrasse sur tout le corps. Un long baiser profond nous unit, alors que ses mains parcourent mon corps, un peu brimée de ne pouvoir la caresser directement, j’entreprends de lui enlever l’affreux pyjama qu’elle a revêtu. Celui-ci la recouvre du cou aux pieds, c’est en fait un pyjama d’homme, Hélène s’est faite jetée par son copain allemand qui ne lui a laissé que le minimum. Comme je la veux nue contre moi, je l’enjambe pour la bloquer et arrache sa veste, je me précipite sur ses petits seins aux pointes bien dures, je mordille les bouts, les lèche, alors que de l’autre main je pince le téton qui est libre, je dessine avec la langue des caresses sur son corps, le nombril fait l’objet de toute mon attention, puis je descends lentement.
La culotte du pyjama fait là aussi obstacle, je la baisse complètement écarte ses jambes et nichant ma tête entre ses cuisses, m’occupe de tout son bas ventre maintenant épilé. J’éprouve la sensation qu’ont maintenant mes partenaires, lorsqu’ils s’occupent de ma chatte, c’est très agréable d’avoir tout dégagé, le nid est accueillant et sa corolle suinte déjà de mouille. Je n’ai pas beaucoup le loisir de flâner ainsi, car Hélène me saisie par les hanches et me retourne sur elle en soixante neuf. Je m’acharne sur son clitoris, elle me rend aussitôt la pareille, j’enfonce deux doigts dans sa moule humide, aussitôt elle m’imite, elle jute bientôt sous mes caresses et je m’abandonne sous les siennes.
Hélène, qui ne perd pas la tête, a amené nos achats « coquins » de l’après midi, elle s’harnache du gode ceinture et me le présente devant les lèvres, j’embouche le gland qui ressemble vraiment à un sexe. Je l’enduis bien de salive, Hélène me chevauche alors, me prenant comme un homme, allant et venant en moi tout en suçant mes tétons. Elle attrape mes jambes pour les relever et me fourre à fond, ma jouissance monte lentement dans mes reins et je gueule mon plaisir. Toujours équipée de son sexe factice, ce qui est assez comique, Hélène prend le vibro masseur, me pénètre avec, fait quelques va et viens, met en route le moteur qui transmet à mon corps des sensations terribles, puis, se présentant devant mon anus bien graissé, elle me sodomise de toute sa longueur avec le gode ceinture qui orne toujours son bas ventre. Je grimpe littéralement aux rideaux ! Les orgasmes s’enchaînent sans arrêt, je devine dans une sorte de brouillard, que Hélène a détaché la ceinture tout en laissant le gode en moi, elle a attrapé l’énorme gode qu’elle s’enfonce elle même, tout en remuant celui qu’elle a laissé dans mes reins. Heureusement après un moment elle arrête le moteur du vibro, car je serais devenue folle. Elle laisse les deux instruments enfouis dans mes orifices, maintenant en elle le sien. C’est comme ça que nous nous endormons comme des masses.
Plus tard je me réveille, la tête dans son compas, et tendrement, je la lèche, avant de m’endormir à nouveau. La nuit sera ponctuée de caresses entrecoupées par le sommeil. Au matin, nous émergeons doucement, nous retrouvons dans les bras l’une de l’autre, chiffonnées mais heureuses de cette nuit lesbienne, nos mains dans le vagin de l’autre, nous jouissons, nos langues emmêlées dans un dernier spasme.
Longtemps nous traînons dans les draps ravagés, c’est la faim et l’envie d’uriner qui nous tire du lit. Sous la douche, que nous prenons ensemble, je fais pipi devant elle sans honte, me rappelant la séance avec Jean. Hélène aussi, urine devant moi, et je frotte ma main sur son clito pendant toute la miction, ce qui lui procure un plaisir pervers. Je suis crevée, mais en même temps j’ai l’impression d’être sur un nuage. Hélène se charge de préparer le « p’ti dej ». Il fait tellement bon, en ce début d’été, que nous restons nues, c’est le bruit de la voiture du facteur qui nous fait fuir. Comme il frappe à la porte, il doit avoir quelque chose de spécial, j’attrape un peignoir et vais ouvrir. C’est un paquet qu’il livre, je dois signer, j’en profite pour lui dire que je m’absente et s’il pourrait m’envoyer le courrier à l’autre adresse. Il me dit que normalement il faut faire une demande mais comme c’est lui qui s’en charge, il n’y aura aucun souci. Je lui propose un verre qu’il accepte. Je ne sais si ce sont ces derniers jours qui agissent sur ma libido, mais j’ai l’impression qu’il me reluque attentivement. Mon peignoir plutôt court s’est entrebâillé sur mes seins, il y a quelques jours, je n’aurais pas prêté attention, mais maintenant, j’ai l’impression que mes sens sont en éveil permanent.
Je ne peux décemment pas chercher l’aventure avec ce garçon qui doit avoir dans les trente cinq ou quarante ans, les langues vont vite dans le coin, mais tout de même ! Faire envie à bientôt soixante neuf ans à un homme de trente ans de moins, qui me connaît depuis longtemps et ne me regardais pas vraiment ! Faire l’amour doit agir comme un rayonnement ! Je le laisse mater, sans chercher à cacher quoi que ce soit, mais sans encourager autre chose. Heureusement que Hélène ne vient pas en rajouter car notre facteur aurait du mal à partir.
A regret, semble-t-il, tout de même, il continue sa tournée après m’avoir saluée, sa poignée de main est un peu plus appuyée que d’ordinaire, mais je ne fais rien pour l’encourager. Après son départ, Hélène hilare revient, toujours nue.
• "Quel succès ! Je crois qu’il n’attendait qu’un geste pour te sauter dessus !
• Oui ! Mais je ne tiens pas à passer pour une vieille salope dans tout le canton !
• Tu crois qu’il s’en vanterait ?
• S’en vanter sûrement pas mais faire courir que je baise avec n’importe qui à mon âge, une fois qu’il m’aurait eue, tu sais bien que le sexe des vieux est encore assez tabou ! Je suis sûre qu’il n’a pas idée de mon âge, ou du moins pas précisément. Il me croit plus jeune, car si jusqu’à 60 ans tu peux faire l’amour, après çà n’est pas pensable, surtout pour les femmes ! Pourtant, ma chérie, je peux te dire que nous avons des envies !
• Surtout depuis trois jours !
• C’est vrai que ce diable de Jean a tout déclenché ! Le pauvre ! Je l’abandonne déjà pour un plus jeune !
• Je ne crois pas qu’il t’en veuille ! Si tu permets, je le consolerais avec plaisir !
• Salope que tu es ! Tu me le piques déjà ?
• Mais … C’est toi qui… • Je plaisante ! J’espère bien qu’il va tout de même me solliciter, malgré Emmanuel !
• Ne t’inquiète pas !
• De toute façon, il y a Valérie et Jeremy dans le coin, ça lui fera un prétexte !
• Il faut que tu me les présente ceux-là !
• Mais tu es intenable !
• Parce que toi, tu te gênes peut-être !
• D’accord ! Un à un ! Bon ! On s’habille et on y va ?
Il fait très chaud quand nous arrivons à notre appartement, notre déménagement en pleine chaleur, ne nous donne pas envie de sortir ensuite. Les volets clos, nous profitons de la fraîcheur relative de la maison pour faire une petite sieste réparatrice. Cette pause de l’après-midi deviendra vite un rituel car nos nuits seront à l’image des précédentes : agitées !
Il est presque dix sept heures, lorsque Emmanuel vient frapper à la porte. Alors que je vais pour l’embrasser tendrement, il me tend la main en fronçant les sourcils. Je comprends vite qu’il faut garder de la distance, car quelqu’un doit regarder. Je lui propose cérémonieusement de rentrer et dès la porte refermée, il change d’attitude en se jetant littéralement sur moi ! Il me dévore les lèvres, retire ma robe et alors que je suis nue, abandonnée déjà à ses caresses, il déclare en me laissant en plan : • "Le voisin était à côté, heureusement que tu as compris ! Je vais ressortir et je reviendrai par derrière, hier soir, après votre départ, j’ai aménagé un passage discret dans la haie. » Il m’entraîne derrière lui dans le jardin où Hélène bronze nue à son habitude. Il pose un baiser sur la pointe d’un sein, puis m’amène contre la haie où après avoir détaché un fil qui relie deux branches, très discrètement, un passage invisible permet de se glisser. « Je passerai par là avec la moto et je la mettrai dans l’appentis, comme ça le voisin ne verra rien même s’il matte à travers la haie, de toute façon, vu votre tenue, je vais rajouter du cannisse serré de son côté. Bon ! Je vous laisse et je reviens dans un quart d’heure! »
Le petit jeune homme timide a pris de l’assurance en quarante huit heures. Autant il reste timide avec sa mère ou son entourage, autant il est déluré et sûr de lui avec nous. Pendant tout l’été, il adoptera ce double comportement, garant de notre tranquillité et de notre bonheur.
Son retour est si discret, que nous ne nous en rendons compte que lorsque il franchi la haie en douceur, cinq secondes plus tard, sa moto est cachée dans la remise. En sortant de celle-ci, Emmanuel se déshabille en déclarant qu’il ne veut pas choquer en restant le seul habillé ! Il faut dire que le bougre bande déjà et que son bermuda le serre bigrement !
Je me jette littéralement sur lui, je dois dire que son contact me manquait ! Contre moi je sens sa bite dure dressée, je l’attrape et je sais déjà que, comme la première fois, il va me prendre debout, là, dans le jardin ! Ses mains empoignent mes fesses et me soulèvent comme un fétu de paille, mes jambes entourent ses hanches, je guide sa verge vers mon antre dans laquelle le sang bat la cadence, je m’accroche à son cou et enfin, sa queue me pénètre au tréfonds du vagin dont il écarte les chairs qui épousent sa forme turgescente ! J’étais tellement en attente de ce pénis sublime que mon corps me trahit et je jouis comme une folle ! Heureusement qu’Emmanuel a pris mes lèvres, avec les siennes, car on m’entendrait à deux cent mètres à la ronde ! Hélène que notre accouplement sauvage a dû mettre dans tous ses états, s’agenouille sous moi et d’une main masse les couilles d’Emmanuel apportant ses caresses à notre coït brutal ! Emmanuel décharge son flot de sperme sous l’effet conjugué de mes contractions et du massage d’Hélène. Vidée, je « descends de l’arbre » et Hélène se précipite pour avaler la bite d’Emmanuel qui dégouline de sperme et de mouille. Ses lèvres doivent vraiment se distendre au vu des dimensions de l’engin, mais Hélène qui en a vu d’autres, se régale, d’autant plus que l’effet de sa fellation, maintien Emmanuel dans une raideur qui lui laisse entrevoir une suite des plus agréable pour elle.
Le résultat ne se fait pas attendre, mais sans doute fatigué par le coït précédent, Emmanuel couche Hélène dans l’herbe et la pénètre dans la position classique du missionnaire ! Le corps tendu sur ses bras, il baise mon amie de toute la longueur de sa verge, admirant le spectacle de la femelle pâmée sous son maître. Je dois dire que le spectacle de mon amie, baisée par mon jeune amant, loin de me rendre jalouse, m’excite plutôt et étendue à leurs côtés, je me caresse le bourgeon, prolongeant de la sorte mon plaisir. Hélène pousse des petits cris comme le ferait un petit chien, Emmanuel ahane comme un bûcheron ou un paysan qui « laboure » sa terre. Hélène est complètement « partie » dans ses orgasmes qui se succèdent lorsque Emmanuel lâche,- pour la deuxième fois en quelques minutes - son jus mais sûrement pour le plaisir, c’est sur le ventre d’Hélène qu’il se laisse aller en longues traînées blanchâtres. Ne voulant rien laisser perdre, je me précipite sur mon amie et lèche la liqueur qui part de la base de son cou jusqu’à son pubis.
Un peu calmés après ce moment de folie, nous pensons tout d’un coup que le voisin a peut-être pu nous surprendre. Emmanuel va voir derrière la haie et nous appelle. Nous-nous approchons pour découvrir que le voisin a bâti un mur de deux mètres de haut pour faire un appentis de son côté et ce mur, court tout au long de la clôture, isolant parfaitement les deux jardins. Au moins de ce côté là, nous sommes tranquilles, d’autant plus que le pavillon voisin n’a pas d’étage contrairement au notre et donc pas de vue plongeante sur notre « jardin d’Eden » comme nous le surnommerons, car nous y serons nus quasi en permanence, tout comme dans la maison d’ailleurs, ce qui nous vaudra quelques fou-rires lorsque il nous arrivera d’ouvrir à des visiteurs inopinés.
Après cette « pendaison de crémaillère » un peu particulière et un rapide passage sous la douche et nous partons à la plage.
Les jours passent vite, trop vite dans notre havre d’amour. Emmanuel a d’abord culpabilisé auprès de moi, d’avoir fait l’amour à Hélène, il faudra toute ma persuasion pour lui faire comprendre que je ne lui en veux pas et qu’au contraire cela renforce notre amour. Il mettra un peu de temps à l’admettre ce qui je dois dire, me soulagera, toujours dans la perspective où je me place, que notre amour ne peut durer. Il est vrai aussi que lorsque nous étions tous les deux seuls, nous avions de vrais moments de complicité. Ceci s’est amplifié après le quatorze juillet.
A cette date, nous nous sommes rendu compte que la fin de la première partie de notre séjour s’approchait et nous n’avions pas envie de nous séparer. Accompagnée d’Hélène, je vais chez la mère d’Emmanuel. Je la félicite d’abord pour le sérieux ! ! de son fils dans ses révisions et lui propose de l’emmener avec moi en Espagne afin qu’il se perfectionne dans cette langue qu’il étudie pour son examen : • « La route est longue et à mon âge, je fatigue vite ! Hélène doit rester chez elle, je suis donc seule Je vais chez ma sœur à côté d’Alicante. Ils ont une grande maison et la venue d’Emmanuel ne pose aucun problème, ils sont d’ailleurs d’accord, je les ai appelés ! »Mise quasiment devant le fait accompli, la mère d’Emmanuel ne peut refuser. Elle n’a jamais laissé partir son fils, mais la présence d’une dame âgée la rassure (la pauvre !). Elle me propose tout de même de participer aux frais, je lui suggère plutôt de donner de l’argent de poche à Emmanuel qui gérera cela à son goût.
En prenant le thé, elle m’interroge pour savoir si Emmanuel ne me dérange pas trop pendant mon séjour, s’il se comporte bien, Il lui paraît parfois un peu fatigué. Elle s’inquiète aussi de ne pas le voir avec des amis ou des amies. Je l’assure que son fils se comporte très bien ! ! Il est assidu et ma foi, lorsqu’il est à la plage avec nous, je le vois s’amuser – je ne dis pas avec qui - Quand au soir je suppose qu’il doit sortir, mais cela ne me regarde pas. Elle me confirme en effet qu’il rentre tard (ce que je sais et pour cause, puisqu’il est dans mon lit). Tout ceci est plein de sous-entendus, qui me font sourire intérieurement, Emmanuel lui est obligé d’aller dans sa chambre sous un faux prétexte, rouge jusqu’aux oreilles. Je me trouve machiavélique !
Elle me remercie encore de mon aide. Afin de faire taire d’éventuelles mauvaises langues je lui raconte en riant, qu’Emmanuel veut m’emmener sur sa moto –vous croyez, à mon âge ! – C’est un plaisir que je lui ai, pour le moment, toujours refusé de peur des commérages des voisins, mais que je compte assouvir. Elle rit avec moi et ajoute : • « Excusez moi d’être si indiscrète, mais entre femmes, on peut poser ce genre de question. Si je puis me permettre, quel âge avez-vous ?
• IL n’y a pas de mal ! J’ai soixante huit ans !
• Oh ! Mais... je… je vous croyez beaucoup plus jeune ! ! Excusez-moi… Vraiment je suis confuse ! Vous ne les faites pas… Mais si mon fils vous dérange, vous savez, il faut me le dire !
• Mais pas du tout, au contraire – sa jeunesse apporte un rayon de soleil dans ma vieillesse ! - si tu savais comme il me baise bien ! – Et puis il me fait penser au petit fils que je n’ai pas eu, mon mari et moi, nous n’avons pas eu d’enfant.
• Quel dommage ! Eh bien, puisque cela ne vous dérange pas, je veux bien qu’il aille avec vous en Espagne, mais n’hésitez pas à le gronder s’il se tient mal, je trouve que votre influence lui fait du bien depuis le début de l’été !
• Je crois que c’est réciproque, sa jeunesse me fait aussi beaucoup de bien. Je crois que je m’encroûtais vraiment! »
Après cette conversation surréaliste avec ma « belle-mère », durant laquelle j’ai failli, ainsi qu’Hélène, éclater plusieurs fois de rire, je suggère qu’Emmanuel amène ses affaires la veille du départ.
- « J’ai l’intention de partir tôt le matin. » Je propose « innocemment » qu’il dorme ainsi dans l’appartement. Hélène sera retournée à la maison et il y a donc une chambre de libre – inutile de dire qu’elle le restera – La dame approuve ce départ matinal et je lui donne rendez-vous au dix neuf, je viendrai chercher Emmanuel et ses affaires. Je prends congé et par habitude, je vais vers mon amant pour l’embrasser. Heureusement, je me reprends, je parviens à me bloquer et fais mine de lui demander : • " Tu permets que je t’embrasse ?
• Emmanuel est rouge de confusion en se rendant compte que nous avons failli nous trahir, en tournant sa joue il ajoute Oh oui Madame, j’en serai très content ! »Sous les yeux de sa mère nous échangeons un baiser chaste, elle s’approche et vient embrasser son fils qui sans réfléchir nous prend chacune dans un bras et déclare, je vous aime toutes les deux ! Je m’écarte assez vivement de peur que sa mère ne soupçonne quelque chose, elle au contraire dit : • "Voyons, Emmanuel tu dis des bêtises ! Tu ne vois pas que tu déranges Madame avec tes façons de faire !
• Pas du tout dis-je, j’ai été surprise, c’est tout. Ça ne me gêne pas que ce grand garçon m’embrasse, il y a bien longtemps que cela ne m’est pas arrivé ! Mais qu’un jeune homme me fasse une déclaration, c’est surprenant. Je ris autant de nervosité que pour cacher mon trouble.
• Si c’est ainsi, d’accord, puisque vous le permettez, j’en suis très heureuse, l’influence d’une autre femme que moi, lui fait du bien, vous êtes un peu comme la grand-mère – excusez-moi – qu’il n’a pas connu ! »
Alors là nous sommes dans un délire total ! Il est temps que je m’échappe ! J’ai mal au ventre de me retenir et de rire et de lui jeter à la figure que son fils est un amant formidable, superbement monté et qui me baise chaque fois qu’il le peut, dans tous les trous et toutes les positions ! D’ailleurs cette conversation m’a totalement excitée que si la mère n’était pas là je violerais le fils ici même !
Le dimanche suivant, deux jours avant notre départ, Jean, passe nous voir. Afin de m’éviter un voyage, il va ramener Hélène. Connaissant les deux compères et les regards échangés, je ne doute pas qu’il « consolera » notre amie de ne pas être du voyage en Espagne ! Je lui laisse la parole pour un petit aparté.
• « J’étais passé un week-end pour voir l’installation de Maria et Hélène et je n’avais pas eu l’occasion de revenir. Lorsqu’après le quatorze juillet je viens leur rendre visite, je trouve les deux femmes qui sont nues dans l’appartement, ce qui semble être leur tenue habituelle. Adepte de cette tenue, je suis néanmoins surpris et au début, ne sais trop quelle attitude adopter. Maria, après trois semaines au grand air et au soleil est entièrement bronzée et je dois dire superbe. Le regard admiratif que je laisse traîner sur ses formes ne lui échappe pas et elle semble flattée de mon attention.
• Mettez vous à l’aise et venez dans le jardin, me dit-elle, nous prenions le petit déjeuner. Vous savez, nous nous levons tard – il est onze heures passée »
Maria m’explique alors le stratagème du voyage en Espagne. Comme elle doit ramener Hélène le lendemain, je propose de lui éviter le voyage et de la ramener moi-même aujourd’hui. Hélène échange avec moi un regard qui en dit long sur ses intentions à mon endroit. Je sais que Maria, fine mouche, a vu son amie et à son sourire amusé, devine les projets de celle-ci.
Nous partons ensuite à la plage, un moment avant la grosse chaleur, puis revenons à l’appartement pour une sieste, qui contrairement à mon attente, se révèle tout à fait chaste. Je me lève lorsque Maria redescend, constatant mon érection, elle passe la main sous mes bourses et mon sexe en disant :« Alors, toujours d’attaque, mon chéri ! C’est moi qui vous fait cet effet, ou bien ce sont vos rêves» Mais ce sera tout ce qu’elle fera, il faut dire qu’elle avait entendu arriver la moto d’Emmanuel et était descendue pour le recevoir et peut-être lui signaler ma présence. Nous repartons à la plage et Maria profitant de ma présence, décide d’y aller en moto avec Emmanuel alors que j’amène Hélène en voiture. Sur la plage, je constate avec plaisir que Maria ne dépare pas au milieu des autres, son corps harmonieusement basané, semble aminci, elle passe son temps entre la baignade où elle joue dans les vagues gaiement et la serviette sur le sable où elle lit un roman. Emmanuel ne la quitte pratiquement pas, dans l’eau avec elle, à ses côtés sur le sable.
Alors que nous sommes encore dans l’eau avec Hélène elle me les désigne « Ils sont mignons, comme un couple, n’est-ce pas ? Lui est comme un petit chien, si elle le laissait faire il ne la lâcherait pas. Tu restes avec moi ce soir ? J’ai envie et besoin d’un homme pour moi seule! » J’avais prévu de passer chez Valérie et Jeremy, mais je me dis que j’aurais l’occasion d’y retourner. Je les appellerai tout à l’heure pour les prévenir, nous irons la semaine prochaine ! Hélène qui ne les connaît pas, mais en a entendu parler, est ravie de la perspective. Nous passons la fin d’après-midi sur la plage qui se vide du monde petit à petit. Nous sommes les derniers sur le sable, dans ce moment agréable où la température est plus clémente et l’eau, qui à marée basse est plus calme. Nous jouons au bord de l’eau, frisbee, ballon, baignade, en riant comme des enfants, Maria n’étant pas la dernière. Quiconque la verrait à ce moment là ne croirait pas que la dame est presque septuagénaire !
Je ne sais si c’est ma présence ou le moment un peu « hors du temps » que nous passons, mais, aucun signe de tendresse excessive ni baiser ou caresse ne sont échangés, nous sommes simplement heureux de nous trouver là, à partager ce moment de calme.
Le soir avançant malgré tout, nous quittons la plage avec regrets. Pour terminer cette journée nous savourons un plateau de fruits de mer dans un petit restaurant sympa. De retour à l’appartement, alors que Emmanuel rentre chez sa mère, pour une fois de bonne heure. Hélène rassemble rapidement ses affaires et nous laissons Maria qui se retrouve seule pour la première fois depuis que je l’ai rencontrée, trois semaines déjà ! Elle déclare, un peu émue malgré tout que cela lui fera du bien de passer une soirée calme.
Pendant le trajet du retour, Hélène sommeille. Elle a revêtu une simple robe de plage sous laquelle elle est nue. Il faut dire qu’elle a un peu forcé sur le vin blanc qui était servi avec les fruits de mer. Hélène allongée sur son siège pour dormir, a sa robe remontée jusqu’en haut des cuisses, d’une main je la caresse et bien vite c’est sa main qui s’infiltre et dans son sommeil, elle se caresse inconsciemment. La nuit est tombée lorsque nous arrivons chez Maria, je réveille ma passagère et nous descendons ses affaires, elle me demande de sortir sa voiture du garage et d’y mettre la mienne à la place afin d’être discrets, je fais donc l’échange des véhicules, à mon retour, Hélène est sous la douche, sûrement pour récupérer un peu. Ayant envie de me rafraîchir je me déshabille et la rejoins dans la petite cabine. Mon intrusion ne semble pas lui déplaire et apparemment revigorée par l’eau fraîche, elle se fait câline et provocante, nous quittons la cabine et pour conserver un peu de fraîcheur nous ne nous séchons pas, c’est avec nos langues que nous recueillons les gouttes sur la peau de l’autre.
Hélène se lève un moment et va dans sa chambre, elle revient avec une boite de laquelle elle sort divers instruments : des menottes, un collier avec une laisse, des pinces reliées par une chaînette un gode vibrant et un Martinet.
• "Je voudrais être ton esclave ce soir ! Tu veux bien ?
• Je ne sais si je saurais, en tous cas arrête-moi lorsque tu le désires.
• D’accord, j’ai envie! »
Je commence à l’équiper des pinces sur les tétons, sur celles-ci on peut régler le serrage aussi, lorsqu’elle grimace, j’arrête, mais elle insiste pour que je serre plus fort, malgré sa demande je ne pince pas trop ses tétons qui me semblent déjà très douloureux. Je pose ensuite le collier et attache la petite laisse, que je prends en main, de l’autre, je saisis le martinet et prenant un air autoritaire, je dis : • "A genoux chienne ! Allez avance ! On va faire la promenade! »Hélène obéit aussitôt, ce qui n’empêche pas qu’elle reçoive un coup de lanières sur les fesses, afin de bien marquer son état, ce dont elle ne se plaint d’ailleurs pas. Nous faisons ainsi le tour de la pièce, puis j’ouvre la porte et la tire vers dehors. Elle a une hésitation qui lui vaut un nouveau coup de martinet sur les cuisses. Dehors, le sol est rugueux et devient même caillouteux lorsque nous quittons la petite terrasse et gagnons l’allée en gravillons. Hélène est inquiète malgré tout que quelqu’un ne nous aperçoive, mais la nuit est tombée et même si son corps nu se détache dans l’ombre, il y a peu de chance que de la route en contrebas, on puisse nous voir. Un véhicule qui passe à ce moment éclaire brièvement la scène dans le pinceau de ses phares, mais c’est si rapide que c’est plutôt un flash, malgré cela Hélène s’est raidie, ce qui bien sûr lui vaut quelques traces supplémentaire sur la peau.
Nous sommes maintenant sur la pelouse et malgré les genoux douloureux la promenade doit lui sembler moins difficile. Afin de maintenir la pression je passe les lanières sur sa peau, la faisant frissonner et sans raison, uniquement par plaisir et pour la maintenir dans son statut d’esclave, j’accompagne la promenade nocturne de quelques coups de martinet, plus symboliques que forts sur le corps d’Hélène.
Notre équipage bizarre fait le tour de la propriété et mon esclave commence à fatiguer, je la sollicite un peu plus en tirant sur la laisse et en fessant sa croupe. Nous arrivons dans un coin sombre du parc, près d’un arbre.
• « Maintenant tu vas pisser, comme la chienne que tu es !
• Oh non !
• Ne discute pas ! Lève la jambe et pisse !
• Je n’y arrive pas ! Dit-elle en pleurnichant • Je vais t’aider ! Aussitôt le martinet tombe sur ses fesses déjà endolories.
• Aïe ! Aïe ! gémit-elle. Puis, tout d’un coup, peut-être sous l’effet du martinet ou du froid de la nuit, elle abdique toute pudeur, se lâche et commence sa miction. La flaque s’élargit sous elle dans un délicieux bruit. Elle avait manifestement la vessie bien pleine, car cela dure un bon moment. Enfin le jet se réduit puis s’interrompt. Je la tire vers moi pour l’éloigner de la zone mouillée, j’ouvre mon pantalon, baisse celui-ci accompagné du slip, je la retourne et m’agenouillant derrière elle, lui dis. Maintenant je vais te prendre comme une chienne que tu es. Je me guide dans son antre ruisselant qui prouve bien l’excitation que notre petit jeu a provoqué. Considérant qu’elle n’est qu’un instrument et que comme esclave elle n’a rien à dire, je la baise rapidement, cherchant mon seul plaisir sans me préoccuper du sien. Mais elle n’a pas besoin de longue préparation car lorsque je me vide en elle, elle se crispe et clame son plaisir.
Je me retire sans attendre, me relève, lui présente ma queue et lui fourre dans la bouche en disant « nettoie bien sale chienne » à la fin, je me rhabille et sans la laisser se reprendre, je l’entraîne vers la maison. Nous rentrons et je me dirige vers la chambre, la tirant toujours par la laisse.
• "Je... voudrais me laver ! Dit-elle • Ah bon ? Une chienne ça se lave maintenant ? Tu n’a qu’à te nettoyer la chatte avec tes doigts et ta langue ! Couche-toi au pied du lit, moi je vais dormir ! »
Je quitte mes vêtements et me couche laissant Hélène sur la moquette. Discrètement je la regarde et je vois qu’elle suit mes conseils et plonge les doigts dans son sexe plein de ma semence léchant ensuite le foutre qu’elle recueille. Je m’endors assez vite abandonnant Hélène à son triste sort.
Dans la nuit je me réveille, Hélène dort tranquillement, afin de prolonger le jeu, je la réveille sans ménagement, la fait monter sur le lit et la baise rapidement. Une fois fini, je la fais redescendre sur le tapis.
Le soleil est haut dans le ciel lorsque je me réveille. Hélène est à genoux, réveillée depuis un moment et guette ma réaction. Tout d’abord je lui demande de monter sur le lit à mes côtés, ce qu’elle fait docilement. Elle se met en position à genoux, pensant qu’une nouvelle fois je vais la saillir par derrière, mais je juge que la plaisanterie a assez duré, aussi, tendrement je détache les pinces de ses seins, la grimace qu’elle fait lorsque le sang afflue à nouveau à ses tétons montre la douleur qu’elle ressent. J’enlève aussi son collier et la couche à mes côtés, très doucement, je l’enlace et la caresse, les cernes sous ses yeux montrent que l’épreuve qu’elle a subit l’a fatiguée. Lentement j’embrasse son corps, multipliant les attouchements, puis je la chevauche, elle guide elle même mon sexe vers le sien et lentement, avec précaution je la pénètre. Sa vulve est trempée, preuve que sa condition d’esclave ou la situation lui ont plu. Je lui fais l’amour tendrement, ses yeux s’embrument d’émotion et elle jouit alors que les larmes inondent ses joues. Elle s’endort épuisée alors que je me finis en aspergeant son ventre et ses seins de ma semence. Je laisse Hélène se reposer et après une bonne douche, je vais faire quelques courses.
Je prépare le repas à base de salades et autres mets à picorer, car je ne sais à quelle heure Hélène va se lever. La nuit a été éprouvante pour elle et il faut qu’elle récupère. C’est vers trois heures de l’après midi que j’entends couler l’eau de la douche et après un bon moment, Hélène apparaît en peignoir, la mine encore défaite mais, malgré les cernes, l’œil est brillant et un sourire égaye ses lèvres. Elle s’approche de moi et vient m’embrasser : • "Merci ! L’expérience était forte mais j’ai beaucoup aimé, j’ai encore les tétons qui me lancent et j’ai l’impression qu’ils ont allongé! »
Elle ouvre son peignoir pour me présenter sa poitrine et effectivement les pointes de ses seins sont dardées, j’en prends une délicatement entre les lèvres et le suce tendrement. Elle soupire et renverse la tête en arrière s’abandonnant à la caresse. Après s’être restaurée et avant de me laisser partir elle me demande de la prendre une dernière fois en levrette, position qu’elle apprécie particulièrementJe la quitte enfin lui promettant de revenir un autre jour. Une heure plus tard, elle m’appelle sur mon portable. D’une petite voix elle me dit avoir remis le collier et les pinces aux tétons. C’est dur mais j’ai envie de les voir s’allonger et ainsi tu pourras les téter plus facilement. Ah, aussi, j’ai enfilé le gode pour la nuit avec une culotte par dessus pour qu’il y reste. Bonne nuit !
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