Marion et Camille font leur shopping 07 et fin.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Marion et Camille font leur shopping 07 et fin.
Après s’être penchée pour montrer sa nudité sous sa robe, à peine relevée Camille se retourne vers lui et descends la bretelle de celle-ci ce qui fait apparaître un de ses petits seins qui pointe vers notre motocycliste. L’imitant, Je coulisse une manche de ma robe et je dévoile à mon tour une petite partie de mes atours. À nous deux, il gagne une paire de seins complète et maintenant il ne se cache plus et nous déshabille du regard, il n’a pas longtemps à patienter car nous doublons la mise,Il obtient deux paires de seins pour le même prix : puisque c’est gratuit, et il est à cinq ou six metres de nous et profite du spectacle
Il enlève son masque en même tant que nous pour mieux connaître les sentiments qui se lisent ainsi plus clairement sur nos visages. Nous n’avons pas échangé de dialogue, mais les sourires qui éclairent nos faciès nous poussent à continuer le strip-tease. Camille se retourne, et cette fois elle remonte sa robe au niveau de sa ceinture, ces belles fesses bronzées ainsi découvertes lui prouve qu’elle n’a pas de culotte, je me retourne aussi et remonte ma robe à la même hauteur que celle de Camille et en tournant la tête, nous constatons l’air béat de notre Homo sapiens, il est si touchant, il ne nous a pas sauté dessus comme bon nombre de vieux vicelards de ma connaissance, et nous improvisons au fur et à mesure un divertissement uniquement pour lui, ce qui ne le laisse pas indifférent.
Je pense qu’il a très envie de voir nos chattes et je suis la première à me retourner en relâchant ma robe pour qu’il n’ai pas le temps de la voir justement, Camille me suit ne ne sachant pas trop ce que j’ai imaginé et m’accompagne aveuglément.
J’attrape le borsalino que je place devant moi, Camille saisi la balle au bond et a parfaitement compris mon dessin, elle remonte ma robe et seul le chapeau cache mon sexe à mon homme d’honneur. Je fais virevolter celui-ci, découvrant à la volée mon minou 1/10 de seconde chaque fois, juste pour qu’il s’aperçoive qu’il est tout lisse, et pour maintenir le suspense, Camille relâche ma robe et se place devant moi, et elle récupère le chapeau cloche et nous procédons à la même exhibition rien montrer complètement, tout suggérer de nos fentes. Et nous finissons en nous retournant toutes les deux les fesses vers lui, avant de lui présenter le clou du spectacle, nous voulons enjoliver le tableau et utiliser nos artifices pour embellir le site naturel le plus joli de notre académie. Et j’enjambe mon nœud papillon et Camille sa lavallière et les ajustons afin que nos fentes soit juste en dessous. Cette fois elles sont pleinement visibles si nous nous retournons.
Et devinez ce que nous faisons en même temps ? Et bien oui, en maintenant nos robes relevées, nous présentons nos abricots enrubannés face à notre homme grenouille qui nous fait le signe un rond avec le pouce et l’index signifiant que tout va bien pour lui et qu’il n’est pas au bord de l’asphyxie, il faut prendre soin des personnes d’un âge certain, je pense à notre pauvre ancien président de la république Félix Faure mort d’apoplexie avec sa connaissance. Ils sont très nombreux, les fantassins du sexe mort au combat quand leur cœur s’affole devant une maîtresse trop magnifique, ce n’est sans doute pas pour rien que nous sommes appelées le beau sexe.
Pour notre gentil motard, tout va bien, je crois qu’il se les frise ( les moustaches), d’ailleurs Camille me dit tout bas :
- J’aimerais bien qu’il me caresse le minou avec les poils de sa magnifique moustache, ça doit faire un effet ! J’imagine sa langue qui s’insinue entre mes lèvres et les chatouilles de son système pileux sur mon pubis cela mettrait le feu à toute ma cramouille, ça devrait m’exciter grave !
Montrant nos fentes à ce vieux pirate, celui-ci se prend au jeu et nous présente son derrière, il se trémousse en défaisant la ceinture de son pantalon de cuir noir, tout est noir chez lui sauf dans sa tête où ça pétille de feux d’artifice multicolores.
Il fait descendre lentement son froc et nous découvrons sa devise sur son caleçon : « vieux motard que jamais« , il est bien marrant et il se retourne en commençant à baisser la dernière fortifications avant de découvrir son arme.
Une tête apparaît fière et chauve comme l’ensemble de la pièce qu’il finit par nous montrer, son futal à ses pieds, son cache sexe à mi-cuisse qui ne cache plus rien, nous admirons une belle queue qui se redresse, entre le mur et le bac de bérets, il est moyennement dissimulé des regards des autres personnes présentes dans le magasin. Un jeu de branlette s’engage entre nous, moi je caresse la chatte de Camille et elle la mienne, ça fait encore plus redresser le goupillon prêt pour la bénédiction.
Camille se met à genoux et mime la fellation de sa bite, de sa main repliée sur une hampe imaginaire, elle entrouvre sa bouche et bouge sa langue comme si elle touchait et léchait son zob, et celui-ci réagit par des petits soubresauts de satisfaction, il nous fait oui oui de son front mutin, Camille l’encourage en poursuivant par son entrée entière dans sa bouche et simule le pompage intégrale de son vit. Notre joyeux luron se positionne de profil pour bien nous montrer la réaction de son membre viril occasionnée par notre prestation gracieusement offerte rien que pour lui, je vous rappelle qu’il n’a jamais touché sa bite et qu’elle est tendue comme un string, elle nous fait coucou en dodelinant gentiment du chef. Elle est vraiment très belle dans cet état avec le soutien de ces deux magnifiques partenaires qui la portent en triomphe, moi je lui fais voir la petite cascade qui sillonne entre mes deux lèvres d’amour.
Ce n’est pas un air Guitar que joue Camille mais un air pipe et et vu l’état cramoisie de l’extrémité du joujou de monsieur, l’entreprise commando est prête de réussir son coup, Un déclic que produit Camille qui ne peut résister à se désaltérer à ma source, elle s’arrête, malheureusement pour moi, pour contempler le résultat catastrophique pour les galettes présentes dans le tourniquet, un déluge s’abat sur elles. Le coup est parti tout seul et se projette à 1 m de hauteur avant de s’abattre sur ces pauvres bérets et je peux vous dire que le contraste entre les couleurs plutôt noire bleue et rouge de nos calots et le blanc clair de lune ( malgré que nous sommes en plein après-midi) des coulées multiples qui maculent ( et pas m’encule, j’espère que cela viendra un jour) l’intégralité du bac et même le sol tout autour ne se voit pas à des kilomètres à la ronde, cela me paraît exagéré ma fille, mais bien à une dizaine de mètres.
Notre motodidacte n’a pu retenir un cri de victoire qui interpelle le responsable du magasin, il s’aperçoit des dégâts occasionnés par ce geste d’amour et il rapplique dare dare ( et pas dard dard ). Voyant le cataclysme et la désolation qui ne fait aucun doute sur l’origine du phénomène lui-même se reculottant en quatrième vitesse, et s’enfuyant poursuivi par l’employé qui ne peut l’empêcher de sauter sur sa moto et démarrer en un quart de tour, et notre joyeux drille ne craint plus personne sur sa Harley Davidson.
Nous étant rhabillées correctement, nous crions bien fort au scandale en passant devant le roi des demeurés.
- Quelle honte! Fais-je comme une petite oie blanche, c’est du propre!
- inadmissible et intolérable, tous les hommes sont des pervers, ajoute Camille en vierge effarouchée.
Ainsi se termine notre sympathique virée.
- Je n’ai qu’un seul regret, me dit Camille, c’est que ses moustaches ne goûterons jamais mon minou !
Il enlève son masque en même tant que nous pour mieux connaître les sentiments qui se lisent ainsi plus clairement sur nos visages. Nous n’avons pas échangé de dialogue, mais les sourires qui éclairent nos faciès nous poussent à continuer le strip-tease. Camille se retourne, et cette fois elle remonte sa robe au niveau de sa ceinture, ces belles fesses bronzées ainsi découvertes lui prouve qu’elle n’a pas de culotte, je me retourne aussi et remonte ma robe à la même hauteur que celle de Camille et en tournant la tête, nous constatons l’air béat de notre Homo sapiens, il est si touchant, il ne nous a pas sauté dessus comme bon nombre de vieux vicelards de ma connaissance, et nous improvisons au fur et à mesure un divertissement uniquement pour lui, ce qui ne le laisse pas indifférent.
Je pense qu’il a très envie de voir nos chattes et je suis la première à me retourner en relâchant ma robe pour qu’il n’ai pas le temps de la voir justement, Camille me suit ne ne sachant pas trop ce que j’ai imaginé et m’accompagne aveuglément.
J’attrape le borsalino que je place devant moi, Camille saisi la balle au bond et a parfaitement compris mon dessin, elle remonte ma robe et seul le chapeau cache mon sexe à mon homme d’honneur. Je fais virevolter celui-ci, découvrant à la volée mon minou 1/10 de seconde chaque fois, juste pour qu’il s’aperçoive qu’il est tout lisse, et pour maintenir le suspense, Camille relâche ma robe et se place devant moi, et elle récupère le chapeau cloche et nous procédons à la même exhibition rien montrer complètement, tout suggérer de nos fentes. Et nous finissons en nous retournant toutes les deux les fesses vers lui, avant de lui présenter le clou du spectacle, nous voulons enjoliver le tableau et utiliser nos artifices pour embellir le site naturel le plus joli de notre académie. Et j’enjambe mon nœud papillon et Camille sa lavallière et les ajustons afin que nos fentes soit juste en dessous. Cette fois elles sont pleinement visibles si nous nous retournons.
Et devinez ce que nous faisons en même temps ? Et bien oui, en maintenant nos robes relevées, nous présentons nos abricots enrubannés face à notre homme grenouille qui nous fait le signe un rond avec le pouce et l’index signifiant que tout va bien pour lui et qu’il n’est pas au bord de l’asphyxie, il faut prendre soin des personnes d’un âge certain, je pense à notre pauvre ancien président de la république Félix Faure mort d’apoplexie avec sa connaissance. Ils sont très nombreux, les fantassins du sexe mort au combat quand leur cœur s’affole devant une maîtresse trop magnifique, ce n’est sans doute pas pour rien que nous sommes appelées le beau sexe.
Pour notre gentil motard, tout va bien, je crois qu’il se les frise ( les moustaches), d’ailleurs Camille me dit tout bas :
- J’aimerais bien qu’il me caresse le minou avec les poils de sa magnifique moustache, ça doit faire un effet ! J’imagine sa langue qui s’insinue entre mes lèvres et les chatouilles de son système pileux sur mon pubis cela mettrait le feu à toute ma cramouille, ça devrait m’exciter grave !
Montrant nos fentes à ce vieux pirate, celui-ci se prend au jeu et nous présente son derrière, il se trémousse en défaisant la ceinture de son pantalon de cuir noir, tout est noir chez lui sauf dans sa tête où ça pétille de feux d’artifice multicolores.
Il fait descendre lentement son froc et nous découvrons sa devise sur son caleçon : « vieux motard que jamais« , il est bien marrant et il se retourne en commençant à baisser la dernière fortifications avant de découvrir son arme.
Une tête apparaît fière et chauve comme l’ensemble de la pièce qu’il finit par nous montrer, son futal à ses pieds, son cache sexe à mi-cuisse qui ne cache plus rien, nous admirons une belle queue qui se redresse, entre le mur et le bac de bérets, il est moyennement dissimulé des regards des autres personnes présentes dans le magasin. Un jeu de branlette s’engage entre nous, moi je caresse la chatte de Camille et elle la mienne, ça fait encore plus redresser le goupillon prêt pour la bénédiction.
Camille se met à genoux et mime la fellation de sa bite, de sa main repliée sur une hampe imaginaire, elle entrouvre sa bouche et bouge sa langue comme si elle touchait et léchait son zob, et celui-ci réagit par des petits soubresauts de satisfaction, il nous fait oui oui de son front mutin, Camille l’encourage en poursuivant par son entrée entière dans sa bouche et simule le pompage intégrale de son vit. Notre joyeux luron se positionne de profil pour bien nous montrer la réaction de son membre viril occasionnée par notre prestation gracieusement offerte rien que pour lui, je vous rappelle qu’il n’a jamais touché sa bite et qu’elle est tendue comme un string, elle nous fait coucou en dodelinant gentiment du chef. Elle est vraiment très belle dans cet état avec le soutien de ces deux magnifiques partenaires qui la portent en triomphe, moi je lui fais voir la petite cascade qui sillonne entre mes deux lèvres d’amour.
Ce n’est pas un air Guitar que joue Camille mais un air pipe et et vu l’état cramoisie de l’extrémité du joujou de monsieur, l’entreprise commando est prête de réussir son coup, Un déclic que produit Camille qui ne peut résister à se désaltérer à ma source, elle s’arrête, malheureusement pour moi, pour contempler le résultat catastrophique pour les galettes présentes dans le tourniquet, un déluge s’abat sur elles. Le coup est parti tout seul et se projette à 1 m de hauteur avant de s’abattre sur ces pauvres bérets et je peux vous dire que le contraste entre les couleurs plutôt noire bleue et rouge de nos calots et le blanc clair de lune ( malgré que nous sommes en plein après-midi) des coulées multiples qui maculent ( et pas m’encule, j’espère que cela viendra un jour) l’intégralité du bac et même le sol tout autour ne se voit pas à des kilomètres à la ronde, cela me paraît exagéré ma fille, mais bien à une dizaine de mètres.
Notre motodidacte n’a pu retenir un cri de victoire qui interpelle le responsable du magasin, il s’aperçoit des dégâts occasionnés par ce geste d’amour et il rapplique dare dare ( et pas dard dard ). Voyant le cataclysme et la désolation qui ne fait aucun doute sur l’origine du phénomène lui-même se reculottant en quatrième vitesse, et s’enfuyant poursuivi par l’employé qui ne peut l’empêcher de sauter sur sa moto et démarrer en un quart de tour, et notre joyeux drille ne craint plus personne sur sa Harley Davidson.
Nous étant rhabillées correctement, nous crions bien fort au scandale en passant devant le roi des demeurés.
- Quelle honte! Fais-je comme une petite oie blanche, c’est du propre!
- inadmissible et intolérable, tous les hommes sont des pervers, ajoute Camille en vierge effarouchée.
Ainsi se termine notre sympathique virée.
- Je n’ai qu’un seul regret, me dit Camille, c’est que ses moustaches ne goûterons jamais mon minou !
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