Marion et Madeleine
Récit érotique écrit par rexarthur666 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion et Madeleine
Chapitre 1. La rencontre
Marion était une fille normale : 32 ans, tantôt célibataire, tantôt en mains parce qu'il fallait bien et puis qu'elle aimait bien le sexe. Pour le physique, rien de particulier non plus : un joli bout de femme d'un mètre soixante cinq, cheveux blond cendré, yeux gris et le teint pâle, plutôt menue. Comme elle ne cherchait pas forcément à se mettre en valeur, son physique n'attirait pas forcément les regards des hommes …. ou des femmes. En fait le seul élément remarquable était sa poitrine. Pour sa plus grande gêne, elle faisait du 85D. Elle arborait deux magnifiques seins en poire, surmontés de deux longues pointes d'un rose pâle qui fonçaient lorsqu'elle avait froid ou lorsqu'elle était excitée.
Ce jour elle remontait la rue Musette, ayant fini son travail un peu plus tôt : professeure d'histoire géographie, elle enseignait au lycée Montchapet de Dijon et pour rentrer chez elle, boulevard Voltaire, elle aimait bien faire un détour par cette rue piétonne, s'arrêter aussi à la terrasse d'un café qui avait le mérite de proposer quinze crus de café. Bref, elle menait une vie plutôt tranquille et apaisée et même si elle s'ennuyait parfois un peu, même si elle ressentait comme un manque de temps en temps, elle ne se plaignait pas.
Ce jour là donc elle s'assit et commanda un moka sidamo, un café doux mais fort qu'elle appréciait particulièrement. A côté d'elle une femme prenait aussi les rayons d'un soleil automnal tardif, à la fois chaud et doux. Elle la regarda du coin de l'oeil, profitant du fait qu'elle était absorbée dans la lecture de ses mails. Très mince, brune, élégante dans sa posture comme dans sa tenue, elle inspirait naturellement l'admiration mais aussi un certain respect. Croisant et décroisant les jambes, elle semblait contrariée par ce qu'elle lisait même si les verres fumés de ses lunettes ne laissaient rien paraître de son expression. Marion en rougit immédiatement mais ne put s'en empêcher : dans le mouvement la fente de sa robe s’entr’ouvrait et laissait apparaître une jambe gainée de noir jusqu'en haut de la cuisse puis s'interrompait pour laisser la place à une peau nue et blanche. Marion ne mettait pas de bas, elle savait pourtant de quoi il s'agissait. Elle aima ce qu'elle vit. C'est d'ailleurs heureux car c'est exactement la question que la femme lui posa :
vous aimez ce que vous voyez mademoiselle ?
Marion sursauta violemment, confuse d'avoir été prise en flagrant délit. Mais le regard d'un noir profond était tellement bienveillant et rieur qu'elle opta pour la sincérité :
oui, vous êtes très belle et très élégante et je me suis permis ….
Oui, vous avez regardé : ce n'est pas grave, c'est même plaisant qu'une jeune femme comme vous me regarde. … Pardonnez moi ma franchise, mais vous aimez les femmes ?
Oh … non ! Enfin je n'ai jamais regardé les femmes pour cela en tous cas ….
Mais vous n'avez jamais été attirée ?
Je ne crois pas non …
Donc les hommes vous contentent ?
Je n'irai pas jusque là.
Pourquoi se montrait-elle si sincère avec cette femme ? Elle n'aurait su le dire, pourtant les mots sortaient de sa bouche comme s'ils n'avaient attendu que ce moment pour cela.
En fait j'aime bien le sexe avec eux mais je ne sais pas, ils sont toujours persuadés que cela ne passe que par l'usage de … enfin vous savez quoi !
Non, dites-moi ?
Et bien leur sexe, leur verge, leur teub, …. Ils ont tellement de noms pour la désigner que c'en est étourdissant.
C'est vrai alors qu'on fait tellement de choses avec les doigts, les mains, la bouche, ….
C'est sûr. Oh mais je ne comprends pas comment vous me faites dire des choses pareilles …
C'est parce que je vous inspire confiance et que vous avez besoin de parler, parmi bien d'autres choses.
Oui, sûrement.
Le silence s'installa brutalement. Il n'était pas lié à une gêne quelconque, plutôt au plaisir de laisser la complicité s'installer et s'épanouir. En plus, pour son plus grand désarroi Marion réfléchissait à tout ce qu'une femme pouvait faire à une autre avec ses doigts, ses mains, sa bouche et les idées qui lui venaient étaient sans doute agréables car elle senti que les pointes de ses seins commençaient à durcir et à tendre la laine de son pull, ce que Madeleine, puisque c'est comme cela qu'elle lui avait dit s'appeler, ne manqua pas de remarquer avec un petit ton ironique :
Vous avez froid ?
Non pourquoi ?
Parce que tes seins bandent ma chérie
Marion fut estomaquée par le passage du « vous » au « tu » et par le vocabulaire utilisé. Estomaquée mais aussi encore plus excitée. Elle chercha pourtant à sauver la face ….
vous croyez vraiment que c'est vous qui ….
Le nierais tu ?
Ok, j'admets.
Dis-le
L'injonction avait claqué brutalement
Dire quoi ?
Dis ce que je te fais ressentir
….
Allez sinon je me lève et tu ne connaitras pas la fin de cette intéressante conversation !
….
D'accord, bye !
Non, d'accord : alors voilà, vous m'attirez et c'est la première fois que je ressens cela pour une femme.
Oui, mais ce n'est pas de cela dont il s'agit petite sotte !
Ok, vous m'excitez : j'ai les seins tous durs, les pointes qui sont tendues et je mouille ma culotte.
Et bien voilà, on y est ! Je suis ravie de te faire cet effet, effet partagé d'ailleurs. On y va ?
Où ?
Chez moi.
Marion ne répondit pas, c'était un peu trop mais quand Madeleine se leva et lui pris la main, elle se laissa faire, consciente du fait que ce ne serait surement pas la dernière fois. Les deux femmes partirent la main dans la main, Marion s'aperçu que Madeleine faisait une tête de plus qu'elle. Pendant tout le trajet jusqu'au quartier de Jouvence, les deux femmes n'échangèrent pas un mot. Madeleine habitait dans un fond de cours. Lorsque la porte de son appartement claqua sur les deux femmes Marion sut que rien ne serait plus comme avant.
Marion était une fille normale : 32 ans, tantôt célibataire, tantôt en mains parce qu'il fallait bien et puis qu'elle aimait bien le sexe. Pour le physique, rien de particulier non plus : un joli bout de femme d'un mètre soixante cinq, cheveux blond cendré, yeux gris et le teint pâle, plutôt menue. Comme elle ne cherchait pas forcément à se mettre en valeur, son physique n'attirait pas forcément les regards des hommes …. ou des femmes. En fait le seul élément remarquable était sa poitrine. Pour sa plus grande gêne, elle faisait du 85D. Elle arborait deux magnifiques seins en poire, surmontés de deux longues pointes d'un rose pâle qui fonçaient lorsqu'elle avait froid ou lorsqu'elle était excitée.
Ce jour elle remontait la rue Musette, ayant fini son travail un peu plus tôt : professeure d'histoire géographie, elle enseignait au lycée Montchapet de Dijon et pour rentrer chez elle, boulevard Voltaire, elle aimait bien faire un détour par cette rue piétonne, s'arrêter aussi à la terrasse d'un café qui avait le mérite de proposer quinze crus de café. Bref, elle menait une vie plutôt tranquille et apaisée et même si elle s'ennuyait parfois un peu, même si elle ressentait comme un manque de temps en temps, elle ne se plaignait pas.
Ce jour là donc elle s'assit et commanda un moka sidamo, un café doux mais fort qu'elle appréciait particulièrement. A côté d'elle une femme prenait aussi les rayons d'un soleil automnal tardif, à la fois chaud et doux. Elle la regarda du coin de l'oeil, profitant du fait qu'elle était absorbée dans la lecture de ses mails. Très mince, brune, élégante dans sa posture comme dans sa tenue, elle inspirait naturellement l'admiration mais aussi un certain respect. Croisant et décroisant les jambes, elle semblait contrariée par ce qu'elle lisait même si les verres fumés de ses lunettes ne laissaient rien paraître de son expression. Marion en rougit immédiatement mais ne put s'en empêcher : dans le mouvement la fente de sa robe s’entr’ouvrait et laissait apparaître une jambe gainée de noir jusqu'en haut de la cuisse puis s'interrompait pour laisser la place à une peau nue et blanche. Marion ne mettait pas de bas, elle savait pourtant de quoi il s'agissait. Elle aima ce qu'elle vit. C'est d'ailleurs heureux car c'est exactement la question que la femme lui posa :
vous aimez ce que vous voyez mademoiselle ?
Marion sursauta violemment, confuse d'avoir été prise en flagrant délit. Mais le regard d'un noir profond était tellement bienveillant et rieur qu'elle opta pour la sincérité :
oui, vous êtes très belle et très élégante et je me suis permis ….
Oui, vous avez regardé : ce n'est pas grave, c'est même plaisant qu'une jeune femme comme vous me regarde. … Pardonnez moi ma franchise, mais vous aimez les femmes ?
Oh … non ! Enfin je n'ai jamais regardé les femmes pour cela en tous cas ….
Mais vous n'avez jamais été attirée ?
Je ne crois pas non …
Donc les hommes vous contentent ?
Je n'irai pas jusque là.
Pourquoi se montrait-elle si sincère avec cette femme ? Elle n'aurait su le dire, pourtant les mots sortaient de sa bouche comme s'ils n'avaient attendu que ce moment pour cela.
En fait j'aime bien le sexe avec eux mais je ne sais pas, ils sont toujours persuadés que cela ne passe que par l'usage de … enfin vous savez quoi !
Non, dites-moi ?
Et bien leur sexe, leur verge, leur teub, …. Ils ont tellement de noms pour la désigner que c'en est étourdissant.
C'est vrai alors qu'on fait tellement de choses avec les doigts, les mains, la bouche, ….
C'est sûr. Oh mais je ne comprends pas comment vous me faites dire des choses pareilles …
C'est parce que je vous inspire confiance et que vous avez besoin de parler, parmi bien d'autres choses.
Oui, sûrement.
Le silence s'installa brutalement. Il n'était pas lié à une gêne quelconque, plutôt au plaisir de laisser la complicité s'installer et s'épanouir. En plus, pour son plus grand désarroi Marion réfléchissait à tout ce qu'une femme pouvait faire à une autre avec ses doigts, ses mains, sa bouche et les idées qui lui venaient étaient sans doute agréables car elle senti que les pointes de ses seins commençaient à durcir et à tendre la laine de son pull, ce que Madeleine, puisque c'est comme cela qu'elle lui avait dit s'appeler, ne manqua pas de remarquer avec un petit ton ironique :
Vous avez froid ?
Non pourquoi ?
Parce que tes seins bandent ma chérie
Marion fut estomaquée par le passage du « vous » au « tu » et par le vocabulaire utilisé. Estomaquée mais aussi encore plus excitée. Elle chercha pourtant à sauver la face ….
vous croyez vraiment que c'est vous qui ….
Le nierais tu ?
Ok, j'admets.
Dis-le
L'injonction avait claqué brutalement
Dire quoi ?
Dis ce que je te fais ressentir
….
Allez sinon je me lève et tu ne connaitras pas la fin de cette intéressante conversation !
….
D'accord, bye !
Non, d'accord : alors voilà, vous m'attirez et c'est la première fois que je ressens cela pour une femme.
Oui, mais ce n'est pas de cela dont il s'agit petite sotte !
Ok, vous m'excitez : j'ai les seins tous durs, les pointes qui sont tendues et je mouille ma culotte.
Et bien voilà, on y est ! Je suis ravie de te faire cet effet, effet partagé d'ailleurs. On y va ?
Où ?
Chez moi.
Marion ne répondit pas, c'était un peu trop mais quand Madeleine se leva et lui pris la main, elle se laissa faire, consciente du fait que ce ne serait surement pas la dernière fois. Les deux femmes partirent la main dans la main, Marion s'aperçu que Madeleine faisait une tête de plus qu'elle. Pendant tout le trajet jusqu'au quartier de Jouvence, les deux femmes n'échangèrent pas un mot. Madeleine habitait dans un fond de cours. Lorsque la porte de son appartement claqua sur les deux femmes Marion sut que rien ne serait plus comme avant.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bon début !
C'est alléchant, il faut une suite, vite !
C'est alléchant, il faut une suite, vite !
oui, oui, début plus que prometteur ! !
La suite s'annonce superbe
La suite s'annonce superbe
Début prometteur la suite vite