Marion et madeleine - chapitre 2
Récit érotique écrit par rexarthur666 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion et madeleine - chapitre 2
Marion sentait ses genoux trembler alors qu'elle suivait Madeleine dans les escaliers montant à son appartement situé dans un vieil immeuble de la rue amiral-roussin, un ancien hôtel particulier depuis longtemps divisé en appartements. Celui de Madeleine lui correspondait, évidemment : sobre, raffiné, brut. Marion ne savait trop que faire, plantée au milieu de l'espace salon. Les bras le long du corps et ses seins qui pesaient tellement, son bas ventre qui la tordait d'émotion, elle en frissonnait. Elle sentit Madeleine se coller contre elle, dans son dos. Les mains fines et élégantes se posèrent sur ses hanches, sa bouche sur sa nuque. Les mains remontèrent et firent ce dont elle rêvait depuis qu'elles avaient franchi le porche : elles empaumèrent les lourdes masses jumelles par en dessous, le pouce et l'index se retrouvant pour faire rouler les pointes à travers la maille fine du pull. C'est elle qui mit fin à la magie du moment : elle pris son pull par en dessous et le passa au dessus de sa tête. Ses doigts dégrafèrent le soutien-gorge de dentelle noire, ses seins s'épanouirent, enfin libérés. Elle eu l'inéffable plaisir de sentir que Madeleine avait le souffle plus court, preuve de l'envie qu'elle ressentait elle aussi. Elle se laissa déshabiller et quelques minutes plus tard, comme Mathilde à Julien, elle n'avait plus rien à lui refuser. De toute façon l'idée de refuser quoi que ce soit à son amante experte et autoritaire ne lui avait à aucun moment effleuré l'esprit.
Etendues sur le lit elles reprenaient leur souffle. C'est Marion qui parla la première :
- Mon dieu …
- Oui ?
- Je sais que je ne partirai pas d'ici, pas sans toi en tous cas : je ne le dis pas à la légère, je suis à toi.
- Je le sais aussi mais il y a un problème
- Ah ? Tu n'es pas libre ? Il y a quelqu'un ?
- Non et je veux que tu restes. Mais si tu restes, alors tu m'appartiens et du m'es soumise.
- ….
- Je ne plaisante pas : tu seras mon obéissante, ma soumise, ma pute et ma salope, tu feras tout ce que je te dis de faire.
- ….
- Réfléchis bien avant de répondre ou faire quoi que ce soit.
Marion réfléchit. Madeleine retient son souffle, elle sait qu’elle a brûlé ses navires. Le silence s’étire : des heures ? cinq minutes ? Finalement Marion se lève du lit et s'agenouille devant Madeleine qui y est restée assise. Elle lève les yeux vers elle et pose sa main sur sa tête. Madeleine sourit, elle écarte les cuisses, appuie sur la tête de Marion et pousse son visage contre son sexe trempé. Marion gémit de joie ; enfouissant son visage dans le sexe de sa maîtresse, elle lèche ce dernier de haut en bas avant de tourner longuement autour de son clitoris. Pendant ce temps elle sent les mains de sa maîtresse palper son corps, ses hanches, ses épaules et guider son visage jusqu'à ce qu'elle prenne son plaisir dans un gémissement. Un tel acte vaut acceptation et signature de contrat.
Après un petit déjeuner préparé par Madeleine, celle-ci décide d'emmener sa soumise (puisque c'est comme cela qu'il faut l'appeler, toutes deux le savent bien) faire des courses. Le jean et le pull vont bien à Marion mais cette tenue n'est plus adaptée à son nouveau statut. Les deux femmes commencent par une visite à la Toison d'Or où une boutique Aubade leur tend les bras.
Marion a spontanément adopté l'attitude que sa maîtresse espère : deux pas derrière, bien droite mais humble, elle respire la soumission. C'est évidemment Madeleine qui s'adresse à la vendeuse, femme dont on pourrait dire qu'elle est opulente : hanches larges, poitrine plantureuse soutenue par une corbeille faite maison, elle porte un tailleur plutôt habillé qui va bien avec cette boutique. Les yeux bleus cillent imperceptiblement alors qu'elle analyse le langage corporel des deux clientes. Sonia, c'est le nom indiqué sur son badge, comprend assez vite qu'il n'y a pas que de l'amitié entre les deux femmes et elle en a confirmation lorsque Madeleine met la main au creux des reins de Marion en lui chuchotant quelque chose à l'oreille qui fait briller les yeux de la jeune femme. Elle voit les deux femmes qui entrent dans la cabine d'essayage après avoir choisi quelques parures sur les présentoirs.
Marion est nue devant Madeleine habillée. Elle adore ce décalage et les pointes de ses seins qui s'allongeaient en témoignent. Madeleine sourit en constant que sa première directive, celle d'une épilation intégrale du maillot a été respectée. Elle est profondément remuée par la minceur de sa soumise, par sa vulnérabilité apparente et par sa sensualité évidente. Machinalement elle tend la main et prit une des pointes entre ses doigts et l'étire encore en la tournant sur elle-même en plongeant sa langue dans la bouche de la jeune femme. Marion sent alors son sexe s'ouvrir et son ventre devenir lourd de désir. Elle pousse un gémissement de frustration lorsque Madeleine s'arrête brutalement mais n'ose protester : il est l'heure d'essayer pas de se faire baiser.
Elle passe les bas, le porte-jarretelle, le tanga ainsi que soutien-gorge assortis, un push-up qui accroissait encore le volume de sa poitrine.
- J'adore décidemment tes mamelles ma belle !
Elle sursaute sous la brutalité de l'expression mais doit bien admettre que c'est une appellation qui convient parfaitement. Longtemps complexée de ce côté-là, elle aime de plus en plus quand Madeleine s'en occupe. Elle se fait aussi la réflexion qu'il vaut mieux qu'elle prenne la culotte car elle était déjà inondée.
- Tu bandes ma chérie ?
- ….
- Ton petit bouton est tout dur, donc tu bandes.
- Oui maîtresse, je l'admet.
Madeleine la fait se tourner vers le miroir de la cabine et s'appuyer à cette dernière, ramenant les bras autour de sa tête et écartant les cuisses de Marion. Sa main remonte entre les jambes, atteint, le sexe béant mais ce n'est pas ce qui l’intéresse et remonte encore de quelques centimètres. La pulpe d'un doigt s'appuie à son anus, tourne autour puis pousse. Elle sursaute sous l'intrusion mais l'accepte finalement assez facilement. C’est plus compliqué pour le second doigt puis le troisième : elle se sent dilatée, écartelée. Pendant ce temps l'autre main s'occupe de ses seins écrasés contre la vitre tandis que Madeleine lui chuchote des mots de domination et de tendresse. Elle a déjà joui mais là, l'orgasme la prend par surprise, lui coupe les jambes : une onde de chaleur et de bonheur qui lui laboure les entrailles. Elle va crier mais la main de Madeleine la muselle juste à temps : elle a le sang qui lui bat aux tempes.
Le temps de se rhabiller, de se remettre de ses émotions, Madeleine et elle sortent de la cabine et les achats sont réglés par la maîtresse. Elles sortent dans la galerie marchande et se dirigent vers une boutique de prêt-à-porter où la maîtresse fait l'acquisition de diverses tenues qui ont toutes comme point commun d'être à la fois élégantes, sexy et mettent toutes en valeur les mamelles de Marion. Celle-ci n'est pas forcément étonnée : ses seins sont encore tout endoloris des stimulations incessantes qu'ils ont subi. Elle est d'avantage surprise en voyant Madeleine se garer sur le parking de décathlon. Elle aimerait poser une question mais Madeleine lui met le doigt dans la bouche avant de passer la main sous sa jupe et de caresser fugitivement son sexe glabre par dessus le tanga tout neuf. Elle comprend qu'elle n'a plus la parole.
Madeleine se dirige immédiatement au rayon équitation. L'odeur de cuir et de caoutchouc surprend un peu Marion et, pour tout dire, l'inquiète quelque peu. Elle voit Madeleine s'arrêter devant le rayon des cravaches et comprend ce qui l'attend : si elle a longtemps été quelque peu innocente dans les jeux lesbiens, elle n'est pas idiote non plus. Elle frémit néanmoins lorsque Madeleine, fait siffler l'objet en fouettant l'air et lorsqu'elle fit claquer l'extrémité sur une selle qui se trouve là. Elle semble satisfaite du son et du rendu, en tous cas c'est ce que ses yeux brillants semblaient dire. Elle se tourne vers Marion :
- Penches toi et appuie tes mains sur le rebord de cet étal
- Marion ne pense même pas au danger qu'il y avait à être surprise et obtempère, accentuant même la cambrure de sa croupe.
- C’est bien ma belle ! Écarte les jambes maintenant !
Marion obéit autant que la jupe le lui permet, s'attendant (espérant ?) presque à être fouettée sur place. Au lieu de cela (est-elle déçue ?) elle sent la claquette de la cravache caresser sa jambe, remonter le long de sa cuisse et appuyer doucement sur son sexe. Elle s'humidifie instantanément (elle s'en étonnait toujours) et se mit à geindre doucement.
- Bon on dirait qu'elle te plaît petite chienne !
- ….
- Alors rentrons, j'ai hâte de l'essayer sur tes jolies fesses.
Pour toute réponse Marion embrasse Madeleine à pleine bouche sous les yeux un peu étonnés –et intéressés- d'un client qui passait par là.
Etendues sur le lit elles reprenaient leur souffle. C'est Marion qui parla la première :
- Mon dieu …
- Oui ?
- Je sais que je ne partirai pas d'ici, pas sans toi en tous cas : je ne le dis pas à la légère, je suis à toi.
- Je le sais aussi mais il y a un problème
- Ah ? Tu n'es pas libre ? Il y a quelqu'un ?
- Non et je veux que tu restes. Mais si tu restes, alors tu m'appartiens et du m'es soumise.
- ….
- Je ne plaisante pas : tu seras mon obéissante, ma soumise, ma pute et ma salope, tu feras tout ce que je te dis de faire.
- ….
- Réfléchis bien avant de répondre ou faire quoi que ce soit.
Marion réfléchit. Madeleine retient son souffle, elle sait qu’elle a brûlé ses navires. Le silence s’étire : des heures ? cinq minutes ? Finalement Marion se lève du lit et s'agenouille devant Madeleine qui y est restée assise. Elle lève les yeux vers elle et pose sa main sur sa tête. Madeleine sourit, elle écarte les cuisses, appuie sur la tête de Marion et pousse son visage contre son sexe trempé. Marion gémit de joie ; enfouissant son visage dans le sexe de sa maîtresse, elle lèche ce dernier de haut en bas avant de tourner longuement autour de son clitoris. Pendant ce temps elle sent les mains de sa maîtresse palper son corps, ses hanches, ses épaules et guider son visage jusqu'à ce qu'elle prenne son plaisir dans un gémissement. Un tel acte vaut acceptation et signature de contrat.
Après un petit déjeuner préparé par Madeleine, celle-ci décide d'emmener sa soumise (puisque c'est comme cela qu'il faut l'appeler, toutes deux le savent bien) faire des courses. Le jean et le pull vont bien à Marion mais cette tenue n'est plus adaptée à son nouveau statut. Les deux femmes commencent par une visite à la Toison d'Or où une boutique Aubade leur tend les bras.
Marion a spontanément adopté l'attitude que sa maîtresse espère : deux pas derrière, bien droite mais humble, elle respire la soumission. C'est évidemment Madeleine qui s'adresse à la vendeuse, femme dont on pourrait dire qu'elle est opulente : hanches larges, poitrine plantureuse soutenue par une corbeille faite maison, elle porte un tailleur plutôt habillé qui va bien avec cette boutique. Les yeux bleus cillent imperceptiblement alors qu'elle analyse le langage corporel des deux clientes. Sonia, c'est le nom indiqué sur son badge, comprend assez vite qu'il n'y a pas que de l'amitié entre les deux femmes et elle en a confirmation lorsque Madeleine met la main au creux des reins de Marion en lui chuchotant quelque chose à l'oreille qui fait briller les yeux de la jeune femme. Elle voit les deux femmes qui entrent dans la cabine d'essayage après avoir choisi quelques parures sur les présentoirs.
Marion est nue devant Madeleine habillée. Elle adore ce décalage et les pointes de ses seins qui s'allongeaient en témoignent. Madeleine sourit en constant que sa première directive, celle d'une épilation intégrale du maillot a été respectée. Elle est profondément remuée par la minceur de sa soumise, par sa vulnérabilité apparente et par sa sensualité évidente. Machinalement elle tend la main et prit une des pointes entre ses doigts et l'étire encore en la tournant sur elle-même en plongeant sa langue dans la bouche de la jeune femme. Marion sent alors son sexe s'ouvrir et son ventre devenir lourd de désir. Elle pousse un gémissement de frustration lorsque Madeleine s'arrête brutalement mais n'ose protester : il est l'heure d'essayer pas de se faire baiser.
Elle passe les bas, le porte-jarretelle, le tanga ainsi que soutien-gorge assortis, un push-up qui accroissait encore le volume de sa poitrine.
- J'adore décidemment tes mamelles ma belle !
Elle sursaute sous la brutalité de l'expression mais doit bien admettre que c'est une appellation qui convient parfaitement. Longtemps complexée de ce côté-là, elle aime de plus en plus quand Madeleine s'en occupe. Elle se fait aussi la réflexion qu'il vaut mieux qu'elle prenne la culotte car elle était déjà inondée.
- Tu bandes ma chérie ?
- ….
- Ton petit bouton est tout dur, donc tu bandes.
- Oui maîtresse, je l'admet.
Madeleine la fait se tourner vers le miroir de la cabine et s'appuyer à cette dernière, ramenant les bras autour de sa tête et écartant les cuisses de Marion. Sa main remonte entre les jambes, atteint, le sexe béant mais ce n'est pas ce qui l’intéresse et remonte encore de quelques centimètres. La pulpe d'un doigt s'appuie à son anus, tourne autour puis pousse. Elle sursaute sous l'intrusion mais l'accepte finalement assez facilement. C’est plus compliqué pour le second doigt puis le troisième : elle se sent dilatée, écartelée. Pendant ce temps l'autre main s'occupe de ses seins écrasés contre la vitre tandis que Madeleine lui chuchote des mots de domination et de tendresse. Elle a déjà joui mais là, l'orgasme la prend par surprise, lui coupe les jambes : une onde de chaleur et de bonheur qui lui laboure les entrailles. Elle va crier mais la main de Madeleine la muselle juste à temps : elle a le sang qui lui bat aux tempes.
Le temps de se rhabiller, de se remettre de ses émotions, Madeleine et elle sortent de la cabine et les achats sont réglés par la maîtresse. Elles sortent dans la galerie marchande et se dirigent vers une boutique de prêt-à-porter où la maîtresse fait l'acquisition de diverses tenues qui ont toutes comme point commun d'être à la fois élégantes, sexy et mettent toutes en valeur les mamelles de Marion. Celle-ci n'est pas forcément étonnée : ses seins sont encore tout endoloris des stimulations incessantes qu'ils ont subi. Elle est d'avantage surprise en voyant Madeleine se garer sur le parking de décathlon. Elle aimerait poser une question mais Madeleine lui met le doigt dans la bouche avant de passer la main sous sa jupe et de caresser fugitivement son sexe glabre par dessus le tanga tout neuf. Elle comprend qu'elle n'a plus la parole.
Madeleine se dirige immédiatement au rayon équitation. L'odeur de cuir et de caoutchouc surprend un peu Marion et, pour tout dire, l'inquiète quelque peu. Elle voit Madeleine s'arrêter devant le rayon des cravaches et comprend ce qui l'attend : si elle a longtemps été quelque peu innocente dans les jeux lesbiens, elle n'est pas idiote non plus. Elle frémit néanmoins lorsque Madeleine, fait siffler l'objet en fouettant l'air et lorsqu'elle fit claquer l'extrémité sur une selle qui se trouve là. Elle semble satisfaite du son et du rendu, en tous cas c'est ce que ses yeux brillants semblaient dire. Elle se tourne vers Marion :
- Penches toi et appuie tes mains sur le rebord de cet étal
- Marion ne pense même pas au danger qu'il y avait à être surprise et obtempère, accentuant même la cambrure de sa croupe.
- C’est bien ma belle ! Écarte les jambes maintenant !
Marion obéit autant que la jupe le lui permet, s'attendant (espérant ?) presque à être fouettée sur place. Au lieu de cela (est-elle déçue ?) elle sent la claquette de la cravache caresser sa jambe, remonter le long de sa cuisse et appuyer doucement sur son sexe. Elle s'humidifie instantanément (elle s'en étonnait toujours) et se mit à geindre doucement.
- Bon on dirait qu'elle te plaît petite chienne !
- ….
- Alors rentrons, j'ai hâte de l'essayer sur tes jolies fesses.
Pour toute réponse Marion embrasse Madeleine à pleine bouche sous les yeux un peu étonnés –et intéressés- d'un client qui passait par là.
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