Marion et sa cousine chez les naturistes 02.

- Par l'auteur HDS Coquine3618 -
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Récit libertin : Marion et sa cousine chez les naturistes 02. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2020 dans la catégorie Plus on est
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Marion et sa cousine chez les naturistes 02.
Avec Mélanie, nous sommes dans un petit bois nues et je suis prête à lui faire une minette.

- Ferme les yeux, et laisse toi aller, lui conseillé-je.

Elle m’obéit et je m’allonge entre ses jambes que j’écarte. Je m’approche et suis à quelques centimètres de cette si jolie motte qui va découvrir le bonheur d’être léchée.

Je fais des bisous sur ses cuisses et remonte lentement pour faire monter la pression et je constate que Mélanie s’abandonne, mes mains caressent ses magnifiques seins et j’insiste sur ses tétons. Alors j’attaque au centre, et je lèche entre sa fente,j‘écarte un peu ses lèvres pour atteindre son bouton et l’excite avec ma langue, sa réaction est immédiate, elle sursaute avant de s’habituer aux douces caresses d’une langue sur un clito, je sens déjà une réponse à ma stimulation car sa tranchée s’humidifier, elle plaque ma tête pour que je reste bien en contact avec sa crèche, ma langue s’insinue entre ses lèvres et avec mon doigt, j’excite son clito en le faisant vibrer de plus en plus rapidement, et c’est Austerlitz, le soleil brille et la lumière aveugle son cerveau. Elle surréagit de plaisir et un flot de bonheur se déverse sur ma langue et je l’aspire pour partager et entrer en communication avec son ravissement. Enfin elle redescend sur terre.

- Oh, c’est trop bon, jamais j’ai ressenti un choc pareil.

- Maintenant à toi!

- Je n’ai jamais fais ça, je vais être lamentable!

- Maïs non, tu as vu comment j’ai fais, lui dis-je en m’allongeant à sa place, viens goûter à mon pistil, je suis déjà mouillée, as- ru déjà tester un peu de ton lubrifiant naturel?

- Non j’ai jamais goûté.

- Et bien viens savourer ma chatte humide!

Et elle se plaque sur mon sexe et sa langue parcoure mon coquillage et comme une ventouse elle aspire le suc qui s’éprend de mon puit d’amour. Elle me caresse les seins, ridicules par rapport aux siens, en restant la bouche collée sur ma fente. Elle réussit parfaitement à me rapprocher de l’extase, cette petite pucelle m’émerveille, ça bouillonne dans ma tête, et elle va au charbon et ne faiblit pas à la tâche. Elle prend goût à la chose, je me sens faiblir, je crois qu’elle va réussir son examen du 1er coup car je ne peux pas retenir des petits cris qui se transforment en hurlement de bonheur, et elle boit de nouveau à ma source.

- Humm, j’ai adoré te sucer, me dit-elle.

- Moi aussi, j’ai bien apprécié ta charge héroïque.

Et nous rentrons pour le repas et cet après-midi, c’est plage pour tout le monde.

Pour faucher compagnie à ses parents, nous avons décidé de partir nous promener le long de la plage, mais dans la direction opposée à la plage naturiste et bifurquer par la dune pour revenir sur nos pas sans ce faire remarquer. Le stratagème marche à merveille et déjà nous sommes au panneau qui annonce le début du naturisme toléré. Et Mélanie ne tarde pas à voir sa 1ère bite, mais elle n’est pas de première jeunesse, poilue et au repos bien sûr, mais c’est la 1ère alors respect pour elle. Nous continuons pour bien apprécier le paysage, nous sommes toujours en maillot évidemment.

Depuis quelques instant nous avons l’impression que quelqu’un nous suit, on se retourne et effectivement un homme mûr a environ 10m nous observe et nous emboîte le pas, il nous talonne de plus en plus et arrivé sur une portion de la place où seulement nous pouvons l’entendre il nous lance:
- Alors les minettes, vous êtes venue voir de la bite?

Nous ne répondons pas et accélérons le pas, il poursuit:
- Comment trouvez-vous la mienne?

Et même si c’est un peu vrai que nous sommes venues mater des queues, la manière de le dire est très vulgaire, c’est un gros pervers, et sans doute parce que lui es nu et nous en maillot, il insiste lourdement.

Pour essayer de s’en débarrasser, nous entrons dans l’eau et nous nous rapprochons d’un jeune garçon et je lui chuchote.

- Fais comme si nous nous connaissions, cet homme au bord en face nous suit et nous adresse des propos salaces.

Il entre dans notre jeu, et nous embrasse toutes les 2 de façon cool sur les joues évidemment. Et il poursuit en nous prenant par le cou comme de bon amis. Finalement le vieux vicieux se lasse de nous attendre sur le rivage, et comme nous avons l’air d’être accompagnées maintenant, il s’éloigne, cherchant d’autres victimes. Victoire, nous remercions chaleureusement notre sauveur, il nous sourit et nous dit:
- Je n’ai rien fait de bien difficile, c’est tout à fait normal de vous avoir aidé, embêtées par un idiot qui se croit tout permis. Je suis avec mon cousin et ma cousine, si vous voulez pour vous remettre venez donc boire un coup ?
Nous acceptons avec joie et nous sortons de l’eau, et avons la bonne surprise de voir qu’il est tout nu.
Et là, c’est une très belle bite. Toute lisse et un peu rabougris car l’eau est à 19°. Mélanie ne cesse de la regarder, j’espère qu’il ne va pas s’en apercevoir, mais non, il nous prends toutes les 2 par la main et nous entraîne vers la dune où nous retrouverons, dans un petit trou sableux, 2 jeunes personnes allongés sur des serviettes se faisant bronzer. Ils sont évidemment entièrement nus.

- Moi c’est Hugo, dit le 1er garçon, et mon cousin: Arthur et ma cousine: Anais.

- Moi je suis Marion, et ma cousine: Mélanie.

Nous avons bientôt sympathiser en buvant un jus de fruit bien frais.

- vous êtes naturistes, c’est sympa!

- Oh depuis toujours, dit Hugo, nos parents le sont alors nous avons toujours fait ça, c’est si agréable, la seule chose difficile pour nous, c’est de ne pas choquer ceux qui ne le font pas. Et vous ça vous choque?

- Non dis-je, pas du tout.

- Alors, dit-il, pourquoi ne tentez-vous pas l’expérience?

Avec Mélanie juste un regard suffit pour percevoir que nous avons très envie, toutes les 2, de sauter le pas, surtout avec des jeunes de notre âge, si sympas et natures.

Et en moins de 30 secondes, nous sommes à égalité avec nos nouveaux amis, ils nous prêtent même des serviettes pour nous étendre.

Tous les 5 avons le sexe rase, c’est peut-être la mode, mais je trouve cela très extatique en plus. Les 2 garçons sont étendus sur le dos et nous pouvons admirer leur beau petit zizi, car ayant l’habitude d’être dénudé, cela ne leur fait rien, et leur bite reste bien mignonne et flasque avec dessous des belles boules. Anais est brune et cheveux longs, une fente bien rebondie, lèvres épaisses qui ne laisse rien apparaitre de ce qui se cache entre, elle est très à l’aise nue par rapport à Mélanie et moi, nous essayons de nous habituer et malgré que c’est très plaisant d’être nues, nous avons un peu de mal à cause de notre éducation, mais franchir des interdits, c’est jouissif et comme c’est plus facile à une fille qu’à un garçon de cacher son émoi , progressivement avec l’aide de nos 3 compagnons qui nous aident bien à nous relaxer, nous finissons par nous décontracter et nous échangeons avec eux tout un tas d’informations sur nos vies, nos études, nos loisirs et le temps passe si vite qu’il est l’heure de rejoindre les parents de Mélanie.

Hugo nous fait promettre de revenir demain, ils sont toujours au même endroit, nous trouvons la proposition si attractive que nous acceptons avec joie.

C’est ainsi, que tous les jours de la semaine nous avons retrouvé nos amis avec la seule différence, c’est qu’à l’entrée de la plage naturiste, nous enlevons nos vêtements, et marchons dans le sable devant les vacanciers en parfaite harmonie avec la nature. Par chance nous ne sommes jamais tomber sur le pervers. Avec Hugo et son cousin et sa cousine nous avons bien rigoler , et nous nous sommes baignés nus et avons découvert avec Mélanie, l’agréable sensation que cela procure en jouant ensemble tous les 5.

Le démon de midi ayant envahi l’esprit de Mélanie, à cause sans doute des aventures que je lui ai narrées, elle reste toujours obsédée par sucer un garçon, et moi je dois dire que je suis en peu en manque, elle me demande donc de l’aider pour connaître a son tour la joie d’une pipe. Mais nous n’avons pas le courage de casser l’ambiance et la convivialité naissante entre nos 5, nous voulons rester sur ce beau souvenir et garder à jamais en mémoire ce côté zen sans le briser.

C’est pourquoi nous élaborons un nouveau plan afin d’arriver au but et de satisfaire la curiosité de Mélanie..

Le dernier jour de nos vacances ensemble, après avoir dit adieu à nos nouveaux copains, nous déambulons sur la plage naturiste à la recherche de 2 beaux garçons seuls, et après une concertation fructueuse entre nous, nous avons sélectionné 2 jeunes qui se font bronzer nus sur le sable, nous avons déjà eu un aperçu du matériel, mais Mélanie toujours si timide m’envoi pour négocier avec eux car elle n’ose pas, donc je m’approche d’eux et directement sans chichi car le temps nous est compté, je leur demande:
- ma copine n’a jamais goûté de bite et elle voudrait essayer, seriez-vous d’accord pour l’initier?

Leur tête mériterait d’être prise en photo, c’est vrai qu’à leur décharge, si je puis dire, la demande ne doit pas être courante, vu leur comportement je pense qu’ils sont plutôt amants que copains, mais l’idée de se faire sucer par une fille ne doit pas leur déplaire car la réponse est un franc oui.

Nous partons ensemble vers la dune, afin de trouver un terrain convenable à la pratique de ce sport. Les préparatifs sont très rapides puisque nous sommes déjà tous nus et que durant le chemin, la pensée a du motivé nos garçons car ils ont déjà la gaule, à genoux devant eux, chacune s’occupe de bien faire monter la sauce, durant la nuit précédente je lui ai prodigué quelques conseils pratiques, commencer doucement, lécher partout le sexe, atteindre chaque repli caché et connaître tous les endroits bien dissimulés du jardin secret d’un garçon. Mélanie suit mes recommandations et explore le site que lui présente un des garçons a coups de langue et de mains baladeuses ce qui doit bien chauffer son partenaire, moi aussi je ne reste pas les bras ballants, mais m’active a mettre sous pression là bite que je besogne, et sûr de ma technique, je suis confiante pour arriver à la destination finale, même si ce sont des homosexuels.

Pour plus de plaisir, c’est à ce moment que nous switchons nos garçons, afin d’avoir un bâton de plus sur notre tableau de chasse.

Maintenant la dernière ligne droite de Longchamp se profile, Mélanie se lance au triple galop, elle cravache dure la bite serrée entre ses lèvres, elle branle la queue dans sa bouche énergiquement, je la regarde faire car pour une novice, elle se débrouille de manière remarquable, et je pense que ce garçon ne peut pas éviter de lui exploser de bonheur dans la bouche. Cette nuit elle me l’avait dit qu’elle voulait goûter l’intégralité de la décharge, mais de là à le réaliser, attention à ne pas s’engouer. Mais elle franchi avec brio cette étape, et je vois au regard du garçon qu’il remplit bien sa bouche du nectar souhaité.

La déferlante a du être forte car il en titube et pousse un gros soupir de satisfaction, le devoir accompli. Tellement pressée, elle avale immédiatement la totalité du dépôt et me sourit avec un air triomphant.

La voyant si réjoui, mais pas complètement repu, je lui propose de lui abandonner ma part.

- Veux-tu finir également celui-ci?

La salope ne dit pas non, et me bousculant, elle vient à ma place à genoux devant ce 2ème garcon et recommence le même traitement criminel, une puissante branlette de la hampe associé au coulissement de ses lèvres enserrant le gland, le résultat est identique, le jeune homme ne résiste pas longtemps et dans un dernier râle libere et expulse son venin qui vient envahir le gosier de Mélanie, j’en ai la preuve car avant de tout avaler, elle m’a montré en entrouvrant la bouche la sauce blanche qui emplit sa cavité buccale.

Et bien, je n’ai plus aucun doute, ma cousine sera, comme moi, une bonne pipeuse.

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